Piano Solo
SKU: BU.EBR-A091
Composed by Tomasco Giovanni Albinoni. Anacrouse. Transcription pour piano Biographie Notes sur l'oeuvre. Score. Editions Bourges #EBR-A091. Published by Editions Bourges (BU.EBR-A091).
ISBN 9790560151939. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.
Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.
Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement.
Si Tomaso Albinoni est célèbre aujourd'hui, c'est principalement grâce à son fameux Adagio en sol mineur pour orchestre à cordes et orgue. Pourtant c'est une œuvre dont il n'est pas complètement l'auteur. Il s'agit en réalité d'un arrangement écrit par son biographe italien Remo Giazotto. Selon ce dernier, on aurait découvert en 1945, au milieu des ruines de la bibliothèque de Dresde bombardée pendant la Deuxième Guerre Mondiale, une «Sonate en trio» composée par Tomaso Albinoni. Remo Giazotto se serait basé sur le mouvement lent de cette sonate pour écrire l'Adagio, qui nous paraît si familier à présent puisqu'il est cité dans plusieurs musiques populaires, ainsi que dans des bandes originales de films.
Cette œuvre au tempo lent a pour introduction une mélodie à l’orgue soutenue par les violoncelles et les contrebasses en pizzicato. Vient ensuite le thème en tutti puis une cadence effectuée par le violon soliste accompagné par l’orgue. On reprend ensuite le début de l'œuvre, puis le tutti rentre dans un élan tragique. L’œuvre se termine par un court solo de violon, toujours soutenu par le tapis sonore de l’orgue et de l’orchestre.