| ...Le Ciel, Tout A
L'Heure Encore Si
Limpide, Soudain Se
Trouble Horriblement...
(JARRELL MICHAEL) En Français Orchestre [Partition] Lemoine, Henry
Par JARRELL MICHAEL. De la nature... du musical
Michael Jarrell, né en 1958, e...(+)
Par JARRELL MICHAEL. De la nature... du musical
Michael Jarrell, né en 1958, est l'un des compositeurs les plus en vue de sa génération. Dans une démarche toute personnelle, qui ne s'est inféodée à aucun mouvement, et dans une quête intérieure inlassablement poursuivie, il a opéré une synthèse de l'héritage des musiques d'après-guerre dont il a extrait certaines caractéristiques techniques pour les mettre au service d'une véritable poétique musicale. En effet, contrairement à ses aînés, il explore moins le langage pour lui-même, faisant des nouvelles techniques le lieu d'une mutation dans la pensée musicale, qu'il ne cherche à le mettre au service de l'expression. Aussi se méfie-t-il d'une conceptualisation excessive, et de l'utopie dont l'oeuvre serait porteuse, préférant mettre en valeur les vertus d'un artisanat qu'il enseigne par ailleurs à Vienne et à Genève, ainsi que lors de nombreux séminaires à travers l'Europe. Ses oeuvres, facilement identifiables dans l'abondante production contemporaine, sont toutes liées les unes aux autres, non seulement par une certaine forme de sensibilité, leur tonalité propre, mais aussi par la récurrence de certains traits que Jarrell retravaille dans des contextes différents. Il s'est ainsi très tôt constitué un univers qu'il ne cesse de remodeler, visant moins l'originalité apparente de chacune des pièces qu'un déplacement constant des perspectives dans lesquelles les mêmes idées, en elles, peuvent être appréhendées. 'Cent fois sur le métier...' voilà quelle pourrait être sa devise. On trouve ainsi dans chacune de ses oeuvres quelque chose de familier qui acquiert en même temps une certaine étrangeté, sentiment qui constitue peut-être un élément essentiel de son expressivité. La musique de Jarrell arpente les régions du rêve et de l'irréalité, à la recherche de son moment de vérité, souvent situé dans les sonorités les plus graves et tes plus lentes, là où le temps, ailleurs agité, s'immobilise. C'est peut-être ce qui confère à sa musique une forme de tendresse inséparable de la beauté sonore, allant jusqu'à un esthétisme raffiné, loin des recherches extrêmes et des formulations autoritaires. Chez lui, même les techniques instrumentales les plus inhabituelles, ou les sonorités électroniques, auxquelles il a souvent recours, sont rapatriées dans un monde sensible emprunt de pureté où ce sont les qualités expressives qui dominent. Celles-ci ne renvoient pas forcément au moi du compositeur, qui tend au contraire à s'effacer, mais davantage à l'essence même du musical, au phénomène en soi, porteur d'une présence singulière au monde.
On retrouve de telles qualités dans sa dernière oeuvre, ...Le ciel, tout à l'heure si limpide, soudain se trouble horriblement..., commandée par l'Orchestre de la Suisse Romande. Elle fait appel à un grand orchestre symphonique standard: 3 flûtes (dont alto et piccolo, 2 hautbois et cor anglais, 2 clarinettes et clarinette basse, 2 bassons et contrebasson, 4 cors, 3 trompettes, 3 trombones, tuba, harpe, timbales, 4 percussions (vibraphone, glockenspiel, cloches tubes, cymbales, bongos, tam-tam, grosse caisse, temple blocks, tom grave, spring coils, triangle, mark tree) et cordes. Malgré un titre qui pourrait sous-entendre un élément programmatique, l'oeuvre appartient à la catégorie de la musique pure. L'orchestre y est traité de façon conventionnelle, mais avec une virtuosité d'écriture, un raffinement dans la sonorité qui exige beaucoup de ses interprètes.
D'un seul tenant, l'oeuvre se divise en quatre parties principales d'inégale longueur, les deux premières étant plus importantes que les deux suivantes: la première est constituée d'un continuum de notes rapides réparties entre les cordes et Les bois, tandis que les trompettes, doublées par différents instruments, lancent une figure d'appel incisive qui s'allonge progressivement. L'écriture est d'une grande virtuosité, les figurations en triples croches passant d'un instrument ou d'un groupe à un autre. Les notes rapides se figent une première fois dans des oscillations jouées notamment par les cordes divisées, puis à travers des notes répétées qui traversent toute la texture orchestrale. Après un passage intermédiaire privilégiant les sons graves, l'écriture vive reprend jusqu'à un sommet dramatique marqué par des trilles, aussitôt suivi d'une désintégration qui mène à la seconde partie.
Celle-ci débute avec des quintes jouées par les cordes graves divisées et colorées par les percussions (les contrebasses, qui doivent modifier leur accord, jouent des sons harmoniques). La musique semble vouloir repartir d'un point originel, elle se réinvente à partir d'une structure élémentaire, dans une extrême douceur. L'impétuosité du début laisse place à une grande délicatesse des sonorités. C'est un trait que l'on retrouve dans de nombreuses pièces de Jarrell: après l'effervescence d'une écriture brillante, agitée, nerveuse, que l'auditeur suit dans sa course folle, vient un moment réflexif et profond, qui nécessite une réorientation de l'écoule, une plongée dans la nature même du phénomène sonore. La trame qui se déploie dans un tempo lent offre ainsi une autre image de la sonorité orchestrale, comme si une musique des origines, au caractère de litanie, était soudain dévoilée sous la couche éclatante du début. Elle donne le sentiment d'avoir commencé bien avant son moment d'apparition, comme si elle provenait des couches profondes de la conscience, d'une mémoire archaïque. D'ailleurs, Jarrell réélabore ici un passage d'une pièce antérieure, Music for a While, lui reprenant son matériau de base. Le sentiment de profondeur est dû au formidable ralentissement du temps, qui nous met soudainement en apesanteur, mais aussi à une forme en spirale, qui tranche avec la musique directionnelle qui précédait. L'effet que provoque la distance sensible entre de tels contrastes est onirique: on ne sait plus si la première partie, qui nous échappe en se projetant vers l'avant, n'était qu'une forme illusoire, ou si nous entrons, avec la partie lente, dans une sorte de rêve éveillé.
Un passage central, dans cette seconde partie, s'organise autour de guirlandes sonores à la harpe et aux cloches que tout l'orchestre remplit de sonorités suaves. Les arpèges descendants des vents doublés par des pizzicatos de cordes, que transpercent des notes répétées aux trompettes et aux cors, dans un climat encore doux, annoncent la reprise du mouvement frénétique. Mais cette fois, ce sont moins des figures virevoltantes qui passent à travers les pupitres que des blocs de notes joués par la masse des instruments: des figures qui s'élancent vers le haut aboutissent à des notes répétées, en une forme d'antiphonie, et mènent à un sommet d'intensité. Après quoi, en guise de coda, une quatrième partie nous conduit à une fin mourante: l'harmonie se fige, les polyrythmes annulent toute sensation de mesure, les longues tenues des instruments graves chutent chromatiquement, les percussions jouant des figures rituelles, en résonance, jusqu'à l'immobilité finale.
Le titre de la pièce provient de Lucrèce (De la nature). Il n'a pas de signification structurelle immédiate, comme souvent chez Jarrell, mais exprime en quelques mots l'idée qui avait présidé au morceau. Le trouble s'apparente ici à une forme d'étrangeté, à quelque chose d'inquiétant qui n'apparaît pas de façon narrative, tel un vent d'orage dans un ciel serein, mais comme l'essence même de l'articulation formelle entre deux types d'écriture, deux types d'expression qui exigent des temporalités opposées l'une à l'autre. La soudaineté, c'est le renversement entre les deux. Pourtant, on retrouve un même noyau entre les parties vives et les parties lentes, la quinte jouant dans les deux cas un rôle structurel, et le mib apparaissant comme une note polaire (toute la musique de Jarrell est aimantée par des pôles qui orientent l'écoute). Si le passage du limpide au trouble se traduit par la sonorité orchestrale, par le maniement très sensible des timbres qui provient en grande part de la tradition orchestrale française, il se manifeste aussi par des figures qui évitent tout profil thématique, toute forme mélodique au sens traditionnel du terme, et qui composent la texture. L'auditeur a directement à faire avec la matière sonore. Et celle-ci est composée de part en part.
L'adjectif poétique vient à l'esprit pour définir une invention qui s'écarte aussi bien des formes illustratives que des constructions schématiques, et qui repose essentiellement sur l'organisation des hauteurs au détriment des effets, des sonorités bruiteuses ou des gestes iconoclastes. Et malgré les passages brillants, malgré les explosions sonores toujours maîtrisées et un maniement virtuose de l'orchestre, cette poétique révèle un caractère fondamental plutôt intimiste.
Philippe Albèra / contemporain / Répertoire / Orchestre
46.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| La Métamorphose
(LEVINAS MICHAEL) En Français Soli, choeur mixte et accompagnement Soli, chœur mixte et orchestre [Partition] Lemoine, Henry
Par LEVINAS MICHAEL. Précédé de Je, tu, il, prologue à La Métamorphose sur ...(+)
Par LEVINAS MICHAEL. Précédé de Je, tu, il, prologue à La Métamorphose sur un texte de Valère Novarina.
Au sortir d'un rêve agité, Grégor Samsa s'éveille pour vivre un véritable cauchemar, celui de sa transformation en énorme cancrelat. Tout le monde connaît cette nouvelle de Kafka - elle appartient désormais à nos mythologies contemporaines. L'idée d'en faire un opéra est tellement excitante qu'on en serait presque à se demander pourquoi une telle adaptation n'a encore jamais été tentée. Peut-être parce que la perspective donne le vertige et que l'histoire elle-même semble veiller à sa propre irreprésentabilité ?
Il aura fallu attendre près d'un siècle pour que le texte se métamorphose en opéra grâce à Michaël Levinas et à l'équipe artistique qu'il a réunie. Avec Valère Novarina et Emmanuel Moses, le compositeur opère un travail sur la langue pour révéler sa vocalité lyrique. Le chant du 'sopraniste' Fabrice Di Falco et des autres interprètes est ensuite traité par des techniques d'hybridation informatiques [réalisées à l'Ircam, NDLR].
Toujours en quête 'd'une suggestion d'ébranlement dramatique dans la vibration du son' comme s'il y avait un 'au-delà du son dans le son', la musique de Levinas s'ouvre au fantastique. Ce sentiment de l'extraordinaire sera rendu palpable par les instrumentistes d'Ictus, imbattables quand il s'agit de faire advenir des univers inouïs. L'adaptation scénique est confiée à Stanislas Nordey, homme de théâtre insatiable découvreur de textes contemporains. Il s'est également distingué à l'occasion de nombreuses collaborations avec les plus grands compositeurs de notre temps, parmi lesquels Michaël Levinas. C'est en effet lui qui a mis en scène son précédent opéra composé à partir des Nègres de Jean Genet.
www.opera-lille.fr
Vidéo :
http://culturebox.france3.fr
Du lyrique dans la musique de Michaël Levinas
ou le spectre sur la scène
'L'instant du réveil est le moment risqué entre tous : c'est celui où l'on franchit la frontière. Qui devient-on la nuit ? Que s'est-il passé dans le sommeil de Gregor pour qu'il en sorte ainsi changé en monstre ?
Le réveil, c'est toujours l'entrée dans un monde enchanté.'
Yannick Haenel (1)
Le monde enchanté de Michaël Levinas est celui de ce moment risqué où peut naître un drame et, c'est là la partie visible de l'enchantement, des personnages chantent, vivent et meurent. Nous sommes à l'opéra.
Comment le compositeur parvient-il aujourd'hui à relever en musique le défi de la scène ? Quels moyens musicaux convoque-t-il ? Quel monde harmonique et lyrique bâtit-il ? Car pour sonner à ce point juste sur les planches, il faut que le style lyrique du créateur vienne de bien loin, de profond, non pas d'une circonstance, mais de ce qu'il est musicalement, depuis longtemps, de ce qu'il poursuit assidûment dans son oeuvre.
En 2011, avec La Métamorphose, son troisième ouvrage lyrique, Michaël Levinas a montré une nouvelle fois la maîtrise qu'il avait des données de l'opéra : l'opéra comme théâtre, l'opéra comme lieu où l'est ému par le chant, l'opéra comme institution où la création a sa place.
