Par VAN DER ROOST JAN. Pour créer cette rhapsodie irlandaise, Jan Van der Roost a puisé dans la richesse de la musique traditionnelle irlandaise. Dublin Dances (“Danses de Dublin”) rassemble trois célèbres mélodies qui forment le canevas de l’oeuvre. La première mélodie, Brian Boru’s March, a fait le tour du monde dans les années 1980, grâce à l’interprétation du brillant flûtiste James Galway. Dublin Dances en offre une version nouvelle, pleine de fraîcheur. Ancrée dans la tradition de la musique irlandaise, la place accordée aux flûtes et à la percussion apparaît comme une évidence. La seconde mélodie, The Minstrel Man, s’appuie sur une superbe courbe qui chemineavec fluidité entre divers instruments. L’harmonisation qui la sous-tend est d’une étonnante, mais somptueuse sobriété. Point culminant de la structure, le pétillant rythme de danse de l’air The Irish Washerwoman écrit en 6/8, un chiffrage de mesure souvent utilisé dans la musique irlandaise. Ce brillant et virevoltant finale clôt ce voyage musical dans l’éternelle île verte où musique et sociabilité sont unies par un lien indéfectible. / Niveau : 3 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Par SPARKE PHILIP. Kentish Dances (“Danses du Kent”) est une commande du Bromley Youth Music Trust pour le Bromley Youth Concert Band (Orchestre d’Harmonie Junior de Bromley) placé sous la direction de Michael Purton. L’oeuvre a été donnée en création par la formation dédicataire, le 16 mars 2008 au St John’s, Smith Square à Londres. La ville de Bromley est située dans le comté du Kent à l’extrémité sud-est de l’Angletrerre. Le Kent possède un riche patrimoine culturel traditionnel et notamment de nombreux airs de danses comme beaucoup d’autres régions anglaises. Connue en Angleterre sous le nom de country dancing, la contredanse fut plébiscitée par les classes moyenne et aiséeanglaises à la période élisabéthaine, supplantant les formelles gaillardes et pavanes en vigueur à la cour royale. La contredanse connut une telle notoriété que de nombreux ouvrages lui furent consacrés tels que l’ English Dancing Master de Thomas Playford, publié en 1651, qui constitue la plus importante source de mélodies de danses traditionnelles léguée à la postérité. Michael Purton, Directeur du Bromley Youth Music Trust, suggèra l’idée d’une oeuvre basée sur des airs de danses typiques du Kent. Philip Sparke accepta et composa cette suite de danses en trois mouvements. Le premier mouvement est construit sur un moto perpetuo qui développe deux mélodies pétillantes en 6/8 : Dover Castle et The Fair Maid of Wickham. Le mouvement central s’articule autour de l’air Blackheath dont la sombre mélodie contraste de façon charmante et opportune avec la mélodie Bromley Bells. Le finale expose les sémillants We Are All Right at Canterbury et Ramsgate Pier. La valse cadencée Northdown Waltz offre un délicieux contraste expressif. / Niveau : 3 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Par DE HAAN JACOB. Cette oeuvre foisonne de références liées à la danse et à la poésie du XIXe siècle, car Jacob de Haan s’est appuyé sur des danses jadis en vogue dans les ports de pêche le long du littoral de la mer du Nord et de l’ancien golfe du Zuidersee. Dances & Sonnets s’ouvre avec une introduction majestueuse. Le compositeur explore ensuite l’univers de la danse avec une polka, une valse, une danse des sabots, une scottish à trois et un galop. Dances & Sonnets est une oeuvre enrichissante pouvant être interprétée avec ou sans lecture de poème ou danses. / Niveau : 3 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

as performed by Dan Hartman & Take That. Par HARTMAN DANIEL. Le grand succès de Dan Hartman, Relight My Fire, sorti en 1979, se classa en tête des hits-parades américains pendant près de six semaines. En 1993, le boys band Take That et la chanteuse Lulu enregistrent une reprise de Relight My Fire. Leur tube se place immédiatement en 1ère place des charts britanniques. Peter Kleine Schaars s’inspira de ces deux versions et réalisa un flamboyant arrangement pour orchestre d’harmonie. De quoi ranimer le feu dans le coeur de tous vos auditeurs ! / Niveau : 3 / Pop and rock / Recueil / Concert Band ou Harmonie

Par WATSON SCOTT. The 14th-century carol, 'Personent hodie,' is both mysterious and powerful. On This Day Earth Shall Ring---a festive processional on the ancient melody arranged by Scott Watson---explores both aspects. Beginning quietly, the modal tune emerges over a chant drone with rustic, medieval percussion. Before long, the piece takes on the joyous character alluded to in the tune's most familiar English text setting, 'On This Day Earth Shall Ring' (written by composer, Jane Joseph, a student of Gustav Holst). As the work draws to an ebullient close, all the stops are pulled with resounding brass and ringing metallic percussion! Whether used as a striking concert opener or a jubilant final selection, On This Day Earth Shall Ring will add festive élan to your winter/holiday program! (3:28) This title is available in SmartMusic. / Date parution : 2022-10-12/ Répertoire / Concert Band

