Ce volume 3A des Plaisirs du chant est, comme les précédents, destiné aux jeunes chanteurs, ainsi qu'aux cours de formation musicale. Les morceaux sont présentés dans une tessiture moyenne. Pour plus de facilité, des traductions françaises sont aussi proposées pour trois lieder (un peu remaniées, elles datent du 19e siècle). Mais, sous cette apparente facilité, les morceaux choisis sont, pour la plupart, d'un mouvement assez lent, et donc, plus difficiles à lier et à animer. Ils aideront le jeune chanteur à extérioriser sa sensibilité musicale et poétique. On ne saurait trop recommander aux professeurs de commencer la formation vocale des élèves par des morceaux de tessiture moyenne, comme ceux des Plaisirs du chant avant d'aborder les recueils spécifiques pour soprano, mezzo, ténor ou baryton, dans un deuxième temps. La première pièce L'Amour de moy qui date du 15e siècle est donnée ici avec un accompagnement au piano, composé spécialement pour ce recueil, mais il est tout à fait possible de la chanter à voix seule, comme elle est notée dans le manuscrit de Bayeux. C'est même un excellent exercice. Jusqu'à la fin du 18e siècle, les ornements et variations n'étaient pas écrits dans les partitions, mais laissés à l'imagination des chanteurs (ces embellissements pouvaient changer d'un concert à l'autre). Nous avons un peu perdu ce sens de l'improvisation, mais l'élève pourra s'inspirer des ornements et variations très simples proposés dans le CD par les deux chanteurs. Toutes les pièces de ce recueil peuvent être interprétées par des voix féminines ou masculines, sans distinction. Pour le CD, j'ai demandé la collaboration d'une soprano et d'un ténor dans le seul but de varier la couleur à l'écoute du disque. Ces deux artistes ont chanté avec une grande économie de moyens pour que l'exemple ne soit pas trop lyrique et n'incite pas les jeunes chanteurs à dépenser une énergie inutile et néfaste. L'accompagnement, enregistré au piano seul, aidera à la mise en place du morceau avant le travail avec l'accompagnateur. Pour les exercices préliminaires à l'étude d'un morceau, on peut s'inspirer des exercices pour les débuts qui figurent dans mon ouvrage Le Professeur de chant : un luthier qui construit une voix (référence: VV375 ) paru aux éditions Van de Velde. L'expérience prouve que toutes les pièces du recueil sont adoptées avec plaisir par les étudiants et suscitent des progrès sur le plan vocal et musical. Jacqueline Bonnardot Contenu : Anonyme du 15e siècle : L'amour de moy - Flies B. : Berceuse (attribuée à Mozart) - Glück C.W. : On s'étonnerait moins (Armide) - Haendel G.F. : He Shall Feed His Flock (Le Messie) - Legrenzi Ciampi V. : Nina (Tre Cicisbei ridicoli) - Massenet J. : Le sais-tu ? - Monteverdi C. : Maledetto sia l'aspetto - Moulinié E. : Paisible et ténébreuse nuit - Scarlatti A. : Cara e Dolce Libertà - Schumann R. : La Coccinelle - Les Perce-neige - Traditionnel anglais : Willow Willow Compositeur/Auteur : BONNARDOT Jacqueline Discipline/Instrument : voix moyenne et piano Collection : Bonnardot Jacqueline Support : Partition + CD Style/Genre : classique Date de parution : août-08 Nombre de pages : 30

