Un nouveau Diapason rouge : le volume 6 !
300 chants de variété française et internationale avec accords de guitare.

Jouer ses premiers accords de guitare, accompagner des amis au chant, se retrouver autour d?un feu lors d?une veillée, relire un texte et laisser résonner les mots qu?un autre a écrit... Depuis plus de 25 ans, un Diapason rouge, c?est une malle aux trésors pour de multiples occasions de rêve, de partage et de fou-rires.
Ce volume 6 poursuit l?histoire en se plongeant dans le répertoire des années 1990 à aujourd?hui.

Fréro Delavega, Christophe Maé, Louane, Emmanuel Moire, Ridan, Stromae sont les nouveaux artistes d?années où la chanson française mélange plus que jamais légèreté et engagement.
Diam?s, Abd Al Malik, Grand Corps Malade, HK et les Saltimbanks cisèlent des textes bazookas.

Et comme tout Diapason, le DR6 fait la part belle aux tubes, ceux qui ont saturé les bonnes ondes de ces dernières années.

De quoi lire, rire, chanter, danser... À vous de jouer ! / Variétés / Partition /

Par PESSON GERARD. Berlioz n'a pas aimé Rome, ni la villa Médicis, où il était parti à contre-coeur. Il trouvait la ville étouffante et provinciale, la Villa étriquée académique et trop seigneuriale. Il est donc allé chercher ailleurs ce qu'il a appelé son 'Italie sauvage', une Italie de ciels, de vents, de pluies, de ruines ensauvagées, de montagnes, de bourgades à flanc de roches. En romantique qui vit des éléments, il n'emportait dans ses nombreuses virées à Tivoli, Subiaco ou aux Castelli Romani, qu'un carnet, un fusil et sa guitare, dormant parfois à la belle étoile, cherchant parfois la compagnie des petites gens, se faisant l'ami de quelques bandits au grand coeur, mais plus souvent épris de solitude. Il y a eu effet-retard de l'Italie dans l'oeuvre de Berlioz. Le temps de développer, par une archéologie rétrospective, les impressions assimilées, et, pour une grande part, de réinventer un pays, certes vécu mais tout autant fantasmé. Ce pays-là, qui n'est donc d'aucun pays, deviendra la dorsale de beaucoup de ses oeuvres: Benvenuto Cellini, Béatrice et Bénédict, Roméo et Juliette, Carnaval Romain etc., et surtout Harold en Italie. Harold reprend la manière autobiographique qui faisait, entre autres, l'originalité de la Symphonie Fantastique. Utilisant le héros byronien, Childe Harold, Berlioz livre en musique un scénario qui commande le cadrage panoramique. On peut parler d'une réappropriation par un héros prête-nom de ses propres sensations relevées sur le motif (processus du plein air à l'atelier qu'effectuaient aussi les peintres, ses collègues de séjour en Italie). C'est cette dualité paysage réel/paysage rêvé que veut traiter la partition Panorama, particolari e licenza ('Panorama, détails et licence') écrite à la demande de Christophe Desjardins. De la même manière que j'ai utilisé parfois des musiques préexistantes pour chercher ma propre musique (Nebenstück/Brahms/filtrage, Wunderblock/Bruckner/effacement), j'ai voulu ici détailler la notion de champ que Berlioz manie de façon véritablement pré-cinématographique. Ce qui se rapproche de nous (un détail infime perdu dans le tutti), ce qui s'en éloigne, ce qui nous parvient encore - un travelling qui devient arrêt sur image, un cadrage resserré, le fondu de deux perspectives. Panorama, particolari e licenza est, en ce sens, une sorte de making of , comme on dit aujourd'hui, de ce modèle génial, partition hirsute, fruste, mais tout à la fois riche, hautement inspirée. Harold en Italie traduit cette sauvagerie que Berlioz voulait rendre en musique, combinat de sensations, de révolte et d'exaltation: un son capté puis stylisé, avec effets de réel devenant sous sa plume des trouvailles, de véritables effets spéciaux dont peu de musiciens avant lui avaient eu l'intuition. A la demande de David Jisse et de la Muse en circuit, j'ai ajouté une partie électronique qui a été conçue par Laurent Sellier. Cette partie, essentielle, est une manière de réaliser concrètement ce qui est en filigrane dans Harold, la transmutation de toute expérience éprouvée en un véritable clavier de sensations. Le percussionniste de Panorama, particolari e licenza est une sorte d'accessoiriste bruiteur. Il reformule concrètement le réel purement rêvé, mais d'une manière que j'ai voulue parfois dérisoire et délibérément 'bricolée', comme un travail magique qui puisse donner sens à cette vérité véhémente, incessamment recyclée, qui faisait tout l'art de Berlioz. La question du soliste est importante dans Panorama, particolari e licenza. Il est tout à la fois le point de vue, la subjection, celui qui dit je, comme il est aussi le sujet de l'autofiction. Tout en étant central, il est égaré, parfois noyé dans le méta-instrument du récit. Au moins c'est ainsi que je l'ai traité, car il maille les instruments ensemble, prenant toutes les bribes du discours, abdiquant souvent ce qu'il y a de performatif dans la place du soliste romantique. Il est ici doublé par une voix d'alto de manière à rendre ce fading du sujet, ainsi que cette prise de parole par le texte poétique toujours central dans l'oeuvre de Berlioz. J'ai expliqué les deux premiers mots du titre. Le dernier renvoie aux licences que je prends par rapport au modèle, mais aussi à cette forme musicale du XVIIIe - La Licenza - qui était une manière d'hommage à un personnage d'influence. Con licenza était aussi une façon d'indiquer une liberté dans l'interprétation (c'est bien ici le sujet: la transcription est un écart), le tempo ou dans l'ornementation. Con alcune licenze écrit Beethoven au début de la fugue de l'opus 106. Panorama, particolari e licenza suit assez fidèlement, quant au déroulement du moins, trois mouvements d'Harold en Italie. I - Aux montagnes: On y entend des bruits de vent, de ruisseaux, des sons de guitare et de harpe de voyage. Des bribes non linéaires du Childe Harold de Byron. II - Marche (moissonneurs et angélus): Il s'agit de pèlerins dans l'original. Toutefois, Berlioz a été précis sur le souvenir qui a déclenché ce tableau dans sa musique. Ce sont des moissonneurs qui rentrent le soir au village en chantant une prière. J'ai choisi ici l'angélus, qui est devenu une véritable icône dans la peinture de ce siècle-là. On y entend donc des fragments chantés en latin. Le percussionniste joue de la faux. Car la mort n'est jamais loin dans l'imaginaire byronien et non moins berliozien. C'est aussi une référence à d'autres 'scènes aux champs' passées dans l'imaginaire collectif. Je ne peux cacher que moissonneur m'a soufflé aussi moins sonneur. III - Sérénade (une chanson des Abruzzes): C'est le mouvement le plus 'stylisé'. On y entend une véritable chanson en dialecte des Abruzzes où est évoqué la fameuse lontananza: à la fois espace résonnant d'une montagne à l'autre, mais aussi éloignement, séparation de deux amants. C'est un chant sur la construction du futur et la désillusion amoureuse que Berlioz a pu entendre et dont il a pu méditer le poème, bien qu'il ne s'en soit pas musicalement inspiré. Mais l'esprit, qui combine la mélancolie, un rien de malice, d'inquiétude et de doute tout berlioziens, est gardé dans ce mouvement, jusque dans les paroles de la chanson: O hirondelle qui vole sur Potenza Salue-le pour moi, c'est mon espoir Demande-lui ce qu'il fait, ce qu'il pense, Comme il supporte la lontananza Demande-lui ce qu'il fait, ce qu'il veut Et comme il supporte la séparation. Gérard Pesson, septembre 2006 / contemporain / Répertoire / Alto, Voix d'Alto et Ensemble

