A Melodrama Interspersed With Music. Par BENDA GEORG. Georg Anton Benda's melodrama „Medea' (1775) was one of the most successful German musical theatre works of the late 18th century. With a libretto by Friedrich Wilhelm Gotter, the work soon became a great influence within the melodrama genre. For several decades, it was performed all over central Europe, developing an impressive reception history. Between 1775 and about 1790, the melodrama was considered an extremely popular (albeit controversial) part of musical theatre, in particular in German-speaking regions. Consequently, Benda's „Medea' was at the center of many heated debates. Unlike opera, the melodrama does not present the libretto in sung form, but rather, the text is spoken and combined with orchestral music and scenes. The traditional opera forms (aria, recitative, ensemble, chorus) are dissolved and replaced by a new interplay of music, speech, and scenes. A focus on a single protagonist and the quick, delicate alternation between spoken text and music allows for the development of conflicting and contradictory psychological profiles with a heightened intensity within the melodrama. Near the end of his life, Benda revised the work significantly, drawing from his experience of real performances and their effectiveness. The changes leading to the new version of his „Medea' music were quite extensive, affecting almost every single measure: numerous details of the part writing (tempi, voice leading, rhythms, accompanying figures etc.) were revised, the instrumentation was changed, middle voices were led in a more lively manner, and the music as a whole was shortened and effectively compressed. The composer regarded the latter, modified „Medea' as the authorized version of the work. The premiere took place in 1784 in Mannheim, however, the altered work received little attention since then and has become tangible again for the first time with the OPERA Edition. All previous editions of the work - and along with them, all previous recordings - are based on the earlier version of 1775. The third volume of the OPERA series 'Medea” contains a linen-bound book and the edirom on a USB stick in credit card format. The number of users permitted to simultaneously use the digital content of the edition is not limited. For further information regarding the work and the OPERA series, please visit www.opera-edition.com and Takte online/ Répertoire / Récitant et Orchestre

Par MAHLER GUSTAV. The Song of the Earth , composed in the summer of 1908, is Mahler’s best-known and most personal work. Reflecting drastic changes in his life, its immense emotional density is very moving. Until the very end, Mahler continued to refine the extremely differentiated instrumentation, as is evident in numerous retouchings in the autograph score and engraver’s model. It is therefore all the more regrettable that he was neither able to perform his “Symphony in Songs” himself nor that he was involved in its printing. Unfortunately, in the posthumously published first edition of 1912 and the subsequent editions edited by Erwin Ratz and Karl Heinz Füssl, many questions remained unanswered, while other were answered in a dubious way. The edition is the first text-critical one of the work on a scientifically sound basis. It offers not only a more reliable musical text, but also systematically and lucidly prepared information on the sources, their transmission and evaluation. All editorial decisions have been documented in a transparently comprehensible manner – in particular those leading to new audible results. Work-related notes on performance practice, which for the first time include Mahler’s conducting indications, offer valuable, indispensable interpretive aids. In addition to the regular five clarinet parts, the set of parts includes two additional parts (3rd clarinet/E b clarinet, bass clarinet/3rd clarinet in places where the latter plays E b clarinet) to allow performances with only four clarinets. The completely revised piano reduction reproduces the orchestral texture true to the score without losing sight of playability. Both Mahler’s piano autograph and the piano reduction by Wöss, which was commissioned by the composer himself, served as an inspiration for this. / Date parution : 2022-07-23/ Répertoire / Soli [AT] et Orchestre