Quand les spectateurs découvrent à l'opéra le personnage de Gregor imaginé par Michaël Levinas, ils ont déjà entendu un prologue. Intitulé Je, tu, il et composé sur un texte somptueux de Valère Novarina, ce prologue se trouve, dans le temps du récit, en lieu et place de la nuit, d'un rêve sans doute, avant le réveil de Gregor. Les spectateurs assistent à une allégorie des énonciations (les pronoms personnels chantent : 'je', 'tu' et 'il' deviennent un instant des personnages), enlevée, très vive, baroque. Le compositeur (celui qui choisit la succession dans le temps des événements du récit lyrique - Michaël Levinas a largement adapté la nouvelle de Kafka) confie à trois sopranos ce prologue. Ainsi le récit de La Métamorphose débute-t-il par autre chose que lui-même, un autre lyrique qui n'est pas le récit, qui n'est pas même un récit, mais qui prépare à l'écoute de la Passion de Gregor qui suit - l'infra-récit est la préfiguration de l'infra-homonidée kafkaïenne mourante que montrera La Métamorphose - avec toute la résonance de ce parti-pris dramaturgique dans l'histoire politique de l'humanité. Ce geste est théâtral autant que musical. Il est très caractéristique de la sensibilité du compositeur pour ce qui, dans la musique, induit le lyrisme, le lyrisme étant entendu ici comme la mise en oeuvre de 'toutes les puissances que recèle le verbe soumis au rythme et à la mélodie' (2). En un mot, la dimension théâtrale de l'opéra n'est pas reniée par Michaël Levinas - au contraire : elle est exaltée.
Toutes les puissances que recèle le verbe aident le compositeur dans son projet lyrique. Si le chant naît du verbe chez Michaël Levinas, il faut considérer que les parties instrumentales aussi naissent du verbe. Aux parties instrumentales s'ajoutent les parties électroniques qui, dans La Métamorphose autant que dans Les Nègres, opéra de 2003 d'après la pièce éponyme de Jean Genêt, donnent au son ce statut irréel, magique nécessaire à tout lyrisme. Elles aussi sont pensées, écrites, composées comme un prolongement des données du langage. Dans La Métamorphose, la polyphonie vient essentiellement de la voix démultipliée de Gregor et cette démultiplication est autant instrumentale qu'électronique. Le chant - émouvant ô combien - de Gregor est un choral, sa voix est intermédiaire, ni la sienne seule, ni une pluralité identifiable. La voix de Gregor participe d'une singularité inaudible - un monstrueux bien au-delà de l'hybride - pour son entourage qui le conduit à mourir (par décence ? par abandon de ses proches ?). Il y eut dans Les Nègres 'un langage tambouriné tissant des liens entre les phonèmes de la langue et la percussion' (3) et dans cette veine, récemment, Le Poème battu - il y eut en 2008 les réussites madrigalistes de Le 'O' du haut et des Trois chansons pour la Loterie Pierrot et Jean Lagresle sur un texte de Valère Novarina - il y eut enfin, pour La Métamorphose, l'acmé (provisoire - telle est l'activité de création) de l'analyse et de la synthèse sonore par ordinateur de la voix parlée et chantée (4).
Comment faire des mots eux-mêmes un chant, un drame, un opéra enfin ? C'est là tout l'enjeu de la poïétique de Michaël Levinas. Le poïen grec, c'est la réponse à la question du faire. Dès Go-Gol (1996) (5) -le titre, Go-Gol est déjà un jeu de décomposition / recomposition du nom de l'écrivain dont est tiré le livret, le compositeur fait du mot le ressort de sa dramaturgie musicale. Il est entré depuis dans le son du mot lui-même et applique au champ de la linguistique une démarche spectrale (6). Ainsi naît son matériau lyrique. Décortiquant les données des hauteurs, des syllabes, phonèmes et morphèmes, Michaël Levinas - avec l'aide d'un outil informatique de plus en plus puissant - en tire des tournoiements, des arabesques, des lignes qui entent une composition destinée à la scène. L'opéra est bien là un lieu de création. La pointe de ce qui constitue la création musicale - à la fois l'oeuvre d'un compositeur qui est la recherche d'une vie et les outils qu'il utilise en les faisant évoluer - est non seulement viable, mais éminemment émouvante à la scène : la palette que s'est constituée le musicien induit bel et bien cette vibration des affects que tout un chacun veut à l'opéra, toutes époques confondues.
'(...) c'est à l'opéra que, paradoxalement, tend je dirais toute oeuvre instrumentale.' déclarait en 1982 le compositeur (7). En effet, l'oeuvre de Michaël Levinas offre de lire les étapes de cette conception et des recherches qu'elle appelle. Ancrée dans le langage, toute adonnée au théâtre, la lyre de Michaël Levinas allie l'exigence créatrice à la séduction parfois vénéneuse d'une émotion dramatisée avec art. Pour l'heure, le compositeur a fait de la syllabe son mystère. Du mystère naît le drame et, sur scène, d'une dramaturgie naît un mystère par lequel le compositeur nous impose son temps, non pas le temps d'un drame, mais le temps intérieur résonant - pour notre plus grand plaisir.
Benoît Walther, novembre 2011
(1) Interview 'Yannick Haenel, pourquoi aimez-vous La Métamorphose ?', parue dans Kafka, La Métamorphose (page II), traduction et présentation par Bernard Lortholary, Garnier Flammarion, Paris, 2010, 103 pages.
(2) Pierre Grimal, Le Lyrisme à Rome, Introduction (p.15), Presses Universitaires de France, Paris, 1978, 304 pages.
(3) Notice de Michaël Levinas pour l'opéra Les Nègres, mai 2002.
(4) Les parties électroniques de Les Nègres et de La Métamorphose ont été réalisées à l'Ircam.
(5) Le compositeur parle alors de 'traitement animal' de la langue française (Autour de Go-Gol : forme, récit, textualité dans l'opéra contemporain, entretien avec Evelyne Andreani, in : cf note 7).
(6) Est spectrale une musique fondée sur l'analyse du spectre du son : découle de cette analyse l'organisation des paramètres musicaux et, in fine, de toute la composition elle-même. Aujourd'hui, les sons analysés peuvent atteindre des degrés de complexité très grands : par exemple, dans le cas de Michaël Levinas, la pénétration du détail d'une énonciation chantée autant que parlée.
(7) Michaël Levinas, 'Qu'est-ce que l'instrumental ?', texte prononcé à Darmstadt en juillet 1982, in Le Compositeur trouvère, Ecrits et entretiens (1982-2002), textes réunis et annotés par Pierre-Albert Castanet et Danielle Cohen-Levinas (p.33), L'Harmattan, Paris, 2002, 428 pages. / contemporain / Répertoire / Solistes, Choeur et Orchestre
101.80 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Concerto op 16, parties
séparées (LHOYER
ANTOINE DE) (LHOYER
ANTOINE DE) En Français Guitare, Orchestre Editions Buissonnieres
Par LHOYER ANTOINE DE. Antoine de Lhoyer 1768-1852
Collection pour la guitare pr...(+)
Par LHOYER ANTOINE DE. Antoine de Lhoyer 1768-1852
Collection pour la guitare proposée par le duo Spinosi
La vie d'Antoine de Lhoyer est un véritable roman dont la guitare reste le personnage central. Ce compositeur, guitariste, Chevalier de Saint-Louis et de Saint-Jean de Jérusalem, Garde de la Manche du Roi, nous a légué des chefs-d'?uvre longtemps restés dans l'obscurité des bibliothèques.
La présente édition s'attache à vous en livrer les plus belles pages.
La première édition connue de ce concerto fut publiée par Böhme, à Hambourg, en 1802. Il peut sembler curieux qu'une ?uvre aussi enthousiasmante soit restée si longtemps ignorée des guitaristes et du public alors que son existence était parfaitement connue.
Ce concerto fut recréé en 2001 à Brest avec l'Ensemble Matheus (dirigé par Jean-Christophe Spinosi). Après l'avoir joué de très nombreuses fois en France et en Espagne, puis enregistré, j'invite tous les guitaristes à partager mon enthousiasme, ma joie et ma passion pour cette ?uvre superbe.
Voici LE concerto que tout guitariste devrait désormais avoir à son répertoire ! - Philippe Spinosi
Conducteur et parties séparée de guitare, 4 violon I, 4 violon II, 2 alto, 3 basse.
Révisions, cadences et reconstitution du IIe mouvement par Philippe Spinosi.
Le Concerto opus 16 et des duos pour guitares d'Antoine de Lhoyer ont été enregistrés en février 2004 par Philippe Spinosi et l'Ensemble Matheus sous la direction de Jean-Christophe Spinosi.
Disque paru chez Naïve : www.naiveclassique.com
Le Concerto pour guitare existe également pour guitare et piano : Concerto pour guitare opus 16 et pour orchestre en conducteur de poche. / Date parution : 2003-05-01/ Répertoire / Guitare
66.70 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Concerto pour guitare op
16 (LHOYER ANTOINE DE)
(LHOYER ANTOINE DE) En Français Guitare, Orchestre [Conducteur] Editions Buissonnieres
Par LHOYER ANTOINE DE. Antoine de Lhoyer 1768-1852
Collection pour la guitare pr...(+)
Par LHOYER ANTOINE DE. Antoine de Lhoyer 1768-1852
Collection pour la guitare proposée par le duo Spinosi
La vie d'Antoine de Lhoyer est un véritable roman dont la guitare reste le personnage central. Ce compositeur, guitariste, Chevalier de Saint-Louis et de Saint-Jean de Jérusalem, Garde de la Manche du Roi, nous a légué des chefs-d'?uvre longtemps restés dans l'obscurité des bibliothèques.
La présente édition s'attache à vous en livrer les plus belles pages.
La première édition connue de ce concerto fut publiée par Böhme, à Hambourg, en 1802. Il peut sembler curieux qu'une ?uvre aussi enthousiasmante soit restée si longtemps ignorée des guitaristes et du public alors que son existence était parfaitement connue.
Ce concerto fut recréé en 2001 à Brest avec l'Ensemble Matheus (dirigé par Jean-Christophe Spinosi). Après l'avoir joué de très nombreuses fois en France et en Espagne, puis enregistré, j'invite tous les guitaristes à partager mon enthousiasme, ma joie et ma passion pour cette ?uvre superbe.
Voici LE concerto que tout guitariste devrait désormais avoir à son répertoire ! - Philippe Spinosi
Conducteur et parties séparée de guitare, 4 violon I, 4 violon II, 2 alto, 3 basse.
Révisions, cadences et reconstitution du IIe mouvement par Philippe Spinosi.
Le Concerto opus 16 et des duos pour guitares d'Antoine de Lhoyer ont été enregistrés en février 2004 par Philippe Spinosi et l'Ensemble Matheus sous la direction de Jean-Christophe Spinosi.
Disque paru chez Naïve : www.naiveclassique.com
Le Concerto pour guitare existe également pour guitare et piano : Concerto pour guitare opus 16 et pour orchestre en conducteur de poche. / Date parution : 2003-05-01/ Répertoire / Conducteur seul
28.80 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Concerto pour guitare op
16, cond. d?orchestre de
poche (LHOYER ANTOINE DE)
(LHOYER ANTOINE DE) En Français Guitare, Orchestre Editions Buissonnieres
Par LHOYER ANTOINE DE. La vie d'Antoine de Lhoyer est un véritable roman dont l...(+)
Par LHOYER ANTOINE DE. La vie d'Antoine de Lhoyer est un véritable roman dont la guitare reste le personnage central. Ce compositeur, guitariste, Chevalier de Saint-Louis et de Saint-Jean de Jérusalem, Garde de la Manche du Roi, nous a légué des chefs-d'?uvre longtemps restés dans l'obscurité des bibliothèques.
La présente édition s'attache à vous en livrer les plus belles pages.
La première édition connue de ce concerto fut publiée par Böhme, à Hambourg, en 1802. Il peut sembler curieux qu'une ?uvre aussi enthousiasmante soit restée si longtemps ignorée des guitaristes et du public alors que son existence était parfaitement connue.
Ce concerto fut recréé en 2001 à Brest avec l'Ensemble Matheus (dirigé par Jean-Christophe Spinosi). Après l'avoir joué de très nombreuses fois en France et en Espagne, puis enregistré, j'invite tous les guitaristes à partager mon enthousiasme, ma joie et ma passion pour cette ?uvre superbe.