(Out Here) On My Own (Nikka Costa) - 1973 (James Blunt) - 7 Seconds (Youssou ‘N Dour) - ‘74 ‘75 (The Connells) - A Groovy Kind Of Love (Phil Collins) - A Horse With No Name (America) - A Kind Of Magic (Queen) - A New Flame (Simply Red) - A Woman's Worth (Alicia Keys) - About A Girl (Nirvana) - Again (Lenny Kravitz) - Against All Odds (Take A Look At Me Now) (Phil Collins) - Ain't Misbehavin' (Louis Armstrong) - All Apologies (Nirvana) - All Night Long (Lionel Richie) - All That You Have Is Your Soul (Tracy Chapman) - Always On My Mind (Michael Buble ) - Amazing (George Michael) - Angels (Robbie Williams) - Apache (The Shadows) - Aquarius (The 5th Dimension) - Arthur's Theme (Best That You Can Do) (Christopher Cross) - As Time Goes By (Herman Hupfeld) - Babooshka (Kate Bush) - Baby Can I Hold You (Tracy Chapman) - Back For Good (Take That) - Back To Black (Amy Winehouse) - Barbara Ann (Beach Boys) - Basin Street Blues (Ella Fitzgerald ) - Be Free With Your Love (Spandau Ballet) - Because You Loved Me (Céline Dion) - Been A Son (Nirvana) - Blue Moon - Blue Suede Shoes (Elvis Presley) - Bohemian Rhapsody (Queen) - Breakthru (Queen) - Can't Take My Eyes Off You (Gloria Gaynor ) - Caravan (From Sophisticated Ladies) - Careless Whisper ( (Wham ! / George Michael) - Celebration (Kool & The Gang) - Chattanooga Choo Choo (Glenn Miller) - Cheek To Cheek - Come As You Are (Nirvana) - Come Away With Me (Norah Jones) - Come To My Head (Simply Red) - Communication (Spandau Ballet) - Corazón Espinado (Santana) - Cosmic Girl (Jamiroquai) - Crazy For You (Madonna) - Crazy Little Thing Called Love (Queen) - Crossroads (Tracy Chapman) - Dancing In The Dark (Bruce Springsteen) - Dancing In The Street (Van Halen) - Deep Purple (Bing Crosby) - Delilah (Tom Jones / Paul Anka) - Do You Know Where You Are Going To? (Diana Ross) - Don't Leave Me This Way (Thelma Houston) - Don't Let Me Be Misunderstood (Santa Esmeralda) - Down Under (Men At Work) - Dream A Little Dream Of Me (Louis Armstrong / The Mamas And The Papas) - Easy (Lionel Richie) - Ebb Tide (Frank Sinatra) - Ebony And Ivory (Paul Mccartney Feat. Stevie Wonder) - Endless Love (Lionel Richie ) - Enola Gay (Orchestral Manouvres In The Dark) - Enough (Simply Red) - Everybody Loves Somebody - Everybody Wants To Rule The World (Tears For Fears) - Everytime You Go Away (Paul Young) - Fallin' (Alicia Keys) - Fame (Irene Cara) - Fast Car (Tracy Chapman) - Feel (Robbie Williams) - Fight For Ourselves (Spandau Ballet) - Flash (Queen) - Flashdance... What A Feeling (Irene Cara) - For Once In My Life (Michael Bublé) - Friends Will Be Friends (Queen) - Genie In A Bottle (Cristina Aguilera) - Get Down On It (Kool & The Gang) - Ghostbusters (Ray Parker Jr.) - Give Me One Reason (Tracy Chapman) - Gold (Spandau Ballet) - Goldfinger (Shirley Bassey) - Goodbye My Lover (James Blunt) - Goodbye Philadelphia (Peter Cincotti) - Goodnight Moon (Shivaree) - Goodnight Tonight (Paul McCartney ) - Grease (from Grease) - Happy Together (The Turtles) - Harden My Heart (Quarterflash) - Hello (Lionel Richie) - High (James Blunt) - Hips Don't Lie (Shakira) - Holding Back The Years (Simply Red) - Hot Stuff (Donna Summer) - Hotel California (Eagles) - How Deep Is The Ocean? (Irving Berlin) - How Many Lies? (Spandau Ballet) - How Sweet It Is (To Be Loved By You) (Michael Bublé) - I Don't Want To Miss A Thing (Aerosmith) - I Heard It Through The Grapevine (Creedence Clearwater Revival / Wilson Pickett / Marvin Gaye) - I Just Called To Say I Love You (Stevie Wonder) - I Wan't Feel Bad (Simply Red) - I Want It All (Queen) - I Want To Break Free (Queen) - I Want You To Need Me (Celine Dion) - I Will Always Love You (Whitney Houston / Dolly Parton) - If I Could Turn Back Time (Cher) - I'll Be There For You (The Rembrandts) - I'll Fly For You (Spandau Ballet) - I'll Stand By You (The Pretenders) - I'm In The Mood For Love - In The Midnight Hour (The Midnight Hour) (Wilson Pickett) - Infidelity (Simply Red) - Innuendo (Queen) - Is This Love (Whitesnake) - Isn't She Lovely (Stevie Wonder) - It Must Have Been Love (Roxette) - It's A Hard Life (Queen) - Jericho (Simply Red) - Karma Chameleon (Culture Club) - Killer Queen (Queen) - La Bamba (Ritchie Valens) - Lady Marmalade (Patty Labelle / Christina