24 Pieces For Piano. Par WOLF PETER E.. Péter Wolf (a doctoral graduate of the Franz Liszt Academy of Music in Budapest) has composed a number of large-scale compositions in recent years which have had success at the hands of distinguished performers: these include two piano concertos as well as concertos for oboe, clarinet, and violin. By entitling his newest set of pieces for piano Wolf-temperiertes Klavier, the composer was able to simultaneously indulge in wordplay based upon his surname and give a tip of the hat to German baroque master Johann Sebastian Bach. The work's likeness to Bach is not limited to its title - the manner in which a piece has been written in both major and minor keys for each tone of the chromatic scale is blatantly inspired by Bach. In the preface to this publication, Wolf offers the following insights: ''I think I managed to find expressive titles. The first piece, Epiclesis (a prayer for inspiration, patience, and support), was heard from above: I was able to work continuously and without inhibitions. The works could be born in every key, until the last one, the Epilogue, was completed. When I finally finished inscribing the pitches of Bach's name, I admit, a little shiver went through me.'' Of the character pieces, all were completely new with the exceptions of one being previously written and another whose theme Wolf borrowed from one of his own stage works. Wolf-temperiertes Klavier is recommended for advanced pianists who wish to push the boundaries between musical genres, as well as classical musicians interested in the harmonic language of jazz. / Niveau : Intermédiaire à Avancé / Musique contemporaine / Répertoire / Piano

25, le troisième album tant attendu d?Adèle connait déjà un succès planétaire et a été arrangé ici pour pianistes débutants. Les symboles d'accords des chansons sont également compris. Toutes les chansons de l?album sont comprises dans cette superbe édition, dont la déjà très célèbre Hello.

Depuis la sortie de son tout premier album ?21? en 2011, Adèle ne cesse de nous impressionner avec ses paroles personnelles et sa voix puissantes. Après avoir annoncé vouloir arrêter sa carrière musicale, Adèle a fini par retrouver l?inspiration et a enregistré 25 pour le plus grand bonheur de ses fans.

L?album s?est rapidement hissé au premier rang des hits parades du mondes entier ! Ces arrangements simplifiés de toutes les chansons de ?25? permettent aux pianistes débutants de tout âge d?apprendre ces titres magnifiques rapidement.

Cette méthode instrumentale propose toutes les partitions complètes des titres l?album, dont le single Hello, les sublimes When We Were Young, Million Years Ago ou encore le très entrainant Send My Love (To Your New Lover).

Cet album présente des ballades époustouflantes si caractéristiques d?Adèle, ainsi que des thèmes lyriques plus matures et des twists contemporains qui reflètent l?immense talent de l?artiste. Cette excellente méthode instrumentale est idéale pour apprendre à jouer des chansons pop modernes au piano.

Les mélodies poignantes sont sublimes au piano et les arrangements proposés ici sont parfaits pour les pianistes débutants fans d?Adèle. Apprenez dès à présent à jouer les chansons de ?25? tout en vous amusant ! / Variétés /

Par ARCHER DARRELL. The word gospel means ?good news,? so it is no surprise that many songs of faith are uplifting, rhythmic and exuberant. Such is the case with the fresh piano settings of the 9 well-known gospel songs in this collection. These country-style arrangements enable the pianist to offer upbeat music that sets hands to clapping and feet tapping.These creative settings are best suited to the intermediate to advanced player as a few of them feature syncopation, meter and key changes, and the left-hand, alternating bass note/chord pattern popularized by ragtime pianists. Suggested chords with all the right inversions and harmonies are provided should a backup guitarist and bassist wish to join you.Many moods?including commitment, assurance, devotion, dedication, praise, thankfulness, adoration, peace, and inspiration?are expressed through the medium of what is commonly referred to as southern gospel music. A natural outgrowth of these heartfelt emotions is the joy that is so evident in many of the tunes found in this collection, including: ?Glory to His Name?, ?Come and Dine?, ?The Lily of the Valley?, ?At Calvary?, and ?Unclouded Day?? all songs with uplifting purpose, bright tempos and catchy melodies that will engage musicians as much as their audiences. / Date parution : 2023-06-01/ Recueil / Piano

