Cette nouvelle édition de Cherubini 'Médée' a été récompensé par le Deutscher Musikeditionspreis en 2008 et réalisé avec succès à Vienne (2008), Bruxelles (2008/2011), Lisbonne (2009), Londres (2010) et Paris (2012). Il découvre la forme originale, voulu par le compositeur, d'un centre de musique dramatique oeuvre du répertoire et, pour la première fois, facilite son interprétation selon les normes de la pratique d'exécution historique.Cherubini 'Médée' est l'oeuvre d'un cosmopolite brillant dans lequel les influences de la tradition italienne, allemande et française de la fin du 18e siècle sont combinés. Mais dans ce travail, on peut également constater un potentiel qui va se développer à la fois dans les oeuvres de Beethoven et les oeuvres des compositeurs romantiques. / Opéra

Par CORDERO ERNESTO. Concierto Festivo du Cordero, pour guitare et orchestre à cordes, est son plus récent ouvrage, écrit en 2003. Il a été commandé par l'Université de Porto Rico, pour célébrer le 100e anniversaire de sa fondation et la réouverture de son théâtre. Le concerto comporte trois mouvements, écrits dans un style modal et neo-romantique, dans lequel les éléments contrapuntiques de la Renaissance espagnole combinent avec les harmonies contemporains, lui donnant une saveur distinctive qui est présente dans la plupart des oeuvres de Cordero. Comme dans ses précédents concertos, influences Afro-Antillais apparaissent parfois dans cette composition, avec leurs riches, rythmes somptueuses. Ernesto Cordero explore créative les ressources sonores de la guitare, il offre une fonctionnalité solo virtuose enrichie par les dialogues avec les autres instruments. Dans plusieurs sections lyriques de la pièce, les projets et brille de guitare romantique spirit, par le biais de belles phrases qui reflètent la passion du Cordero pour la vie et pour sa bien-aimée de Porto Rico. / Niveau : Intermédiaire à Avancé / Contemporary - Chamber / Recueil / Guitare Classique et Orchestre

Par IZNAOLA RICARDO. Cette collection pour le solo de guitare classique comprend un ensemble de dix Etudes-hommages, écrit entre 1970 et 1977, et le ton poème mort d'Icare (Etude #11), écrit en 1982. Les Etudes-hommages représentent exploration personnelle du compositeur romantique virtuosité appliquée à la guitare, écrite pendant une période formative importante dans la vie du compositeur. À ce titre, elles sont non seulement des études avancées techniques instrumentales, mais aussi des études de style. Chacune des études emprunte l'essence, sinon la lettre, du compositeur honoré en l'hommage, mais vu à travers l'objectif grand angle qui fournit un contexte pas nécessairement présente dans la sortie de ces compositeurs. La mort d'Icare est un poème de ton dans la mémoire du grand guitariste Regino Sainz de la Maza. Son ouverture fin souligne conclusion l'esprit de curiosité, d'optimisme et de prise de risque qui définit l'esthétique du mouvement romantique en général. / Niveau : Intermédiaire / Classic - Solos / Répertoire / Guitare Classique

6 Concert Pieces. Par GLADKIKH ANTON. Je me souviens bien de la génèse de la composition de ces pièces: je me suis assis au piano dans le conservatoire, qui était presque complètement vide à cette heure là... et j'ai improvisé les premiers accords de la première pièce. Après j'en ai écrit le thème. La musique retentissait bruyamment dans cette grande salle et je pouvais entendre son écho dans les couloirs vides du conservatoire... ça m'a rappelé l'ouverture de Charles Gounod Faust', au moemnt où mes mains jouaient encore les mélodies, étirant les limites du thème qui deviendra, en un sens, l'introduction à l'ensemble de cette composition. Je pouvais sentir que l'histoire était en train d'émerger: une histoire née de l'intérieur même de la musique. ' - Anton GLADKIKH - 'Hoffmanniada est un ensemble de 6 pièces brèves pour trombone et piano au style inspiré des grands compositeurs russes du XXème siècle. Tantôt mélancolique et romantique, tantôt gaie et virtuose, la subtilité d'écriture d'Anton Gladkikh exploite parfaitement les qualités de puissance et de finesse des deux instruments.' Fabrice MILLISCHERCette pièce est le premier opus de la collection de FLEX Editions dirigée par Fabrice MILLISCHER. Elle comporte 6 mouvements : 1 - Et finalement ça tourne, 2 - Autonomie de la volonté, 3 - Les lettres, 4 - Lilite, 5 - Quand Dieu créa le temps, 6 - Le jeu des Démiurges. - Formation : Musique de Chambre, Duo, Solo and Accompagnement Piano - Instrumentation : 1 Trombone 1 Piano - Niveau de Difficulté : 6/6 - Avancé - Durée : 20 mns - Style Musical : Classique, Pédagogique - Catégorie : Composition Originale - Compositeur : Anton GLADKIKH - / Niveau : Avancé / Classique, Pédagogique / Répertoire / Trombone et Piano