Aguilera) - Lambada (Llorando Se Fue) (Kaoma) - Lara's Theme (from Doctor Zhivago) Somewhere I Love - Laura - Let The Sunshine In - Lifeline (Spandau Ballet) - Lift Me Up (Moby) - Lithium (Nirvana) - Living On My Own (Freddie Mercury) - Look At You Now (Simply Red) - Love Don't Cost A Thing (Jennifer Lopez) - Love Is A Many Splendored Thing) - Love Is In The Air (John Paul Young) - Lucky Man (The Verve) - Luka (Suzanne Vega) - Lullaby Of Birdland - Macarena (Los Del Rio) - Mad About You (Hooverphonic) - Made In Heaven (Queen) - Master Blaster (Jammin') (Stevie Wonder) - Mercy (Duffy) - Minnie The Moocher (Cab Calloway) - Money's Too Tight To Mention (Simply Red) - Moonlight Shadow (Mike Oldfield) - More Than This (Roxy Music) - Move On Out (Simply Red) - My Baby Just Cares For Me (Nina Simone) - My Love (Paul McCartney) - My Perfect Love (Simply Red) - My Sweet Lord (George Harrison) - Need Your Loving Tonight (Queen) - Never Can Say Goodbye (Gloria Gaynor) - Never Forget (Take That) - Night And Day (Cole Porter) - No Tengo Dinero (Los Umbrellos) - Notorious (Duran Duran) - Obsesion (Aventura) - On The Sunny Side Of The Street) - One Vision (Queen) - Only When You Leave (Spandau Ballet) - Out Of Time (Blur) - Over The Rainbow (from The Wizard Of Oz) (Judy Garland) - Oye Como Va (Santana ) - Part-Time Lover (Stevie Wonder) - Patience (Take That) - Please Don't Go (Double You) - Precious (Depeche Mode) - Put Your Head On My Shoulder (Paul Anka) - Puttin' On The Ritz - Radio Ga Ga (Queen) - Rain And Tears (The Aphrodite's Child) - Rehab (Amy Winehouse) - Relight My Fire (Dan Hurtman) - Round And Round (Spandau Ballet) - Runaway Train (Soul Asylum) - Running Up That Hill (Kate Bush) - Same Mistake (James Blunt) - Say It Once (Ultra) - Say You Say Me (Lionel Richie) - Say You'll Be There (Spice Girls) - September (Earth Wind & Fire) - She Caught The Katy And Left Me A Mule To Ride (The Blues Brothers) - Shout (Tears For Fears) - Singin' In The Rain (Gene Kelly) - Sitting Down Here (Lene Marlin) - Sleeping Satellite (Tasmin Archer) - Smells Like Teen Spirit (Nirvana) - Smoke Gets In Your Eyes (The Platters) - Smoke On The Water (Deep Purple) - Smooth (Santana) - Somebody To Love (Queen) - Someone To Watch Over Me (Nikka Costa) - Something Got Me Started (Simply Red) - Sonnet (The Verve) - Stardust (Hoagy Carmichael) - Stormy Weather (Frank Sinatra) - Summer Nights (from Grease) (Olivia Newton John & John Travolta) - Summertime (from Porgy and Bess) (George Gershwin) - Superstition (Stevie Wonder) - Sure (Take That) - Talkin' About A Revolution (Tracy Chapman) - That's The Way (I Like It) (KC & The Sunshine Band) - That's What Friends Are For (Dionne Warwick) - The Drugs Don't Work (The Verve) - The Final Countdown (Europe) - The Game Of Love (Santana Feat. Michelle Branch) - The Greatest Love Of All (Whitney Houston) - The House Of The Rising Sun (The Animals) - The Invisible Man (Queen) - The Miracle (Queen) - The Power Of Love (Céline Dion) - The Promise (Tracy Chapman) - The Right Thing (Simply Red) - The Shadow Of Your Smile (Shirley Bassey) - The Show Must Go On (Queen) - The Taste Of Your Tears (King) - The Way We Were (Barbra Streisand) - Theme From New York, New York (Liza Minelli / Frank Sinatra) - Think (Aretha Franklin) - Thinking About You (Norah Jones) - Through The Barricades (Spandau Ballet) - Tonight's The Night (Rod Stewart) - True (Spandau Ballet) - Turn It Up (Simply Red) - Un-Break My Heart (Tony Braxton) - Unchained Melody (Righthouse Brothers) - Under Pressure (Queen) - Unforgivable Sinner (Lene Marlin) - Viva Forever (Spice Girls) - Wake Me Up When September Ends (Green Day) - Walking On Sunshine (Katrina And The Waves) - We Are The Champions (Queen) - We Are The World (USA For Africa) - We Have All The Time In The World (Louis Armstrong) - We Will Rock You (Queen) - Whatever You Want (Status Quo) - When A Man Loves A Woman (Percy Sledge / Michael Bolton) - When You Say Nothing At All (Ronan Keating) - When You Walk In The Room (Rokes) - Who Wants To Live Forever (Queen) - Woman In Chains (Tears For Fears) - Wuthering Heights (Kate Bush) - You And I (Michael Bublé / Stevie Wonder) - You Are The Sunshine Of My Life (Stevie Wonder) - You're Beautiful (James Blunt) - You're Mirror (Simply Red)