Par DE HAAN JACOB. Ottoman Dances (“Danses ottomanes”) est une oeuvre qui s’appuie sur deux danses du Sud-Est de l’Europe. L’une provient de Bosnie-Herzégovine, l’autre de Turquie, deux pays ayant autrefois appartenus à l’Empire Ottoman (1350-1918). Le premier mouvement se développe sur une danse sereine qui allie contrastes de nuances. Le second mouvement expose une danse rapide qui évolue dans une atmosphère joyeuse. / Niveau : 1.5 / Musique légère originale / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Indian Sketches. Par DE HAAN JACOB. Les Indiens Dakota (Sioux) des États américains du Dakota du Nord et du Dakota du Sud sont au centre de cette fresque musicale, dans laquelle Jacob de Haan dépeint certains aspects de leur culture et de leur histoire. Dans plusieurs mouvements de cette oeuvre, le compositeur a intégré une mélodie indienne ancienne provenant du Dakota du Sud. 1. Le Grand Esprit : la culture des Indiens Dakota était liée à la terre et au monde des esprits. Dans leurs croyances, le Grand Esprit avait créé la terre en jetant une balle noire dans l’eau, puis il prit une deuxième balle et créa les êtres vivants. 2. La chasse au bison : courir à bride abattue vers un bisonvigoureux nécessitait beaucoup d’adresse et de courage. Pourtant, les hommes attendaient impatiemment l’occasion de pouvoir faire leurs preuves à la chasse. 3. Fumer le calumet : le calumet était le symbole de la paix. On l’utilisait pour sceller une entente entre les hommes et les nations. Fumer le calumet était un gage de bonne volonté. Et lorsqu’un homme-médecine fumait le calumet, il communiait avec le Grand Esprit. 4. The Ghost Dance (“La Danse des Esprits”) Pour faire renaître l’espoir, les Indiens exécutaient une danse religieuse accompagnée d’incantations et des chants rituels. En 1890 à Wounded Knee, l’armée fédérale a ouvert le feu sur tous ceux qui célébraient la Ghost Dance. 5. Les pèlerins de Wounded Knee : la tragédie de Wounded Knee est un moment douloureux dans l’histoire des nations indiennes. Ils sont encore nombreux à faire un pèlerinage sur cette colline sacrée, balayée par le vent, où tant d’innocents ont été massacrés. / Niveau : 2.5 / Pièce de concert / Date parution : 1905-06-24/ Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Arr. Rob Wiffin. Par TRADITIONAL. Cette composition est basée sur le célèbre air traditionnel écossais The Dashing White Sergeant. Longtemps considérée comme anonyme, cette mélodie aurait été composée au milieu des années 1820 par Sir Henry Rowley Bishop. Bien que cette théorie fut difficilement concevable pour certains (comment un Anglais aurait-il pu composer un célèbre air traditionnel écossais ?), elle reste néanmoins la plus communément admise. Il existe plusieurs textes accompagnant cet air. Le titre Dance Away dérive de la phrase « Dance away the hours together » extraite des paroles de Sir Hugh Roberston. Dance Away fait référence à diverses formes de danses. Certaines puisentleurs racines dans la tradition, d’autres dans la modernité. Ainsi, nous quittons l’Écosse pour la Thaïlande et l’Espagne. / Niveau : 3 / Musique légère originale / Date parution : 1905-06-29/ Répertoire / Concert Band ou Harmonie

from opus 46. Par DVORAK ANTONIN. En 1878, Antonín Dvorák composa une série de huit danses slaves. Contrairement à Brahms, Dvorák s’est contenté d’emprunter aux danses de son pays natal leurs caractéristiques rythmiques. Wil van der Beek a réalisé un arrangement de deux d’entre elles : la danse n° 7, une vive skocná dont le thème mélodique est écrit en forme de canon et la danse n° 8, fougueuse et énergique qui est menée presto. La partie centrale est apaisée. Le _x001C_finale est vif et puissant. / Niveau : 4 / Transcription / Date parution : 1905-07-03/ Répertoire / Concert Band ou Harmonie

for Alto Saxophone and Concert Band. Par SWERTS PIET. Dance of Uzume (“La danse d’Uzume”) est un dialogue virtuose et lyrique entre le soliste et l’accompagnement. La trame se développe sur un tempo unique et rapide. Ce concertino raconte un épisode de la mythologie japonaise. Ulcérée par les méfaits de son frère Susanowo, dieu du vent et des tempêtes, Amaterasu, déesse du Soleil, se confine dans une caverne, privant le monde de sa lumière. Ne supportant plus l’obscurité, les autres dieux se réunissent devant l’entrée de la caverne pour trouver un moyen de la faire sortir. Uzume, la déesse de la gaieté, se met alors à danser frénétiquement. Intriguée, Amaterasu paraît enfin et le monde retrouve la lumière du soleil. / Niveau : 5 / oeuvre solo et Orchestre / Répertoire / Saxophone Alto et Concert Band ou Harmonie