Voici LE concerto que tout guitariste devrait désormais avoir à son répertoire ! / Date parution : 2003-04-01/ Répertoire / Conducteur Poche
13.80 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Légendes Urbaines
(MURAIL TRISTAN) En Français 22 Instruments [Partition] Lemoine, Henry
Par MURAIL TRISTAN. (Prendre les mots 'légendes' et 'urbaines' dans leurs diffÃ...(+)
Par MURAIL TRISTAN. (Prendre les mots 'légendes' et 'urbaines' dans leurs différents sens et en tester toutes les combinaisons)
Légendes urbaines est le résultat d'une commande précise de l'Ensemble intercontemporain, à l'occasion d'un concert 'à thème', lui-même partie d'une saison thématique. Ces thèmes, comme l'on sait, sont: la ville, le voyage, et plus précisément, pour ce concert, New York - New York n'étant évidemment pas une destination de voyage pour moi, sinon celle d'un 'commuting' fréquent depuis ma résidence semi-rurale. Les thèmes littéraires ou visuels en musique ont fait couler beaucoup d'encre et plongent plus d'un dans la perplexité. La musique peut-elle exprimer ou raconter ? Est-il possible de ressusciter le poème symphonique ? D'écrire encore des opéras ? Si oui, est-il légitime de le faire, ou n'est-ce pas définitivement obsolète ? Comme je crois à la méthode expérimentale, j'ai décidé de relever le défi et de m'essayer au thème proposé, non sans garder quelque distance ironique vis-à -vis de l'exercice. Occasion aussi de rechercher quelques modèles et de ne pas se priver de références, plus ou moins transparentes, à quelques-uns de mes prédécesseurs sur le nouveau continent. Le modèle formel est celui des Tableaux d'une exposition, avec sa suite de vignettes sonores entrelacées de promenades - les références musicales, on pourra s'amuser à les deviner. Les allusions visuelles, points de départ ou d'arrivée de la rêverie musicale, ne seront pas l'Empire State Building, la Statue de la Liberté et autres cartes postales formatées pour le tourisme, mais plutôt les images et sensations suscitées par la fréquentation d'une ville à la fois très familière et tout à fait étrangère.
Promenade 1
Les 'promenades' de Moussorgski s'effectuaient d'un pas à la fois martial et guilleret... Dans Manhattan, les distances sont grandes, qui inciteront à prendre plutôt le 'Subway', célèbre pour son infernal vacarme métallique. Par prudence pour nos tympans, on l'écoutera d'assez loin, accompagné d'appels de cuivres, le plus souvent sous forme de tierces descendantes - les 5 espèces de tierces permises par l'écriture en quarts de tons. Vacarmes métalliques et appels de cuivres ne se limitent d'ailleurs pas à constituer l'essentiel des 'promenades', mais envahissent les recoins de toute la pièce.
Staten Island Ferry
Autrefois, la 'skyline' (la ligne des gratte-ciels) de Manhattan surgissait pour le voyageur lentement sur l'horizon, objet de tous les rêves et de tous les espoirs, au terme d'une longue traversée maritime. Le bateau franchissait la rade de New-York, saluait au passage la Statue de la Liberté, et allait s'amarrer directement au pied des 'high-rises'. On se rappelle les vieux films et vues d'archives. New York ne s'aborde plus par la mer et cet aspect du rêve américain a donc disparu, mais on peut revivre l'expérience, dans une certaine mesure, en prenant le ferry de Staten Island. Au retour, on peut s'imaginer, accoudé à la rambarde d'un paquebot, découvrant la ville longtemps espérée... la vue est splendide, et le ferry gratuit - chose rare en ce pays.
Central Park at twilight
Superposition de musiques émanant de lieux différents, et se mouvant à différentes vitesses. Sensation étrange d'échapper un moment à la réalité de la ville dont les bruits ne parviennent qu'étouffés. Instants ambigus du crépuscule, brefs et éternels, bruissements dans les fourrés déjà obscurs (ce ne sont que les écureuils), les silhouettes des gratte-ciels s'illuminent une à une à travers les frondaisons. Chant harmonique de la 'Swainson's thrush' (grive à dos olive). Les derniers promeneurs se hâtent vers les sorties: de nos jours, il n'est plus très recommandé de rester écouter les sons de 'Central Park in the Dark'.
Sunday Joggers
Toujours à Central Park: le dimanche, s'installer le long de l'une des routes qui traversent le parc, et qui, fermées à la circulation, sont envahies par une foule ahanante, transpirante et clopinante. 'Joggers' de tous âge, sexe, taille, couleur et embonpoint - toutes vitesses, allures et harnachements. Certain(e)s promènent leur progéniture dans des poussettes de course (3 roues surdimensionnées, profilage aérodynamique), d'autres peinent à suivre leur(s) chien(s). Quelques tricheurs passent à vélo ou sur patins à roulettes. Toute une humanité pantelante défile devant vos yeux, et il faudrait être Daumier pour croquer le spectacle - ici c'est le prétexte d'une modeste étude sur les tempi superposés.
Whirlwinds
Le plan de Manhattan est intéressant: systématiquement rectangulaire, mais avec quelques grandioses irrégularités, en particulier celles provoquées par Broadway qui, vestige d'un vieux chemin indien, coupe diagonalement rues et avenues, provoquant de ce fait quelques extravagances architecturales et topologiques. Une autre conséquence du plan d'urbanisme - ou d'une absence de celui-ci - est que la circulation atmosphérique se trouve très fortement perturbée. Certains carrefours sont ainsi le siège de redoutables tourbillons venteux, en particulier ces carrefours complexes provoqués par l'intrusion de Broadway dans le damier urbain, ou encore la climatiquement terrifiante intersection entre Riverside et la 122ème rue, où la présence d'un clocher-gratte-ciel néo-pré-raphaélite perturbe fortement les masses d'air qui circulent le long de la rivière Hudson.
Promenade 2
Plus agitée que la Promenade 1, et conduisant au triptyque suivant:
George Washington Bridge 1
The Frozen River
George Washington Bridge 2
'Non seulement les possibilités des harmoniques des sons seront-elles révélées dans toute leur splendeur, mais encore l'usage de certaines interférences créées par les partiels constituera-t-il une contribution appréciable. On pourra s'attendre à l'utilisation, jamais envisagée jusqu'à ce jour, des résultants inférieurs et des sons différentiels et additionnels. Une magie sonore totalement nouvelle !' (Edgar Varèse, extrait d'une conférence donnée à Santa Fe en 1936).
George Washington Bridge, c'est notre Grande Porte de Kiev - et l'une des peu nombreuses voies d'accès à l'île de Manhattan (car Manhattan est une île, on l'oublie parfois). Une 'Grande Porte' en ferraille et en réfection permanente, mais qui fut un symbole de modernité en son temps et fascina, dit-on, Edgar Varèse, qui venait en surveiller l'avancement des travaux. C'est aussi l'occasion d'un triptyque intérieur, qui respecte la symétrie de l'ouvrage, ses deux piliers de métal argenté, son double pont d'où l'on peut jouir de vues somptueuses sur la skyline, le tout jeté sur un fleuve parfois gelé en hiver. C'est enfin un hommage à l'intuition prophétique de Varèse, dont la citation ci-dessus décrit très précisément les types d'harmonies développés quarante ans plus tard par les techniques dites 'spectrales' - sans que lui-même n'ait pu mettre ces idées en application.
Promenade 3
Au ralenti, et tuilée avec:
Hyperlinks
Où des connexions s'établissent subitement entre divers moments entendus précédemment - établissement de 'liens' inattendus entre textures les plus opposées.
Promenade 4
Rappel de la promenade 1, puis retour à Central Park, qui maintenant s'enfonce dans la nuit - dernier chant de la grive à dos olive...
Tristan Murail
Programme de l'EIC, Concert à la Cité de la Musique / contemporain / Répertoire / 22 Instruments
93.20 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Silvana Wev C.5 Band 3A Soli, choeur mixte et accompagnement Schott
La renommée de Carl Maria von Weber repose principalement sur, Der Freischütz ...(+)
La renommée de Carl Maria von Weber repose principalement sur, Der Freischütz '. Le succès sans précédent de cet opéra éclipsé tous ses autres ouvrages et a contribué à augmenter leur chute dans l'oubli. Certaines oeuvres comme, Preciosa ',, Oberon ', et, Euryanthe', les ouvertures, concertos solistes et sonates pour piano, le lied et de la chambre de travaille connu une grande popularité et ont été largement connu en Allemagne et à l'étranger aussi tard que la seconde moitié de la 19e siècle. Cependant, toute chance d'un renouveau de l'influence de Weber et deimportance de son oeuvre a été gaspillé dans les années 1920, quand une édition complète - commencé par Hans Joachim Moser et avec les contributeurs potentiels, y compris Wilhelm Kempff, Hans Pfitzner, Max von Schillings, Fritz Stein et Richard Strauss - a échoué après le troisième volume.Depuis il ya eu de nombreuses tentatives pour relancer une édition complète des oeuvres de Weber, mais comme ce genre de projet, il aurait fallu la coopération des chercheurs des deux côtés de la frontière inter-allemande, la situation politique après 1945 n'était pas propice à une telle entreprise. Négociations minutieuses conduit à des premières étapes tangibles dans les années 1980. L'intention, dès le début, était de placer l'oeuvre de Weber dans son contexte, et de ne pas séparer sa production musicale de son travail d'influence en tant qu'écrivain, critique et organisateur dans le domaine musical, mais de publier ses compositions avec ses lettres, journaux intimes et l'autre production littéraire comme le meilleur moyen de documenter la fertilisation croisée entre ses activités musicales, littéraires et pratique.Depuis la réunification allemande les deux parties de travailler les concernés - à la Staatsbibliothek zu Berlin, et au Séminaire Musikwissenschaftliches, Detmold / Paderborn - ont coopéré sur l'édition complète des oeuvres musicales (C. 45 volumes en 10 séries: sacrés la musique- cantates, des odes et d'autres oeuvres de circonstance- oeuvres théâtrales, des oeuvres de lieder et vocale- oeuvres pour orchestre- musique de chambre, musique pour piano- réductions pour piano- Miscellanea, arrangements et orchestrations, les oeuvres d'attribution douteuse). Le journal (6-8 vol.) Sont édités à Berlin et les lettres (8-10 vol.) Et d'autres écrits (2 vol.) À Detmold.Cette édition complète vise à constituer une base fiable de débat scientifique ainsi que pour la pratique de la performance authentique de la musique de Carl Maria von Weber. Conforme aux normes de ces dernières éditions historico-critiques, le matériau textuel sera basée sur toutes les sources disponibles authentiques, accompagnés par une documentation détaillée de la genèse et une liste de variantes pour chaque travail. L'importance des travaux musicologiques seront évaluées en les plaçant dans leur contexte historique, la présentation de leurs commentaires genèse, l'histoire et la critique. Les lettres, les écrits et les journaux seront traités comme liés entre eux et pertinentes les unes aux autres dans les commentaires, donc les lecteurs devraient bénéficier d'une mine d'informations concises et des références croisées. / Soliste, Choeur Et Orchestre
217.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Silvana Wev C.5 Band 3C Soli, choeur mixte et accompagnement Schott
La renommée de Carl Maria von Weber repose principalement sur, Der Freischütz ...(+)
La renommée de Carl Maria von Weber repose principalement sur, Der Freischütz '. Le succès sans précédent de cet opéra éclipsé tous ses autres ouvrages et a contribué à augmenter leur chute dans l'oubli. Certaines oeuvres comme, Preciosa ',, Oberon ', et, Euryanthe', les ouvertures, concertos solistes et sonates pour piano, le lied et de la chambre de travaille connu une grande popularité et ont été largement connu en Allemagne et à l'étranger aussi tard que la seconde moitié de la 19e siècle. Cependant, toute chance d'un renouveau de l'influence de Weber et deimportance de son oeuvre a été gaspillé dans les années 1920, quand une édition complète - commencé par Hans Joachim Moser et avec les contributeurs potentiels, y compris Wilhelm Kempff, Hans Pfitzner, Max von Schillings, Fritz Stein et Richard Strauss - a échoué après le troisième volume.Depuis il ya eu de nombreuses tentatives pour relancer une édition complète des oeuvres de Weber, mais comme ce genre de projet, il aurait fallu la coopération des chercheurs des deux côtés de la frontière inter-allemande, la situation politique après 1945 n'était pas propice à une telle entreprise. Négociations minutieuses conduit à des premières étapes tangibles dans les années 1980. L'intention, dès le début, était de placer l'oeuvre de Weber dans son contexte, et de ne pas séparer sa production musicale de son travail d'influence en tant qu'écrivain, critique et organisateur dans le domaine musical, mais de publier ses compositions avec ses lettres, journaux intimes et l'autre production littéraire comme le meilleur moyen de documenter la fertilisation croisée entre ses activités musicales, littéraires et pratique.Depuis la réunification allemande les deux parties de travailler les concernés - à la Staatsbibliothek zu Berlin, et au Séminaire Musikwissenschaftliches, Detmold / Paderborn - ont coopéré sur l'édition complète des oeuvres musicales (C. 45 volumes en 10 séries: sacrés la musique- cantates, des odes et d'autres oeuvres de circonstance- oeuvres théâtrales, des oeuvres de lieder et vocale- oeuvres pour orchestre- musique de chambre, musique pour piano- réductions pour piano- Miscellanea, arrangements et orchestrations, les oeuvres d'attribution douteuse). Le journal (6-8 vol.) Sont édités à Berlin et les lettres (8-10 vol.) Et d'autres écrits (2 vol.) À Detmold.Cette édition complète vise à constituer une base fiable de débat scientifique ainsi que pour la pratique de la performance authentique de la musique de Carl Maria von Weber. Conforme aux normes de ces dernières éditions historico-critiques, le matériau textuel sera basée sur toutes les sources disponibles authentiques, accompagnés par une documentation détaillée de la genèse et une liste de variantes pour chaque travail. L'importance des travaux musicologiques seront évaluées en les plaçant dans leur contexte historique, la présentation de leurs commentaires genèse, l'histoire et la critique. Les lettres, les écrits et les journaux seront traités comme liés entre eux et pertinentes les unes aux autres dans les commentaires, donc les lecteurs devraient bénéficier d'une mine d'informations concises et des références croisées. / Soliste, Choeur Et Orchestre
312.80 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Petites Scenes De La Vie
Courante (ARCENS GILLES) Orchestre d'harmonie [Partition] FLEX Editions
Par ARCENS GILLES. 'Ces petites pièces constituent une suite pour Orchestre d'H...(+)
Par ARCENS GILLES. 'Ces petites pièces constituent une suite pour Orchestre d'Harmonie. ' Le Début… ' et ' …Et la FIN ' faisaient parties d'une proposition de générique de télévision. Ecrites initialement pour le piano, ce n'est qu'en 2004, lors d'une longue hospitalisation, que j'ai eu l'idée de les orchestrer et d'en faire une suite pour Harmonie.