Pour vibraphone et Cd.'Soleil Noir veut essayer de rendre l'atmosphère qui se dégage des romans de l'immense écrivain des Etats Unis du Sud, William Faulkner : le comté fictif de Yoknapatawpha et ses vastes étendues de coton, la ville de Jefferson, son palais de justice et sa prison, ses maisons à galeries et colonnes blanches, ses chants d'esclaves, et ses personnages obscurs tels que la famille Snopes.Soleil Noir veut aussi évoquer par sa substance sonore la lumière intense d'un soleil d'été brûlant, un univers de chaleur et d'éblouissement violent dont la perception se matérialise par un voile obstruant la vision.Soleil Noir fouille aussi le domaine des relations entre l'instrument et la bande en essayant d'y apporter des solutions originales et riches, d'une signification et d'une analyse complexe.'Christophe de CoudenhoveSoleil Noir a été créée au festival Aujourd'hui Musiques à Perpignan le 17 novembre 2003 par Philippe Limoge.10 - 15 mnFourni avec cd comportant la bande de diffusion.Christophe de Coudenhove est né en 1963 à Sisteron (Alpes-de-Haute-Provence). Il fait ses premières études musicales au Conservatoire National de Région de Grenoble en classe de hautbois.En 1984, il entre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans les classes d'Histoire de la Musique de Brigitte François-Sappé et d'électroacoustique de Guy Reibel - il suit également les cours de musique indienne de Patrick Moutal. Il entre ensuite dans la classe de composition où il reçoit l'enseignement de Laurent Cuniot, de Michel Philippot, d'Alain Bancquart, de Betsy Jolas, ainsi que dans la classe d'orchestration de Serge Nigg. Il suit également des cours d'harmonie et de contrepoint avec Jean-Claude Reynau. En 1989, il y obtient les prix de Composition et d'Orchestration.En 1990, il est en résidence au Centre Voix Nouvelle de l'Abbaye de Royaumont pour écrire et travailler une oeuvre avec l'Ensemble TM+ dirigé par Laurent Cuniot.En 1991, tout en enseignant la composition dans les C.F.M.I. des universités de Tours et de Poitiers, il est sélectionné pour suivre le Cursus de Composition et d'Informatique Musicale de l'I.R.C.A.M. Il y reçoit un enseignement de qualité, autant dans le domaine technique divulgué par les chercheurs de l'IRCAM, que musical avec les compositeurs Philippe Manoury et Tristan Murail. De 1992 à 1994, il est engagé dans l'institut en tant qu'assistant musical, et travaille avec les compositeurs Qigang Chen, Martin Matalon et Ivan Fedele.En 1994, Michel Decoust alors directeur du Conservatoire National de Musique de Montpellier lui demande de créer une classe de composition et d'informatique musicale. Il y dispense depuis un enseignement original qui a pour but de faire fusionner l'apprentissage de la composition instrumentale et celui des nouvelles technologies pour la musique.Il dirige cette même année les Choeurs de l'ADAC (Mairie de Paris).Christophe de Coudenhove se consacre autant à la musique instrumentale et vocale qu'aux oeuvres mixtes. Il a été joué par de nombreux solistes et ensembles, notamment les clarinettistes Philippe Berrot et Ghislain Hervé, le ténor Régis Oudot et la soprano Salima de Coudenhove, le vibraphoniste Philippe Limoge, l'Ensemble TM+ dirigé par Laurent Cuniot, l'Orchestre Poitou-Charentes dirigé par Ernst Schelle, l'Ensemble Résonances XXe dirigé par Franck Foncoubert, le Trio Controverse, l'Orchestre Colonne dirigé par Pei-Yu Chang, et l'Orchestre Philharmonique de Radio France dirigé par Kiril Karabit. / Vibraphone Solo