Création 26/08/2015 - Sion (Suisse) - Finale du Concours International de violon Tibor Varga - Orchestre de Chambre de Lausanne Commanditaire Concours International de violon Tibor Varga Notice Le futurisme italien fut, au début du XXe siècle, le premier véritable mouvement d'avant-garde qui, en Europe, refusa l'art dans sa totalité, décréta l'abolition du passé et prétendit rénover tous les aspects de la vie humaine en cherchant à exprimer la nature et les problèmes du monde moderne. Le mouvement fut inauguré par Marinetti en 1909, suivi un an plus tard du manifeste de la peinture futuriste signé par Giacomo Balla, Carlo Carrà, Umberto Boccioni et Luigi Russolo. La bataille futuriste, qui mobilisa le vif de l'art italien de 1910 à 1916, naquit d'une violente polémique contre la tradition figurative et la conception de l'image-spectacle. La philosophie futuriste, nourrie d'élan vital, d'utopie machiniste et d'ardeur dionysiaque entendait dynamiter la culture antiquaire de l'Italie officielle. Marinetti exalte la vitesse, le mouvement, le bruit, la guerre. Mais aussi la pulsion, la déraison, la transgression, le débridement des ambitions et des désirs humains. Le caractère novateur et visionnaire du futurisme italien fut toutefois passablement terni par ses imprécations et ses fourvoiements politiques. Laissant de côté l'orientation réactionnaire du mouvement et son esprit de clocher extrémiste, on retiendra, parmi les traits les plus originaux du futurisme pictural, la recherche de la représentation du mouvement, avant l'invention du cinéma et avant l'art cinétique. S'inspirant des séquences photographiques d'Eadward Muybridge et de la chronophotographie d'Etienne-Jules Marey, les futuristes italiens sont parvenus à un incontestable degré de réussite dans le domaine proprement plastique. Le processus du devenir est représenté comme tel, et se déploie selon des lignes de force et des formes en croissance. La couleur est également saisie dans son dynamisme, avec ses foyers et ses aires de diffusion. Dans Le mani del violinista, une huile sur toile de 1912 aujourd'hui à Londres, Giacomo Balla s'est également livré à un exercice de synesthésie, cherchant à transposer en images un processus qui fait appel à d'autres modalités sensorielles. Le geste du violoniste, le placement de l'instrument à hauteur d'épaule, les mouvements combinés de la main et du bras, l'écartement et l'échelle d'appui des doigts de la main gauche, la mise en vibration des cordes, l'élan et le rebondissement de l'archet, sa vivacité et son exactitude, tous ces facteurs qui d'ordinaire demeurent imperceptibles et indissociables sont ainsi décomposés, puis réunis et rendus en une impression unique. Les mouvements successifs de la main et les morsures d'archet se séparent selon des procédés pointillistes, puis s'assemblent en une séquence accélérée et se lient dans le même fondu qui restitue l'unité et les inflexions de la tension musculaire. Ce qui est donné à voir n'est pas une illustration réaliste ni une nomenclature des possibilités instrumentales mais un condensé des allures de l'exécution transcendante, montrant les réflexes d'une main rompue au mécanisme de son instrument. Ma propre version musicale de la toile de Giacomo Balla s'inspire des caractères de cette vision futuriste de l'art. La virtuosité même de l'instrumentiste, son habileté d'exécutant, est ici expressément représentée comme un art de l'art. La partition porte une attention aigüe à la technique spécifique de l'effet sonore, à la justesse du geste instrumental dans la dépense de l'archet et la souplesse des déplacements. La grande école des violonistes consistait à faire disparaître le manteau rugueux des aspérités naturelles de l'instrument sous une surface lisse et parfaite de sonorités épurées. Ce grand art évolue aujourd'hui sous la pression d'une esthétique contemporaine plus sensible au grain, aux effets de texture voire aux effets raboteux de l'archet. Un autre type de virtuosité se fait jour, qui intègre les coups d'archets, les accents, les sons dénaturés, dans une sorte de formalisme instrumental pris au second degré. Les interférences entre les différents modes de jeu importent plus désormais que leur intégration dans une sonorité optimale. Cet art insatiable ne recherche plus la magnificence mais l'épreuve. La partition se divise en trois grandes parties. La première est une cadence confiée au soliste, centrée sur les accords, la rythmique et les enjambements d'une articulation qui ne se plie pas aux divisions métriques de la mesure. La seconde partie est l'enfer des violonistes et met aux prises, parmi toutes les cordes de l'orchestre, des figures contrapuntiques hachées, heurtées et contrastées. La troisième partie est davantage tournée vers des études d'équilibre de sonorités, dont la cohérence est délicate à obtenir car les notes se situent dans des registres extrêmes ou paradoxaux. Le soliste est confronté à un type nouveau de virtuosité, celui des sons harmoniques - groupes d'harmoniques naturels ou artificiels. Commande du Concours International de Violon Tibor Varga Sion Valais, la partition est écrite pour l'Edition 2015 de ce Concours. L'oeuvre est dédiée à Enzo Restagno. Hugues Dufourt