Faciles d'accès, ces pièces se veulent légères et humoristiques. Les titres donnent facilement une idée du caractère à donner à chacune de ces compositions. Mis à part ' Le Début… ' et ' … Et la FIN ', je laisse au Chef d'Orchestre toute latitude pour disposer les pièces centrales, ' L'Heure de Pointe ', ' Un Moment Presque Tranquille ', et ' Le Voyage en Train ', dans l'ordre qui lui convient.' - Gilles ARCENS/ Répertoire / Orchestre D'Harmonie
106.00 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Dufourt Hugues - Le Mani
Del Violinista D'apres
Giacomo Balla -
Conducteur Orchestre [Conducteur] Lemoine, Henry
Création 26/08/2015 - Sion (Suisse) - Finale du Concours International de violo...(+)
Création 26/08/2015 - Sion (Suisse) - Finale du Concours International de violon Tibor Varga - Orchestre de Chambre de Lausanne Commanditaire Concours International de violon Tibor Varga Notice Le futurisme italien fut, au début du XXe siècle, le premier véritable mouvement d'avant-garde qui, en Europe, refusa l'art dans sa totalité, décréta l'abolition du passé et prétendit rénover tous les aspects de la vie humaine en cherchant à exprimer la nature et les problèmes du monde moderne. Le mouvement fut inauguré par Marinetti en 1909, suivi un an plus tard du manifeste de la peinture futuriste signé par Giacomo Balla, Carlo Carrà , Umberto Boccioni et Luigi Russolo. La bataille futuriste, qui mobilisa le vif de l'art italien de 1910 à 1916, naquit d'une violente polémique contre la tradition figurative et la conception de l'image-spectacle. La philosophie futuriste, nourrie d'élan vital, d'utopie machiniste et d'ardeur dionysiaque entendait dynamiter la culture antiquaire de l'Italie officielle. Marinetti exalte la vitesse, le mouvement, le bruit, la guerre. Mais aussi la pulsion, la déraison, la transgression, le débridement des ambitions et des désirs humains. Le caractère novateur et visionnaire du futurisme italien fut toutefois passablement terni par ses imprécations et ses fourvoiements politiques. Laissant de côté l'orientation réactionnaire du mouvement et son esprit de clocher extrémiste, on retiendra, parmi les traits les plus originaux du futurisme pictural, la recherche de la représentation du mouvement, avant l'invention du cinéma et avant l'art cinétique. S'inspirant des séquences photographiques d'Eadward Muybridge et de la chronophotographie d'Etienne-Jules Marey, les futuristes italiens sont parvenus à un incontestable degré de réussite dans le domaine proprement plastique. Le processus du devenir est représenté comme tel, et se déploie selon des lignes de force et des formes en croissance. La couleur est également saisie dans son dynamisme, avec ses foyers et ses aires de diffusion. Dans Le mani del violinista, une huile sur toile de 1912 aujourd'hui à Londres, Giacomo Balla s'est également livré à un exercice de synesthésie, cherchant à transposer en images un processus qui fait appel à d'autres modalités sensorielles. Le geste du violoniste, le placement de l'instrument à hauteur d'épaule, les mouvements combinés de la main et du bras, l'écartement et l'échelle d'appui des doigts de la main gauche, la mise en vibration des cordes, l'élan et le rebondissement de l'archet, sa vivacité et son exactitude, tous ces facteurs qui d'ordinaire demeurent imperceptibles et indissociables sont ainsi décomposés, puis réunis et rendus en une impression unique. Les mouvements successifs de la main et les morsures d'archet se séparent selon des procédés pointillistes, puis s'assemblent en une séquence accélérée et se lient dans le même fondu qui restitue l'unité et les inflexions de la tension musculaire. Ce qui est donné à voir n'est pas une illustration réaliste ni une nomenclature des possibilités instrumentales mais un condensé des allures de l'exécution transcendante, montrant les réflexes d'une main rompue au mécanisme de son instrument. Ma propre version musicale de la toile de Giacomo Balla s'inspire des caractères de cette vision futuriste de l'art. La virtuosité même de l'instrumentiste, son habileté d'exécutant, est ici expressément représentée comme un art de l'art. La partition porte une attention aigüe à la technique spécifique de l'effet sonore, à la justesse du geste instrumental dans la dépense de l'archet et la souplesse des déplacements. La grande école des violonistes consistait à faire disparaître le manteau rugueux des aspérités naturelles de l'instrument sous une surface lisse et parfaite de sonorités épurées. Ce grand art évolue aujourd'hui sous la pression d'une esthétique contemporaine plus sensible au grain, aux effets de texture voire aux effets raboteux de l'archet. Un autre type de virtuosité se fait jour, qui intègre les coups d'archets, les accents, les sons dénaturés, dans une sorte de formalisme instrumental pris au second degré. Les interférences entre les différents modes de jeu importent plus désormais que leur intégration dans une sonorité optimale. Cet art insatiable ne recherche plus la magnificence mais l'épreuve. La partition se divise en trois grandes parties. La première est une cadence confiée au soliste, centrée sur les accords, la rythmique et les enjambements d'une articulation qui ne se plie pas aux divisions métriques de la mesure. La seconde partie est l'enfer des violonistes et met aux prises, parmi toutes les cordes de l'orchestre, des figures contrapuntiques hachées, heurtées et contrastées. La troisième partie est davantage tournée vers des études d'équilibre de sonorités, dont la cohérence est délicate à obtenir car les notes se situent dans des registres extrêmes ou paradoxaux. Le soliste est confronté à un type nouveau de virtuosité, celui des sons harmoniques - groupes d'harmoniques naturels ou artificiels. Commande du Concours International de Violon Tibor Varga Sion Valais, la partition est écrite pour l'Edition 2015 de ce Concours. L'oeuvre est dédiée à Enzo Restagno. Hugues Dufourt
30.20 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| Petite Obscurité
(COMBIER JEROME) En Français Flûte Traversière
Clarinette, Guitare, Alto et Vio Lemoine, Henry
Par COMBIER JEROME. Petite obscurité est composée à partir de l'Offrande Musi...(+)
Par COMBIER JEROME. Petite obscurité est composée à partir de l'Offrande Musicale de Jean-Sébastien Bach. Tâche délicate, un peu audacieuse (quoique souvent perpétrée), peut-être impossible, mais qui dit avant tout mon profond attachement à cette musique. Le modèle n'apparaît toutefois jamais ostensiblement, mais toujours de manière voilée, cryptée, déformée, comme une charpente invisible. C'est peut-être avant tout le caractère contrapuntique de la musique qui révèle la filiation et que j'ai souhaité mettre en lumière. Mais les lignes mélodiques qui constituent ces contrepoints sont déformées par des quarts de ton et si intimement unies (canon à la seconde mineure, contrepoint dans le registre aigu, canon dit 'écrevisse') qu'elles finissent par créer entre elles des irisations, des reflets, et par basculer dans le registre du timbre. Elles jalonnent la partition comme autant de salles - obombrées, a giorno - où le temps se fige, mais pour un instant seulement car la musique, loin d'y séjourner reprend son cours. Dans Petite obscurité, il fut question pour moi de ne rompre jamais la fluidité que j'ai souhaité lui donner. Le titre est emprunté aux écrits apocryphes d'Esther Hallam Meynell La petite chronique d'Anna Magdalena Bach : 'Deux chandelles entre nous (je faisais toujours bien attention de les moucher, afin que la fleur de lumière ne soit pas gâtée par une épine d'obscurité), nous travaillions en silence.' / contemporain / Répertoire / Flûte Traversière Clarinette, Guitare, Alto et Vio
29.90 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Abu Hassan Wev C.6 Soli, choeur mixte et accompagnement Schott
La renommée de Carl Maria von Weber repose principalement sur, Der Freischütz ...(+)
La renommée de Carl Maria von Weber repose principalement sur, Der Freischütz '. Le succès sans précédent de cet opéra éclipsé tous ses autres ouvrages et a contribué à augmenter leur chute dans l'oubli. Certaines oeuvres comme, Preciosa ',, Oberon ', et, Euryanthe', les ouvertures, concertos solistes et sonates pour piano, le lied et de la chambre de travaille connu une grande popularité et ont été largement connu en Allemagne et à l'étranger aussi tard que la seconde moitié de la 19e siècle. Cependant, toute chance d'un renouveau de l'influence de Weber et deimportance de son oeuvre a été gaspillé dans les années 1920, quand une édition complète - commencé par Hans Joachim Moser et avec les contributeurs potentiels, y compris Wilhelm Kempff, Hans Pfitzner, Max von Schillings, Fritz Stein et Richard Strauss - a échoué après le troisième volume.Depuis il ya eu de nombreuses tentatives pour relancer une édition complète des oeuvres de Weber, mais comme ce genre de projet, il aurait fallu la coopération des chercheurs des deux côtés de la frontière inter-allemande, la situation politique après 1945 n'était pas propice à une telle entreprise. Négociations minutieuses conduit à des premières étapes tangibles dans les années 1980. L'intention, dès le début, était de placer l'oeuvre de Weber dans son contexte, et de ne pas séparer sa production musicale de son travail d'influence en tant qu'écrivain, critique et organisateur dans le domaine musical, mais de publier ses compositions avec ses lettres, journaux intimes et l'autre production littéraire comme le meilleur moyen de documenter la fertilisation croisée entre ses activités musicales, littéraires et pratique.Depuis la réunification allemande les deux parties de travailler les concernés - à la Staatsbibliothek zu Berlin, et au Séminaire Musikwissenschaftliches, Detmold / Paderborn - ont coopéré sur l'édition complète des oeuvres musicales (C. 45 volumes en 10 séries: sacrés la musique- cantates, des odes et d'autres oeuvres de circonstance- oeuvres théâtrales, des oeuvres de lieder et vocale- oeuvres pour orchestre- musique de chambre, musique pour piano- réductions pour piano- Miscellanea, arrangements et orchestrations, les oeuvres d'attribution douteuse). Le journal (6-8 vol.) Sont édités à Berlin et les lettres (8-10 vol.) Et d'autres écrits (2 vol.) À Detmold.Cette édition complète vise à constituer une base fiable de débat scientifique ainsi que pour la pratique de la performance authentique de la musique de Carl Maria von Weber. Conforme aux normes de ces dernières éditions historico-critiques, le matériau textuel sera basée sur toutes les sources disponibles authentiques, accompagnés par une documentation détaillée de la genèse et une liste de variantes pour chaque travail. L'importance des travaux musicologiques seront évaluées en les plaçant dans leur contexte historique, la présentation de leurs commentaires genèse, l'histoire et la critique. Les lettres, les écrits et les journaux seront traités comme liés entre eux et pertinentes les unes aux autres dans les commentaires, donc les lecteurs devraient bénéficier d'une mine d'informations concises et des références croisées. / Soliste, Choeur Et Orchestre
361.20 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Les Sept Paroles (MURAIL
TRISTAN) En Français Orchestre, Choeur et Electronique [Partition] Lemoine, Henry
Par MURAIL TRISTAN. (...) (Les Sept paroles) bénéficie(nt) des plus récents d...(+)
Par MURAIL TRISTAN. (...) (Les Sept paroles) bénéficie(nt) des plus récents développements sur le plan de la synthèse vocale. L'intervention de l'ordinateur durant le concert a été remplacé par une collection très élargie d'échantillons que le compositeur a élaborés avec son assistant (Grégory Beller) dans les studios parisiens de l'Ircam. Pendant le concert, les échantillons audio sont activés par un seul clavier situé au centre de l'orchestre. De cette façon, la synchronisation entre musiques acoustique et électronique est parfaite. Cette technique permet de confronter un choeur virtuel au choeur réel. Ceci est de très grande importance, car les chanteurs, si doués soient-ils, sont limités en termes de registre ainsi qu'en capacité d'intonation.