Les Editions Lugdivine sont heureuses et fières de vous annoncer la création de Musicologies Nouvelles. Une nouvelle collection qui répond à la volonté d?offrir à tous les professionnels du monde de l?enseignement musical des outils en phase avec leurs besoins, en termes de formation et d?application. Cette collection s?appuie sur la publication annuelle de trois revues spécifiquement dédiées : - au programme d?agrégation (Musicologies Nouvelles Agrégation), - au programme du Bac (Musicologies Nouvelles Bac) - à un dossier spécial (Musicologies Nouvelles Dossier spécial). Toute l?équipe éditoriale, regroupée autour de Mihu Iliescu et Laurence Le Diagon-Jacquin, ainsi que les différents rédacteurs ponctuels apportent toute leur expérience et leurs compétences pour garantir un niveau d?excellence en rapport avec l?ambition de cette publication. Musicologies nouvelles : pourquoi une nouvelle revue ? L'éditorial de Jean-Jacques Nattiez - Professeur émérite de l?Université de Montréal - Président d?honneur du comité de rédaction de Musicologies nouvelles Thèmes Agrégation 2017 Livre 21 X 28 cm 168 pages - Voix de ville et airs de cour : l?avènement de la monodie accompagnée en France (1576 - 1696). - Poème symphonique et identité culturelle. Les auteurs collaborant à ce numéro : Nahéma Khattabi, Alice Tacaille, Catherine Massip, Catherine Deutsch, Olivier Bettens. Laurent Guillo, Marie Demeilliez, Yann Mahé, Robin Joly, Mathilde Vittu, Damien Erhardt, Michael Saffle (article en anglais), Bruno Moysan, Jean-Christophe Branger, Jean-Jacques Velly, Liliana-Isabela Apostu, Antonin Servière... SOMMAIRE La monodie en français avant Chardavoine : plaisirs et pouvoirs de la voix seule Alice Tacaille Université Paris-Sorbonne, IReMus-CNRS, UMR 8223 Les voix de ville recueillis par Jehan Chardavoine : un corpus de chansons à danser Robin Joly Doctorant au CESR de Tours Voix de ville et air de cour : le chant soliste en France à la fin de la Renaissance Nahéma Khattabi Agrégée de musique et docteur en musicologie Les prosodies du français chanté, de Chardavoine à Bacilly Olivier Bettens Le développement de la monodie en France et son rôle dans la sociabilité du XVIIe siècle Catherine Massip IReMus L?air de cour, champ expérimental de l?édition musicale dans le dernier tiers du XVIIe siècle Laurent Guillo IReMus Aria et artifice contrapuntique au tournant du XVIIe siècle en Italie Catherine Deutsch Université Paris-Sorbonne/(IReMus) Quel(s) solfège(s) pour l?air de la seconde moitié du XVIIe siècle ? Théorie et pratique autour de deux manuscrits et d?un air de Sébastien Le Camus Mathilde Vittu Conservatoire de Paris - CNSMDP Tablatures et basses continues : l?accompagnement des airs de cour Marie Demeilliez Université Grenoble Alpes Entre monodie accompagnée et polyphonie : le cas du dernier recueil d?airs de Michel Lambert (1689) Yann Mahé Université de Toulouse Jean Jaurès. Il Laboratorio (EA 4590) Musique et transferts culturels. Le poème symphonique entre la France et l?Allemagne (1854-1914) Damien Ehrhardt Université d?Evry Val d?Essonne / Université Paris-Saclay Liszt, Musical Transnationalism, and the Symphonic Poem Michael Saffle Virginia Polytechnic Institute and State University Frontières, forme et signification dans le Poème symphonique lisztien Bruno Moysan Forme et signification particulières dans le dernier poème symphonique de Liszt Laurence Le Diagon-Jacquin Université de Franche-Comté (ELLIADD) Transcender le message lisztien : Massenet et le poème symphonique. Des suites d?orchestres à Thaïs Jean-Christophe Branger Université de Lorraine À la recherche de l?expression : les poèmes symphoniques de Richard Strauss Jean-Jacques Velly Université Paris-Sorbonne Les poèmes symphoniques de Georges Enesco et Béla Bartók : une marque d?identité culturelle et nationale Liliana-Isabela Apostu Institut für Musik, Oldenburg Tapiola de Jean Sibelius : entre identité nationale et incarnation du Nord Antonin Servière Compositeur et musicologue

