| Mantovani Bruno -
L'autre Cote - Soli,
Choeur, Orchestre - Chant
and Piano Soli, Mixted choir and accompaniment Soli, mixted choir and piano Lemoine, Henry
Commanditaire L'Etat et l'Opéra National du Rhin Notice Un opéra fantastique...(+)
Commanditaire L'Etat et l'Opéra National du Rhin Notice Un opéra fantastique d'après le roman d'Alfred Kubin, Die andere Seite Le livret a été tiré de L'Autre côté d'Alfred Kubin, traduction française de Robert Valençay revue par Christian Hubin (José Corti, 2000) Musique de Bruno Mantovani Livret de François Regnault (avec la collaboration de Bruno Mantovani) J'avais lu il y a longtemps L'Autre côté d'Alfred Kubin, dont le titre m'intriguait. J'avais dû voir des illustrations étranges, visiblement expressionnistes, audacieuses et cauchemardesques de l'artiste, et je m'étonnais qu'il eût écrit un roman. Le roman, assez vite, me saisit, puisqu'il racontait comment le héros, qui semble bien n'être autre que l'auteur, car il est comme lui dessinateur et a comme lui vécu à Salzbourg, se fait inviter par un ancien camarade de lycée dans un empire en lointaine Asie dont il est devenu le chef, et qu'il s'en va donc de l'Autre Côté, où commencent les aventures... On me fit rencontrer Bruno Mantovani, qui avait la commande d'un opéra, de la part de Nicholas Snowman, pour l'Opéra du Rhin. Nous nous sommes vus ensuite à plusieurs reprises, et je n'eus pas de mal à m'entendre avec ce compositeur moderne, dont les oeuvres que j'ai écoutées de lui me plaisent, qui connaît comme pas un - et de l'intérieur - toute l'histoire de l'opéra - et qui, en outre, comptait bien éviter quelques-uns des écueils sur lesquels nous tombions d'accord que l'opéra parfois s'échoue : sans mépris pour qui que ce soit, mais sans fausse modestie non plus. J'aimais l'opéra, depuis que j'avais vu Maria Callas en chanter deux, et depuis ma participation cinq ans comme dramaturge, ou ne je sais quoi, avec Patrice Chéreau à Bayreuth, et j'avais écrit un livret pour Georges Aperghis, avec qui j'ai eu le bonheur de travailler plusieurs fois. Sans parler d'un autre livret pour un autre opéra à venir. Mais étant essentiellement introduit dans le théâtre, je mesurai combien Mantovani sait que l'amour du théâtre, dont il est un excellent spectateur, est bien souvent le schibboleth qui départage les grands compositeurs d'opéra des autres. Le sujet On ne trouve pas forcément tout de suite un sujet de livret, et ensuite, on ne trouve pas forcément le livret de ce sujet. Nous envisagions quelques pistes, nous nous y engagions, et puis nous n'allions pas loin, ou c'était sans issue. D'entrée de jeu, nous étions convenus d'éviter la reprise d'un mythe ancien, fût-il grec ou amérindien, nous mesurions l'extrême difficulté de trouver un mythe moderne - cela ne s'invente pas - et nous répugnions aussi à prendre un sujet qui s'appliquât à l'actualité politique, faute de certitudes, ou plutôt par la conviction qu'on ne traite pas aisément des malheurs du monde, ou du moins, pas aussi frontalement que certains se l'imaginent. Les Soldats de Zimmermann, par exemple, parviennent à une telle portée esthétique et politique parce qu'il est passé par une pièce de Lenz, qui raconte des événements du XVIIIe siècle, Helmut Lachenmann est parvenu à une oeuvre poignante et d'une extrême beauté avec sa Petite Marchande d'allumettes pour parler du gauchisme, à partir d'un écrit de Gudrun Ensslin, parce qu'il est passé par un conte d'Andersen et par des textes de Léonard de Vinci. Je me suis alors souvenu de L'Autre côté, que j'ai relu, et Bruno et moi sommes vite tombés d'accord que cette oeuvre pouvait d'autant plus fortement nous inspirer que l'atmosphère d'inquiétante étrangeté, de fantastique et de décrépitude, très réussie, dans laquelle l'oeuvre est plongée, était au service d'une cause imaginaire, fabuleuse, invraisemblable, mais qui pouvait fonctionner comme une grande et terrible allégorie politique : l'Empire du Rêve, créé de toutes pièces par un richissime illuminé, Claus Patera, condisciple, donc, du dessinateur, constitué par des restes ramassés ou aux quatre coins du monde, dans une région nauséeuse et miasmatique, dont l'idéal promis au début se révèle vite une imposture, sans qu'on sache à qui la faute, car on apprendra que le dictateur lui-même, qu'on ne voit presque jamais, n'y croit plus guère, et combine dans sa personne les traits d'une adolescence angélique, d'une sénilité précoce et d'une espèce de déphasage complet d'avec ce qui se passe dans son Empire. Et pourtant, ce n'est pas faute qu'il n'ait des partisans fanatiques dans la population bizarre de la ville de Perle, capitale de l'Empire. Lorsqu'un Américain tout aussi richissime viendra prendre le défi de le renverser et de s'arroger le gouvernement de l'Empire, peut-être convient-il que vous n'y voyiez pas aussitôt quelque arrangement d'événements récents, non seulement parce que ce roman fut écrit en 1908, avant même ceux de Kafka (que Kubin rencontra d'ailleurs plusieurs fois, et qui restait perplexe devant L'Autre côté), mais aussi parce que l'imaginaire fantastique et la vision poétique de l'auteur viennent hanter le récit de formes et de couleurs venues d'un autre monde : des profondeurs de l'inconscient, sûrement, à une époque où on lui en supposait encore - du fond d'une Angoisse dont on devine que l'auteur est incessamment traversé - mais surtout d'une capacité plastique de rêverie qui franchit constamment la barrière supposée étanche entre l'écriture et le dessin - et si Kubin ne manque pas d'illustrer son propre livre, lui aussi, d'inquiétants dessins étranges, on admire d'autant plus sa virtuosité que les deux techniques qu'il pratique ici de conserve se défendent très bien chacune indépendamment l'une de l'autre. Comme Holbein illustrant Erasme, comme le Goethe du Voyage d'Italie, comme Kipling s'illustrant ses Histoires comme ça, rares exemples. Le livret Je me suis vite dit que ce serait évidemment à la musique de prendre en charge l'imaginaire et le fantastique, et que les indications scéniques du livret, issues toutes du livre, ne seraient là que pour suggérer ce que le compositeur pouvait lire aussi bien que moi dans l'ouvrage. Mais je me suis dit aussi que puisqu'il y aurait des personnages - nous en avons réduit le nombre - et qu'ils parleraient, c'est-à-dire chanteraient, il fallait prendre le plus grand soin qu'avec assez peu de paroles, on puisse suivre exactement l'histoire, la psychologie des personnages principaux (et ici j'utilise à dessein le vocabulaire le plus conventionnel, non pas pour rassurer le réactionnaire et inquiéter l'avant-gardiste, mais parce que chanter des paroles est la matière même de l'opéra), le cours des événements, en même temps que les transformations, métamorphoses, catastrophes et l'apocalypse d'un Empire démoniaque, suscitées sans doute, au-delà de son tyran, par des forces innommables. Si je lui faisais parfois part des représentations musicales ou rythmiques de certaines scènes qu'il avait la gentillesse d'écouter et de transposer dans son art, Bruno Mantovani était en retour plus qu'attentif à la moindre des répliques à mettre en musique, entendant d'une oreille de théâtre ce qui peut se dire, se chanter, se mi-dire, etc. (il y a bien des façons, depuis longtemps, dans l'opéra ou dans le théâtre musical, de dialectiser en musique la différence du parler et du chanter, opposition qui reste opératoire dans son principe, mais qui s'ouvre depuis au moins Schönberg à des variations infinies). Pour la composition d'ensemble, je sais combien l'harmonie, le contrepoint éventuel (il y a un choral !), le rythme, les timbres peuvent, chez un musicien exigeant, s'engendrer, sinon se déduire, à partir de structures simples ou complexes, de sorte que l'écriture, et, donc aussi la perception, consciente ou inconsciente, d'une oeuvre ne se fassent pas au seul fil du récit, ni en fonction du seul effet, même si, au dire de plusieurs compositeurs que j'admire, l'opéra, par sa nature théâtrale, sa spatialité et sa temporalité spécifiques, demande moins de rigueur apparente que d'autres formes d'écriture. Aussi n'ai-je pu m'empêcher, même dans ce qui n'est que le livret, de suivre ou de m'imposer des structures, elles, fort simples, dans l'organisation des scènes, de leurs rapports de ressemblance ou de dissemblance, de leurs correspondances thématiques, - contrastes, répétitions, citations, allusions - d'autant que la fable principale conte la substitution symétrique, jusque dans son affrontement corporel, entre le Maître de l'Empire et l'Américain qui le renverse. L'hybride Il était aisé, en ce sens, de diviser l'oeuvre en deux actes (même si le roman a davantage de parties et de nombreux chapitres), avec un Prologue et un Epilogue : grandeur et décadence de l'Empire du Rêve, conclura-t-on, même si l'intérêt de ce conte est justement de montrer que tout est déjà pourri dans le Royaume de Perle, et que le salut venu d'ailleurs ne fait que liquider la pourriture ! Oui, l'oeuvre de Kubin, aussi bien dessinée qu'écrite (il a écrit plusieurs autres nouvelles), est foncièrement pessimiste. Lorsqu'il a constaté, moins l'horreur