for Solo Bb Euphonium (or Baritone ad lib.) and Concert Band. Par DOSS THOMAS. Cette 'uvre a été écrite dans le cadre du projet Obertöne du Bezirksblasmusikverband Linz-Land (Autriche). Elle est dédiée à Anton Forstner en remerciement des années qu'il a consacrées à soutenir la musique pour instruments à vent dans le district de Linz-Land. Le Shamadan est une ancienne danse folklorique orientale pleine de symbolisme durant laquelle une danseuse ' souvent à l'occasion d'un mariage ' porte en équilibre sur la tête un candélabre représentant la lumière spirituelle. Dans cette 'uvre, l'euphonium tient le rôle de la danseuse. Dès le début, le/la soliste a l'occasion de briller dans un récitatif non accompagné. Ensuite, soliste et orchestre jouent en alternance, mais tout au long de la pièce ce dernier tient aussi un rôle important avec diverses prouesses techniques. D'autres points d'intérêt sont introduits avec un passage solo accompagné de percussions et frappements de mains, le tout culminant brillamment dans un grand tutti vers la fin de la pièce. Une musique exigeante offrant de multiples plaisirs ! / Date parution : 2022-11-08/ Répertoire / Concert Band/Harmonie

Par SWERTS PIET. Diese Overtüre für Blasorchester wurde im Januar 2002, zum 150. Jahrestag der Pferdemesse von Vilvoorde, komponiert. Willam Tyndale war ein englischer Theologe und Bibelübersetzer, den man als Ketzer im 16. Jahrhundert in Filfurdo lebendig begrub. Während einer Passage in diesem Stück (Takte 78-94) werden Fragmente einer Motette von William Byrd, eines Zeitgenossen von Tyndale, zitiert. Die Motette basiert auf Psalm 81, dessen Text lautet: 'Jubelt Gott zu, unserer Stärke; jauchzt dem Gott Jakobs'. Dies war eine der beliebtesten Motetten jener Zeit. Die Ouvertüre spielt indirekt auf Tyndales Zeit an, dann nimmt das Stück eine Kurze dramatische Wende, der Höhepunkt handelt von derHinrichtung Tyndales. Dies gehört nun jedoch alles der Vergangenheit an und so endet das Sück mit optimistischen Klängen. Die William Tyndale Overture enthält mehrere Anspielungen auf den Stadtrat von Vilvoorde. Das Hauptthema und die Motive basieren auf den Namen Jean-Luc Dehaene, dem Bürgermeister von Vilvoorde. Hieraus lässt sich a-h-d-e (a-b-d-e) ableiten: Einen Halbtonschritt höher transponiert, ist dies das Hauptthema des Stückes. Während der Passage, welche auf William Byrds Motette verweist, wird es häufig wiederholt. Das Stück endet glanzvoll und feierlich. / Niveau : 4 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Par COURT DOUGLAS. La musique traditionnelle irlandaise se caractérise par sa lumineuse gaieté. Celtic Dance (“Danse celtique”) débute avec le célèbre air Galway Piper qui devient le fil conducteur de l’oeuvre. Soumis ensuite à de nombreuses variations, réalisées avec finesse, il nous emmène pour un voyage à travers l’histoire de la musique traditionnelle irlandaise. / Niveau : 2 / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Based on Dies Irae. Cette oeuvre s’inspire du Dies Irae attribué à Tomaso da Celano, que l’on considère comme l’auteur de la version définitive de ce poème écrit au XIIIe siècle. Plusieurs compositeurs célèbres tels que Berlioz, Saint-Saëns, Mahler et Liszt, ont intégré des passages de chant grégorien dans leurs oeuvres. Dans sa composition Song of David, dont le titre fait référence à la troisième ligne du texte original, Jan de Haan présente un thème à l’unisson qui sera repris ensuite dans différentes couleurs orchestrales. / Niveau : 3 / Musique pour célébration / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Arr. Toshio Mashima. Par LENNON / PAUL MCCARTNEY. Ob-La-Di, Ob-La-Da est un titre des Beatles présent dans leur albume de 1968 souvent surnommé Album blanc. Bien que crédité à Lennon et McCartney, cette chanson a été écrite uniquement par Paul McCartney. L’expression “ob-la-di, ob-la-da, lifegoes on, brah” était utilisée par le joueur de conga nigérian Jimmy Scott-Emuakpor, une connaissance de McCartney. Ce nouvel arrangement de la série ‘New Sounds’ par Toshio Mashima est un bis parfait pour votre prochain concert. / Niveau : 4 / Pop and rock / Date parution : 1905-07-09/ Recueil / Concert Band ou Harmonie