Ecrit en 01/01/14 et 01/01/15, Praxipode est constitué d'un ensemble de vingt pièces regroupées en trois suites distinctes, Elles ont été écrites dans le but d'aider les organistes à user du pédalier de manière progressive, Le recueil fait suite à Dactylopraxie, destiné au manuel seul, et en adopte exactement la même structure, Si les différentes pièces qui composent chaque suite peuvent être isolées ou regroupées selon les envies des interprètes, elles sont néanmoins reliées entre elles par un propos identique qui en assure la cohérence et apparente les trois ensembles au genre des Partitas, This collection of concise works by Christophe Marchand is an excellent introduction for beginning organ students to develop a good, solid pedal technique and independence for the performance of 21st century music, I highly recommend this superb collection without any reservations,James David Christie Ce nouveau recueil de Christophe Marchand est une musique charmante et inspirante qui prépare à l'écoute de la musique d'aujourd'hui,Bernhard Haas Praxipode est à la fois original, bien construit, et surtout très adapté à l'évolution des jeunes organistes grâce à l'acquisition de réflexes bien ciblés, le tout sous un aspect ludique qui, j'imagine, doit facilement séduire les plus jeunes, Bref, une réussite !Olivier Latry Christophe Marchand réconcilie travail et jeu, ce qui n'est pas un mince défi ! Une oeuvre à mettre entre toutes les mains, et tous les pieds oserait-on dire,Aude Heurtematte et Christophe Mantoux / Orgue