Aélita (1924) de Yakov Protazanov m'intéresse, car c'est un film situé au croisement de toutes les tendances artistiques les plus importantes en Russie dans les années 1920. Le constructivisme et le futurisme y sont présents (à travers les costumes et les décors) et c'est aussi un témoignage de la vie quotidienne de cette époque. Il s'agit autant d'une peinture impitoyable des moeurs puisée dans la puissante ironie - politiquement incorrecte - du roman de Alexei Tolstoi que d'une comédie mélodramatique pétrie d'éléments absurdes.Je souhaite placer le film dans l'atmosphère acoustique de son époque, c'est-à-dire le temps des constructivistes russes Mosolov et Polovinkin, de l'utopique 'Symphonie des sirènes d'usines' de Arseny Avraamov et des expérimentations bruitistes de Luigi Russolo.Il est naturellement impossible de percevoir aujourd'hui le film comme il a pu l'être alors. La musique se doit donc de n'être pas que stylisation ou illustration. La musique distancie l'image, la plaçant hors du temps et ouvrant de nouvelles perspectives perceptives.J'ai décidé de travailler à la manière d'un pianiste de cinéma muet, sans imaginer de bande son synchronisée avec le film, non pour amplifier musicalement l'action, mais davantage pour créer une atmosphère acoustique générale : des nuages sonores qui réagissent à l'action cinématographique comme un nuage dans le ciel réagit à l'action du vent - même si le vent est très fort, les nuages vont se modifier avec lenteur.J'ai essayé dans le même temps d'achever l'esprit constructiviste. La musique est totalement mécaniste. Au fondement de l'organisation temporelle se trouve une structure pré-établie. Le matériau sonore emplit cette structure comme le ferait de l'eau. La bande son est truffée de processus transitionnels amenant d'un son à un autre (morphing). Nombre d'objets usuels sont utilisés comme des instruments (tuyaux, bouteilles, boîtes de conserve, jouets, etc). La partie instrumentale forme une structure canonique. Ces canons multiples sont des symboles d'une production à la chaîne ou d'une multiplication - comme la célèbre photo de Rodchenko : la multiplication des objets est plus importante que les objets eux-mêmes.Les processus de mécanicité et de récurrence ont toujours été d'une grande importance et d'un grand intérêt pour moi, à tous les points de vue : de la reproduction d'un geste à une impossibilité fatale d'influencer des processus mécaniques (toute interruption du travail en cours d'une machine peut causer sa destruction), en passant par les battements du coeur ou la succession des inspirations et expirations, ou bien encore la course des heures durant la journée, des saisons durant l'année. Mais les idées d'un auteur constructiviste d'aujourd'hui ne peuvent être les mêmes que celles de l'artiste du début du 20ème siècle. Les constructivistes considéraient la machine comme un symbole d'ordre et d'organisation. A présent, la mécanicité nous fait plutôt craindre une sorte de désastre d'origine technologique. Le point de vue historique optimiste a fait place à un point de vue catastrophiste. Dans la bande son d'Aélita, il a été important pour moi de faire l'écho de ces aspects esthétiques.Ce projet fait partie d'une année intense de résidence auprès de l'Ensemble 2e2m, commanditaire de cette pièce.Dmitri Kourliandski(Traduction : Editions Jobert) / Ensemble Instrumental Et Petit Orchestre

