| The Rake's Progress HPS
739 Soli, choeur mixte et accompagnement Soli, chœur mixte et orchestre Boosey and Hawkes
Opera in three acts. Par STRAWINSKY IGOR. New edition of Stravinsky?s largest wo...(+)
Opera in three acts. Par STRAWINSKY IGOR. New edition of Stravinsky?s largest work, his only full-length work for the theatre, and his first major work in English. It also represents the culmination of his neoclassical years, after which he started to rethink his musical language. Inspired by an exhibition in Chicago in 1947 of a series of Hogarth prints, the depiction of the ironic progress of the spendthrift heir of a miser from wealth via debt to madness and death is, in essence, retained in the opera. Auden and Kallman's 'fable' wittily grafts onto Hogarth?s quest narrative aspects of, among other sources, Classical pastoral, the Faust legend, fairy tale, circus, the Bible and opera in many different manifestations. This is brilliantly matched by Stravinsky?s music, which takes as its source the whole of operatic history from Monteverdi to Verdi via Rossini and Donizetti and large doses of Mozart, yet it is neither parody nor pastiche. The Rake?s Progress can be appreciated on many levels, which might explain why it is still one of only a handful of 20th-century operas never to have been out of the repertoire. / Date parution : 2023-10-31/ Répertoire / Solistes, Choeur et Orchestre
121.00 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Symphonie Nr. 9 (MAHLER
GUSTAV) Orchestre [Conducteur d'étude / Miniature] Universal Edition
Based on the Critical Edition- Orchestra material on hire. Par MAHLER GUSTAV. Th...(+)
Based on the Critical Edition- Orchestra material on hire. Par MAHLER GUSTAV. The large-scale form of 'Symphony No. 9' is unusual in a number of ways. It reminds in no way of the ninth symphonies of famous predecessors. Two slow movements, an Andante comodo at the beginning and an Adagio at the end, form the frame for two of the most parodistic and embittered inner movements that Mahler ever wrote - a ländler-waltz combination, and the 'Rondo-Burleske', a bitter, ironic movement that is derisively dedicated 'to my brothers in Apollo'. The most extraordinary part of Mahler's last completed symphony must certainly be the slow finale - a 20-minute long intensively singing movement laden with conflict that includes references to earlier works by Mahler, in slow motion as it were ('Urlicht',' Ablösung im Sommer', the 'Scherzo of Symphony No. 3', 'Der Abschied' from 'Das Lied von der Erde', and 'Oft denk' ich, sie sind nur ausgegangen' from the 'Kindertotenlieder'); it indeed seems that a circle is being closed. (Reinhold Kubik) Universal Edition continues its new study score standard. These completely redesigned scores offer an unparalleled insight into the music of the last hundred years. Great care has been taken to select the best available content for this journey through music history, and every score has been edited according to the latest quality standards./ Répertoire / Orchestre
50.40 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Orpheus In The Underworld
(OFFENBACH JACQUES) Orchestre d'harmonie [Conducteur et Parties séparées] - Intermédiaire/avancé De Haske Publications
Par OFFENBACH JACQUES. Jacques Offenbach (1819-1880) cultivait l’art d’ironi...(+)
Par OFFENBACH JACQUES. Jacques Offenbach (1819-1880) cultivait l’art d’ironiser sur la frivolité des moeurs parisiennes, sur l’amour, la vie politique et la vie militaire. Son opérette Orphée aux Enfers (1858) est une parodie du mythe grec d’Orphée et Eurydice, mais sous le masque de l’antiquité, il se livre à une critique sévère de l’attitude suffisante de nombreux de ses contemporains. L’Ouverture telle que nous la connaissons aujourd’hui n’est pas la version originale d’Offenbach, mais une version complétée par Carl Binder pour une production à Vienne en 1860. Wil van der Beek en a réalisé une transcription irrésistible qui contient le pétillant Cancan, l’une des pages les plus célèbres de lapartition. / Niveau : 4 / Transcription / Répertoire / Concert Band ou Harmonie
195.20 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Orpheus In The Underworld