 En ce monde, c'est toujours ce qui nous échappe qui nous retient et nous fascine ! Il en va ainsi de l'orgue Cavaillé-Coll du château d'Ilbarritz côtoyant de si près la légende, avec son passage éphémère sur la Côte Basque et ce personnage énigmatique du baron de l'Epée, instigateur du projet, dont on n'a retrouvé aucun portrait,C'est donc une inspiration visionnaire qui a guidé ma plume dans ce temps de 1897 où Aristide Cavaillé-Coll venait d'installer l'orgue le plus moderne et le plus grand jamais réalisé pour un particulier, Un véritable testament de fabrique ! Quand l'on songe à Albert de l'Espée, on imagine aisément le délice qui devait être le sien à demeurer seul dans ce château, juché sur son promontoire entre ciel et terre devant l'océan déchaîné,,,C'est, après tout, le rêve de tout un chacun de goûter à une part d'éternité, sans contrainte et sans masque, en toute sincérité !L'ensemble de l'oeuvre est une louange à la beauté de la création, en quelque sorte une forme d'hymne,L'idée conductrice du premier recueil pourrait être attribuée au tumulte de l'océan, agrémenté des vents frénétiques du littoral, Il comprend : - une fantaisie en sol mineur - une toccata en mi mineur - et une rapsodie en ut mineur,L'idée conductrice du second recueil pourrait aussi illustrer l'impression vrombissante de cet orgue ' légendaire ' dont on percevait l'écho jusqu'au Domaine de Marbella, Il comprend : - une fantaisie en sol dièse mineur - une toccata en mi mineur - une toccata en ut mineur,Ainsi sont ces Impressions romanesques d'Ilbarritz où se mêlent Histoire, évasion et onirisme,,, - Légendes de Biarritz 08:45- Inexorables déferlantes des océans et des cieux 06:00- Ilbarritz toccata 08:20 / Orgue