du monde que la capacité qu'a le sommeil de la raison d'enfanter des monstres, pour reprendre la formule de Goya, un peintre qu'il aimait, il lui reste à les lâcher en les dessinant. Si Dieu a créé le monde, Claudel pensait qu'il fallait le lui restituer en louange et en poésie, ou en drames dans lesquels le pire ne fût pas toujours sûr. Si le Diable a fait le monde, dirai-je que Kubin pense qu'il faut lui restituer l'histoire de ses calamités et lui tendre le miroir de ses immondices ? La dernière phrase de L'Autre Côté nous donne une étrange réponse : Le démiurge est un être hybride. Tout un roman de quelques centaines de pages pour parvenir à cette phrase peu claire, digne des Gnostiques des premiers siècles du Christianisme ! Mais la phrase peut aussi bien s'éclairer de ce qu'on a dit : puisque le monde semble mauvais, il faut au moins, pour que le pire n'en soit pas toujours le plus sûr, muni de son carnet de croquis, en faire le relevé régulier, en tenant par l'art le malheur à distance, et en mesurant constamment que le démiurge qui a raté le monde, ne pouvait pas faire mieux, qu'il y a en lui du meilleur et du pire, en bref qu'il est hybride ! Mais hybride après tout comme l'homme lui-même, sa victime et son destinataire - ou plutôt, son dessinateur ! Claus Patera, est en effet un personnage dont on ne sait s'il a gardé son innocence ou s'il est déjà complètement abîmé, intrinsèquement, physiquement et spirituellement hybride, à mi-chemin entre le réel et l'irrationnel, habité de forces obscures ou de pulsions obscènes et morbides, mais l'Américain Hercule Bell, un peu décrit comme un Américain digne de Jules Verne, est pris lui aussi dans une dangereuse oscillation entre le philanthrope vantard et le tyran sanguinaire ! Si donc a lieu le Jugement dernier, car aucune apocalypse n'est à écarter, à défaut de nos fautes, nous montrerons nos pulsions, et pour défendre notre prochain ne sachant dessiner, nous arborerons les illustrations par nous de ce monde où nous avons été jetés. Et si le feu ou le déluge anéantissent toutes choses, peut-être restera-t-il au moins quelque part un trait sur le papier, carbonisé ou délavé. A l'ancien camarade de classe, au dictateur hybride, à cet Américain sauveur lui-même si douteux, et qui font couple à la fin dans une espèce de répugnant coït, s'ajoutent donc le couple principal, Kubin - nous l'avons appelé ainsi, bien que l'auteur de le nomme pas - et sa femme. Nous avons, autour d'eux, réduit à trois les personnages qui les entourent, le Coiffeur-philosophe, qui leur sous-loue un appartement, l'Editeur qui passe un contrat avec le dessinateur, et le médecin Lampenbogen, qui soignera Madame Kubin et accompagnera le mari veuf jusqu'à la fin. Les autres personnages sont des comparses, mais il y a le Choeur, qui a une grande importance, et qui compose le peuple entier de Perle, versatile, monstrueux, prêt à tout, morbide et orgiaque, auxquels s'ajoutent mammifères, serpents et insectes, qui sont peut-être des hallucinations, mais dans un monde fantastique, le cauchemar et la réalité se confondent. Le dessinateur La fin de l'aventure se solde pour Kubin par un rapatriement suivi d'un internement. Il serait alors aisé d'en conclure, comme on le fait souvent dans des cas semblables, que toute cette aventure n'aura été qu'une immense hallucination. Outre que ce n'est pas l'idée d'Alfred Kubin, l'auteur réel du livre, cela ne changerait guère la représentation qui en résulterait sur la scène d'un opéra, où ce qu'on voit, que ce soit la vision d'un Faust ou celle d'un Hoffmann, passe forcément pour réel. Le public ne croit que ce qu'il voit et ce qu'il entend, plus qu'ailleurs, il croit tout ce qu'il voit et tout ce qu'il entend, et c'est lui qui a raison. Surtout, j'aime fort que les dernières paroles de Kubin reviennent à dire que désormais, il passe ses meilleures heures avec du papier, des crayons et des bâtons d'encre de Chine... plus proche de l'artiste rêveur, du voyant... Et ce qu'il représentera désormais s'inspirera donc de cette espèce de cosmologie duelle qu'il évoque à propos de Patera : L'attraction et la répulsion... les pôles de la terre... le jours et la nuit... le blanc et le noir... Le blanc et le noir ! Voilà tout le manifeste esthétique de l'illustrateur expressionniste à qui nous devons, disséminées dans des musées et des livres, ces gravures, reconnaissables entre toutes, devant lesquelles nous nous défendons mal d'un malaise devant les souffrances aisément devinables d'un artiste plus écorché que les autres - la guérison par l'art ? Sa vie, racontée par Kubin lui-même ne nous incite pas à conclure ainsi. Là où nous sommes confrontés à la névrose étrangère et toute constituée, écrit Freud à peu près à l'époque même où Kubin écrit L'Autre côté, dans la vie nous appellerons le médecin et tiendrons la figure pour inapte à la scène. Pourtant, sans remontrer à Jérôme Bosch, à Goya, en tout cas à tous ceux que Kubin admira, jusqu'à Odilon Redon et James Ensor, une bonne partie des oeuvres offensives du XXe siècle n'ont-elles pas consisté, malgré les réticences de Freud, à tirer un peu de jouissance de beaucoup de souffrance, et sans réveiller en nous forcément sadisme et masochisme, à nous inviter, à défaut de pâmoisons devant la beauté, ou de complaisances avec la douleur, à de la compassion devant cette souffrance ? L'oeuvre de Kubin n'est pas exempte de bonté lorsqu'il prend pour finir pitié de son persécuteur moribond, et qu'il va jusqu'à trouver de la beauté à son cadavre : L'image d'un dieu antique ! Comme il est beau ! - mais il y a encore, dans cette oeuvre, une autre source de plaisir dont nous souhaitons que l'opéra la fasse aussi sourdre pour le spectateur, c'est une espèce d'humour rocambolesque et glauque qui rend souvent les pulsions des personnages burlesques, leur sexualité, franchement saugrenue, leurs extases, ridicules ! Telles sont quelques-unes des questions que le musicien et le librettiste se sont d'abord posées, avant le metteur en scène Emmanuel Demarcy-Mota, qui a si intimement adhéré au projet aussitôt qu'il l'a connu et qui y a fait entrer de plain pied ses collaborateurs - telle est cette étrange entreprise qu'il nous plaît à tous trois de regarder encore aujourd'hui comme risquée. Vérifier que le public voudra bien courir le risque avec nous est notre plus cher désir. François Regnault Presse Bruno Mantovani aborde, à bientôt trente-deux ans, son premier opéra avec l'ambition de rendre au fantastique du roman d'Alfred Kubin (1877-1959) sa force originale et son étrangeté narrative. L'Autre côté, fable sans morale, met en scène l'Empire du rêve, absurde refuge contre tout progrès, qui plonge dans le chaos après avoir été soustrait à la dictature de son chef Patéra. Récit admirable et visionnaire, accompagné par l'auteur d'effrayantes illustrations, il a marqué l'Europe centrale littéraire et artistique du début du XXe siècle. Bruno Mantovani, associé au dramaturge François Regnault et au metteur en scène Emmanuel Demarcy-Mota, cherche à rendre le mouvement perpétuel de cet effondrement. L'orchestre y est vaste et brillant, incluant six percussions dont le rôle est d'élargir l'espace sonore. Le choeur - cette masse grouillante proche des images apocalyptiques de Kubin - mobilise et anime la scène. Les rôles solistes enfin se répartissent autour du narrateur, Alfred Kubin lui-même, personnage central emporté dans ce drame sans fin. Cette création mondiale constitue l'élément fédérateur du portrait consacré au jeune compositeur français par Musica, en collaboration avec l'Opéra national du Rhin. Musica Antoine Gindt
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(I Love You) For Sentimental Reasons [Best, William] [Watson, Deek] (The Old Man From) The Old Country [Adderley, Nat] [Lewis, Curtis, R.] 500 Miles High [Corea, Chick] [Potter, Neville] 502 Blues [Rowles, James] A Child Is Born [Jones, Thad] A Fine Romance [Kern, Jerome] [Fields, Dorothy] A Man And A Woman (Un Homme Et Une Femme) [Lai, Francis] [Barouh, Pierre] [Keller, Jerry] A Night In Tunisia [Gillespie, John ?Dizzy?] [Paparelli, Frank] A String Of Pearls [Grey, Jerry] A Sunday Kind Of Love [Belle, Barbara] [Prima, Louis] [Leonard, Anita] [Rhodes, Stan] African Flower (Petite Fleur Africaine) [Ellington, Duke] Afro Blue [Santamaria, Mongo] Afternoon In Paris [Lewis, John] Água De Beber (Water To Drink) [Jobim, Antonio Carlos] [Gimbel, Norman] [De Moraes, Vinicius] Airegin [Rollins, Sonny] Alfie [Bacarach, Burt] [David, Hal] Alice In Wonderland [Fain, Sammy] [Hilliard, Bob] All Blues [Davis, Miles] All By Myself [Berlin, Irving] All Of Me [Simons, Seymour] [Marks, Gerald] All Of You [Porter, Cole] All The Things You Are [Kern, Jerome] [Hammerstein II, Oscar] Alright, Okay, You Win [Watts, Mayme] Always [Berlin, Irving] Ana Maria [Shorter, Wayne] Angel Eyes [Dennis, Matt] [Brent, Earl] Anthropology [Parker, Charlie] [Gillespie, Dizzy] Apple Honey [Herman, Woody] April In Paris [Duke, Vernon] [Harburg, E. Y.] April Joy [Metheny, Pat] Arise, Her Eyes [Swallow, Steve] Armageddon [Shorter, Wayne] Au Privave [Parker, Charlie] Autumn In New York [Duke, Vernon] Autumn