Par SZYMANOWSKI KAROL. (VII) The Polish idiom appeared in Szymanowskis music in 1920, foreshadowing the beginning of a new period of creativity, later called nationalistic. Before this idiom was realised and such compositions typical of the Polish style as the ballet Harnasie, the Mazurkas, Stabat Mater, Fourth Symphony and Second Violin Concerto had been written, the change in musical thinking and the first experiments in the new language took place in songs. Symptoms of the new style manifested themselves fully in Slopiewnie, Op. 46 bis, composed in the summer of 1921 and published by Universal Edition. In these bizarre songs to bizarre words by Tuwim Szymanowski attempted to crystallize and generalize artistically some primaeval Polish, racial as he described them elements in music. The inspiring factor was undoubtedly the text by Julian Tuwim, abounding in new-coined words and imbued with its own music. It indicated the direction that artistic creativity was to take, and made the full corellation of the verbal and musical layers possible in, as Mieczyslaw Tomaszewski has stated, all the planse of co-operation phonic, structural, expressional and semantic. Based on A. Neuer Commentary to Complete Edition Volume C11 (VIII) Szymanowski did not yield to the temptation of easy over-stilization. Streching out to the deepest ethnic layers of his native musical culture, he made an attempt to mould and suitably fashion a Polish style of musical utterance. This tendency is apparent in the Three Lullabies, Op. 48, to words by Jaroslaw Iwaszkiewicz, composed in 1922 and published by Universal Edition in 1926. In the Lullabies we can find the confirmation of the fact that utterly new atmosphere which, according to the composer, Slopiewnie had introduced into his music, was not a once-for-all phenomemon. The elements of the new musical language, analised in connection with the earlier cycle, may here be regarded as assimilated. These are modalities in vocal melodies (Lullaby I) and cadences (Lullabies I and III), a bourdon effect with a tritone (Lullaby II). However these sometimes sligh and apparently unimportant details recur constatnly, an so acquire the nature of a definite compositional technique establishing a style based in an increasing degree on nationalistic elements. Based on Adam Neuer Commentary to Complete Edition Volume C11 (IX) The Childrens Rhymes, Op. 49, a cycle of twenty short songs by Kazimiera Illakowicz, composed in 1922-23, were a completely new creative experience for Szymanowski. He composed the Rhymes with his 11-year-old niece in mind. She was the daughter of Stanislawa Korwin-Szymanowska, who performed these songs for the first time in Warsaw on 25 February 1924. / Date parution : 2021-12-09/ Recueil / Chant et Piano

The surviving second and third acts of Catone in Utica, one of Metastasio's most dramatic libretti, premiered in Verona in the spring of 1737 in a setting by Vivaldi, contain some of his finest, most mature, and most original arias, and are published here for the first time. They evince a potential dramatic intensity that makes us regret all the more the loss of the first act. Only one aria of Act I can be definitely recovered from a surviving opera, but the rest has now also been successfully reconstructed by Alessandro Ciccolini, whose intimate knowledge of Vivaldi's working methods, combined with brilliant stylistic insight won universal acclaim for his work on Vivaldi's Motezuma and Ercole sul Termodoonte. Ciccolini has also composed cadenzas and da capo variations for all the arias, published here in an appendix.A complete recording under the direction of Alan Curtis is available from Naïve Records(OP30545).Press Quotes:'[For his completion,] Alessandro Ciccolini, who, mindful that Vivaldi frequently adapted vocal music for his instrumental works and vice versa, has composed the missing passages using themes from the concertos as his starting point. His arias dovetail beautifully with Vivaldi's scheme of things...' The Guardian'Ciccolini and Curtis deserve enormous credit for transforming an incomplete obscurity into a coherent and compelling opera.'Gramophone'The opera survives incomplete, but this is a fascinating and apt reconstruction and there is some marvellous stuff here.' BBC Music Magazine / Chant Et Piano