Création
16/05/2019 - Echirolles, La Rampe - Orchestre National de Lyon, Leonard Slatkin (direction)
Commanditaire
Orchestre National de Lyon
Lorsque l'on m'a demandé d'écrire une ouverture pour la série Roulement de timbales , j'ai immédiatement eu à l'esprit quelque chose de vaste et puissant. J'ai alors pensé à la récente découverte de Laniakea, ce superamas de galaxies comptant parmi les plus grandes structures de l'Univers. Découvert en 2014 par Hélène Courtois (1), Laniakea signifie paradis céleste incommensurable en hawaïen. A l'intérieur de ce superamas, les galaxies sont en mouvement et convergent vers un même point appelé le Grand Attracteur. Il faut imaginer des courants de galaxies dont toute la matière se déverse au même endroit - comme au coeur d'une vallée - à une vitesse folle de 630 km/s.
Immensité, mouvement, vitesse, lumière... ont été les mots qui m'ont guidée en composant. Ce scénario d'un horizon céleste si grand est une source d'inspiration foisonnante de couleurs pour mon imaginaire d'orchestratrice ! J'ai donc eu l'envie de trouver des résonances musicales à ce monde fascinant de l'infiniment grand.
Comme la Symphonie n°103 de Haydn, Laniakea s'ouvre sur un roulement de timbales. Il reviendra durant la pièce sous différents formes : parfois à nu , parfois en fond sonore ou encore en relais avec la grosse caisse.
Laniakea se présente comme une fresque cosmique articulée en trois épisodes précédés d'une introduction et achevés par une coda.
Puissante et majestueuse, l'introduction présente un thème aux cuivres et aux cloches sur un roulement de timbales. Les cordes constituent un mur du son résonnant et vibrant. La matière se transforme progressivement. Les bois se fondent dans les cordes et deviennent liquides. Le thème de cuivres se déployant sur cette texture miroitante devient de plus en plus doux, finit par se dissoudre et laisse place à la lumière.
La première grande partie commence par un motif de hautbois, glockenspiel et harmoniques de cordes aiguës : autant de particules lumineuses tentant de percer dans ce ciel immense. Le vibraphone et les bois créent une nappe réverbérante et contribuent à donner à ce passage une couleur céleste et scintillante.
La texture devient plus rythmique avec la naissance d'un motif tournoyant et répétitif aux altos. Dans cet épisode hypnotique, le thème de l'introduction est rappelé aux cloches et aux cors. Il s'intensifie. La matière se répand. Glockenspiel et harmoniques - touches lumineuses - sont nimbés de vent stellaire avec le roulement de cymbale suspendue. Un thème plus lyrique et envoûtant apparaît aux violoncelles. Il sera présenté avec différentes couleurs en passant aux violons puis aux altos. L'apparition du glissando mib-ré aux trombones est un signal : nous passons progressivement dans la seconde partie. Le motif rythmique s'éteint et la matière devient de plus en plus nébuleuse.
Dans cette partie plus sombre, ce demi-ton est omniprésent : glissé aux cors, en harmoniques chez les cordes, plaintif chez les bois. Ici, j'ai voulu exprimer le mystère de ce Grand Attracteur, de ce glissement vertigineux de matière happée par le vide. Les amas en apesanteur deviennent de plus en plus épais et s'enrichissent. La matière finit par gronder et donne naissance à un passage flottant, brumeux et plus lyrique. Une quinte grave et mystérieuse aux trombones annonce la fin de cette partie. Les trompettes nous rappellent le thème de cuivres de l'introduction. A leurs impulsions correspondent des échos dans les bois - comme la queue d'une étoile filante qui brille encore après son passage.
Le dernier épisode est une danse cosmique lumineuse et festive, teintée de couleurs célestes. J'ai imaginé un ballet hypnotique de nuées d'étoiles nimbées de poussière stellaire. Pour créer ce halo lumineux, j'ai animé les fonds par des croches répétées en guise de tenues et de légers soufflets pour leur donner de la vie. En composant, j'ai également eu à l'esprit certaines textures des jeux d'orgue. Cette danse est basée sur un motif rythmique en boucle qui voyage entre les groupes : un ballet étourdissant et hypnotique d'étoiles se déplaçant à des vitesses hallucinantes. Il aboutit à un premier climax lyrique et flamboyant. Un dernier pas de deux d'étoiles se poursuit et exulte en s'embrasant dans un grand crescendo de lumière.
Un roulement de timbales soudain nous ramène à l'immensité et la puissance initiales. Cette grande coda nous rappelle que Laniakea est un horizon céleste immense que nous ne pouvons appréhender. Au loin, la lumière s'éteint progressivement. La matière se désagrège et finit par se perdre dans l'espace.
Camille Pepin
/ Partitions classique / Ensemble et orchestre / Conducteur / JOBERT