Tristan Murail indique : 'A certains moments précis, le choeur virtuel chante dans l'extrême aigu ou dans l'extrême grave et produit des micro-intervalles qui complètent les hauteurs diatoniques du choeur réel. J'utilise également des effets électroniques d'écho et de spatialisation qui présentent des similitudes avec le Requiem de Berlioz.'
Mais la référence à la musique de l'époque romantique s'arrête là . Les chanteurs de chair et d'os ne chantent pas une histoire ni ne traduisent d'émotion vive, sauf au milieu de la partie 4, où la partie de choeur atteint un point culminant. A l'échelle de l'ensemble de la pièce, l'orchestre et le choeur sont parfaitement unis. Ceci correspond à la sobriété de l'approche de Tristan Murail qui n'a pas voulu écrire un oratorio, mais 'une oeuvre orchestrale avec voix'. Pour les mêmes raisons, il s'est tout à fait détourné de l'idée d'un soliste qui représenterait le Christ.
'Je voulais absolument éviter le pathos du XIXème siècle. J'espère que l'émotion viendra de la forme musicale et non des mots. Afin de ne pas me laisser entraîner par le récit, j'ai d'abord écrit les notes. Ce n'est qu'ensuite que j'ai réfléchi à la mise en place du texte. J'ai pu ainsi dans mon processus de composition tenir le contenu sémantique à distance.' (Tristan Murail).
L'oeuvre commence par une introduction orchestrale de treize minutes qui édifie un décor où sont déjà mis en exergue certains éléments musicaux déterminants. Suivent les sept paroles elles-mêmes (sept parties enchaînées). Afin de fournir à l'auditeur des repères quant au déroulement de la forme, chaque partie est annoncée par des sons de cloches échantillonnés. Les textes de l'oeuvre n'ont pas tant trait aux sept dernières paroles du Christ en elles-mêmes qu'à un besoin spirituel plus général qui correspondrait à la condition humaine.
Les mots désespérés du Christ en croix : 'Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-Tu abandonné' (Matthieu, 27-46), sont empruntés à un Psaume dans lequel le croyant se plaint explicitement auprès de l'Eternel : 'Mon Dieu, j'appelle de jour et Tu ne réponds pas - et, de nuit, je ne m'apaise pas.' (Psaume 22-3). Tristan Murail a été touché par cette plainte et par l'interprétation radicale qu'en donnera Nietzsche bien des siècles plus tard : 'Dieu est mort'.
Sa composition se termine dans la déception par un choral extrêmement doux, presque murmuré, dans lequel le choeur répète la ligne du Psaume.
Dans l'oeuvre de Tristan Murail, la voix humaine joue un rôle discret. Il n'y a pas de chant soliste. Le chant choral intervient trois fois seulement : dans ces Sept paroles, dans leur précédent de 1988 et dans ...Amaris et dulcibus aquis... pièce pour choeur, synthétiseur et électronique de 1994.
Est-ce que Tristan Murail cherchera à dépasser à l'avenir l'énorme faille existant entre chant et spectralisme ? Son collègue spectral Gérard Grisey s'est tourné vers la musique vocale dans les dernières années de sa vie de manière très réussie. Tristan Murail nous dit que : 'la voix humaine ne fait partie d'aucun de mes projets pour les trois prochaines années. Il y aura peut-être des possibilités plus tard. Pendant la composition des Sept paroles, j'ai fait des découvertes dans ce domaine. J'ai par exemple été très satisfait du choral spectral qui revient à plusieurs reprises et de la manière dont, dans la cinquième partie, la mélodie vocale est colorée par le son de l'orchestre. Le choeur chante des intervalles simples qui sont perçus différemment grâce aux harmonies spectrales de l'orchestre.'
Michel Khalifa,
Extrait du programme de salle des ZaterdagMatinee,
Concertgebouw Amsterdam, 10 avril 2010
Traduction française : Editions Henry Lemoine / contemporain / Répertoire / Orchestre, Choeur et Electronique
84.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| L'Asie
D'Après
Tiepolo (DUFOURT HUGUES) En Français Ensemble [Partition] Lemoine, Henry
Par DUFOURT HUGUES. Entre 1752 et 1753, Giovanni Battista Tiepolo décora l'imme...(+)
Par DUFOURT HUGUES. Entre 1752 et 1753, Giovanni Battista Tiepolo décora l'immense voûte du Grand Escalier d'Honneur de la Résidence de Würzburg, dont Balthasar Neumann, l'architecte-ingénieur des Schönborn, premier architecte du prince-évêque, avait assumé la construction. Après la paix d'Utrecht, le comte Johann Philipp Franz von Schönborn ouvre l'un des plus importants chantiers de l'époque, celui du château de Würzburg, et le confie en 1719 à Neumann. L'originalité de Neumann consiste en une pensée géométrique particulièrement apte à concevoir et combiner les volumes, à orchestrer les surfaces et les effets de profondeur. Neumann avait reçu une formation d'artilleur et d'ingénieur militaire et nourrissait une passion des synthèses lotharingiennes, quand il n'embrassait pas des projets de 'grande architecture' européenne. Lointain héritier de Guarini, il pousse plus loin qu'aucun autre architecte allemand la réflexion novatrice sur les structures et résout ses problèmes d'espace par ce que les historiens d'art appellent une 'interpénétration syncopée'. Neumann aimait l'ampleur, non la pompe pittoresque. Il voulut édifier à Würzburg un grandiose édifice de portée universelle.
En 1752, le prince-évêque Karl Philipp von Greiffenklau confia à Tiepolo l'exécution des fresques monumentales décorant la voûte en ellipse gigantesque de l'escalier d'honneur (30 x 18 m), où le peintre mit en scène l'Olympe et les quatre continents. Tiepolo s'acquitta de sa tâche en deux cent dix-huit journées de travail. La fresque - à l'exécution de laquelle ont contribué Giandomenico Tiepolo, Urlaub et peut-être même Lorenzo Tiepolo - est signée et datée de 1753 sur la corniche, au dessous de l'Asie. La vue d'ensemble du plafond, avec une perspective déformant les bords, est centrée, en plein ciel, sur la figure triomphante d'Apollon, dieu de la lumière. Il s'agit d'une représentation mythologique du lever du soleil. Il se dégage de cette vision de l'Olympe une impression d'émergence aérienne de la profondeur, irrésistible et vertigineuse. Sur la corniche, Tiepolo a représenté les Quatre parties du monde. L'allégorie de l'Afrique se situe à l'Est, du côté intérieur. L'Asie figure à l'Ouest, ornant le côté longitudinal donnant sur la Cour d'Honneur. Le mur ouest est percé de trois fenêtres et s'ouvre sur un horizon dégagé.
L'allégorie de l'Asie - emblème de la science et de la monarchie - apparaît en costume d'apparat, assise en amazone sur un éléphant et parée de joyaux somptueux. C'est une figure savante, animée d'un mouvement de torsion. La frise de l'Asie reste une énigme et la signification symbolique des divers personnages du groupe à l'obélisque n'a, par exemple, pas encore été entièrement élucidée. Des mondes historiques coexistent ou s'affrontent: on remarque le Golgotha, les hiéroglyphes de pierre, le serpent d'Esculape, l'obélisque, une pyramide et la princesse d'Egypte, la capture d'une tigresse, le perroquet, illustrant la faune, et surtout, au premier plan, la masse des esclaves enchaînés, des prisonniers gisant au sol ou des sujets prosternés. Cet aspect trouble de la frise a d'ailleurs retenu l'attention des commentateurs. La présence d'une escorte de soldats fait sans doute allusion à l'importance militaire du continent, mais il est manifeste que le thème de la captivité y est traité conjointement à celui de la servitude volontaire.
Un esprit nouveau souffle sur cette dernière frise: des figures dramatiques, livides, des plans fragmentés, des situations amèrement réalistes, un enchevêtrement de corps distordus et anonymes. Un vent immatériel semble tout ployer, tout emporter sur son passage, dans l'urgence d'une impérieuse nécessité. L'Asie se souvient des gravures de Rembrandt, retrouve la manière des vingt-quatre hallucinantes eaux-fortes - les Scherzi di fantasia (1739-1757) - de Tiepolo lui-même et annonce les Caprices de Goya. Le capriccio semble le principe formel de cette fresque monumentale: un assemblage fantastique d'éléments disparates, une recomposition insolite de mondes engloutis, une évocation morbide d'espaces cacéraux.
Je considère l'Asie de Tiepolo comme une sorte de manifeste anticipé de la musique de notre temps: un monde privé de couleurs, qui tourne au brun et au gris, et néanmoins dominé par une forme d'accélération expressive. Tiepolo a écrit là une sorte d'art poétique de la musique de l'avenir. On y découvre un éventail de vitesses, un spectre de vitesses, des espaces turbulents, des dispositifs en porte-à -faux, un entrelacs d'axes et de boucles. Flux, pivotements, tensions latérales, dilatations, projections, degrés d'éloignement sont les nouvelles catégories de cet art poétique. L'idée principale est qu'il faut s'attacher d'abord aux gestes élémentaires, qui priment la considération toujours seconde des spectres de variation.
Ma propre Asie d'après Tiepolo est une commande de la Westdeutscher Rundfunk et de l'Ensemble Recherche, avec le soutien de la Ernst von Siemens Musikstiftung. Elle fait suite à l'Afrique, créée dans les mêmes conditions en 2005 à Witten. J'ai employé dans l'Asie une large palette de percussions d'un type nouveau (gamme chromatique de gongs philippins, de cloches de vache, de rins japonais). J'ai réutilisé le procédé des temporalités paradoxales de Saturne, consistant à rapporter à une mesure métrique et métronomique commune des vitesses de déroulement et des types de développement et d'écriture très différents. La première partie de la pièce fait un emploi systématique des sons multiphoniques des instruments à vent, à la manière d'un continuum électronique. La fin, plus apaisée, gravite autour d'un duo de clarinette contrebasse et de marimba, dont la mélodie est obtenue par un jeu d'archets. Le piano tient d'un bout à l'autre un rôle central, dans une sorte de véhémence acoustique qui ne parviendrait jamais à la formulation subjective. Les cordes sont traitées à la manière d'un trio, avec des textures denses et saccadées.
Hugues Dufourt / contemporain / Répertoire / Ensemble
68.30 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Lorenzo, Margarita : La
Direction d'Orchestre -
Livre + DVD En Français Formation musicale - Solfège [Livre + DVD] Lemoine, Henry
Notice
DVD inclus
La Direction d'orchestre est un ouvrage qui abord...(+)
Notice
DVD inclus
La Direction d'orchestre est un ouvrage qui aborde les bases techniques musicales et artistiques essentielles pour une solide formation de chef d'orchestre, mais aussi une formation vocale ou instrumentale.