L''uvre lyrique de Vivaldi reste paradoxalement méconnue : l'extraordinaire succès rencontré par un petit nombre de concertos a éclipsé tout un pan de ses compositions, notament les opéras, auxquels il consacra pourtant l'essentiel de sa carrière. De 1713 à 1741, Vivaldi donna le jour à une 'uvre colossale, préservée en grande partie par la Bibliothèque de Turin : plus de 450 compositions manuscrites, en grande partie autographes. Orlando furioso, drame héroïco-magique représenté au Teatro S. Angelo de Venise à l'automne 1727, prend place à l'exacte mi-temps de la carrière lyrique de Vivaldi. Quatorze années plus tôt, au mois de mai 1713, le Prete Rosso présentait à Vicence son premier opéra connu, Ottone in villa. Quatorze années plus tard, il s'éteignait dans l'oubli après avoir vainement tenté de faire représenter à Vienne son ultime opéra, L'Oracolo in Messenia. Grâce au travail remarquable du librettiste, Grazio Braccioli, qui a su conserver de l''uvre originale d'Arioste son essence poétique et sa dimension humaniste, Vivaldi y fait éclater le schéma conventionnel du dramma per musica, explorant les formes musicales les plus variées, bousculant la hiérarchie classique des personnages et superposant les actions dramatiques, toutes conduites avec une remarquable efficacité. Près de trois siècles après sa création, l'on demeure confondu face à l'extraordinaire richesse musicale et dramatique de l''uvre, pièce éblouissante où se mêlent toutes les formes existantes du théâtre chanté. La reconstitution de l'opéra a nécessité un important travail préparatoire sur le manuscrit turinois, particulièrement complexe, mêlant des feuillets soigneusement calligraphiés à des feuillets griffonnés à la hâte et comportant de multiples insertions, fragments ou retranchements, ainsi qu'une numérotation irrégulière des scènes. Jacques Manet en a enfin réalisé une version pour clavier très attendue par les chanteurs, mettant ainsi à la portée du plus grand nombre une 'uvre dans sa version complète, telle qu'elle fut conçue en 1727 par Vivaldi. Réduction chant et clavier : format A4, 286 pages, sur papier ivoire - Arrangement pour clavier : Jacques Manet - Présentation : Frédéric Delaméa - Traduction en anglais : Elizabeth Szostak-Clerc

Par RODRIGO JOAQUIN. Tema Del Adagio Del 'Concierto De Aranjuez'/ Répertoire / Chant et Piano

Boxed set + CD. Par HAYES MARK. Cette collection complète est une destination unique pour les pianistes qui jouent pour les mariages. Bien que chaque sélection piano peut être jouée comme un solo, il existe obbligatos instrumentales facultatifs pour quelques pièces, avec des pièces pour violoncelle, hautbois, trompette, violon Fnd. Contient en outre des sélections plusieurs classiques et contemporaines vocales utilisables avant et pendant la cérémonie de mariage. Ce livre a une spéciale de liaison qui permet d'appuyés sur le rack de musique n'importe quelle page que vous êtes sur. U, mariages Tempered contient les produits suivants de bonus : séparer les feuilles de musique pour le chanteur et musicien - Double CD écoute contenant toutes les sélections...(envisager l'emprunt du CD votre fiancée prospective et groom et laissez-les à ce qu'ils veulent vous de jouer!) -Accompagnement pistes pour l'ensemble de la liste de mariage chansons vocal - suggestions de répertoire pour la cérémonie - une commande de service échantillon - A pour la mariée et le marié à partir de 9 mois avant le jour du mariage. Une fil de mariage.../ Recueil / Chant et Piano

Piano Reduction. Par LORD JON. Jon Lord, âgé de 28 ans et sans aucune expérience en composition pour orchestre, écrit cette oeuvre en seulement trois mois à l’approche de sa première avec le Royal Philharmonic Orchestra dirigé par Malcolm Arnold. Cette première oeuvre pour orchestre lança ses carrières parallèles de compositeur et membre fondateur de Deep Purple. Elle est particulièrement riche en invention juvénile, solide en structure et raffinée en artisanat musical. Innovante lors de sa première, cette oeuvre ne semble que gagner en stature depuis lors. La partition complète apparaît ici en publication pour la première fois, en édition méticuleusement préparée par le collaborateur du compositeur depuislongtemps, Paul Mann. / Niveau : Avancé / Recueil / Chant et Piano

Par CHRISTINE H.. / Classique / Date parution : 1905-06-24/ Feuillet / Chant et Piano