Evgeny Kissin
Thanatopsis op. 4 pour voix de femme et piano
C’est une grande joie que de présenter, avec Thanatopsis, l’opus 4 du Maestro Kissin, une mise en musique très expressive du poème révolutionnaire né de la plume de William Cullen Bryant. Paru en 1821 sous la forme qu’on lui connaît maintenant, il est à l’origine de la poésie romantique américaine du XIXe siècle. Bryant est aujourd’hui rangé parmi les «Fireside Poets» («poètes au coin du feu») ou «Schoolroom Poets» («poètes de salle de classe»), en référence aux lieux où leurs poèmes étaient habituellement récités. Les poèmes de Bryant – en premier lieu le plus célèbre, Thanatopsis («Contemplation de la mort») – s’inscrivent dans la tradition anglaise, tout en révélant une ouverture à une langue et à un monde authentiquement américains. La mise en musique d’Evgeny Kissin s’offre à nous telle une vaste scène lyrique, fortement imprégnée de style récitatif, qui fait résonner avec génie l’atmosphère du texte. Notre édition offre en supplément des traductions allemandes et françaises du poème, ainsi qu’une postface informative sur la vie et l’œuvre de Bryant et la genèse de Thanatopsis. / Partitions classique / Vocale - chorale / Voix solo - piano / HENLE VERLAG

Le compositeur tchèque romantique Antonin Dvorak (1841-1904) est probablement connu du grand public grâce à sa symphonie n°9 intitulée Le Nouveau Monde. Mais outre ces 9 symphonies Dvorak a composé de nombreuses musiques de chambre des uvres vocales ainsi que des uvres pour piano solo. Parmi les trois ouvertures quil a écrites larrangeur Jan Rypens a choisi celle-ci. Défi musical issu du répertoire romantique cette uvre donne une note pleine de style à vos ouvertures.

Adolphe Sax Album Discipline / Instrument : Saxophone et piano Genre : classique Média : Partition Nombre de pages : 36 + 12 Format : 23 x 31 cm Editeur : Lemoine Réf. : 28891 Date de parution : 31/05/2013 ISBN / ISMN : 9790230988919 Contenu BERLIOZ : 1er Solo - BIZET : Ouverture - BIZET : Intermezzo - DELIBES : Barcarolle - FRY : Berceuse - MASSENET : Vision - MASSENET : Air des Larmes - SAINT-SAENS : Orient - THOMAS : Deux chants du Pérou - THOMAS : Récit - WETTGE : Fantaisie Notice Adolphe Sax, inventeur génial du saxophone (breveté en 1846) est nommé au poste de Directeur de la Musique de Scène à l'Opéra de Paris entre 1847 et 1894. C'est la place idéale pour promouvoir et expérimenter ses instruments à l'orchestre - l'inventeur finit par imposer le saxophone dans certaines oeuvres lyriques, symphoniques, musiques de ballets et bien sûr les musiques régimentaires. On recense de nombreuses apparitions de l'instrument, d'abord timidement mêlé à l'orchestre puis dans de véritables solos pittoresques. Si l'intervention des saxophones dans la Corona d'Italia de G. Rossini, Tannhaüser de R. Wagner, la Damnation de Faust de H. Berlioz, Ondine et le pêcheur de P. Dukas, Hulda de C. Franck ou la 1re symphonie de A. Magnard demeure une tentative anecdotique, d'autres compositeurs comme G. Bizet, C. Saint-Saëns, A. Thomas, V. D'Indy, L. Delibes, G. Charpentier ou J. Massenet offrent à l'instrument de belles phrases chantées au sein même de l'orchestre. On ne compte guère qu'une poignée d'oeuvres de musique de chambre mixte avant 1900. En revanche, la formule saxophone accompagné d'un piano (ou d'une fanfare) est d'usage courant. Les musiques sont écrites principalement par les amis de l'inventeur, souvent chefs de musiques régimentaires qui utilisent un style simple et classique pour les besoins du divertissement de plein air (thèmes et variations virtuoses loin des grands chefs d'oeuvre romantiques de l'époque). Cette petite suite musicale retrace un parcours chronologique des solos de saxophone avant 1900, à découvrir avec une réduction de piano comme support harmonique. Hector Berlioz (1803-1869), véritable défenseur des inventions de Sax, vante les mérites du saxophone dans son Traité d'instrumentation. C'est lui qui utilise la 1re fois l'instrument dans une oeuvre pour 6 instruments à vent afin de saluer avec enthousiasme les inventions du célèbre facteur belge. Hymne pour les instruments de Sax sera donné en public le 3 février 1844 à Paris salle Hertz, Adolphe Sax jouant lui-même la partie de saxophone basse en Mib. La partition demeurant malheureusement introuvable, on sait néanmoins que l'Hymne était une adaptation de son Chant sacré pour choeur composé quelques mois plus tôt. Le 1er solo présenté ici est une possible reconstitution du solo de saxophone. La Berceuse, solo originellement joué au saxophone soprano, est extraite de Santa Claus Symphony (1853) de William Henry Fry (1813-1854). Le compositeur né américain était un fervent admirateur d'Adolphe Sax et le 1er compositeur américain à écrire pour grand orchestre. Ce solo est symbolique : il s'agirait de la première intégration du saxophone aux Etats-Unis, 50 ans avant le jazz dixieland. Récit est une véritable cadence consacrée au saxophone alto sur un accompagnement de pizzicati de cordes et tenues de cuivres. Ce récit est extrait du récit et prologue du 2nd tableau de l'Acte II de l'opéra Hamlet (1868) de Ambroise Thomas (1811-1896). Les deux chants du Pérou (1865) sont originellement harmonisés habilement pour 3 saxophones d'après des chants joués par les Indiens sur la Quena, leur instrument national. Orient est un solo de saxophone tiré de la grande marche militaire pour orchestre à vents Orient et Occident opus 25 (1869). Camille Saint-Saëns (1835-1921) a souvent utilisé le pupitre de saxophones, tant dans ses ouvrages symphoniques que lyriques. L'Ouverture et l'Intermezzo de Georges Bizet (1838-1875) sont des solos de saxophone alto des plus remarquables. Ils sont extraits des suites pour orchestre de la musique de scène de l'Arlésienne (1872). La Barcarolle de Léo Delibes (1836-1891) est tirée de son ballet séduisant Sylvia (1876). On y entend un solo très élégant au saxophone alto. Jules Massenet (1842-1912) utilise le saxophone de nombreuses fois. On apprécie bien sûr la valse avec saxophone dans son opéra Le Roi de Lahore, mais c'est surtout grâce à son opéra Werther que le saxophone a été reconnu. Dans l'Air des larmes de Werther (1892), le saxophone dialogue superbement avec le personnage de Charlotte. Le solo de Vision est un chant au saxophone alto qui donne la réplique à Hérode dans l'opéra Hérodiade (1881). La Fantaisie de ce recueil est un extrait de la Fantaisie variée pour saxophone et piano (1889). Elément du patrimoine historique du saxophoniste, cette pièce est typique des musiques légères et décontractées de l'époque. Léon Wettge (1844-1909) était chef de musique du 28e régiment d'artillerie de Versailles avant d'être chef de la Garde Républicaine. Nicolas Prost