Partitions piano, chant, guitare, tablatures et diagrammes.

Né d'un voyage en Louisiane, le nouvel album de Christophe Maé puise son inspiration dans la joie de vivre communicative des habitants de la Nouvelle Orléans et la musique des marching bands. Teintées de blues et de jazz, les nouvelles chansons de Christophe Maé ont été écrites avec Mike Ibrahim, « la belle rencontre de cet album », et ont déjà trouvé leur public puisque Je veux du bonheur est entré en pole position du Top Albums. (Source Chartsinfrance.net).

Retrouvez tous les titres de l'album 1 bonus en transcriptions piano, voix et diagrammes d'accords guitare. / Variétés / Partition /

These fifteen well-known pieces have been imaginatively arranged by the ever-popular Chris Tambling for guitarists of grade 1 to 2 standard. Features easy Guitar solos with Guitar accompaniment.ChristopherTambling (b.1964) studied the Organ with Malcolm McKelvey at Christ's Hospital Horsham Sussex. He went on to gain Organ scholarships to Cantebury Cathedral and St Peter's College Oxford where he studied with GeoffreyWebber and David Sanger and was Organist of Pusey House. He started his teaching career at Sedbergh School in Cumbria where he was Organist from 1986 to 1989: he then became Director of Music at Glenalmond College near Perth inScotland also taking on roles of Perth City Organist and Conductor of Perth City Orchestra.Tunes You Know - Book 1 (Guitar) includes Amazing grace Ave Maria Can Can from 'Orpheus inUnderworld' Cockles and Mussels Early One Morning Hallelu! Hornpipe form 'Water Music' Jupiter from 'The Planets' Largo from 'New World' Symphony MarcheMilitaire Waly Waly Prelude form 'Te Deum' Spring from 'The Four Seasons' The Entertainer and When the Saints Go Marching In.

These fifteen well-known pieces have been imaginatively arranged by the ever-popular Chris Tambling for cellists of grade 1 to 2 standard with Piano accompaniment.Christopher Tambling (b.1964) studiedthe Organ with Malcolm McKelvey at Christ's Hospital Horsham Sussex. He went on to gain Organ scholarships to Cantebury Cathedral and St Peter's College Oxford where he studied with Geoffrey Webber and David Sanger and wasOrganist of Pusey House. He started his teaching career at Sedbergh School in Cumbria where he was Organist from 1986 to 1989: he then became Director of Music at Glenalmond College near Perth in Scotland also taking on rolesof Perth City Organist and Conductor of Perth City Orchestra.Tunes You Know Book 1 (Cello) includes Amazing grace Ave Maria Can Can from 'Orpheus in Underworld' Cocklesand Mussels Early One Morning Hallelu! Hornpipe form 'Water Music' Jupiter from 'The Planets' Largo from 'New World' Symphony Marche Militaire Waly Waly Prelude form 'Te Deum' Spring from 'The Four Seasons' The Entertainer and When the Saints Go Marching In.

Par MAE CHRISTOPHE. 3'30 / Niveau : 3 / Orchestre / Recueil / Variétés françaises