(OFFENBACH JACQUES) Orchestre d'harmonie [Conducteur] - Intermédiaire/avancé De Haske Publications
Par OFFENBACH JACQUES. Jacques Offenbach (1819-1880) cultivait l’art d’ironi...(+)
Par OFFENBACH JACQUES. Jacques Offenbach (1819-1880) cultivait l’art d’ironiser sur la frivolité des moeurs parisiennes, sur l’amour, la vie politique et la vie militaire. Son opérette Orphée aux Enfers (1858) est une parodie du mythe grec d’Orphée et Eurydice, mais sous le masque de l’antiquité, il se livre à une critique sévère de l’attitude suffisante de nombreux de ses contemporains. L’Ouverture telle que nous la connaissons aujourd’hui n’est pas la version originale d’Offenbach, mais une version complétée par Carl Binder pour une production à Vienne en 1860. Wil van der Beek en a réalisé une transcription irrésistible qui contient le pétillant Cancan, l’une des pages les plus célèbres de lapartition. / Niveau : 4 / Transcription / Répertoire / Concert Band ou Harmonie
33.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Fischer Eric : OctOp.Et
The Moon. Conducteur Orchestre d'harmonie [Conducteur] Dhalmann
Pour orchestre d'harmonie.Conducteur et parties séparées.'Octopus and the Moon...(+)
Pour orchestre d'harmonie.Conducteur et parties séparées.'Octopus and the Moon': ...pourquoi ce titre?!D'une part, comme beaucoup de gens ( mais peu osent l'avouer), à minuit les soirs de pleine lune, je me transforme en poulpe.D'autre part et d'un point de vue structurel, la pièce enchaîne huit états de son évolution, des vagues, autrement dit flux et reflux, car il ne s'agit pas de développements.Chaque nouvel état sonore émerge puis disparaît.Cet ouvrage n'est pas dans l'usage habituel d'un orchestre d'harmonie mais est à coup sûr ce que j'aimerais souvent lui entendre jouer: un temps suspendu, introspectif voire intime, la richesse de la nomenclature liée à ce type de formation permettant à l'infini la recherche de couleurs sonores et de combinaisons.Eric FISCHER est l'auteur d'environ 200 opus, allant de la pièce pour instrument seul à la forme symphonique, en passant par tout type de nomenclature et d'expériences diverses, musique de chambre, dispositif électronique, oeuvres vocales, musiques de scène, musique improvisée, oeuvre pluridisciplinaires, etc...De fait, sa musique, aujourd'hui régulièrement jouée à travers le monde (USA, Canada, France, Suisse, Belgique, Hollande, Lettonie, Japon?) recherche toujours un espace privilégié avec les artistes qu'il admire, quel que soit leur instrument et l'univers stylistique dont ils sont issus.Entre 1988 and 1991, il dirige l'ensemble à cordes ' Antigone ' avec lequel il crée une partie de son oeuvre concertante, cette forme lui étant spécifiquement inspirante.(Ex : ' concerto pour marimba and orchestre ' 1987, éditions Notissimo - ' les mélodies provisoires ' pour accordéon and orchestre 1991, créée par Richard Galliano à St Eustache Paris - ' Concerto No3 ' pour saxophone soprano and orchestre à cordes, enregistré et créé par J.P.Baraglioli and l'orchestre philharmonique de chambre de Lettonie 1998, CD Daphénéo 9802, éditions Misterioso?)Sa curiosité à tout type de rencontre le mènera à d'autres échanges artistiques tout à fait privilégiés :À noter depuis 1989, un parcours de fidélité réciproque avec le chorégraphe japonais Shiro Daïmon (Dernières créations : ' Oni ', Oguni, Jp, sept.2004 - ' Kou, la lune rouge ' Paris, janvier 2005)Cofondateur du ' Collectif de la dernière tangente ' avec le plasticien Bernard Garo et le comédien François Chattot, proposant d'étonnantes immersions pluridisciplinaires, avec des spectacles comme ' Temps Morts ' (création Far, Nyon, 2003/ théâtre Vidy, Lausanne, 2004/ Scène nationale de Sénart, 2005/ festival de Dijon 2007) et ' 9 pictures from 99 body ritual tales ' (création Far, Nyon, 2005/ tournée automne 2006?)' Wasser wind und Stahl ' en préparation (création prévue saison 2008/2009)Musique de film pour ' l'oeil sauvage ' de Johanna Vaude (2006)Travail régulier avec des poètes, dont Dominique Brand et Emmanuel DamonÀ écrit pour Richard Galliano, David Liebman, François Bou, Jacqueline Méfano, Marianne Muller, le quatuor de Riga, l'ensemble FA 7, Jean-Pierre Baraglioli, le quatuor boréal, le collectif