Leaves [Kosma, Joseph] [Mercer, Johnny] [Prevert, Jacques] Beautiful Love [Young, Victor] [King, Wayne] [Van Alstyne, Egbert] [Gillespie, Haven] Beauty And The Beast [Shorter, Wayne] Bessie's Blues [Coltrane, John] Bewitched [Rodgers, Richard] [Hart, Lorenz] Big Nick [Coltrane, Nick] Black Coffee [Webster, Paul Francis] [Burke, Sonny] Black Diamond [Sealey, Milton] Black Narcissus [Henderson, Joe] Black Nile [Shorter, Wayne] Black Orpheus [Bonfa, Luiz] Blue Bossa [Dorham, Kenny] Blue In Green [Davis, Miles] Blue Monk [Monk, Thelonious] Blue Train (Blue Trane) [Coltrane, John] Blues For Alice [Parker, Charlie] Bluesette [Thielemans, Jean] [Gimbel, Norman] Body And Soul [Green, John] [Heyman, Edward] [Sour, Robert] [Eyton, Frank] Boplicity (Be Bop Lives) [Davis, Miles] [Evans, Gil] Bright Size Life [Metheny, Pat] Broad Way Blues [Coleman, Ornette] Broadway [Byrd, Bill] [McRae, Teddy] [Woode, Henri] But Beautiful [Van Heusen, Jimmy] [Burke, Johnny] Butterfly [Hancock, Herbie] [Maupin, Bennie] Byrd Like [Hubbard, Freddie] Call Me [Hatch, Tony] Call Me Irresponsible [Van Heusen, James] [Cahn, Sammy] Can't Help Lovin' Dat Man [Kern, Jerome] [Hammerstein II, Oscar] Captain Marvel [Corea, Chick] Central Park West [Coltrane, John] Ceora [Morgan, Lee] C'est Si Bon [Betti, Henri] [Seelen, Jerry] [Hornez, Andre] Chega De Saudade (No More Blues) [Jobim, Antonio Carlos] [De Moraes, Vinicius] Chelsea Bells [Swallow, Steve] Chelsea Bridge [Strayhorn, Billy] Cherokee (Indian Love Song) [Noble, Ray] Cherry Pink And Apple Blossom White [Louiguy] [Larue, Jacques] [David, Mack] Chippie [Coleman, Ornette] Chitlins Con Carne [Burrell, Kenny] Come Sunday [Ellington, Duke] Como En Vietnam [Swallow, Steve] Con Alma [Gillespie, John ?Dizzy?] Conception [Shearing, George] Confirmation [Parker, Charlie] Contemplation [Tyner, McCoy] Coral [Jarrett, Keith] Cotton Tail [Ellington, Duke] Could It Be You [Porter, Cole] Countdown [Coltrane, John] Crescent [Coltrane, John] Crystal Silence [Corea, Chick] D Natural Blues [Montgomery, John L. (Wes)] Daahoud [Brown, Clifford] Dancing On The Ceiling [Rodgers, Richard] [Hart, Lorenz] Darn That Dream [Van Heusen, Jimmy] [DeLange, Eddie] Day Waves [Corea, Chick] [Potter, Neville] Days And Nights Waiting [Jarrett, Keith] Dear Old Stockholm [Varmeland] Dearly Beloved [Kern, Jerome] [Mercer, Johnny] Dedicated To You [Cahn, Sammy] [Chaplin, Saul] [Hyzaret] Deluge [Shorter, Wayne] Desafinado [Jobim, Antonio, Carlos] [Mendonca, Newton] Desert Air [Corea, Chick] Detour Ahead [Ellis, Herb] [Frigo, John] [Carter, Lou] Dexterity [Parker, Charlie] Dizzy Atmosphere [Gillespie, John ?Dizzy?] Django [Lewis, John] Doin' The Pig [Swallow, Steve] Dolores [Shorter, Wayne] Dolphin Dance [Hancock, Herbie] Domino Biscuit [Swallow, Steve] Donna Lee [Parker, Charlie] Don't Blame Me [McHugh, Jimmy] [Fields, Dorothy] Don't Get Around Much Anymore [Ellington, Duke] [Russell, Bob] Dream A Little Dream Of Me [Schwandt, Wilbur] [Andree, Fabian] [Kahn, Gus] Dreamsville [Mancini, Henry] [Livingston, Jay] [Evans, Ray] E.S.P. [Shorter, Wayne] Easter Parade [Berlin, Irving] Easy Living [Robin, Leo] [Rainger, Ralph] Easy To Love (You'd Be So Easy To Love) [Porter, Cole] Ecclusiastics [Mingus, Charles] Eighty One [Davis, Miles] [Carter, Ronald] El Gaucho [Shorter, Wayne] Epistrophy [Monk, Thelonious] [Clarke, Kenny] Equinox [Coltrane, John] Equipoise [Cowell, Stanley] Fall [Shorter, Wayne] Falling Grace [Swallow, Steve] Falling In Love With Love [Rodgers, Richard] [Hart, Lorenz] Fee-Fi-Fo-Fum [Shorter, Wayne] Follow Your Heart [McLaughlin, John] Footprints [Shorter, Wayne] For All We Know [Coots, Fred, J.] [Lewis, Sam M.] For Heaven's Sake [Meyer, Don] [Bretton, Elise] [Edwards, Sherman] Forest Flower [Lloyd, Charles] Four [Davis, Miles] Four On Six [Montgomery, John L. (Wes)] Freddie Freeloader [Davis, Miles] Freedom Jazz Dance [Harris, Eddie] Full House [Montgomery, John L. (Wes)] Gee Baby, Ain't I Good To You [Redman, John] [Razaf, Andy] Gemini [Heath, Jimmy] Giant Steps [Coltrane, John] Gloria's Step [Le Faro, Scott] God Bless' The Child [Herzog Jnr, Arthur] [Holiday, Billie] Golden Lady [Wonder, Stevie] Good Evening Mr. And Mrs. America [Guerin, John] Grand Central [Coltrane, John] Groovin' High [Gillespie, John ?Dizzy?] Grow Your Own [Jarrett, Keith] Guilty [Kahn, Gus] [Whiting, Richard] [Akst, Harry] Gypsy In My Soul [Boland, Clay] [Jaffe, Moe] Half Nelson [Davis, Miles] Have You Met Miss Jones? [Rodgers, Richard] [Hart, Lorenz] Heaven [Ellington, Duke] Heebie Jeebies [Atkins, Boyd] Hello, Young Lovers [Rodgers, Richard] [Hammerstein II, Oscar] Here's That Rainy Day [Van Heusen, Jimmy] [Burke, Johnny] Hot Toddy [Hendler, Herb] [Flanagan, Ralph] House Of Jade [Shorter, Wayne] How High The Moon [Lewis, Morgan] [Hamilton, Nancy] How Insensitive (Insensatez) [Jobim, Antonio, Carlos] [De Moraes, Vinicius] [Gimbel, Norman] How My Heart Sings [Zindars, Earl] [Zindars, Anne] Hullo Bolinas [Swallow, Steve] I Can't Get Started With You [Duke, Vernon] [Gershwin, Ira] I Can't Give You Anything But Love [McHugh, Jimmy] [Fields, Dorothy] I Could Write A Book [Rodgers, Richard] [Hart, Lorenz] I Got It Bad And That Ain't Good [Ellington, Duke] [Webster, Paul Francis] I Let A Song Go Out Of My Heart [Ellington, Duke] [Nemo, Henry] [Redmond, John] [Mills, Irving] I Love Paris [Porter, Cole] I Love You [Porter, Cole] I Mean You [Monk, Thelonious] [Hawkins, Coleman] I Remember Clifford [Golson, Benny] I Should Care [Cahn, Sammy] [Stordahl, Axel] [Weston, Paul] I Wish I Knew How It Would Feel To Be Free [Taylor, Billy] Icarus [Twoner, Ralph N.] If You Never Come To Me (Inutil Paisagem) [Jobim, Antonio Carlos] [De Oliveira, Aloysio] [Gilbert, Ray] I'll Never Smile Again [Lowe, Ruth] I'll Remember April [Johnston, Pat] [Raye, Don] [De Paul, Gene] I'm All Smiles [Leonard, Michael] [Martin, Herbert] I'm Beginning To See The Light [George, Dan] [Hodges, Johnny] [Ellington, Duke] [James, Harry] I'm Your Pal [Swallow, Steve] Impressions [Coltrane, John] In A Mellow Tone [Ellington, Duke] In A Sentimental Mood [Ellington, Duke] In The Mood [Garland, Joe] In The Wee Small Hours Of The Morning [Mann, David] [Hilliard, Bob] In Your Quiet Place [Jarrett, Keith] Indian Lady [Ellis, Don] Inner Urge [Henderson, Joe] Interplay [Evans, Bill] Invitation [Kaper, Bronislam] [Webster, Paul Francis] Iris [Shorter, Wayne] Is You Is, Or Is You Ain't (Ma' Baby) Isn't It Romantic? [Rodgers, Richard] [Hart, Lorenz] Isotope [Henderson, Joe] Israel [Carisi, John] It Don't Mean A Thing (If It Ain't Got That Swing) [Ellington, Duke] [Mills, Irving] It's Easy To Remember [Rodgers, Richard] [Hart, Lorenz] Jelly Roll [Mingus, Charles] Jordu [Jordan, Duke] Journey To Recife [Evans, Richard] [Gimbel, Norman] Joy Spring [Brown, Clifford] Juju [Shorter, Wayne] Jump Monk [Mingus, Charles] June In January [Robin, Leo] [Rainger, Ralph] Just One More Chance [Johnston, Arthur] [Coslow, Sam] Kelo [Johnson, J. J.] Lady Bird [Dameron, Tadd] Lady Sings The Blues [Nichols, Herbert] [Holiday, Billie] Lament [Johnson, J.J] Las Vegas Tango [Evans, Gil] Lazy Bird [Coltrane, John] Lazy River [Carmichael, Hoagy] Like Someone In Love [Van Heusen, Jimmy] [Burke, Johnny] Limehouse Blues [Braham, Philip] [Furber, Douglas] Lines And Spaces [Lovano, Joe] Litha [Corea, Chick] Little Boat (O Barquinho) [Menescal, Roberto] [Boscoli, Ronaldo] [Kaye, Buddy] Little Waltz [Carter, Ron] Long Ago (And Far Away) [Kern, Jerome] [Gershwin, Ira] Lonnie's Lament [Coltrane, John] Look To The Sky [Jobim, Antonio Carlos] Love Is The Sweetest Thing [Noble, Ray] Lucky Southern [Jarrett, Keith] Lullaby Of Birdland [Shearing, George] [Weiss, George David] Lush Life [Strayhorn, Billy] Mahjong [Shorter, Wayne] Maiden Voyage [Hancock, Herbie] Man In The Green Shirt [Zawinul, Joe] Meditation (Meditacao) [Jobim, Antonio Carlos] [Mendonca, Newton] [Gimbel, Norman] Memories Of Tomorrow [Jarrett, Keith] Michelle [Lennon, John] [McCartney, Paul] Midnight Mood [Zawinul, Josef] Midwestern Nights Dream [Metheny, Pat] Milano [Lewis, John] Minority [Gryce, Gigi] Miss Ann [Dolphy, Eric] Missouri Uncompromised [Metheny, Pat] Misty [Garner, Erroll] Miyako [Shorter, Wayne] Moment's Notice [Coltrane, John] Mood Indigo [Ellington, Duke] [Mills, Irving] [Bigard, Albany] Moonchild [Jarrett, Keith] Mr. P.C. [Coltrane, John] My Buddy [Donaldson, Walter] [Kahn, Gus] My Favorite Things [Rodgers, Richard] [Hammerstein II, Oscar] My Foolish Heart [Young, Victor] [Washington, Ned] My Funny Valentine [Rodgers, Richard] [Hart, Lorenz] My One And Only Love [Wood, Guy] [Mellin, Robert] My Romance [Rodgers, Richard] [Hart, Lorenz] My Shining Hour [Arlen, Harold] [Mercer, Johnny] My Ship [Weill, Kurt] [Gershwin, Ira] My Way [Revaux, Jacques] [Francois, Claude] [Anka, Paul] [Thibaud, Gilles] Mysterious Traveller [Shorter, Wayne] Naima (Niema) [Coltrane, John] Nardis [Davis, Miles] Nefertiti [Shorter, Wayne] Never Will I Marry [Loesser, Frank] Nica's Dream [Silver, Horace] Night Dreamer [Shorter, Wayne] Night Train [Forrest, Jimmy] [Washington, Oscar] [Simpkins, Lewis C.] Nobody Knows You When You're Down And Out [Cox, Jimmie] Nostalgia In Times Square [Mingus, Charles] Nuages [Reinhardt, Django] [Larue, Jacques] Oleo [Rollins, Sonny] Oliloqui Valley [Hancock, Herbie] Once I Loved (Amor Em Paz) (Love In Peace) [Jobim, Antonio Carlos] [De Morales, Vinicius] [Gilbert, Ray] Once In Love With Amy [Loesser, Frank] One Finger Snap [Hancock, Herbie] One Note Samba (Samba De Uma Nota So) [Jobim, Antonio Carlos] [Mendonca, Newton] Only Trust Your Heart [Carter, Benny] [Cahn, Sammy] Orbits [Shorter, Wayne] Ornithology [Parker, Charlie] [Harris, Bennie] Out Of Nowhere [Green, Johnny] [Heyman, Edward] P.S. I Love You [Jenkins, Gordon] [Mercer, Johnny] Paper Doll [Black, Johnny S.] Passion Dance [Tyner, Mccoy] Passion Flower [Strayhorn, Billy] [Raskin, Milton] Peace [Silver, Horace] Peggy's Blue Skylight [Mingus, Charles] Pent Up House [Rollins, Sonny] Penthouse Serenade [Jason, Will] [Burton, Val] Peri's Scope [Evans, Bill] Pfrancing (No Blues) [Davis, Miles] Pinocchio [Shorter, Wayne] Pithecanthropus Erectus [Mingus, Charles] Poem For #15 (The Saga Of Harrison Crabfeathers) [Kuhn, Steve] Portsmouth Figurations [Swallow, Steve] Prelude To A Kiss [Ellington, Duke] [Gordon, Irving] [Mills, Irving] Prince Of Darkness [Shorter, Wayne] Pussy Cat Dues [Mingus, Charles] Quiet Nights Of Quiet Stars (Corcovado) [Jobim, Antonio Carlos] [Lees, Gene] Quiet Now [Zeitlin, Denny] Recorda Me [Henderson, Joe] Red Clay [Hubbard, Freddie] Reflections [Monk, Thelonious] Reincarnation Of A Lovebird [Mingus, Charles] Ring Dem Bells [Ellington, Duke] [Mills, Irving] Road Song [Montgomery, John L. (Wes)] 'Round Midnight [Monk, Thelonious] [Williams, Cootie] [Hanighen, Bernie] Ruby, My Dear [Monk, Thelonious] Satin Doll [Ellington, Duke] Scotch And Soda [Guard, Dave] Scrapple From The Apple [Parker, Charlie] Sea Journey [Corea, Chick] [Potter, Neville] Seven Come Eleven [Goodman, Benny] [Christian, Charlie] Seven Steps To Heaven [Davis, Miles] [Feldman, Victor] Sidewinder [Morgan, Lee] Silver Hollow [DeJohnette, Jack] Sirabhorn [Metheny, Pat] Skating In Central Park [Lewis, John] So Nice (Summer Samba) [Valle, Marcos] [Valle, Paulo Sergio] [Gimbel, Norman] So What [Davis, Miles] Solar [Davis, Miles] Solitude [Ellington, Duke] [De Lange, Eddie] [Mills, Irving] Some Day My Prince Will Come [Churchill, Frank] [Morel, Larry] Some Other Spring [Herzog Jnr, Arthur] [Kitchings, Irene] Some Skunk Funk [Brecker, Randy] Somebody Loves Me [Gershwin, George] [DeSylva, B. G.][MacDonald, Ballard] [Ranaud, Emelia] Sometime Ago [Mihanovich, Sergio] Song For My Father [Silver, Horace] Sophisticated Lady [Ellington, Duke] [Mills, Irving] [Parish, Micthell] Speak No Evil [Shorter, Wayne] Standing On The Corner [Loesser, Frank] Stella By Starlight [Young, Victor] [Washington, Ned] Steps [Corea, Chick] Stolen Moments [Nelson, Oliver] Stompin' At The Savoy [Goodman, Benny] [Sampson, Edgar] [Webb, Chick] Straight No Chaser [Monk, Thelonious] Stuff [Davis, Miles] Sugar [Turrentine, Stanley] Swedish Pastry [Kessel, Barney] Sweet Georgia Bright [Lloyd, Charles] Sweet Henry [Swallow, Steve] [Gregg, Jack] Take Five [Desmond, Paul] Take The 'A' Train [Strayhorn, Billy] Tame Thy Pen [Niles, Richard] Tell Me A Bedtime Story [Hancock, Herbie] Thanks For The Memory [Robin, Leo] [Rainger, Ralph] That's Amoré (That's Love) [Warren, Harry] [Brooks, Jack] The Blue Room [Rodgers, Richard] [Hart, Lorenz] The Girl From Ipanema (Garôta De Ipanema) [Jobim, Antonio Carlos] [Gimbel, Norman] [De Moraes, Vinicius] The Green Mountains [Swallow, Steve] The Inch Worm [Loesser, Frank] The Intrepid Fox [Hubbard, Freddie] The Magician In You [Jarrett, Keith] The Most Beautiful Girl In The World [Rodgers, Richard] [Hart, Lorenz] The Night Has A Thousand Eyes [Brainin, Jerry] [Bernier, Buddy] The Song Is You [Kern, Jerome] [Hammerstein II, Oscar] The Sorcerer [Hancock, Herbie] The Sphinx [Coleman, Ornette] The Star-Crossed Lovers [Ellington, Duke] [Strayhorn, Billy] The Surrey With The Fringe On Top [Rodgers, Richard] [Hammerstein II, Oscar] The World Is Waiting For The Sunrise [Seitz, Ernest] [Lockhart, Eugene] There Is No Greater Love [Jones, Isham] [Symes, Marty] There Will Never Be Another You [Warren, Harry] [Gordon, Mack] There'll Be Some Changes Made [Overstreet, Benton] [Higgins, Billy] They Didn't Believe Me [Kern, Jerome] [Reynolds, Herbert] Think On Me [Cables, George] Thou Swell [Rodgers, Richard] [Hart, Lorenz] Three Flowers [Tyner, McCoy] Time Remembered [Evans, Bill] Tones For Joan's Bones [Corea, Chick] Topsy [Battle, Edgar] [[Durham, Eddie] Tour De Force [Gillespie, John ?Dizzy?] Triste [Jobim, Antonio Carlos] Tune Up [Davis, Miles] Turn Out The Stars [Evans, Bill] [Lees, Gene] Twisted Blues [Montgomery, John, L. (Wes)] Unchain My Heart [Sharp, Bobby] [Powell, Teddy] Uniquity Road [Metheny, Pat] Unity Village [Metheny, Pat] Up Jumped Spring [Hubbard, Freddie] Upper Manhattan Medical Group (UMMG) [Strayhorn, Billy] Valse Hot [Rollins, Sonny] Very Early [Evans, Bill] Virgo [Shorter, Wayne] Wait Till You See Her [Rodgers, Richard] [Hart, Lorenz] Waltz For Debby [Evans, Bill] [Lees, Gene] Wave [Jobim, Antonio Carlos] We'll Be Together Again [Fischer, Carl] [Lane, Frankie] Well You Needn't (It's Over Now) [Monk, Thelonious] [Perro, Mike] West Coast Blues [Montgomery, John L. (Wes)] What Am I Here For? [Ellington, Duke] What Was [Corea, Chick] When I Fall In Love [Young, Victor] [Heyman, Edward] When Sunny Gets Blue [Fischer, Marvin] [Segal, Jack] When You Wish Upon A Star [Harline, Leigh] [Washington, Ned] Whispering [Coburn, Richard] [Schonberger, John] [Rose, Vincent] Wild Flower [Shorter, Wayne] Windows [Corea, Chick] Witch Hunt [Shorter, Wayne] Wives And Lovers (Hey, Little Girl) [Bacharach, Burt] [David, Hal] Woodchopper's Ball [Bishop, Joe] [Herman, Woody] Woodyn' You [Gillespie, Dizzy] Yes And No [Shorter, Wayne] Yesterday [Lennon, John] [McCartney, Paul] Yesterdays [Kern, Jerome] [Harbach, Otto] You Are The Sunshine Of My Life [Wonder, Stevie] You Are Too Beautiful [Rodgers, Richard] [Hart, Lorenz] You Brought A New Kind Of Love To Me [Fain, Sammy] [Kahal, Irving] [Norman, Pierre] You Don't Know What Love Is [Raye, Don] [DePaul, Gene] You Took Advantage Of Me [Rodgers, Richard] [Hart, Lorenz] Young At Heart [Richards, Johnny] [Leigh, Carolyn] You're Nobody 'Til Somebody Loves You [Morgan, Russ] [Stock, Larry] [Cavanaugh, James]
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| Gliozzi M./ Simon D. -
L'orgue Aux Milles
Saveurs Vol.3 Français Organ Editions Buissonnieres
Les claviéristes gourmets se régalent ! Anthologie de pièces pour orgue (ou ...(+)
Les claviéristes gourmets se régalent ! Anthologie de pièces pour orgue (ou clavier) Comprenant une partie méthode pour pédalier, une partie pédagogique sur l'harmonie au clavier, et quelques pièces d'orgue à 4 mains et de musique d'ensemble. Recueil de 360 pages en 2 volumes Format 22,5 x 32 cm, couverture pelliculée Complément : livret relié de parties séparées pour la partie Musiques d'ensemble Ecrit par Marta Gliozzi et Damien Simon, professeurs d'orgue en conservatoire. Notre apprenti-cuisinier-organiste continue à explorer des matériaux musicaux dans divers styles, découvrant les différentes saveurs esthétiques des pays européens : dans ce deuxième volume, les auteurs poursuivent leur démarche pédagogique, en renouvelant l?approche de la formation de l?organiste. Élèves avec professeur, professeurs avec élèves, élèves avec amis, les pièces de musique d?ensemble et les pièces à 4 mains sont pensées pour vous ! Alors, bonne cuisine à tous, avec patience, écoute attentive de soi et de l?autre, rigueur et surtout amour de tout ce que vous faites ! Bonne dégustation ! Dans ce recueil : ? Chansons populaires, Noëls, Chorals. ? Chants grégoriens, mélodies populaires
59.00 EUR - Sold by Woodbrass Pre-shipment lead time: On order | |
| L'Asie
D'Après
Tiepolo (DUFOURT HUGUES) Français Ensemble [Sheet music] Lemoine, Henry
Par DUFOURT HUGUES. Entre 1752 et 1753, Giovanni Battista Tiepolo décora l'imme...(+)
Par DUFOURT HUGUES. Entre 1752 et 1753, Giovanni Battista Tiepolo décora l'immense voûte du Grand Escalier d'Honneur de la Résidence de Würzburg, dont Balthasar Neumann, l'architecte-ingénieur des Schönborn, premier architecte du prince-évêque, avait assumé la construction. Après la paix d'Utrecht, le comte Johann Philipp Franz von Schönborn ouvre l'un des plus importants chantiers de l'époque, celui du château de Würzburg, et le confie en 1719 à Neumann. L'originalité de Neumann consiste en une pensée géométrique particulièrement apte à concevoir et combiner les volumes, à orchestrer les surfaces et les effets de profondeur. Neumann avait reçu une formation d'artilleur et d'ingénieur militaire et nourrissait une passion des synthèses lotharingiennes, quand il n'embrassait pas des projets de 'grande architecture' européenne. Lointain héritier de Guarini, il pousse plus loin qu'aucun autre architecte allemand la réflexion novatrice sur les structures et résout ses problèmes d'espace par ce que les historiens d'art appellent une 'interpénétration syncopée'. Neumann aimait l'ampleur, non la pompe pittoresque. Il voulut édifier à Würzburg un grandiose édifice de portée universelle.