Le chef d'orchestre en devenir trouvera dans ce manuel toutes les clés théoriques et pratiques nécessaires au développement de ses connaissances qui lui permettront de conduire l'orchestre avec aisance et passion :
- Technique de base
- Etude et préparation du répertoire
- Les répétitions
- Le concert
- Sur le podium : cas pratique
- Glossaire
Traduction française par Aude Ameille de l'ouvrage En el podio paru aux Editions Boileau.
Presse
Cet ouvrage, éminemment pratique, n'en néglige pas, pour autant, tout l'aspect culturel de la direction. Si il est orienté prioritairement vers la conduite d'un orchestre, il s'attache aussi à la direction spécifique d'une harmonie, ou, encore plus spécifique, d'un choeur. Cet aspect a d'ailleurs été longtemps négligé et tous les chefs de choeur ou choriste ont connu ces chefs d'orchestre qui ne savait pas comment se conduire vis-à -vis d'un choeur lorsqu'ils dirigeaient une pièce pour choeur et orchestre. Bref, l'ouvrage est très complet. Il comporte cinq parties plus l'indispensable glossaire. La première partie est consacrée aux techniques de base correspondant à tout l'aspect corporel, de la tenue aux différentes battues. La deuxième partie est consacrée à l'étude et la préparation du répertoire, exposées très en détail. La troisième est consacrée aux répétitions, la quatrième au concert. La cinquième partie fait en quelque sorte la synthèse en proposant d'appliquer l'ensemble à l'Alléluia du Messie de Haendel. L'ouvrage comporte aussi une copieuse et judicieuse bibliographie. Quant au DVD, il suit pas à pas l'exposé et ne comporte pas moins de trente-quatre chapitres divisés eux-mêmes en plusieurs sections. Il s'agit donc d'un outil de travail tout à fait remarquable et l'auteur explique en détail comment l'utiliser. Cette réalisation est donc une somme que le professionnel aussi bien que l'amateur éclairé pourra lire avec un grand intérêt et un grand profit.
L'Education Musicale, n°94 (Juillet 2015) / Méthodes and études instrumentales / Livre DVD /
48.50 EUR - vendu par Note4Piano Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Adler S. - Etude De
L'orchestration En Français Formation musicale - Solfège [Livre] Lemoine, Henry
ADLER Samuel Etude de l'orchestration Discipline / Instrument : tous instruments...(+)
ADLER Samuel Etude de l'orchestration Discipline / Instrument : tous instruments Genre : Méthode - études Média : Livre Nombre de pages : 1136 (17,8 x 25,4 cm) Editeur : Lemoine Date de parution : 15/06/2011 ISBN / ISMN : 9790230982122 plus de 150 ans après Hector BERLIOZ, plus de 50 ans après Charles KOECHLIN ou Nikolaï RIMSKI-KORSAKOV, et quelques années après... un long travail, Les éditions Henry Lemoine ont le plaisir de vous présenter, enfin en langue française, de Samuel ADLER : Etude de l'orchestration TRAITE PRATIQUE Titre original : The Study of Orchestration, traité d'orchestration de réputation internationale Véritable défi éditorial, l'ouvrage est proposé ici sous la forme d'une édition française, augmentée de 280 pages ( 33%) par rapport à la version traduite. En effet, le texte original, déjà riche, est complété : - par Gilbert Amy, d'un chapitre nous offrant son regard sur l'orchestre en musique contemporaine aujourd'hui, - par Bruno Gillet, de trois chapitres concernant la voix humaine, - de 60 pages de commentaires et annotations, à vocation pédagogique, du traducteur de l'ouvrage Philippe Vernier - enfin, d'un index complet et performant (accru de 150%) sans lequel une telle ampleur de contenu se révélerait assez rapidement vaine. Samuel Adler Compositeur et chef d'orchestre américain d'origine allemande parti très jeune aux états-unis, Samuel Adler a composé plus de quatre cents oeuvres publiées, dont cinq opéras, six symphonies, douze concerti, huit quatuors à cordes, quatre oratorios et bien d'autres pièces orchestrales, chorales, vocales ou pour band. Elève notamment de Paul Hindemith, Aaron Copland et Sergei Koussevitski, il enseigna à son tour à l'University of North Texas (1957-1966) puis à l'Eastman School of Music de l'university of Rochester (1966-1995), et depuis 1997 reste membre intervenant à la Juilliard School of Music au sein du département composition. Auteur d'autres ouvrages que celui-ci (Choral Conducting et Sight Singing), Samuel Adler a reçu plusieurs prix et distinctions pour sa contribution exceptionnelle au monde musical comme compositeur, chef d'orchestre et auteur - en 2001, il entre à l'American Academy of Arts and letters. En tant que chef, il s'est produit avec de nombreux orchestres prestigieux, aux états-unis ou ailleurs - plus d'une cinquantaine de ses oeuvres furent enregistrées et sont distribuées par des labels américains ou européens de premier plan. Gilbert Amy Elève de Milhaud et Messiaen au Conservatoire de Paris, Gilbert Amy est un compositeur dont le talent a été salué par de multiples prix et dont les oeuvres sont jouées dans les plus hauts lieux mondiaux de la création musicale. Succédant à Pierre Boulez à la direction des concerts du Domaine musical, Gilbert Amy a ensuite poursuivi une carrière de chef d'orchestre. Fondateur du Nouvel Orchestre Philharmonique de Radio-France, il en sera le premier chef et directeur artistique jusque dans les années 1980. Pédagogue reconnu, il a enseigné la composition et l'analyse musicale à l'Université de Yale puis occupé le poste de directeur du C.N.S.M. de Lyon de 1984 à 2000. Bruno Gillet Compositeur, Bruno Gillet a beaucoup écrit pour la voix, en formations de chambre, en duos avec divers instruments, en ensemble vocal, et avec orchestre. Au théâtre, il a collaboré, entre autres auteurs, avec Italo Calvino et Georges Perec. Au C.N.S.M. de Paris, il a inauguré la classe d'analyse et culture musicale spécialement destinée aux chanteurs, et assuré au C.N.A.D. la formation musicale des acteurs. Philippe Vernier Philippe Vernier se passionne très tôt pour les musiques orales dont il approfondit la connaissance d'abord en autodidacte (chanson, folk music...) puis sous l'impulsion du guitariste Alain Berkès (manouche, blues, jazz...). Après une expérience pop-rock, il étudie la théorie classique, suit l'enseignement des compositeurs Alain Roizenblat, Michel Decoust et Philippe Leroux - il reçoit alors plusieurs Premiers Prix (Orchestration, Composition...) et un D.E.M. en électro-acoustique. Compositeur de pièces pour bande , ensemble, chansons, musiques de film ou de scène, il a remporté le Prix de la Création Musicale au festival Paris-Tout-Court (2002).
121.00 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| The Titanic Saga (SWERTS
PIET) Orchestre d'harmonie [Conducteur] - Intermédiaire/avancé De Haske Publications
Par SWERTS PIET. Le prologue dépeint l'excitation de cette foule impatiente d'e...(+)
Par SWERTS PIET. Le prologue dépeint l'excitation de cette foule impatiente d'embarquer sur le Titanic amarré dans le port de Southampton en Angleterre. Le motif principal de ce passage d’ouverture fait référence à Big Ben, remarque touchante pour mieux installer le décor d'une scène typiquement britannique. L'agitation des futurs passagers s'exprime par des sections polyrythmiques. Le premier thème aux accents héroïques dérivé du motif Big Ben est exposé. La trame devient plus constante, fluide, répétitive, symbole du doux départ du célèbre palais flottant. Le tableau suivant est une aquarelle riche en couleurs ; motifs ascendants et descendants rappellent le voyage en haute mer. On entend lesenfants jouer, le Capitaine Smith donner des ordres. On perçoit aussi les différences d’atmosphère entre les ponts de première et deuxième classes ; la pression ronflante des moteurs. Tout est présent dans cette fresque musicale. On entend surtout l'accélération des moteurs suite à un ordre du Capitaine soumis à la pression de l'armateur. Faisant suite à un accelerando, le piccolo et la percussion font écho d'un signal en morse provenant d'un autre bateau qui prévient d'un danger immédiat : la proximité d'un iceberg. Hélas, ce message est ignoré et les moteurs continuent de tourner à plein régime jusqu'au moment fatidique où le Titanic heurte l'iceberg. Le motif plaintif du saxophone, accompagné de trilles des clarinettes, traduit l'arrêt des moteurs après la collision. La percussion marque le tristement célèbre S. O. S. en code morse : trois points, trois traits, trois points. Les passagers sont pris de panique. Finalement, nous assistons au lent naufrage du paquebot. L'épilogue reprend le motif initial qui se métamorphose en une fin dramatique. / Niveau : 5 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie
57.00 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| The Titanic Saga (SWERTS
PIET) Orchestre d'harmonie [Conducteur et Parties séparées] - Intermédiaire/avancé De Haske Publications
Par SWERTS PIET. Le prologue dépeint l'excitation de cette foule impatiente d'e...(+)
Par SWERTS PIET. Le prologue dépeint l'excitation de cette foule impatiente d'embarquer sur le Titanic amarré dans le port de Southampton en Angleterre. Le motif principal de ce passage d’ouverture fait référence à Big Ben, remarque touchante pour mieux installer le décor d'une scène typiquement britannique. L'agitation des futurs passagers s'exprime par des sections polyrythmiques. Le premier thème aux accents héroïques dérivé du motif Big Ben est exposé. La trame devient plus constante, fluide, répétitive, symbole du doux départ du célèbre palais flottant. Le tableau suivant est une aquarelle riche en couleurs ; motifs ascendants et descendants rappellent le voyage en haute mer. On entend lesenfants jouer, le Capitaine Smith donner des ordres. On perçoit aussi les différences d’atmosphère entre les ponts de première et deuxième classes ; la pression ronflante des moteurs. Tout est présent dans cette fresque musicale. On entend surtout l'accélération des moteurs suite à un ordre du Capitaine soumis à la pression de l'armateur. Faisant suite à un accelerando, le piccolo et la percussion font écho d'un signal en morse provenant d'un autre bateau qui prévient d'un danger immédiat : la proximité d'un iceberg. Hélas, ce message est ignoré et les moteurs continuent de tourner à plein régime jusqu'au moment fatidique où le Titanic heurte l'iceberg. Le motif plaintif du saxophone, accompagné de trilles des clarinettes, traduit l'arrêt des moteurs après la collision. La percussion marque le tristement célèbre S. O. S. en code morse : trois points, trois traits, trois points. Les passagers sont pris de panique. Finalement, nous assistons au lent naufrage du paquebot. L'épilogue reprend le motif initial qui se métamorphose en une fin dramatique. / Niveau : 5 / Répertoire / Concert Band ou Harmonie
289.50 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| The Titanic Saga (SWERTS
PIET) Orchestre d'harmonie [Conducteur et Parties séparées] - Intermédiaire/avancé De Haske Publications
Par SWERTS PIET. Le prologue dépeint l'excitation de cette foule impatiente d'e...(+)
Par SWERTS PIET. Le prologue dépeint l'excitation de cette foule impatiente d'embarquer sur le Titanic amarré dans le port de Southampton en Angleterre. Le motif principal de ce passage d’ouverture fait référence à Big Ben, remarque touchante pour mieux installer le décor d'une scène typiquement britannique. L'agitation des futurs passagers s'exprime par des sections polyrythmiques. Le premier thème aux accents héroïques dérivé du motif Big Ben est exposé. La trame devient plus constante, fluide, répétitive, symbole du doux départ du célèbre palais flottant. Le tableau suivant est une aquarelle riche en couleurs ; motifs ascendants et descendants rappellent le voyage en haute mer. On entend lesenfants jouer, le Capitaine Smith donner des ordres. On perçoit aussi les différences d’atmosphère entre les ponts de première et deuxième classes ; la pression ronflante des moteurs. Tout est présent dans cette fresque musicale. On entend surtout l'accélération des moteurs suite à un ordre du Capitaine soumis à la pression de l'armateur. Faisant suite à un accelerando, le piccolo et la percussion font écho d'un signal en morse provenant d'un autre bateau qui prévient d'un danger immédiat : la proximité d'un iceberg. Hélas, ce message est ignoré et les moteurs continuent de tourner à plein régime jusqu'au moment fatidique où le Titanic heurte l'iceberg. Le motif plaintif du saxophone, accompagné de trilles des clarinettes, traduit l'arrêt des moteurs après la collision. La percussion marque le tristement célèbre S. O. S. en code morse : trois points, trois traits, trois points. Les passagers sont pris de panique. Finalement, nous assistons au lent naufrage du paquebot. L'épilogue reprend le motif initial qui se métamorphose en une fin dramatique. / Niveau : 5 / Répertoire / Concert Band
289.50 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Team Brass. Band
Instruments (With Cd)
(DUCKETT RICHARD) Saxophone Tenor [Partition + CD] - Débutant Faber Music Limited
Par DUCKETT RICHARD. For everyone who wants to play brass! Team Brass presents a...(+)
Par DUCKETT RICHARD. For everyone who wants to play brass! Team Brass presents a flexible course which can be tailored to suit each student - is ideal for individual, group or class tuition - contains plenty of carefully graded music in a wide variety of styles - encourages ensemble playing with varied repertoire for both Orchestral Brass and Brass Band instruments, and integrates with ensemble music in Team Strings, Team Woodwind, Team Recorder and Team Percussion - develops instrument-related aural skills, improvisation and composition - provides imaginative piano accompaniments to make every student feel like a star performer - offers helpful notes for the teacher, together with clear ensemble scores - includes scales and arpeggios as set by major Examination Boards. / Niveau : Débutant / Répertoire / Brass Ensemble
16.30 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Le Livre Des Illusions
(MANTOVANI BRUNO) En Français Orchestre [Partition] Lemoine, Henry
Par MANTOVANI BRUNO. Lorsque Frank Madlener m'a proposé le projet de confronter...(+)
Par MANTOVANI BRUNO. Lorsque Frank Madlener m'a proposé le projet de confronter un orchestre symphonique avec la lutherie électronique, j'ai tout de suite accepté ce défi sachant qu'il me faudrait rapidement fixer des contraintes très fortes, tant le champ des possibles, qu'il soit instrumental ou électroacoustique, était infini. Mon idée initiale était d'utiliser pour la première fois des transformations en temps réel, afin d'assouplir les rapports de verticalité et d'utiliser l'informatique comme un moyen d'orchestration. Celle de Frank était de se demander comment l'électronique pouvait créer l'illusion d'un orchestre déployé dans l'espace, entourant le public, et créant des configurations acoustiques inouïes. Afin de travailler sur cette problématique, j'ai décidé d'utiliser une formation orchestrale défective, ou certains instruments (notamment ceux qui étaient les moins localisables à l'écoute, comme le basson ou le cor) seraient absents et 'remplacés' dans la texture générale par l'ordinateur.