Rock Adélaïde, l'orchestre philharmonique de chambre de Lettonie, Sylvain Kassap?Egalement saxophoniste and claviers, il a joué et/ou enregistré aux côtés de Steve Lacy, David Liebman, Sylvain Kassap, Hozan Yamamoto, Andy Emler, Marc Ducret, Archie Shepp,?oeuvres sur CD :(ordre chronologique)1998 : ' Concerto No3 ' pour saxophone soprano and orchestre à cordessur le CD ' 52 fils tendus ' de J.P.Baraglioli (Daphénéo)2000 : ' le Rituel ' pour 5tet de saxophonessur le CD ' le Pont Mirabeau ' quatuor de saxophones de Riga (Kulturas Parvalde)2001 : ' Concerto Grosso ' (2o and 4o Mouvements) pour orchestre d'harmoniesur le CD ' Changer d'air ' produit par Ariam Ile-de-France/ Cepia2002 : ' Même si la lumière? 'Chamber music, monographie (Daphénéo)En cours de réalisation ' Eau vent acier ' pour quatuor à cordes. Sortie prévue en mars 2008 / Orchestre D'Harmonie
353.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Légendes Urbaines
(MURAIL TRISTAN) En Français 22 Instruments [Partition] Lemoine, Henry
Par MURAIL TRISTAN. (Prendre les mots 'légendes' et 'urbaines' dans leurs diffÃ...(+)
Par MURAIL TRISTAN. (Prendre les mots 'légendes' et 'urbaines' dans leurs différents sens et en tester toutes les combinaisons)
Légendes urbaines est le résultat d'une commande précise de l'Ensemble intercontemporain, à l'occasion d'un concert 'à thème', lui-même partie d'une saison thématique. Ces thèmes, comme l'on sait, sont: la ville, le voyage, et plus précisément, pour ce concert, New York - New York n'étant évidemment pas une destination de voyage pour moi, sinon celle d'un 'commuting' fréquent depuis ma résidence semi-rurale. Les thèmes littéraires ou visuels en musique ont fait couler beaucoup d'encre et plongent plus d'un dans la perplexité. La musique peut-elle exprimer ou raconter ? Est-il possible de ressusciter le poème symphonique ? D'écrire encore des opéras ? Si oui, est-il légitime de le faire, ou n'est-ce pas définitivement obsolète ? Comme je crois à la méthode expérimentale, j'ai décidé de relever le défi et de m'essayer au thème proposé, non sans garder quelque distance ironique vis-à -vis de l'exercice. Occasion aussi de rechercher quelques modèles et de ne pas se priver de références, plus ou moins transparentes, à quelques-uns de mes prédécesseurs sur le nouveau continent. Le modèle formel est celui des Tableaux d'une exposition, avec sa suite de vignettes sonores entrelacées de promenades - les références musicales, on pourra s'amuser à les deviner. Les allusions visuelles, points de départ ou d'arrivée de la rêverie musicale, ne seront pas l'Empire State Building, la Statue de la Liberté et autres cartes postales formatées pour le tourisme, mais plutôt les images et sensations suscitées par la fréquentation d'une ville à la fois très familière et tout à fait étrangère.
Promenade 1
Les 'promenades' de Moussorgski s'effectuaient d'un pas à la fois martial et guilleret... Dans Manhattan, les distances sont grandes, qui inciteront à prendre plutôt le 'Subway', célèbre pour son infernal vacarme métallique. Par prudence pour nos tympans, on l'écoutera d'assez loin, accompagné d'appels de cuivres, le plus souvent sous forme de tierces descendantes - les 5 espèces de tierces permises par l'écriture en quarts de tons. Vacarmes métalliques et appels de cuivres ne se limitent d'ailleurs pas à constituer l'essentiel des 'promenades', mais envahissent les recoins de toute la pièce.
Staten Island Ferry
Autrefois, la 'skyline' (la ligne des gratte-ciels) de Manhattan surgissait pour le voyageur lentement sur l'horizon, objet de tous les rêves et de tous les espoirs, au terme d'une longue traversée maritime. Le bateau franchissait la rade de New-York, saluait au passage la Statue de la Liberté, et allait s'amarrer directement au pied des 'high-rises'. On se rappelle les vieux films et vues d'archives. New York ne s'aborde plus par la mer et cet aspect du rêve américain a donc disparu, mais on peut revivre l'expérience, dans une certaine mesure, en prenant le ferry de Staten Island. Au retour, on peut s'imaginer, accoudé à la rambarde d'un paquebot, découvrant la ville longtemps espérée... la vue est splendide, et le ferry gratuit - chose rare en ce pays.