Par MANTOVANI BRUNO. Lorsque Frank Madlener m'a proposé le projet de confronter un orchestre symphonique avec la lutherie électronique, j'ai tout de suite accepté ce défi sachant qu'il me faudrait rapidement fixer des contraintes très fortes, tant le champ des possibles, qu'il soit instrumental ou électroacoustique, était infini. Mon idée initiale était d'utiliser pour la première fois des transformations en temps réel, afin d'assouplir les rapports de verticalité et d'utiliser l'informatique comme un moyen d'orchestration. Celle de Frank était de se demander comment l'électronique pouvait créer l'illusion d'un orchestre déployé dans l'espace, entourant le public, et créant des configurations acoustiques inouïes. Afin de travailler sur cette problématique, j'ai décidé d'utiliser une formation orchestrale défective, ou certains instruments (notamment ceux qui étaient les moins localisables à l'écoute, comme le basson ou le cor) seraient absents et 'remplacés' dans la texture générale par l'ordinateur. Qui dit 'illusion' dit aussi 'surprise', et j'avais besoin, pour élaborer la forme de l'oeuvre, de prendre comme point de départ une source qui ait à la fois une grande diversité interne (une succession d'instants pourraient être traduits musicalement par autant de configurations acoustiques) et une cohérence. Rapidement, il m'est apparu que mes recherches étaient finalement très similaires à celles de l'immense chef espagnol Ferran Adrià, dont la cuisine joue en permanence sur le conflit entre connu et inconnu, entre référence et invention abstraite, et dont les menus sont 'composés' avec un sens de la forme absolument saisissant. Très régulièrement, je tente d'établir des liens entre la musique et les arts de la bouche (gastronomie, oenologie), par l'improvisation au piano sur des vins ou des mets, et par l'écriture (notamment d'un duo pour alto et piano, Quelques effervescences, qui s'inspire de vins pétillants du monde). Les deux univers me semblent intimement liés, dans l'immédiateté de la réception, et dans le parallélisme entre les sensations éprouvées (de nombreux musiciens font appel à des métaphores gustatives pour parler de leur travail : un accord 'épicé', une sonorité 'grasse', une orchestration 'acide'...). Le menu que j'ai eu l'honneur de déguster en 2007 au restaurant 'El Bulli' s'articulait autour de 35 plats que j'ai utilisés chronologiquement, tant l'articulation entre le salé et le sucré, les mets marins et terriens, le végétal et l'animal était, en soi, une dramaturgie parfaite. L'illusion était présente dès le premier instant. Ainsi, 'l'olive sphérique' qui débutait ce repas jouait sur le contraste entre un objet visuellement identifiable (une olive) et son 'interprétation' surprenante (il s'agissait en fait d'une reconstruction visuelle de l'olive, mais qui n'était autre que de l'huile d'olive emprisonnée dans une fine couche gélatineuse verte : aspect et goût étaient en phase, mais la texture, elle, était inouïe). Musicalement, la traduction de ce plat était assez évidente : un impact reprenant l'explosion de cet met en bouche débute la pièce, et une texture plus continue vient évoquer le déploiement de l'huile dans la bouche. Certains plats sont assez unitaires, d'autres contiennent en eux un parcours que j'ai fidèlement reproduit (par exemple la 'framboise au wasabi', qui se déguste en trois temps successifs). J'ai aussi mis en relation certains plats entre eux, afin de créer des 'retours' qui permettent à la structure musicale de sortir d'une logique de catalogue (par exemple, une fleur de capucine, dégustée avant les desserts, renvoie gustativement, et donc musicalement, à une amande fraîche qui, elle, est présente dans le premier quart du repas). Ce 'livre' s'achève sur la texture aérienne d'un papier effervescent au cassis qui conclut de façon suspensive une pièce particulièrement animée, où les masses sonores s'opposent de façon frontale, et viennent occuper tout l'espace de la salle de concert. Commande de l'Orchestre de Paris et de l'Ircam, le Livre des illusions (hommage à Ferran Adrià) est dédié à Marie Linden et Grégoire Biasini. Cette oeuvre a été créée à la salle Pleyel le 11 juin 2009 sous la direction de Jean Deroyer. Bruno Mantovani Liste des plats au menu du restaurant 'El Bulli' de Ferran Adrià, illustrés dans l'oeuvre de Bruno Mantovani: - Olives sphériques - Gin Fizz - Chocolat sans chocolat #1 (pistache) - Snack doré - Mercedes - Frites d'ananas lyophilisé - Chocolat sans chocolat #2 (ananas) - Meringue de betterave au yaourt - Boule de cacao amer - Chocolat sans chocolat #3 (cassis) - G.P. - Galette curry/cacahuètes - Meringue à la pistache avec espuma de yaourt - Eponge de sésame - Dacquoise de pignons - Framboise au wasabi - Fleur de horchata - Amande fraîche et huile d'amande - Haricot géant à l'ail japonais - Meringue au Schweppes avec fraises lyophilisées - Anchois à la fleur de basilic - Assiette italienne - Risotto de pamplemousse - Gnocchi de polenta - Ravioles de graines de pimientos del Padron - Couteaux aux algues - Caviar d'escargots - Concombres de mer avec cannelloni d'algues - Anguille à la moelle/fleur de capucine/concombre - Barbe à papa, glace à la banane - Mûres à la liqueur de mûre - Dessert blanc - Fraises au vinaigre de Jerez - Sablés mandarine/thé vert/menthe - Papier effervescent au cassis / contemporain / Répertoire / Orchestre