Qui dit 'illusion' dit aussi 'surprise', et j'avais besoin, pour élaborer la forme de l'oeuvre, de prendre comme point de départ une source qui ait à la fois une grande diversité interne (une succession d'instants pourraient être traduits musicalement par autant de configurations acoustiques) et une cohérence. Rapidement, il m'est apparu que mes recherches étaient finalement très similaires à celles de l'immense chef espagnol Ferran Adrià , dont la cuisine joue en permanence sur le conflit entre connu et inconnu, entre référence et invention abstraite, et dont les menus sont 'composés' avec un sens de la forme absolument saisissant. Très régulièrement, je tente d'établir des liens entre la musique et les arts de la bouche (gastronomie, oenologie), par l'improvisation au piano sur des vins ou des mets, et par l'écriture (notamment d'un duo pour alto et piano, Quelques effervescences, qui s'inspire de vins pétillants du monde). Les deux univers me semblent intimement liés, dans l'immédiateté de la réception, et dans le parallélisme entre les sensations éprouvées (de nombreux musiciens font appel à des métaphores gustatives pour parler de leur travail : un accord 'épicé', une sonorité 'grasse', une orchestration 'acide'...).
Le menu que j'ai eu l'honneur de déguster en 2007 au restaurant 'El Bulli' s'articulait autour de 35 plats que j'ai utilisés chronologiquement, tant l'articulation entre le salé et le sucré, les mets marins et terriens, le végétal et l'animal était, en soi, une dramaturgie parfaite. L'illusion était présente dès le premier instant. Ainsi, 'l'olive sphérique' qui débutait ce repas jouait sur le contraste entre un objet visuellement identifiable (une olive) et son 'interprétation' surprenante (il s'agissait en fait d'une reconstruction visuelle de l'olive, mais qui n'était autre que de l'huile d'olive emprisonnée dans une fine couche gélatineuse verte : aspect et goût étaient en phase, mais la texture, elle, était inouïe). Musicalement, la traduction de ce plat était assez évidente : un impact reprenant l'explosion de cet met en bouche débute la pièce, et une texture plus continue vient évoquer le déploiement de l'huile dans la bouche.
Certains plats sont assez unitaires, d'autres contiennent en eux un parcours que j'ai fidèlement reproduit (par exemple la 'framboise au wasabi', qui se déguste en trois temps successifs). J'ai aussi mis en relation certains plats entre eux, afin de créer des 'retours' qui permettent à la structure musicale de sortir d'une logique de catalogue (par exemple, une fleur de capucine, dégustée avant les desserts, renvoie gustativement, et donc musicalement, à une amande fraîche qui, elle, est présente dans le premier quart du repas). Ce 'livre' s'achève sur la texture aérienne d'un papier effervescent au cassis qui conclut de façon suspensive une pièce particulièrement animée, où les masses sonores s'opposent de façon frontale, et viennent occuper tout l'espace de la salle de concert.
Commande de l'Orchestre de Paris et de l'Ircam, le Livre des illusions (hommage à Ferran Adrià ) est dédié à Marie Linden et Grégoire Biasini. Cette oeuvre a été créée à la salle Pleyel le 11 juin 2009 sous la direction de Jean Deroyer.
Bruno Mantovani
Liste des plats au menu du restaurant 'El Bulli' de Ferran Adrià , illustrés dans l'oeuvre de Bruno Mantovani:
- Olives sphériques
- Gin Fizz
- Chocolat sans chocolat #1 (pistache)
- Snack doré
- Mercedes
- Frites d'ananas lyophilisé
- Chocolat sans chocolat #2 (ananas)
- Meringue de betterave au yaourt
- Boule de cacao amer
- Chocolat sans chocolat #3 (cassis)
- G.P.
- Galette curry/cacahuètes
- Meringue à la pistache avec espuma de yaourt
- Eponge de sésame
- Dacquoise de pignons
- Framboise au wasabi
- Fleur de horchata
- Amande fraîche et huile d'amande
- Haricot géant à l'ail japonais
- Meringue au Schweppes avec fraises lyophilisées
- Anchois à la fleur de basilic
- Assiette italienne
- Risotto de pamplemousse
- Gnocchi de polenta
- Ravioles de graines de pimientos del Padron
- Couteaux aux algues
- Caviar d'escargots
- Concombres de mer avec cannelloni d'algues
- Anguille à la moelle/fleur de capucine/concombre
- Barbe à papa, glace à la banane
- Mûres à la liqueur de mûre
- Dessert blanc
- Fraises au vinaigre de Jerez
- Sablés mandarine/thé vert/menthe
- Papier effervescent au cassis / contemporain / Répertoire / Orchestre
84.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Music for Children Vol. 5
(ORFF CARL / KEETMAN
GUNILD) Voix, Flûte à Bec et
Percussion [Conducteur] Schott
Minor: Triads. Par ORFF CARL / KEETMAN GUNILD. Carl Orff devoted much of his lif...(+)
Minor: Triads. Par ORFF CARL / KEETMAN GUNILD. Carl Orff devoted much of his life to the development of a philosophy of Music for Children, based on his belief that music is the natural outcome of speech, rhythm and movement. His ideas and pioneering work have had a major influence on music and dance education throughout the world and today that work continues under the guidance of leading teachers and educators in many countries.
The five basic German volumes of 'Music for Children' by Carl Orff and Gunild Keetman were published between 1950 and 1954. Edition have since been published in Bolivia, Brazil, Canada, Czechoslovakia, Denmark, Estonia, France, Ghana, Great Britain (including a special Welsh edition), Greece, Italy, Japan, Korea, Latin-America, the Netherlands, Portugal, Spain, Sweden, Taiwan and the USA.
In 1952 the first edition in translation appeared, an English language adaptation by Doreen Hall and Arnold Walter for their Canadian and American students.
A few years later, Margaret Murray independently developed a version (1957-1966), essentially to fulfil the needs of United Kingdom teachers.
Inevitably the considerable growth of Orff-Schulwerk in the United States led to the publication of the American Edition (1977) to satisfy the requirements of a different educational system and national heritage.
Orff-Schulwerk: Music for Children has proved itself to be a stimulating source of material for music teaching. Carl Orff's fundamental educational ideas have revitalized music education in nursery schools, at all levels of primary and secondary education and in special music schools, based on the concepts that: - music, dance and language are inter-related and animated through rhythm. - when children discover, invent, improvise and compose, their experience of music is intensified. These creative activities are complementary to those of interpreting and listening to music. - all who take part are encouraged to contribute, not only vocally but also instrumentally. - the Orff approach to music education is many sided; it is concerned with practical music-making, it provides fundamental experiences and it lays the foundation for a comprehensive musical training. - movement games and activities for body awareness in space, time and flow, lead to movement improvisation and dance forms. - music and dance have been notated in many different ways in history. Various ways of writing down sounds and music, as well as playing from and interpreting different kinds of sources are being explored.
Today, countless teachers and institutions are using these ideas. More and more teachers look for ways of invovling their students in active music making. In particular, they seek to challenge their pupils' creativity by the use of music, dance and speech - as media of human expression - as a foundation of all education.
A prerequisite for work in Orff-Schulwerk is the artistic and pedagogical training of teachers. The Orff Institute was founded in 1961 as a Department of the 'Mozarteum', in Salzburg, Austria. Training offered includes a four-year diploma course, a two-year post-graduate course, and a one-year-course in English.
At the opening of the Orff Institute in Salzburg in 1963, Carl Orff ended his speech with a quotation from Schiller: 'I have done my part, now do yours.' That challenge has been taken up by teachers worldwide.
Hall/Walter Edition
Based on Volumes 1, 2 and 4 of the original German Edition 'musik für Kinder', english adaption with additional material by Doreen Hall and Arnold Walter./ Recueil / Voix, Flûte à Bec et Percussion
17.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Coffret Scores (BEATLES
THE) Conducteur [Partition] - Intermédiaire Novello & Co Ltd.
Par BEATLES THE. In over one thousand pages, the complete music and lyrics, in f...(+)
Par BEATLES THE. In over one thousand pages, the complete music and lyrics, in full 'rock score' transcriptions, of all the 203 songs they wrote and recorded as The Beatles, plus nine by others which they covered on their early albums. All transcribed with separate staves for vocals, each guitar (in tab and standard notation) and all other instruments...the essential Beatles collection. / Niveau : Intermédiaire / Rép International / Recueil / Conducteur
153.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
| Chamber Music (PEPIN
CAMILLE) Sextuor [Partition] Jobert
Par PEPIN CAMILLE. Lorsque l'on m'a proposé de mettre en musique ce recueil de ...(+)
Par PEPIN CAMILLE. Lorsque l'on m'a proposé de mettre en musique ce recueil de poèmes de James Joyce (1882-1941), j'ai été immédiatement séduite par l'idée. Il s'agissait de mettre en musique ces poèmes en respectant l'ordre original selon lequel ils ont été conçus par James Joyce lui-même lors de la première édition de 1905 [1]. Avec la précieuse aide de Philippe Blanchon [2], j'ai choisi de mettre en musique dix-huit poèmes, conservant ainsi les épisodes incontournables, la trame dramaturgique et l'essence de l'univers Joycien. Ce qui m'a attirée d'emblée, c'est qu'il s'agit d'une véritable histoire : de la naissance de l'amour à la passion déclinante, menant à une éventuelle et tendre amitié entre les deux amants. J'ai donc conçu Chamber Music d'un seul tenant.
Au-delà des nombreuses références à la musique et aux sons de la nature - déjà 'musique' en eux-mêmes - l'oeuvre littéraire appelle à la mise en musique par sa forme. En effet, elle est déjà musicale dans sa construction. Les trois premiers poèmes constituent le prélude exprimant la solitude du poète. Nous assistons dans la première partie - crescendo - à la naissance de l'amour entre les deux amants, menant au poème central et point culminant de l'oeuvre : 'My Dove, my beautiful one'. La seconde partie - diminuendo - raconte la passion déclinante des amants qui nous conduit au finale, écho du premier poème et à la solitude du poète.