Central Park at twilight
Superposition de musiques émanant de lieux différents, et se mouvant à différentes vitesses. Sensation étrange d'échapper un moment à la réalité de la ville dont les bruits ne parviennent qu'étouffés. Instants ambigus du crépuscule, brefs et éternels, bruissements dans les fourrés déjà obscurs (ce ne sont que les écureuils), les silhouettes des gratte-ciels s'illuminent une à une à travers les frondaisons. Chant harmonique de la 'Swainson's thrush' (grive à dos olive). Les derniers promeneurs se hâtent vers les sorties: de nos jours, il n'est plus très recommandé de rester écouter les sons de 'Central Park in the Dark'.
Sunday Joggers
Toujours à Central Park: le dimanche, s'installer le long de l'une des routes qui traversent le parc, et qui, fermées à la circulation, sont envahies par une foule ahanante, transpirante et clopinante. 'Joggers' de tous âge, sexe, taille, couleur et embonpoint - toutes vitesses, allures et harnachements. Certain(e)s promènent leur progéniture dans des poussettes de course (3 roues surdimensionnées, profilage aérodynamique), d'autres peinent à suivre leur(s) chien(s). Quelques tricheurs passent à vélo ou sur patins à roulettes. Toute une humanité pantelante défile devant vos yeux, et il faudrait être Daumier pour croquer le spectacle - ici c'est le prétexte d'une modeste étude sur les tempi superposés.
Whirlwinds
Le plan de Manhattan est intéressant: systématiquement rectangulaire, mais avec quelques grandioses irrégularités, en particulier celles provoquées par Broadway qui, vestige d'un vieux chemin indien, coupe diagonalement rues et avenues, provoquant de ce fait quelques extravagances architecturales et topologiques. Une autre conséquence du plan d'urbanisme - ou d'une absence de celui-ci - est que la circulation atmosphérique se trouve très fortement perturbée. Certains carrefours sont ainsi le siège de redoutables tourbillons venteux, en particulier ces carrefours complexes provoqués par l'intrusion de Broadway dans le damier urbain, ou encore la climatiquement terrifiante intersection entre Riverside et la 122ème rue, où la présence d'un clocher-gratte-ciel néo-pré-raphaélite perturbe fortement les masses d'air qui circulent le long de la rivière Hudson.
Promenade 2
Plus agitée que la Promenade 1, et conduisant au triptyque suivant:
George Washington Bridge 1
The Frozen River
George Washington Bridge 2
'Non seulement les possibilités des harmoniques des sons seront-elles révélées dans toute leur splendeur, mais encore l'usage de certaines interférences créées par les partiels constituera-t-il une contribution appréciable. On pourra s'attendre à l'utilisation, jamais envisagée jusqu'à ce jour, des résultants inférieurs et des sons différentiels et additionnels. Une magie sonore totalement nouvelle !' (Edgar Varèse, extrait d'une conférence donnée à Santa Fe en 1936).
George Washington Bridge, c'est notre Grande Porte de Kiev - et l'une des peu nombreuses voies d'accès à l'île de Manhattan (car Manhattan est une île, on l'oublie parfois). Une 'Grande Porte' en ferraille et en réfection permanente, mais qui fut un symbole de modernité en son temps et fascina, dit-on, Edgar Varèse, qui venait en surveiller l'avancement des travaux. C'est aussi l'occasion d'un triptyque intérieur, qui respecte la symétrie de l'ouvrage, ses deux piliers de métal argenté, son double pont d'où l'on peut jouir de vues somptueuses sur la skyline, le tout jeté sur un fleuve parfois gelé en hiver. C'est enfin un hommage à l'intuition prophétique de Varèse, dont la citation ci-dessus décrit très précisément les types d'harmonies développés quarante ans plus tard par les techniques dites 'spectrales' - sans que lui-même n'ait pu mettre ces idées en application.
Promenade 3
Au ralenti, et tuilée avec:
Hyperlinks
Où des connexions s'établissent subitement entre divers moments entendus précédemment - établissement de 'liens' inattendus entre textures les plus opposées.
Promenade 4
Rappel de la promenade 1, puis retour à Central Park, qui maintenant s'enfonce dans la nuit - dernier chant de la grive à dos olive...
Tristan Murail
Programme de l'EIC, Concert à la Cité de la Musique / contemporain / Répertoire / 22 Instruments
93.20 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
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