Par OTTO TANNER. Fight the Resistance! by Tanner Otto is an exciting and dynamic march-style piece and was written to highlight the skill of playing closer to the bridge. In order to play the sustained melodic lines forte, students must 'fight the resistance' of the bridge by changing their bowing lane. It also reinforces the low-2 finger pattern (A minor) with a few accidentals. The cellos have very accessible shifting, and all sections get to play the melody. Great for working on staccato and accents. / Date parution : 2022-11-29/ Répertoire / Orchestre de Cordes

Par FELDMANN WALTER. Commissioned by the Ensemble Intercontemporain In 1989 I first discovered the writings of Anne-Marie Albiach. H II linéaires especially impressed me, on the one hand through the sensual presence of the words, and on the other hand, above all, through the spatial disposition of the typography. This is a form of writing which has nothing to do with all that has existed before it. This impression was the starting point for a creative work which has since become a kind of a project to which I will dedicate myself throughout my life. Since that time of my first discovery (in which hundreds of pages of sketches and a published excerpt of a score of a syntagma have been composed, namely « monstrueuse vécut dans le cadre » la mémoire) I have attempted to develop a new musical system that encompasses all the parameters of composition. All of these works which I have composed are independent from this enormous project, but at the same time they form the experimental laboratory for the all-encompassing musical system towards which I am working and developing: a new system of determining pitches, metre, dynamics, musical diction, manner of performance, etc. With « monstrueuse vécut dans le cadre » la mémoire it appears that the research for this project has been concluded. After the two large cycles « Les Géorgiques » on texts from Claude Simon and « Tristram Shandy » from Laurence Sterne, both employing techniques from my work with Albiach’s texts, I could finally compose this work, which was originally conceived for voice and 6 instrumental groups – the system was mastered, so to speak. Anne-Marie Albiach’s establishes the genetic code for the piece, without the words having to be spoken. . Her text is, in the true sense of the word, measured from one syntagma (syntactical element), from one void (space) to another, and this results in temporal structures of ensemble texture. This is opposed to another texture, which is the temporal measurement of a recitation of the text by the author: her voice, using the range of her/ Répertoire / Alto Solo, Grand Ensemble en 6 groupes: 1) Contreb