En 1752, le prince-évêque Karl Philipp von Greiffenklau confia à Tiepolo l'exécution des fresques monumentales décorant la voûte en ellipse gigantesque de l'escalier d'honneur (30 x 18 m), où le peintre mit en scène l'Olympe et les quatre continents. Tiepolo s'acquitta de sa tâche en deux cent dix-huit journées de travail. La fresque - à l'exécution de laquelle ont contribué Giandomenico Tiepolo, Urlaub et peut-être même Lorenzo Tiepolo - est signée et datée de 1753 sur la corniche, au dessous de l'Asie. La vue d'ensemble du plafond, avec une perspective déformant les bords, est centrée, en plein ciel, sur la figure triomphante d'Apollon, dieu de la lumière. Il s'agit d'une représentation mythologique du lever du soleil. Il se dégage de cette vision de l'Olympe une impression d'émergence aérienne de la profondeur, irrésistible et vertigineuse. Sur la corniche, Tiepolo a représenté les Quatre parties du monde. L'allégorie de l'Afrique se situe à l'Est, du côté intérieur. L'Asie figure à l'Ouest, ornant le côté longitudinal donnant sur la Cour d'Honneur. Le mur ouest est percé de trois fenêtres et s'ouvre sur un horizon dégagé.
L'allégorie de l'Asie - emblème de la science et de la monarchie - apparaît en costume d'apparat, assise en amazone sur un éléphant et parée de joyaux somptueux. C'est une figure savante, animée d'un mouvement de torsion. La frise de l'Asie reste une énigme et la signification symbolique des divers personnages du groupe à l'obélisque n'a, par exemple, pas encore été entièrement élucidée. Des mondes historiques coexistent ou s'affrontent: on remarque le Golgotha, les hiéroglyphes de pierre, le serpent d'Esculape, l'obélisque, une pyramide et la princesse d'Egypte, la capture d'une tigresse, le perroquet, illustrant la faune, et surtout, au premier plan, la masse des esclaves enchaînés, des prisonniers gisant au sol ou des sujets prosternés. Cet aspect trouble de la frise a d'ailleurs retenu l'attention des commentateurs. La présence d'une escorte de soldats fait sans doute allusion à l'importance militaire du continent, mais il est manifeste que le thème de la captivité y est traité conjointement à celui de la servitude volontaire.
Un esprit nouveau souffle sur cette dernière frise: des figures dramatiques, livides, des plans fragmentés, des situations amèrement réalistes, un enchevêtrement de corps distordus et anonymes. Un vent immatériel semble tout ployer, tout emporter sur son passage, dans l'urgence d'une impérieuse nécessité. L'Asie se souvient des gravures de Rembrandt, retrouve la manière des vingt-quatre hallucinantes eaux-fortes - les Scherzi di fantasia (1739-1757) - de Tiepolo lui-même et annonce les Caprices de Goya. Le capriccio semble le principe formel de cette fresque monumentale: un assemblage fantastique d'éléments disparates, une recomposition insolite de mondes engloutis, une évocation morbide d'espaces cacéraux.
Je considère l'Asie de Tiepolo comme une sorte de manifeste anticipé de la musique de notre temps: un monde privé de couleurs, qui tourne au brun et au gris, et néanmoins dominé par une forme d'accélération expressive. Tiepolo a écrit là une sorte d'art poétique de la musique de l'avenir. On y découvre un éventail de vitesses, un spectre de vitesses, des espaces turbulents, des dispositifs en porte-à-faux, un entrelacs d'axes et de boucles. Flux, pivotements, tensions latérales, dilatations, projections, degrés d'éloignement sont les nouvelles catégories de cet art poétique. L'idée principale est qu'il faut s'attacher d'abord aux gestes élémentaires, qui priment la considération toujours seconde des spectres de variation.
Ma propre Asie d'après Tiepolo est une commande de la Westdeutscher Rundfunk et de l'Ensemble Recherche, avec le soutien de la Ernst von Siemens Musikstiftung. Elle fait suite à l'Afrique, créée dans les mêmes conditions en 2005 à Witten. J'ai employé dans l'Asie une large palette de percussions d'un type nouveau (gamme chromatique de gongs philippins, de cloches de vache, de rins japonais). J'ai réutilisé le procédé des temporalités paradoxales de Saturne, consistant à rapporter à une mesure métrique et métronomique commune des vitesses de déroulement et des types de développement et d'écriture très différents. La première partie de la pièce fait un emploi systématique des sons multiphoniques des instruments à vent, à la manière d'un continuum électronique. La fin, plus apaisée, gravite autour d'un duo de clarinette contrebasse et de marimba, dont la mélodie est obtenue par un jeu d'archets. Le piano tient d'un bout à l'autre un rôle central, dans une sorte de véhémence acoustique qui ne parviendrait jamais à la formulation subjective. Les cordes sont traitées à la manière d'un trio, avec des textures denses et saccadées.
Hugues Dufourt / contemporain / Répertoire / Ensemble
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| Diapason Rouge Vol. 1 Français Lyrics and Chords [Sheet music] Presses d'lle de France
460 chants de veillée et de variété française avec accords de guitare
Depui...(+)
460 chants de veillée et de variété française avec accords de guitare
Depuis qu?il a été cité par Jérôme Bonaldi sur Canal Plus, ce premier recueil de près de 460 chansons est une référence dans le domaine des carnets de chants depuis plus de dix ans. Chacun y trouvera un répertoire pour chanter toutes les circonstances de la vie. Pour les guitaristes, tous les chants sont accompagnés de leurs accords. Le premier chapitre, 'Salut l?artiste', est un recueil de variétés françaises : Brel, Goldman, Souchon, Renaud? 'Au rythme du monde' regroupe des chansons à thème susceptibles de provoquer la réflexion ou d?affirmer un engagement. 'Racines et couleurs du temps' emprunte au folklore français, aux négro-spirituals et au patrimoine des mouvements de jeunes et d?éducation populaire. La quatrième partie, 'Fêtes et rencontres', offre un éventail de chansons pour se réunir dans la joie, l?émotion ou la fantaisie. Une sélection de 'Canons et ritournelles' termine le carnet. Un index alphabétique par auteurs et par titres, à la fin du carnet, complète le sommaire.
21.30 EUR - Sold by Note4Piano Pre-shipment lead time: 24 hours - In Stock Only 1 left in stock, order soon ! | |
| Diapason ROUGE Vol. 6 Français Lyrics and Chords [Sheet music] Presses d'lle de France
Un nouveau Diapason rouge : le volume 6 !
300 chants de variété française...(+)
Un nouveau Diapason rouge : le volume 6 !
300 chants de variété française et internationale avec accords de guitare.
Jouer ses premiers accords de guitare, accompagner des amis au chant, se retrouver autour d?un feu lors d?une veillée, relire un texte et laisser résonner les mots qu?un autre a écrit... Depuis plus de 25 ans, un Diapason rouge, c?est une malle aux trésors pour de multiples occasions de rêve, de partage et de fou-rires.
Ce volume 6 poursuit l?histoire en se plongeant dans le répertoire des années 1990 à aujourd?hui.
Fréro Delavega, Christophe Maé, Louane, Emmanuel Moire, Ridan, Stromae sont les nouveaux artistes d?années où la chanson française mélange plus que jamais légèreté et engagement.
Diam?s, Abd Al Malik, Grand Corps Malade, HK et les Saltimbanks cisèlent des textes bazookas.
Et comme tout Diapason, le DR6 fait la part belle aux tubes, ceux qui ont saturé les bonnes ondes de ces dernières années.
De quoi lire, rire, chanter, danser... À vous de jouer ! / Variétés / Partition /
24.50 EUR - Sold by Note4Piano Pre-shipment lead time: 3-10 days - In Stock Supplier | |
| Dawn Flight (DUFOURT
HUGUES) Français String Quartet: 2 violins, viola,
cello [Sheet music] Lemoine, Henry
Par DUFOURT HUGUES. Dawn Flight est le titre d'une toile que le graveur et peint...(+)
Par DUFOURT HUGUES. Dawn Flight est le titre d'une toile que le graveur et peintre britannique Stanley William Hayter (1901-1988) réalisa en 1959. Sa formation scientifique - chimie, géologie - son habileté mathématique furent un atout considérable dans ses recherches de matières et de couleurs, qui peuvent atteindre des tons fluorescents.
Hayter, qui fut l'une des premières figures du mouvement surréaliste, s'engagea à New York sur les voies de l'abstraction, aux côtés de Pollock, Rothko, Baziotes, Matta, Motherwell, De Kooning, Riopelle. Il est reconnu comme celui qui a révolutionné les techniques de la gravure au cours du XXe siècle. Il inventa le procédé qui permet d'obtenir plusieurs couleurs sur une même plaque en un seul passage. Rentré en 1950 à Paris, il expérimente de nouvelles techniques de gravure: empreintes, utilisation de l'acide sur le métal et surtout le burin multipointe. Il poursuit une recherche sur l'émergence des formes, sur la transparence, l'interférence, la vibration, les moires. Ses toiles intensifient la couleur, le dynamisme gestuel, et s'attachent sur la fin à capter les jeux de lumière à la surface de l'eau. Dawn Flight est construit sur un éventail d'obliques divergentes, remontant la diagonale, illustrant ainsi le paradoxe d'un flux ascendant, aspiré par le haut. La forme étirée et allongée des stries, la torsion intime de la trame, la tension paradoxale des entrelacs donnent le sentiment d'une réalité élémentaire, de l'aurore d'un monde. La production de Hayter à cette époque - Perseïdes, Poissons volants, Vague, Ixion, Cascade, Mérou, Méduse, Night - montre d'étranges associations de bleu et de noir, d'orange, de jaune transparent, de bleu et de vert.