Le prélude musical illustre le paysage - tant visuel que sonore - décrit par James Joyce : 'Strings in the earth and air make music sweet', 'There's music along the river', 'The sighs of harps', 'Soft sweet music in the air'.
Inspirées de sonorités traditionnelles irlandaises, les mélodies de la première partie présentent un aspect populaire issu du folklore, comme une ode au monde de la danse - prégnant en Irlande. Ces mélodies modales et mélismatiques semblent improvisées, à la manière du chant gaélique irlandais. Elles se transforment au fur et à mesure en une véritable épopée romantique, expression de la relation passionnelle et charnelle des deux amants : 'Hurry over the dark lands and run upon the sea for seas and land shall not divide us my love and me', 'The odorous winds are weaving a music of sighs'. Ces mélodies extatiques, à la fois tendres et fragiles, tentent d'exprimer cette ivresse, cet état extatique - véritable état de 'transe' qui nous submerge lorsque l'amour envahit notre âme sans que l'on s'en aperçoive.
La deuxième partie reprend ces divers éléments musicaux dans leur cheminement inverse. Passés par le filtre de la mélancolie de l'amour déclinant au fil du temps, ils témoignent de la perte de repères après la séparation avec l'être aimé : 'Lay aside sadness and sing how love that passes is enough', 'Love came to us in time gone by'. Enfin, le finale exprime le retour à la solitude du poète, comme une résonance du début de l'oeuvre : 'The voice of the winter is heard at the door', 'My kiss will give peace now and quiet to your heart'.
Sans cesse en écho les unes des autres, les mélodies s'entremêlent dans un contrepoint lyrique et sensuel. En effet, le titre même du recueil m'a inspiré une oeuvre où chaque instrument serait d'égale importance. Le lyrisme de l'un ne peut exister sans l'autre. Ainsi, le rôle du quintette n'est pas seulement un accompagnement de la voix soliste. Leurs lignes d'amour se mêlent avec volupté les unes aux autres.
Plonger dans l'univers Joycien a impliqué mon immersion totale dans l'oeuvre. Lire ses mots, penser ses images, imaginer ses sonorités, a été un travail passionnant et c'est avec nostalgie que je referme ce recueil aujourd'hui. J'espère cependant avoir su retranscrire son univers poétique au plus proche.
Je profite de cette note pour remercier Philippe Blanchon pour son aide précieuse et Claire Bodin [3] pour sa confiance. C'est à la fois un grand honneur et un plaisir immense de rendre hommage à si grand artiste et de voir ce chef d'oeuvre littéraire naître une seconde fois en musique. / Contemporain / Répertoire / Sextuor
52.70 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Amazone (RENOUVIN DIDIER) En Français Guitare, Flûte Ad Libitum et
Violoncelle Ad Libitu - Intermédiaire/avancé Delatour France
Par RENOUVIN DIDIER. A l'origine, Amazone était une pièce pour guitare seule, ...(+)
Par RENOUVIN DIDIER. A l'origine, Amazone était une pièce pour guitare seule, écrite pour mes élèves du Conservatoire de Cannes, en vue d'un examen de fin d'année. J'ai pensé à ce titre parce que l'esprit de la pièce me semblait très influencé par le climat que l'on rencontre dans les fabuleuses études de Heitor Villa Lobos. Quand j'ai créé le ' Trio Samarkand ', au début des années 1980, avec Philippe Plançon à la flûte, et Guillermo Lefever au violoncelle, j'ai eu l'idée de rajouter une partie pour chacun de ces 2 instruments et cette pièce a toujours eu un grand succès lors de concerts que nous donnions à cette époque. / Niveau : Moyen à Avancé / Contemporain / Date parution : 2006-09-01/ Répertoire / Guitare, Flûte Ad Libitum et Violoncelle Ad Libitu
7.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Tuba Concerto. Brass Band
(Score) (VAUGHAN WILLIAMS
RALPH) Ensemble de cuivres [Partition] Faber Music Limited
Par VAUGHAN WILLIAMS RALPH. Le Concerto pour Tuba a été écrite en 1953/4 en r...(+)
Par VAUGHAN WILLIAMS RALPH. Le Concerto pour Tuba a été écrite en 1953/4 en réponse à une invitation à composer une oeuvre pour le jubilé d'or de l'Orchestre symphonique de Londres. Vaughan Williams était alors en est quatre-vingt-seconde année - un intérêt sur les sonorités instrumentales inhabituels était une caractéristique de sa musique dans la dernière partie de sa vie. Il avait utilisé des saxophones dans la machine de ' Emploi ', vibraphone et le vent du masque dans la 'Sinfonia Antartica' (Symphonie #7) et même terminé un concerto pour harmonica, piano et cordes pour Larry Adler. Son choix de tuba comme instrument en solo avait donc moins surprenant qu'il pourrait sembler, et il le justifié par traiter sérieusement et poétiquement, soulignant ses capacités lyriques plutôt que la pAvailableensities plus comique. L'ouvrage est dédié à la LSO et son principal puis tubiste, Philip Catelinet, dont le compositeur consulté constamment tout au long de l'écriture de le oeuvre. Les mouvements animés, externes, tous deux concluent avec des cadences prolongées, tandis que le magnifiquement lyrique ' Romanz.../ Répertoire / Brass Band
20.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Tuba Concerto. Brass Band
(Score And Parts)
(VAUGHAN WILLIAMS RALPH) Ensemble de cuivres [Partition] Faber Music Limited
Par VAUGHAN WILLIAMS RALPH. Le Concerto pour Tuba a été écrite en 1953/4 en r...(+)
Par VAUGHAN WILLIAMS RALPH. Le Concerto pour Tuba a été écrite en 1953/4 en réponse à une invitation à composer une oeuvre pour le jubilé d'or de l'Orchestre symphonique de Londres. Vaughan Williams était alors en est quatre-vingt-seconde année - un intérêt sur les sonorités instrumentales inhabituels était une caractéristique de sa musique dans la dernière partie de sa vie. Il avait utilisé des saxophones dans la machine de ' Emploi ', vibraphone et le vent du masque dans la 'Sinfonia Antartica' (Symphonie #7) et même terminé un concerto pour harmonica, piano et cordes pour Larry Adler. Son choix de tuba comme instrument en solo avait donc moins surprenant qu'il pourrait sembler, et il le justifié par traiter sérieusement et poétiquement, soulignant ses capacités lyriques plutôt que la pAvailableensities plus comique. L'ouvrage est dédié à la LSO et son principal puis tubiste, Philip Catelinet, dont le compositeur consulté constamment tout au long de l'écriture de le oeuvre. Les mouvements animés, externes, tous deux concluent avec des cadences prolongées, tandis que le magnifiquement lyrique ' Romanz.../ Répertoire / Brass Band
154.00 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Music for Children Vol. 4
(ORFF CARL / KEETMAN
GUNILD) Voix, Flûte à Bec et
Percussion [Conducteur] Schott
Minor: Bordun. Par ORFF CARL / KEETMAN GUNILD. Carl Orff devoted much of his lif...(+)
Minor: Bordun. Par ORFF CARL / KEETMAN GUNILD. Carl Orff devoted much of his life to the development of a philosophy of Music for Children, based on his belief that music is the natural outcome of speech, rhythm and movement. His ideas and pioneering work have had a major influence on music and dance education throughout the world and today that work continues under the guidance of leading teachers and educators in many countries.
The five basic German volumes of 'Music for Children' by Carl Orff and Gunild Keetman were published between 1950 and 1954. Edition have since been published in Bolivia, Brazil, Canada, Czechoslovakia, Denmark, Estonia, France, Ghana, Great Britain (including a special Welsh edition), Greece, Italy, Japan, Korea, Latin-America, the Netherlands, Portugal, Spain, Sweden, Taiwan and the USA.
In 1952 the first edition in translation appeared, an English language adaptation by Doreen Hall and Arnold Walter for their Canadian and American students.
A few years later, Margaret Murray independently developed a version (1957-1966), essentially to fulfil the needs of United Kingdom teachers.
Inevitably the considerable growth of Orff-Schulwerk in the United States led to the publication of the American Edition (1977) to satisfy the requirements of a different educational system and national heritage.
Orff-Schulwerk: Music for Children has proved itself to be a stimulating source of material for music teaching. Carl Orff's fundamental educational ideas have revitalized music education in nursery schools, at all levels of primary and secondary education and in special music schools, based on the concepts that: - music, dance and language are inter-related and animated through rhythm. - when children discover, invent, improvise and compose, their experience of music is intensified. These creative activities are complementary to those of interpreting and listening to music. - all who take part are encouraged to contribute, not only vocally but also instrumentally. - the Orff approach to music education is many sided; it is concerned with practical music-making, it provides fundamental experiences and it lays the foundation for a comprehensive musical training. - movement games and activities for body awareness in space, time and flow, lead to movement improvisation and dance forms. - music and dance have been notated in many different ways in history. Various ways of writing down sounds and music, as well as playing from and interpreting different kinds of sources are being explored.
Today, countless teachers and institutions are using these ideas. More and more teachers look for ways of invovling their students in active music making. In particular, they seek to challenge their pupils' creativity by the use of music, dance and speech - as media of human expression - as a foundation of all education.
A prerequisite for work in Orff-Schulwerk is the artistic and pedagogical training of teachers. The Orff Institute was founded in 1961 as a Department of the 'Mozarteum', in Salzburg, Austria. Training offered includes a four-year diploma course, a two-year post-graduate course, and a one-year-course in English.
At the opening of the Orff Institute in Salzburg in 1963, Carl Orff ended his speech with a quotation from Schiller: 'I have done my part, now do yours.' That challenge has been taken up by teachers worldwide.
Hall/Walter Edition
Based on Volumes 1, 2 and 4 of the original German Edition 'musik für Kinder', english adaption with additional material by Doreen Hall and Arnold Walter./ Recueil / Voix, Flûte à Bec et Percussion
16.41 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Moving (CANAT DE CHIZY
EDITH) En Français Trio à Cordes Lemoine, Henry
Par CANAT DE CHIZY EDITH. Le titre est évocateur: il s'agit de mouvement. Au fu...(+)
Par CANAT DE CHIZY EDITH. Le titre est évocateur: il s'agit de mouvement. Au fur et à mesure de mon travail s'est imposé de façon de plus en plus insistante la nécessité d'une musique en perpétuel mouvement. Une musique qui procède plus par mutation que par développement, une musique à multiples facettes, changeante, irisée, insaisissable. Je parle de nécessité car, en réalité, je ne sais pas trop pourquoi je suis amenée à une telle écriture. Cela relève d'une poussée intérieure, quasi biologique, où il s'avère impératif d'exprimer par là une puissante énergie. Mes dernières oeuvres en portent la trace: Siloël (ange de l'énergie), Hallel (louange), Exultet, Vivere, Moving. Ce propos n'est pas sans poser de problème. Car comment donner forme au jaillissement initial sans l'altérer. Si la facture est trop élaborée, le matériau reste inerte. S'il prend le pas sur la structure, l'oeuvre s'effiloche. Bref, il s'agit de rester sur la ligne de crête. Surtout, ne jamais se laisser enfermer ni par un système, ni par une forme, ni même par une idée: dès que l'un ou l'autre sont exposés, s'en échapper, quitte à y revenir, mais s'en échapper pour aller vers ce qui n'est pas prévu ou prévisible. Il en résulte une forme issue directement du matériau et des exigences de son évolution. Une forme souple comme une liane, épousant les pleins et déliés d'une courbe aux élans inattendus. Il en est ainsi de ma démarche personnelle: échapper à toute tentative de classification. Moving signifie mouvant, mais aussi émouvant. Autre difficulté: celle d'émouvoir en laissant tous ses droits à la logique sonore tout en l'imprégnant de son propre imaginaire. Emouvoir sans tomber dans le 'pathos'. Maurice Ohana disait: 'Méfiez-vous du sublime'. Car dans certaines situations, le pathos prend le pas sur la musique et l'étouffe. Il y a là aussi une très subtile alchimie à découvrir qui quelquefois nous dépasse et arrive quand on ne s'y attend pas. Cela peut s'appeler la grâce.
Edith Canat de Chizy / contemporain / Répertoire / Trio à Cordes
15.30 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
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