Par SCHWARZ OTTO M.. Asteroids and comets have played an important role throughout the history of life on earth. It is quite probable that the dinosaurs have been exterminated by an asteroid's impact in the Gulf of Mexico. Huge tidal waves and fire storms wiped out all life. This is the year 2067 according to the Christian calendar. A collision has just taken place in the asteroid belt between Mars and Jupiter and caused an asteroid to enter the earth's power of gravitation. It is instoppably approaching the blue planet. As its peoples have been fighting each other continuously, they missed the building of a global defence system against dangers coming from space. A scanner records the asteroid andimmediately sends a message to the President of the Anglo-American Union. The probability that the asteroid will hit the earth is judged 50% by the experts. Plans are made to shoot the celestial body with rockets live with hydrogen bombs or laser guns in order to throw it off its track, but they fail. The asteroid's size seems to threaten the existence of mankind. Those in the know stare at the night sky in bewilderment. But for the time being, there is still peace on earth. . . . / Niveau : 4 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Edition : Paris, l'Auteur, Bayard, Leclerc, s.d. (=1744)Pièces à deux instruments égaux, particulièrement deux flûtes seules, de différents auteurs, dont Blavet. Certaines pièces suivies de variations.Présentation par Jean SaintArroman : Utilisation pédagogique des pièces.Ces trois recueils de pièces à deux flûtes seules, offrent un panorama de la musique du milieu du XVIIIe siècle en France, avec l'ajout de quelques airs étrangers. Les pièces sont de difficultés variées. Les phrasés sont très bien indiqués, et l'agrémentation, détaillée dans l'introduction, est très représentative du classicisme français. / Musique De Chambre / 96 pages / niveau : 1 / Fac-Similés - Format: 23.5 X 31.5

Par MANTOVANI BRUNO. Contrary to what one might think, it is particularly difficult to write a solo or concertante work for an instrument that a person is very familiar with. Whenever I encounter this situation, I always feel a certain reserve or prudence, or even apprehension about leaning toward facility, in terms of gestures. Lack of objectivity can result in the imagination being more instrumental than purely musical. However, when Benoît Cambreling came to me proposing that I write a concerto for timpani, I did not hesitate for an instant because this instrument possesses extraordinary and often under exploited musical potential. This percussion instrument often provides a type of harmonic and rhythmic base in the orchestra, but can also assume the role of a soloist. I began by writing an etude for solo timpani making use of glissandi, rhythmic inflections, as well as the melodic potential. Once this first step was completed, I began to 'orchestrate' the etude, or rather to extend the instrumental material into the orchestra by creating illusions of resonance, doublings, and echoes. Sometimes, the timpani also become a reservoir of ideas for the orchestra capable of triggering textures (as in instrumental electronic music). Here however, the instrument is above all treated in a melodic manner, reinforced, or not, by orchestral instruments that create a backdrop and the illusion of extension./ Répertoire / Timbales et Orchestre

Par GYORFFY ISTVAN. Hungarian-style dance music which flourished in the 16th and 17th centuries - generally referred to as ungaresca - represents a valuable part of European musical tradition. István Gyorffy's work (2007-2010) is a late successor of this tradition. It was written with the intention of embodying the eastern-central European tradition in order to present an alternative to the current fashions of music for wind instruments. The composer's approach to this style utilizes traditional forms of music. Both the first and third movements effectively optimize a concert band's tonal possibilities by using solos and small chamber groups in a varied manner. The slow and melodic second movement transfers a characteristic playing technique of Hungarian instrumental folk music to the concert band. István Gyorffy composed Ungaresca for young people preparing for careers in music. The work provides an excellent opportunity for students not only to display their instrumental skills, but also to gain orchestral playing experience./ Répertoire / Concert Band