Par HOUBEN KEVIN. Gardien Angels dépeint la légende du pasteur Louis Henri Antoine Bähler en utilisant entre autre le Psaume 34. La partie nord-ouest de la région de la Veluwe, et en particulier Oldebroek (Pays-Bas), possède une riche tradition religieuse, dont témoignent les bâtiments monumentaux de l'église. Ils racontent une histoire mouvementée, dans laquelle le pasteur Bähler a joué un rôle particulier. Inspirées par son arrivée comme pasteur en 1870 dans la ville voisine d'Oosterwolde, deux grandes communautés ecclésiastiques ont vu le jour, avec les bâtiments religieux typiques. Cependant, la région a aussi connu des troubles sociaux importants. Cette composition est une méditation sur la personnalité marquante du pasteur et en particulier sur l'histoire de la protection des anges: Un soir, le pasteur Bähler avait prêché à Oldebroek et marchait le long du sentier de l’église entre les champs pour aller à Oosterwolde. Le temps était sombre et orageux. Certains opposants de Bähler lui avaient tendu une embuscade et voulaient le noyer dans un fossé près du sentier. Lorsqu’ils virent qu’il n’était pas seul, mais en compagnie de deux autres hommes, ils abandonnèrent leur projet. Le lendemain, Bähler rencontra ses adversaires. Ceux-ci regrettaient ce plan qu’ils n’avaient heureusement pas pu mettre à exécution. Lors de cette rencontre, Bähler affirma catégoriquement avoir été seul à marcher sur le sentier de l’église la veille plutôt qu’accompagné par deux autres hommes. On en conclut qu’il avait été protégé par des anges. Si le Psaume 34 est au centre de cette composition, c’est en raison de sa puissante mélodie mais aussi parce que le texte du verset 4 de la version rimée de ce psaume s'accorde bien avec la légende extraordinaire du pasteur Bähler: “L'ange du Seigneur monte la garde ?autour de ceux qui le craignent,?il les met hors de danger.” Une deuxième cellule mélodique et harmonique est la transformation musicale du nom “Bähler”. Cette cellule est utilisée en variation d’accords de tierces majeures et mineures, tant comme idée principale que comme apothéose, mais également comme cellule d'accompagnement ou de motif de pont entre d'autres constructions mélodiques et rythmiques. La composition a été rendue possible grâce aux contributions de M. Evert van de Poll, propriétaire du Van Gelder Groep, du Prins Bernhard Cultuurfonds Gelderland et du Feteris Oosterbaan Fonds. / Date parution : 2022-07-20/ Répertoire / Fanfare

21 Original Pieces and Arrangements for Violin and Piano. Par . Les compositeurs se sont toujours laissés inspirer par le monde animal et ont représenté musicalement la nature des animaux les plus divers - qu'il s'agisse de la locomotion, comme le vol d'un papillon ou le frétillement de la truite, ou de la métaphore d'un caractère animal. Pour ce recueil thématique à dominante classique et romantique, Wolfgang Birtel a réalisé des arrangements pour violon et piano et rassemblé des œuvres originales. / Date parution : 2023-09-13/ Recueil / Violon et Piano

Eight pieces for Piano inspired by poems by Tristan Klingsor for Mesdemoiselles Jacqueline and Lucienne Rouché. Transcribed from the original work for Piano solo (1911). 1. Les MarionnettesA marionette is a string-operated puppet. Popular from as far back as Ancient Greece and increasingly the focus of entertainment during the Middle Ages and Renaissance period it has been proposed that the art of puppetry was the logical precursor to the appearance of live actors in the theatre. Stravinsky's ground-breaking ballet Petrushka which was completed in 1911 (the same year as Grovlez's L'Almanach incidentally) undoubtedly remains thebest-known evocation of a puppet. 2. Berceuse de la Poupée'Lullaby for a doll' though a seemingly improbable starting point for a musical work functions beautifully next to the marionettes in Grovlez's magical image-rich world though I detect something faintly subversive bubbling under the surface of this sublime melody. 3. La SarabandeThe 'Sarabande' is a stately dance in triple-time with a characteristic gentle emphasis on the second beat and was apparently first referenced in print in Central America during the 16th century (zarabanda). It rapidly grew in popularity over successive centuries especially within the Spanish colonies – and of course in Spain itself – where its reputation as having being 'invented in hell' (according to Cervantes) assured it a place in dance suites from Bach's time onwards. 4. Chanson du Chasseur'Hunter's Song' is a rollicking rum-tee-tum piece of great insouciance and swagger. The 6/8 rhythms and horn-like proclamations ride delightfully roughshod throughout the music. 5. Les Ânes'The Donkeys'. I presume Eee-orrr has the same connotation in French! – moreover the comical spirit of the music is not so far removed from Ibert's famous Le Petit Âne Blanc (Avec une tranquille