Frank Stella et Donald Judd comptent parmi les artistes qui ont le plus radicalement récusé l'idée d'un procès formateur de l'art, évacuant l'idée même de nécessité intérieure, voire de composition formelle. Transparence, profondeur, épaisseur, rayonnement ne seraient que des catégories factices tirées d'une illusion d'intériorité et l'idée même de progression structurée ne serait que l'effet d'une tyrannie du dedans. Qu'en est-il du quatuor qui fut la construction par excellence de l'intériorité, l'exemple même d'une logique compositionnelle épurée et réduite à la forme essentielle d'un développement ? Ecrire un quatuor après Donald Judd est-il encore possible ? Car il ne suffit pas de se confronter à l'histoire d'un genre, mais à la question de sa possibilité. L'idée même d'un dynamisme des voix a-t-elle encore un sens ? Et celle d'un tout dont les parties sont solidaires ? On n'osera même plus parler de texture, car il s'agit encore d'une forme interne, de l'expression d'une cohérence intérieure. Ecrire un quatuor pourrait signifier le retour à une réflexion sur les formes fondamentales du mouvement - comme l'attraction, la répulsion, l'inclusion ou la pénétration. Ou encore sur ce que signifient des gestes comme briser, couper, déchirer ou fendre.
Ce serait aussi revenir sur ce qu'est une interférence de fluctuations, sur la plasticité, ou au contraire la tension désordonnée. A moins de supprimer le quatuor, il faut bien convenir qu'il est à l'image du tissu, d'une continuité ininterrompue, d'un entrelacs de fils et qu'il s'agit de l'oeuvre humaine par excellence: écrire un quatuor c'est renouer le fil. Froisser, tordre, déplier, déployer, dérouler, tels sont les exigences primordiales du quatuor, que l'on dit parfois soyeux ou moiré.
Judd et ses contemporains ont rendu caduque l'idée qu'une oeuvre puisse formuler et suivre des règles explicites, assurer la conservation d'une forme dans une certaine série de transformations. Dans cette vue, la pensée musicale serait alors rendue à un état d'instabilité, de glissement perpétuel. Mais elle pourrait alors trouver peut-être de nouveaux schémas de connexion, et attribuer un sens original à l'idée de processus orienté, en lui donnant la forme d'un devenir global et unique, sans répétitions. La musique récente sait susciter l'émergence de propriétés inédites et s'absorber dans la réalité supérieure qu'elle suscite: elle n'est pas tant l'imagination des possibles que l'articulation des moments de l'expérience. Revenir à Hayter, ce serait se concentrer sur une topologie concrète d'intervalles et de liaisons, penser la musique comme flux, modulation, émergence perpétuelle, lumière illocalisable, masse en essor ou tournoiement sans prise. Ce sont là quelques bonnes raisons d'écrire un quatuor.
Hugues Dufourt / contemporain / Date parution : 2008-06-24/ Répertoire / Quatuor à Cordes
84.60 EUR - Sold by LMI-partitions (Seller in french langage) Pre-shipment lead time: 3-10 days - In Stock Supplier | |
| Dawn Flight (DUFOURT
HUGUES) Français String Quartet: 2 violins, viola,
cello Lemoine, Henry
Par DUFOURT HUGUES. Dawn Flight est le titre d'une toile que le graveur et peint...(+)
Par DUFOURT HUGUES. Dawn Flight est le titre d'une toile que le graveur et peintre britannique Stanley William Hayter (1901-1988) réalisa en 1959. Sa formation scientifique - chimie, géologie - son habileté mathématique furent un atout considérable dans ses recherches de matières et de couleurs, qui peuvent atteindre des tons fluorescents.
Hayter, qui fut l'une des premières figures du mouvement surréaliste, s'engagea à New York sur les voies de l'abstraction, aux côtés de Pollock, Rothko, Baziotes, Matta, Motherwell, De Kooning, Riopelle. Il est reconnu comme celui qui a révolutionné les techniques de la gravure au cours du XXe siècle. Il inventa le procédé qui permet d'obtenir plusieurs couleurs sur une même plaque en un seul passage. Rentré en 1950 à Paris, il expérimente de nouvelles techniques de gravure: empreintes, utilisation de l'acide sur le métal et surtout le burin multipointe. Il poursuit une recherche sur l'émergence des formes, sur la transparence, l'interférence, la vibration, les moires. Ses toiles intensifient la couleur, le dynamisme gestuel, et s'attachent sur la fin à capter les jeux de lumière à la surface de l'eau. Dawn Flight est construit sur un éventail d'obliques divergentes, remontant la diagonale, illustrant ainsi le paradoxe d'un flux ascendant, aspiré par le haut. La forme étirée et allongée des stries, la torsion intime de la trame, la tension paradoxale des entrelacs donnent le sentiment d'une réalité élémentaire, de l'aurore d'un monde. La production de Hayter à cette époque - Perseïdes, Poissons volants, Vague, Ixion, Cascade, Mérou, Méduse, Night - montre d'étranges associations de bleu et de noir, d'orange, de jaune transparent, de bleu et de vert.
Frank Stella et Donald Judd comptent parmi les artistes qui ont le plus radicalement récusé l'idée d'un procès formateur de l'art, évacuant l'idée même de nécessité intérieure, voire de composition formelle. Transparence, profondeur, épaisseur, rayonnement ne seraient que des catégories factices tirées d'une illusion d'intériorité et l'idée même de progression structurée ne serait que l'effet d'une tyrannie du dedans. Qu'en est-il du quatuor qui fut la construction par excellence de l'intériorité, l'exemple même d'une logique compositionnelle épurée et réduite à la forme essentielle d'un développement ? Ecrire un quatuor après Donald Judd est-il encore possible ? Car il ne suffit pas de se confronter à l'histoire d'un genre, mais à la question de sa possibilité. L'idée même d'un dynamisme des voix a-t-elle encore un sens ? Et celle d'un tout dont les parties sont solidaires ? On n'osera même plus parler de texture, car il s'agit encore d'une forme interne, de l'expression d'une cohérence intérieure. Ecrire un quatuor pourrait signifier le retour à une réflexion sur les formes fondamentales du mouvement - comme l'attraction, la répulsion, l'inclusion ou la pénétration. Ou encore sur ce que signifient des gestes comme briser, couper, déchirer ou fendre.
Ce serait aussi revenir sur ce qu'est une interférence de fluctuations, sur la plasticité, ou au contraire la tension désordonnée. A moins de supprimer le quatuor, il faut bien convenir qu'il est à l'image du tissu, d'une continuité ininterrompue, d'un entrelacs de fils et qu'il s'agit de l'oeuvre humaine par excellence: écrire un quatuor c'est renouer le fil. Froisser, tordre, déplier, déployer, dérouler, tels sont les exigences primordiales du quatuor, que l'on dit parfois soyeux ou moiré.
Judd et ses contemporains ont rendu caduque l'idée qu'une oeuvre puisse formuler et suivre des règles explicites, assurer la conservation d'une forme dans une certaine série de transformations. Dans cette vue, la pensée musicale serait alors rendue à un état d'instabilité, de glissement perpétuel. Mais elle pourrait alors trouver peut-être de nouveaux schémas de connexion, et attribuer un sens original à l'idée de processus orienté, en lui donnant la forme d'un devenir global et unique, sans répétitions. La musique récente sait susciter l'émergence de propriétés inédites et s'absorber dans la réalité supérieure qu'elle suscite: elle n'est pas tant l'imagination des possibles que l'articulation des moments de l'expérience. Revenir à Hayter, ce serait se concentrer sur une topologie concrète d'intervalles et de liaisons, penser la musique comme flux, modulation, émergence perpétuelle, lumière illocalisable, masse en essor ou tournoiement sans prise. Ce sont là quelques bonnes raisons d'écrire un quatuor.
Hugues Dufourt / contemporain / Répertoire / Quatuor à Cordes
16.60 EUR - Sold by LMI-partitions (Seller in french langage) Pre-shipment lead time: 3-10 days - In Stock Supplier | |
| Diapason Rouge Vol. 3 Français Lyrics and Chords [Sheet music] Presses d'lle de France
Tous les chants sont accompagnés de leurs accords de guitare. - 370 chansons d'...(+)
Tous les chants sont accompagnés de leurs accords de guitare. - 370 chansons d'hier et d'aujourd'hui
Le troisième recueil innove pour satisfaire une demande grandissante : en complément des chansons de variété française, des chansons de fête et de veillée, des canons et ritournelles, on y trouve davantage de variété étrangère, des génériques de séries télévisées, ainsi que quelques comédies musicales et opérettes incontournables telles que 'Notre-Dame de Paris', 'Émilie Jolie'? La première et la deuxième partie s?organisent selon l?ordre alphabétique des noms d?interprètes ; les autres parties selon le titre des chansons
21.30 EUR - Sold by Note4Piano Pre-shipment lead time: 3-10 days - In Stock Supplier | |
| ...Le Ciel, Tout A
L'Heure Encore Si
Limpide, Soudain Se
Trouble Horriblement...
(JARRELL MICHAEL) Français Orchestra [Sheet music] Lemoine, Henry
Par JARRELL MICHAEL. De la nature... du musical
Michael Jarrell, né en 1958, e...(+)
Par JARRELL MICHAEL. De la nature... du musical
Michael Jarrell, né en 1958, est l'un des compositeurs les plus en vue de sa génération. Dans une démarche toute personnelle, qui ne s'est inféodée à aucun mouvement, et dans une quête intérieure inlassablement poursuivie, il a opéré une synthèse de l'héritage des musiques d'après-guerre dont il a extrait certaines caractéristiques techniques pour les mettre au service d'une véritable poétique musicale. En effet, contrairement à ses aînés, il explore moins le langage pour lui-même, faisant des nouvelles techniques le lieu d'une mutation dans la pensée musicale, qu'il ne cherche à le mettre au service de l'expression. Aussi se méfie-t-il d'une conceptualisation excessive, et de l'utopie dont l'oeuvre serait porteuse, préférant mettre en valeur les vertus d'un artisanat qu'il enseigne par ailleurs à Vienne et à Genève, ainsi que lors de nombreux séminaires à travers l'Europe. Ses oeuvres, facilement identifiables dans l'abondante production contemporaine, sont toutes liées les unes aux autres, non seulement par une certaine forme de sensibilité, leur tonalité propre, mais aussi par la récurrence de certains traits que Jarrell retravaille dans des contextes différents. Il s'est ainsi très tôt constitué un univers qu'il ne cesse de remodeler, visant moins l'originalité apparente de chacune des pièces qu'un déplacement constant des perspectives dans lesquelles les mêmes idées, en elles, peuvent être appréhendées. 'Cent fois sur le métier...' voilà quelle pourrait être sa devise. On trouve ainsi dans chacune de ses oeuvres quelque chose de familier qui acquiert en même temps une certaine étrangeté, sentiment qui constitue peut-être un élément essentiel de son expressivité. La musique de Jarrell arpente les régions du rêve et de l'irréalité, à la recherche de son moment de vérité, souvent situé dans les sonorités les plus graves et tes plus lentes, là où le temps, ailleurs agité, s'immobilise. C'est peut-être ce qui confère à sa musique une forme de tendresse inséparable de la beauté sonore, allant jusqu'à un esthétisme raffiné, loin des recherches extrêmes et des formulations autoritaires. Chez lui, même les techniques instrumentales les plus inhabituelles, ou les sonorités électroniques, auxquelles il a souvent recours, sont rapatriées dans un monde sensible emprunt de pureté où ce sont les qualités expressives qui dominent. Celles-ci ne renvoient pas forcément au moi du compositeur, qui tend au contraire à s'effacer, mais davantage à l'essence même du musical, au phénomène en soi, porteur d'une présence singulière au monde.