Par BALAZS ARPAD. Television viewers of nearly a hundred countries have experienced Árpád Balázs's touching melodies. The series of cartoons have neither dialogue nor text: the music presents the amiable and entertaining adventures of the rabbit with chequered ears and its friends. Balázs has rephrased and developed the well-known melodies and as a result a ''children's story symphony'' of seven movements has been created in which, in contrast with Prokofiev's Peter and the Wolf, there is no narrator but the instruments themselves represent the story-tellers. The composer has again associated the groups of instruments with one another in a colourful and varied manner, skilfully alternating the modes of solo, chamber orchestra and orchestra. Movements I, II, IV and VII represent a ''short suite'' that can be independently performed, thus due to its duration of four minutes and easier level, ensembles with more modest opportunities can also perform it. The most well-known parts of the cartoon series music - the main title and the ending - are included in both versions./ Répertoire / Concert Band

Oeuvre de Telemann composée pour Paris et publiée pendant son voyage, écrite pour un ensemble typiquement français - : flûte, violon, basse de viole, violoncelle et basse continue. Malgré l'emploi d'une terminologie française, il s'agit bien de quatuors de style européen, où l'on trouve toutes les influences - : française, italienne ou allemande.Nouveaux quatuors en six suites à une flûte traversière, un violon, une basse de viole, ou violoncelle, et basse-continue.Publiées en parties séparées : flûte traversière - violon - basse de viole - violoncelle - basse-continue. Préface publiée en cahier séparé. / Musique De Chambre / 164 pages / niveau : 1 / Fac-Similés - Format: 24 X 33

Par DE HAAN JACOB. The Book of Urizen is a work for concert band, solo soprano, and a male narrator in which sound collages of religious expressions are used. The piece is inspired by the compelling visionary poem of the same name (which the poet illustratedhimself) by the Englishman William Blake (1757-1827), who occupies a unique position in western literature and the visual arts. He was not just a poet and a writer, but he was also a graphic artist, a painter, an illustrator, a spiritualist, areligious visionary, and a mystic philosopher. For the performance of this work, a professional sound system, including two microphones and a CD player, is needed. The three sound collages are three separate tracks on the enclosed CD and can beplayed easily at the right moment. The Book of Urizen bears resemblance to Genesis and Exodus, of which the contents form the basis of the Christian, Jewish, and Islamic faith. Blake adhered to the principle that all religions are in fact one, and that deities reside in human beings. In The Book of Urizen this is represented in “The Net of Religion, ” which is spanned over the earth by Urizen. The sound collages, compiled by Jacob de Haan in the studio, find their origin inJerusalem, the Holy City, where the afore-mentioned faiths “come together. ” In the first movement of this composition, The Vision, Urizen prepares his vision of the world, and he presents this to the “Eternals. ” His vision is rejected, and Urizen locks himself up in his own abstract world. When he does emerge again, he is confronted with rage by the gathered Eternals. Urizen flees the wrath of the Eternals, “the flames of eternal fury, ” and enwombs himself in his own world. Whenthe Eternals see Urizen in his “stony sleep, ” they wonder if this is death. The blacksmith Los is torn by grief because of the isolation of Urizen. It brings him to rouse his fires, prepare his forge, and to give Urizen’s world concrete form. In the second movement, The Creation, Urizen’s world, but also man, woman, and child are created. Los is horrified with the appearance of Urizen’s body. He mourns and pities Urizen, and from his blood a female form comes into being, with thename Enitharmon. The Eternals, fearful of the female form, decide to erect a tent to obstruct their view to eternity. Enitharmon and Los beget a son, called Orc. Los baptizes him as a child of the “fallen world. ” Orc is fed at Enitharmon’s breast, which makes a girdle of jealousy restrict Los’ chest. He takes the child to the top of the mountain and chains him down. The cries of Orc awaken Urizen, who explores his world creating instruments of scientific measurement to do so. Los encircles theface of Enitharmon from the sight of Urizen and Orc. She then populates the earth by giving birth to an enormous race. The Web, third movement of The Book of Urizen is now available: DHP 1125252 / Niveau : 5 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