Martin Luther. Par SCHNEIDER ENJOTT. On the occasion of the quincentenary of Reformation Day in 2017, the composer Enjott Schneider thoroughly studied Martin Luther the individual and all his contradictions. The result is a brilliant, demanding organ symphony which is perfect for concerts on the subject of Reformation and Martin Luther. The composer describes the five movements of the symphony as follows: '1st movement: Wir glauben all an einen Gott with its quintuplet-like beginning is very Gregorian in style, outlining the range of Lutheran emotionalism between the Middle Ages and the modern era. The irrationality of 'faith' ultimately has priority over any thought and evidence. At the beginning of the movement, sounds of knocking on wood remind of the nailing of the Ninety-Five Theses to the doors of churches in Wittenberg. The chorale melody sometimes hides with an almost rough medieval saltarello, referring to Luther's robustness and vitality with which he knew to carry away even common people. 2nd movement: In 1530, the electoral prince of Saxony presented to Luther at Coburg Castle the golden signet ring with the 'Luther rose' which became the symbol of his theology of grace. A white heart with black cross is fixed on a five-petalled rose. To him, 'white' is the colour of angels and ghosts, 'black' stands for the pain of crucification: 'The just shall live by faith, but by faith in the Crucified.' But the fact that the rose and the heart are the dominating symbols shows how Catholic Marian piety remained an ingredient of Luther's spirituality throughout his life. In line with the dominant five-petal structure of the rose, this movement was composed, to a large extent, in accordance with the floating, lyrical rhythm in 5/8 time. 3rd movement: The omnipresence of death and dying – from the plague and war to the never-ending dangers of daily life – was an essential part of the world view of that time. Fears ensued that might heighten into the grotesque, e.g. in the pictures of Hieronymus Bosch. The 'Danse macabre' was a popular motif in those years. Luther's chorale 'Mitten wir im Leben sind / mit dem Tod umfangen' from 1524 ('Enchiridion' from Erfurt) is based on the Gregorian chant 'Media vita in morte sumus' created in France around 750 and, with its idea of transience, inspired a simplistic air. 4th movement: The famous confession delivered at the Diet of Worms in 1521, 'I stand here and can say no more. God help me. Amen', are not Luther's words but the version later used as text for a pamphlet. However, it represents quite plainly the straightforwardness and inevitability of his mission. Musically, it was made into a 'perpetuum mobile', i.e. a dogged, ostinato and never-ending musical air. 5th movement: The 'Mighty Fortress', on the other hand, is one of the great symbols of Martin Luther which, with its shining C major key, embodies the Protestant ideology and willful nature of the Reformation unlike any other song. Heinrich Heine called it the 'Marseille anthem of the Reformation', Friedrich Engels the 'Marseillaise of the Peasants' Wars'. This disputability is not thought through to the end but rather interrupted: With a jubilant 'birdcall version' of the melody, the finale shows a rather chamber-music-like side of the 'ideals of freedom of Christians'.'/ Répertoire / Orgue

Par RECHBERGER HERMAN. Herman Rechberger (1947?2022) composed the song cycle Seven Cat Songs between Christmas eve 2007 and the 4th of January 2008. They were inspired by his ?lovely hairy companions Tosca and Carmen?. The songs exist in two versions, one for soprano (...a SHE cat) and one for baritone (...a He Cat). Have a look inside by clicking ?sample?. Duration: c. 20 minutes Contents: I A cat's self portrait (Herman Rechberger) II Cats can sleep anywhere (Eleanor Farjeon) III A cat's memory (Jane Webb) IV A cat's evening prayer (anon.) V A song about two cats (anon.) VI A black-cat luck (anon.) VII All kinds of cats (BJ Boskitt) / Date parution : 2022-05-31/ Recueil / Baryton et Piano