Par VANHAL JOHANN BAPTIST. The unbroken popularity of Vanhal's sole double bass concerto in competitions and for practice and concert purposes is reason enough for us to publish the work in Breitkopf Urtext. The new edition profits from Tobias Glöckler's experience of many years. As with the other great double-bass concertos of the classical Viennese repertoire (Dittersdorf, Hoffmeister), Glöckler arrives at convincing solutions. He began by filtering out a solid musical text from the source (which was not always free of contradictions) that was supplied with many additions. The disposition of the solo part required detailed knowledge of performance practice, since the work was written in the historical Viennese double bass tuning, and a few passages cannot be played without difficulty on a modern instrument. As with Dittersdorf and Hoffmeister, the piano reduction makes it possible to use three different double-bass tunings (solo, orchestral and Viennese). Moreover, it contains the editor's virtuoso cadenzas as well./ Répertoire / Conducteur

Sous-titre :
pour soprano & contrebasse
Compositeur :
Alberto Posadas
Instrumentation :
Soprano and Double Bass
Édition musicale :
Editions Durand / Partitions classique / Ensemble et orchestre / Conducteur / DURAND

Création
20/07/2016 - Paris, Archives nationales, Festival Jeunes Talents - Marie-Laure Garnier (soprano), Anna Besson (flûte), Augustin Gorisse (cor anglais), Louise Lapierre (basson), Guillaume Sigier (piano)
Commanditaire
Festival Jeunes Talents 2016
Notice
Textes de Charles Baudelaire (in Les Fleurs du mal)
A une époque où foisonnent de nombreuses et pourtant si diverses esthétiques musicales, aucune direction ne semble réellement s'imposer. Si l'on associe au XXème siècle une période de bouleversements idéologiques, on l'associe également avec des phénomènes de ruptures. Pourtant, Henri Dutilleux, traverse ce siècle avec une grande sérénité. Sans jamais dévier du chemin unique qu'il se trace, il enchaîne les compositions à la fois sublimes et personnelles...
Ses univers poétiques - dont je me sens très proche - se renouvellent sans cesse : nocturnes (La Nuit Etoilée, Ainsi la Nuit, l'Arbre des Songes...), rituels (Incantatoire et Obsessionnel dans ses Métaboles), ou encore son travail sur la lumière (ses magnifiques Shadows of Time). Sa conception coloriste de l'harmonie et la liberté avec il l'emploie, son orchestre foisonnant, ces nappes vibrantes, ce travail si riche sur le timbre et l'espace ou encore ce lyrisme intense mais toujours contenu, participent à l'élaboration d'un langage profondément personnel et prégnant qui traverse l'intégralité de son oeuvre.
La vraie leçon de Dutilleux pour les jeunes compositeurs, c'est - comme Debussy avant lui, ou Thierry Escaich aujourd'hui - la singularité. Ce qui me fascine littéralement chez Henri Dutilleux, c'est la façon dont il s'approprie un héritage musical fort, à la fois par sa sensibilité et au moyen d'un artisanat méticuleux. Et si Dutilleux est un compositeur singulier, il s'agit d'une singularité intemporelle.
Lui rendre hommage est à la fois un honneur, un plaisir immense, mais également l'occasion de rendre hommage à la voie qu'il a ouverte et à l'exemple qu'il représente pour nous aujourd'hui - hommage que je suis ravie de partager avec quatre autres compositeurs.
C'est tout naturellement que je me suis tournée vers la littérature de Charles Baudelaire, correspondant à la fois mon univers et à celui onirique d'Henri Dutilleux.
Mes sonnets sont écrits pour quintette (soprano, flûte alto, cor anglais, basson et piano). La formation instrumentale imposant la famille des bois m'a orientée vers la nature avec La Géante. La Cloche fêlée m'inspirait par son sens et Le Flambeau vivant par son caractère incantatoire.
Les sonnets expriment des visions différentes : la première plutôt fantastique - celle d'une géante magnifique dans la Nature ; la seconde mystique et processionnelle ; et enfin, le spleen intérieur par la métaphore d'une cloche ébréchée. Cependant, je les ai conçus de la même manière : tous trois travaillent ainsi le phénomène de nappes sonores vibrantes et entêtantes. Cela confère à l'ensemble son côté hypnotique, sensation intense que je retrouve à la lecture des sonnets baudelairiens, comme à celle de la musique de Dutilleux.
Camille Pépin (mai 2016) / Partitions classique / Ensemble et orchestre / Conducteur / JOBERT

Written for Melinda Maxwell and the Orchestra of St. John's Smith Square to commemorate the orchestra's twenty first anniversary. the happy surprise of his Little Concert. . . beneath the graceful long lines and jig-like spurts of a solo part expressly written for Melinda Maxwell Maw finds time and space enough to draw quite long-range implications from his basic motif of a semitone plus a major third and to insert some of his special densely poetic harmonies.Bayan Northcott The Independent 6 June 1988.Scored for Oboe solo two Horns two Violins Viola Cello and Double Bass.

Par VIVALDI ANTONIO. Violon Solo - Strings - Basse Continue - Durée: 9/ Répertoire / Conducteur

Couverture Rigide. Par GADE NIELS WILHELM. The four works presented in this volume – 'Frühlings-Phantasie” op. 23, 'Frühlings-Botschaft” op. 35, 'Die heilige Nacht' op. 40 and „ Beim Sonnenuntergang' op. 46 – were composed between 1852 and 1870. All of these works belong to the 'concert piece” genre, as the title pages of the respective first editions suggest. The works' instrumentation is varied: While „ Frühlings-Botschaft ' and „ Beim Sonnenuntergang' are composed for mixed choir and orchestra, 'Die heilige Nacht” calls for an additional solo alto. 'Frühlings-Phantasie” is not scored for choir at all, juxtaposing the orchestra with four solo voices and piano. Gade based his texts on poems by Edmund Lobedanz (op. 23), Emanuel Geibel (op. 35), August von Platen (op. 40), and Andreas Munch (op. 46)./ Répertoire / Conducteur

Par NAULAIS JEROME. / Niveau : Intermédiaire / Brass band / Répertoire / Conducteur