On retrouve de telles qualités dans sa dernière oeuvre, ...Le ciel, tout à l'heure si limpide, soudain se trouble horriblement..., commandée par l'Orchestre de la Suisse Romande. Elle fait appel à un grand orchestre symphonique standard: 3 flûtes (dont alto et piccolo, 2 hautbois et cor anglais, 2 clarinettes et clarinette basse, 2 bassons et contrebasson, 4 cors, 3 trompettes, 3 trombones, tuba, harpe, timbales, 4 percussions (vibraphone, glockenspiel, cloches tubes, cymbales, bongos, tam-tam, grosse caisse, temple blocks, tom grave, spring coils, triangle, mark tree) et cordes. Malgré un titre qui pourrait sous-entendre un élément programmatique, l'oeuvre appartient à la catégorie de la musique pure. L'orchestre y est traité de façon conventionnelle, mais avec une virtuosité d'écriture, un raffinement dans la sonorité qui exige beaucoup de ses interprètes.
D'un seul tenant, l'oeuvre se divise en quatre parties principales d'inégale longueur, les deux premières étant plus importantes que les deux suivantes: la première est constituée d'un continuum de notes rapides réparties entre les cordes et Les bois, tandis que les trompettes, doublées par différents instruments, lancent une figure d'appel incisive qui s'allonge progressivement. L'écriture est d'une grande virtuosité, les figurations en triples croches passant d'un instrument ou d'un groupe à un autre. Les notes rapides se figent une première fois dans des oscillations jouées notamment par les cordes divisées, puis à travers des notes répétées qui traversent toute la texture orchestrale. Après un passage intermédiaire privilégiant les sons graves, l'écriture vive reprend jusqu'à un sommet dramatique marqué par des trilles, aussitôt suivi d'une désintégration qui mène à la seconde partie.
Celle-ci débute avec des quintes jouées par les cordes graves divisées et colorées par les percussions (les contrebasses, qui doivent modifier leur accord, jouent des sons harmoniques). La musique semble vouloir repartir d'un point originel, elle se réinvente à partir d'une structure élémentaire, dans une extrême douceur. L'impétuosité du début laisse place à une grande délicatesse des sonorités. C'est un trait que l'on retrouve dans de nombreuses pièces de Jarrell: après l'effervescence d'une écriture brillante, agitée, nerveuse, que l'auditeur suit dans sa course folle, vient un moment réflexif et profond, qui nécessite une réorientation de l'écoule, une plongée dans la nature même du phénomène sonore. La trame qui se déploie dans un tempo lent offre ainsi une autre image de la sonorité orchestrale, comme si une musique des origines, au caractère de litanie, était soudain dévoilée sous la couche éclatante du début. Elle donne le sentiment d'avoir commencé bien avant son moment d'apparition, comme si elle provenait des couches profondes de la conscience, d'une mémoire archaïque. D'ailleurs, Jarrell réélabore ici un passage d'une pièce antérieure, Music for a While, lui reprenant son matériau de base. Le sentiment de profondeur est dû au formidable ralentissement du temps, qui nous met soudainement en apesanteur, mais aussi à une forme en spirale, qui tranche avec la musique directionnelle qui précédait. L'effet que provoque la distance sensible entre de tels contrastes est onirique: on ne sait plus si la première partie, qui nous échappe en se projetant vers l'avant, n'était qu'une forme illusoire, ou si nous entrons, avec la partie lente, dans une sorte de rêve éveillé.
Un passage central, dans cette seconde partie, s'organise autour de guirlandes sonores à la harpe et aux cloches que tout l'orchestre remplit de sonorités suaves. Les arpèges descendants des vents doublés par des pizzicatos de cordes, que transpercent des notes répétées aux trompettes et aux cors, dans un climat encore doux, annoncent la reprise du mouvement frénétique. Mais cette fois, ce sont moins des figures virevoltantes qui passent à travers les pupitres que des blocs de notes joués par la masse des instruments: des figures qui s'élancent vers le haut aboutissent à des notes répétées, en une forme d'antiphonie, et mènent à un sommet d'intensité. Après quoi, en guise de coda, une quatrième partie nous conduit à une fin mourante: l'harmonie se fige, les polyrythmes annulent toute sensation de mesure, les longues tenues des instruments graves chutent chromatiquement, les percussions jouant des figures rituelles, en résonance, jusqu'à l'immobilité finale.
Le titre de la pièce provient de Lucrèce (De la nature). Il n'a pas de signification structurelle immédiate, comme souvent chez Jarrell, mais exprime en quelques mots l'idée qui avait présidé au morceau. Le trouble s'apparente ici à une forme d'étrangeté, à quelque chose d'inquiétant qui n'apparaît pas de façon narrative, tel un vent d'orage dans un ciel serein, mais comme l'essence même de l'articulation formelle entre deux types d'écriture, deux types d'expression qui exigent des temporalités opposées l'une à l'autre. La soudaineté, c'est le renversement entre les deux. Pourtant, on retrouve un même noyau entre les parties vives et les parties lentes, la quinte jouant dans les deux cas un rôle structurel, et le mib apparaissant comme une note polaire (toute la musique de Jarrell est aimantée par des pôles qui orientent l'écoute). Si le passage du limpide au trouble se traduit par la sonorité orchestrale, par le maniement très sensible des timbres qui provient en grande part de la tradition orchestrale française, il se manifeste aussi par des figures qui évitent tout profil thématique, toute forme mélodique au sens traditionnel du terme, et qui composent la texture. L'auditeur a directement à faire avec la matière sonore. Et celle-ci est composée de part en part.
L'adjectif poétique vient à l'esprit pour définir une invention qui s'écarte aussi bien des formes illustratives que des constructions schématiques, et qui repose essentiellement sur l'organisation des hauteurs au détriment des effets, des sonorités bruiteuses ou des gestes iconoclastes. Et malgré les passages brillants, malgré les explosions sonores toujours maîtrisées et un maniement virtuose de l'orchestre, cette poétique révèle un caractère fondamental plutôt intimiste.
Philippe Albèra / contemporain / Répertoire / Orchestre
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| Siècle Chansons
Françaises 1979-1989 -
Pvg Français Piano, Vocal and Guitar CSDEM
Partition pour chant, guitare ou piano Date de parution : 11/06/2009 Contenu :...(+)
Partition pour chant, guitare ou piano Date de parution : 11/06/2009 Contenu : A cause des garçons - A la queue leuleu - Adelaïde - Africa - Agadou dou dou - Aimons-nous vivants - Ainsi soit je - Ainsi soit-il - Allah - Ambalaba - Amnésie - Amour à la plage (L') - Amour en héritage (L') - Amoureux fous - Amoureux solitaires - Andy - Anne - ma soeur Anne - Antisocial - Argent trop cher - Au bout de mes rêves - Aux enfants de la chance - Aux sombres héros de l'amer - Avec simplicité - Aziza (L') - Baby alone in Babylone - Babylone tu déconnes - Bal masqué - Ballade de chez Tao (La) - Ballade de Jim (La) - Bambou - Banale song - Banana split - Banlieue - Belle-Ile-en-Mer, Marie-Galante - Besoin de rien, envie de toi - Bêtises (Les) - Bioman - Body physical - Boîte de jazz (La) - Born to be alive - Boule de flipper - C'est bon pour le moral - C'est chaud l'amour - C'est comme ça - C'est écrit - C'est guignol - C'est l'amour - C'est la ouate - C'est lundi - C'est pas facile - Ça c'est vraiment toi - Ca commence comme un rêve d'enfant - Ça fait rire les oiseaux - Ça va ça vient - Cache-cache party - Canary bay - Cargo - Casser la voix - Cézanne peint - Chacun fait c'qui lui plaît - Chanter pour ceux qui sont loin de chez eux - Chanteur abandonné (Le) - Chaque jour de plus - Chasseur d'ivoire - Cherchez le garçon - Cimetière des éléphants (Le) - Coeur de rocker - Comme toi - Coq et la pendule (Le) - Corons (Les) - Couleur menthe à l'eau - Coup d'soleil (Le) - Coup de folie (Le) - D'Allemagne - D'amour ou d'amitié - Dallas - Dame de Haute-Savoie (La) - Dans mon H.L.M. - Démons de minuit (Les) - Dès que le vent soufflera - Désir désir - Désirée - Dessous chics (Les) - Destinée - Deux ailes et trois plumes - Diego libre dans sa tête - Dieu fumeur de havane - Disparue - Du rhum, des femmes - Dur dur - Elle a les yeux revolver - Ella, elle l'a - Elle danse Marie - Elle imagine - Elle préfère l'amour en mer - Elle voulait revoir sa Normandie - Embrasse-moi idiot - En l'an 2001 - En rouge et noir - Encore un matin (un rêve plus loin) - Encre de tes yeux (L') - Envie (L') - Epaule tatoo - Est-ce que tu viens pour les vacances ? - Et tu danses avec lui - Etienne - Etre une femme - Eve, lève-toi - Evidemment - Fais-moi une place - Faut que j'me tire ailleurs - Femme libérée - Femme que j'aime - Femmes je vous aime - Flip flap - France de mon enfance (La) - Fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve - Gaby, oh Gaby - Géant (Comme un géant) - Géant de papier (Le) - Gitan (Le) - God save the swing - Grand sommeil (Le) - Groupie du pianiste (La) - Hélène - Histoires d'A (Les) - Hou la menteuse - Idées noires (Les) - Il est libre Max - Il faudra leur dire - Il faut tourner la page - Il jouait du piano debout - Il suffira d'un signe - Il tape sur des bambous - Il y a de l'amour dans l'air - J'ai fait l'amour avec la mer - J'aime regarder les filles - J'aime un pays - J'en appelle à la tendresse - J'l'ai pas touchée - J'veux d'la tendresse - Jazzy retro satanas - Je ne suis pas un héros - Je t'aime à l'italienne - Je te survivrai - Je viens du sud - Jodie - Johnny Johnny - Joue pas - Joueurs de blues - Jour s'est levé (Le) - Jours meilleurs (Les) - Kolé séré - Lacs du Conemara (Les) - Langue de chez nous (La) - Laura - Lèche-bottes blues - Lemon incest - Lettre à un rêveur - Libertine - Lili voulait aller danser - Louise - Ma gueule - Ma lycéenne - Ma révérence - Macumba - Mademoiselle chante le blues - Mala vida - Maldon' - Maman a tort - Mambo du décalco (Le) - Marche à l'ombre - Marcia Baïla - Marie la polonaise - Marin' bar - Marre de cette