De la phrase d'ouverture poignante l'unisson grâce à la superbe déroulement de la chaleur à couper le souffle choral, ce paramètre est une ballade a cappella à ne pas manquer! Harmonies romantiques Lushly va créer une vague musicale inoubliable. Disponible: SATB a cappella, SSAA a cappella. Temps de Performance: Env. 03:00. / Choeur (Unisson), Voix Hautes Et Voix Egales

« Jolly Roger » est le nom donné au célèbre et terrifiant pavillon pirate à tête de mort. Hissé peu avant l?abordage pour intimider l?équipage du bateau convoité il lui intimait l?ordre de se rendre sans résistance. Le pavillon noir est devenu un symbole de la piraterie cruelle mais aussi pleine d?aventures romantiques. Jolly Roger d?Armin Kofler raconte l?histoire d?un bateau pirate voguant en haute mer. L?ouverture est sereine ; la mer est calme. Mais le calme est trompeur c?est le calme avant la tempête. Le climat change la musique se fait plus sinistre. Le pavillon noir est hissé. Le bateau toutes voiles dehors file sur la mer quand soudain les piratesrepèrent une proie. Commence alors une poursuite dramatique chaotique et pleine de rebondissements. Après un passage puissant la musique dessine la fin du combat. Le « thème du pavillon noir » réapparaît et trouve sa conclusion dans un accord Majeur qui modifie complètement le décor : la menace pirate s?est enfin éloignée. La musique se focalise sur la fin heureuse de l?équipage du bateau abordé. On ressent un soulagement un signal d?apaisement. Les débuts sont hésitants fragiles ; le doute s?efface progressivement. Les marins finissent par comprendre que le danger est définitivement écarté. La ligne mélodique serpente vers le finale de l?œuvre dans lequel le thème principal légèrement modifié se présente sous une forme majestueuse.

Il s'agit de la musique pour l'un des plus grands ballets de Balanchine, traitant de la condition humaine, l'amour et le rêve, remarquable pour son utilisation de mime, costumes et accessoires et Nicolas Nabokov pour marquer et mettent en évidence l'intention dramatique de la chorégraphie. Comme John Rockwell a écrit ' c'est parfois la musique acerbe, mais il correspond le drame, capte les humeurs variées et est parfois carrément magnifique '. / Divers