for wind orchestra (revised edition 2023). Par DE MEIJ JOHAN. Symphonie no. 1 The Lord of the Rings [Le Seigneur des Anneaux] La première symphonie de Johan de Meij ?The Lord of the Rings? [Le Seigneur des Anneaux] est basée sur la trilogie romanesque du même nom de J.R.R. Tolkien. Depuis leur parution en 1955, ces livres ont fasciné des millions de lecteurs dans le monde entier. La symphonie est composée de cinq mouvements séparés illustrant chacun un personnage ou un épisode important de ce grand succès littéraire. L?oeuvre est écrite pour orchestre d?harmonie, avec des parties réservées au saxophone soprano, au bugle et au piano. Les différentes parties sont intitulées : I. GANDALF (The Wizard) [Le Magicien] II. LOTHLORIEN (The Elvenwood) [La Forêt des Elfes] III. GOLLUM (Sméagol) IV. JOURNEY IN THE DARK [Voyage dans les Ténèbres] a. The Mines of Moria [Les Mines de la Moria] b. The Bridge of Khazad-Dûm [Le Pont de Khazad-Dûm] V. HOBBITS La symphonie a été écrite entre mars 1984 et décembre 1987 et a eu sa première à Bruxelles le 15 mars 1988, interprétée par la Musique Royale des Guides Belges sous la direction de Norbert Nozy. En 1989, la Symphonie LE SEIGNEUR DES ANNEAUX remporte le premier prix du Concours International de Composition Sudler à Chicago. En 2001, la version orchestrale a été créée par le Rotterdam Philharmonic Orchestra et a été enregistrée par le London Symphony Orchestra. / Date parution : 2023-07-31/ Répertoire / Concert Band/Harmonie

for wind orchestra (revised edition 2023). Par DE MEIJ JOHAN. Symphonie no. 1 The Lord of the Rings [Le Seigneur des Anneaux] La première symphonie de Johan de Meij ?The Lord of the Rings? [Le Seigneur des Anneaux] est basée sur la trilogie romanesque du même nom de J.R.R. Tolkien. Depuis leur parution en 1955, ces livres ont fasciné des millions de lecteurs dans le monde entier. La symphonie est composée de cinq mouvements séparés illustrant chacun un personnage ou un épisode important de ce grand succès littéraire. L?oeuvre est écrite pour orchestre d?harmonie, avec des parties réservées au saxophone soprano, au bugle et au piano. Les différentes parties sont intitulées : I. GANDALF (The Wizard) [Le Magicien] II. LOTHLORIEN (The Elvenwood) [La Forêt des Elfes] III. GOLLUM (Sméagol) IV. JOURNEY IN THE DARK [Voyage dans les Ténèbres] a. The Mines of Moria [Les Mines de la Moria] b. The Bridge of Khazad-Dûm [Le Pont de Khazad-Dûm] V. HOBBITS La symphonie a été écrite entre mars 1984 et décembre 1987 et a eu sa première à Bruxelles le 15 mars 1988, interprétée par la Musique Royale des Guides Belges sous la direction de Norbert Nozy. En 1989, la Symphonie LE SEIGNEUR DES ANNEAUX remporte le premier prix du Concours International de Composition Sudler à Chicago. En 2001, la version orchestrale a été créée par le Rotterdam Philharmonic Orchestra et a été enregistrée par le London Symphony Orchestra. / Date parution : 2023-08-12/ Répertoire / Concert Band/Harmonie