nana-là - Martiniquaise - Mélissa - Mise au point - Mistral gagnant - Mon Amérique à moi - Mon ami m'a quittée - Mon coeur te dit je t'aime - Mon fils ma bataille - Mon mec à moi - Morgane de toi (Amoureux de toi) - Mosquito - Mon histoire (Les Misérables) - Mourir sur scène - Musulmanes - Nashville ou Belleville ? - Natalie Wood - Né quelque part - Nice baie des anges - Noir et blanc - Nosferatu - Nougayork - Nuit de folie - Nuit magique - Nuit sauvage - Nuits sans Kim Wilde (Les) - Oh Chiquita - Oh j'cours tout seul - Oh mon bateau - On avance - On est comme on est - On se retrouvera - On the road again - Ouragan - Pablo - Papa chanteur - Papayou - Parfums de sa vie (Les) (Je l'ai tant aimée) - Paris latino - Partenaire particulier - Partir quand même - Pas assez de toi - Petite lady (La) - Plages (Les) - Plus près des étoiles - Pour le plaisir - Pour les enfants du monde entier - Pour toi Arménie - Pour une biguine avec toi - Pourvu qu'elles soient douces - Premier baiser - Primitif - Pull marine - Pull over blanc (Le) - Qu'est-ce que t'es belle - Quand j'serai K.O. - Quand je t'aime - Quand la musique est bonne - Quand t'es dans le désert - Que la vie me pardonne - Quelque chose dans mon coeur - Quelque chose de Tenessee - Quelques mots d'amour - Question de feeling - Qui a le droit - Reality (la Boum) - Restos du coeur (Les) - Rital (Le) - Rock Amadour - Rockeuse de diamant (La) - Saint-Sylvestre - Salsa (La) - Sampa (Le) - Sans contrefaçon - Sarbacane - Sauver l'amour - Sentimentale-moi - Si j'étais président - Si la vie est cadeau - Soleil donne (Le) - Solitaire - S.O.S. amor - Stand the ghetto - Succès fou - T'as le look coco - T'en va pas - T'es O.K. t'es bath t'es in - Tata Yoyo - Tchiki boum - Terre sanguine - Tes états d'âme Eric - Tirez pas sur l'ambulance - Toi mon toit - Tombé du ciel - Tombé pour la France - Tous les cris, les S.O.S. - Tous les goûts sont dans ma nature - Tout petit la planète - Tout simplement tout doucement - Toute première fois - Traces de toi - Troisième sexe - Tropique - Ultra moderne solitude - Un autre monde - Un berger vient de tomber - Un enfant de toi - Un fait divers et rien de plus - Un soir de pluie - Une autre histoire - Uns et les autres (Les) - Vacances, j'oublie tout - Valses de Vienne (Les) - Vertige de l'amour - Vie ne m'apprend rien (La) - Viens boire un p'tit coup à la maison - Viens chez moi, j'habite chez une copine - Viva la Vida - Vive le Douanier Rousseau - Voilà l'été - Voyage voyage - Week-end à Rome - Words - YMCA - Yaka dansé - Youki (Le)
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| 1001 All-Time Hit Songs Melody line, (Lyrics) and Chords [Sheet music] Amsco Wise Publications
Third edition of the world's biggest songbook. This is a vast bumper collection,...(+)
Third edition of the world's biggest songbook. This is a vast bumper collection, perfect for buskers, of 1001 all-time hit songs.Whatever your taste, there's guaranteed to be tonnes of songs you'll want to play, this book will last you years!Inside the spiral bound cover you will find a generous selection of hit songs, golden standards, jazz and blues numbers, classical pieces, hymns, gospel songs, stage, film and musical music! Arranged here in Melody line arrangements for Piano, Organ, Electronic Keyboards, Guitar and all C instruments, complete with lyrics and chord symbols. / Ligne Mélodique, Paroles Et Accords (Avec Grilles D'Accords)
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| Diapason Rouge Vol. 5 Français Lyrics and Chords [Sheet music] Presses d'lle de France
Tous les chants sont accompagnés de leurs accords de guitare
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Tous les chants sont accompagnés de leurs accords de guitare
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| Dufourt Hugues - Le Mani
Del Violinista D'apres
Giacomo Balla -
Conducteur Orchestra [Score] Lemoine, Henry
Création 26/08/2015 - Sion (Suisse) - Finale du Concours International de violo...(+)
Création 26/08/2015 - Sion (Suisse) - Finale du Concours International de violon Tibor Varga - Orchestre de Chambre de Lausanne Commanditaire Concours International de violon Tibor Varga Notice Le futurisme italien fut, au début du XXe siècle, le premier véritable mouvement d'avant-garde qui, en Europe, refusa l'art dans sa totalité, décréta l'abolition du passé et prétendit rénover tous les aspects de la vie humaine en cherchant à exprimer la nature et les problèmes du monde moderne. Le mouvement fut inauguré par Marinetti en 1909, suivi un an plus tard du manifeste de la peinture futuriste signé par Giacomo Balla, Carlo Carrà, Umberto Boccioni et Luigi Russolo. La bataille futuriste, qui mobilisa le vif de l'art italien de 1910 à 1916, naquit d'une violente polémique contre la tradition figurative et la conception de l'image-spectacle. La philosophie futuriste, nourrie d'élan vital, d'utopie machiniste et d'ardeur dionysiaque entendait dynamiter la culture antiquaire de l'Italie officielle. Marinetti exalte la vitesse, le mouvement, le bruit, la guerre. Mais aussi la pulsion, la déraison, la transgression, le débridement des ambitions et des désirs humains. Le caractère novateur et visionnaire du futurisme italien fut toutefois passablement terni par ses imprécations et ses fourvoiements politiques. Laissant de côté l'orientation réactionnaire du mouvement et son esprit de clocher extrémiste, on retiendra, parmi les traits les plus originaux du futurisme pictural, la recherche de la représentation du mouvement, avant l'invention du cinéma et avant l'art cinétique. S'inspirant des séquences photographiques d'Eadward Muybridge et de la chronophotographie d'Etienne-Jules Marey, les futuristes italiens sont parvenus à un incontestable degré de réussite dans le domaine proprement plastique. Le processus du devenir est représenté comme tel, et se déploie selon des lignes de force et des formes en croissance. La couleur est également saisie dans son dynamisme, avec ses foyers et ses aires de diffusion. Dans Le mani del violinista, une huile sur toile de 1912 aujourd'hui à Londres, Giacomo Balla s'est également livré à un exercice de synesthésie, cherchant à transposer en images un processus qui fait appel à d'autres modalités sensorielles. Le geste du violoniste, le placement de l'instrument à hauteur d'épaule, les mouvements combinés de la main et du bras, l'écartement et l'échelle d'appui des doigts de la main gauche, la mise en vibration des cordes, l'élan et le rebondissement de l'archet, sa vivacité et son exactitude, tous ces facteurs qui d'ordinaire demeurent imperceptibles et indissociables sont ainsi décomposés, puis réunis et rendus en une impression unique. Les mouvements successifs de la main et les morsures d'archet se séparent selon des procédés pointillistes, puis s'assemblent en une séquence accélérée et se lient dans le même fondu qui restitue l'unité et les inflexions de la tension musculaire. Ce qui est donné à voir n'est pas une illustration réaliste ni une nomenclature des possibilités instrumentales mais un condensé des allures de l'exécution transcendante, montrant les réflexes d'une main rompue au mécanisme de son instrument. Ma propre version musicale de la toile de Giacomo Balla s'inspire des caractères de cette vision futuriste de l'art. La virtuosité même de l'instrumentiste, son habileté d'exécutant, est ici expressément représentée comme un art de l'art. La partition porte une attention aigüe à la technique spécifique de l'effet sonore, à la justesse du geste instrumental dans la dépense de l'archet et la souplesse des déplacements. La grande école des violonistes consistait à faire disparaître le manteau rugueux des aspérités naturelles de l'instrument sous une surface lisse et parfaite de sonorités épurées. Ce grand art évolue aujourd'hui sous la pression d'une esthétique contemporaine plus sensible au grain, aux effets de texture voire aux effets raboteux de l'archet. Un autre type de virtuosité se fait jour, qui intègre les coups d'archets, les accents, les sons dénaturés, dans une sorte de formalisme instrumental pris au second degré. Les interférences entre les différents modes de jeu importent plus désormais que leur intégration dans une sonorité optimale. Cet art insatiable ne recherche plus la magnificence mais l'épreuve. La partition se divise en trois grandes parties. La première est une cadence confiée au soliste, centrée sur les accords, la rythmique et les enjambements d'une articulation qui ne se plie pas aux divisions métriques de la mesure. La seconde partie est l'enfer des violonistes et met aux prises, parmi toutes les cordes de l'orchestre, des figures contrapuntiques hachées, heurtées et contrastées. La troisième partie est davantage tournée vers des études d'équilibre de sonorités, dont la cohérence est délicate à obtenir car les notes se situent dans des registres extrêmes ou paradoxaux. Le soliste est confronté à un type nouveau de virtuosité, celui des sons harmoniques - groupes d'harmoniques naturels ou artificiels. Commande du Concours International de Violon Tibor Varga Sion Valais, la partition est écrite pour l'Edition 2015 de ce Concours. L'oeuvre est dédiée à Enzo Restagno. Hugues Dufourt
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| Compilation : Un Siècle
de Chansons Francaises :
1979-1989 Français All Instruments [Sheet music] Fortin
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Le 8ème volume de la collection référence concernant la chanson française enfin disponible. Retrouvez 301 chansons de la décennie du tubes radio, les années 80, qui semble rester dans les coeurs et dans les têtes et se transmettre aux jeunes générations. Inclus : Africa, Allah, Ambalaba, La dame de Haute Savoie, Coeur de Rocker, Comme toi, Le Géant de Papier, La Groupie du Pianiste, Mélissa, Mistral Gagnant, Nuit de Folie, Tombé pour la France, Une autre histoire, Les uns contre les autres, Un autre monde... / Variétés / Recueil avec paroles, musique (ligne de chant) et /
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