Par GLERUP RUNE. My violin concerto would never have been written if I had not met Isabelle Faust. At a time when I had not written a single note for several months, doubting if I would ever write anything again, her interest and energy was the cause of new inspiration. Just as important was her special way of playing - with intellect, heart and a rare, delicate sensibility. Her personality and musicianship struck a chord in me, in my music, which gave my thoughts a new direction. The violin concerto marks a change in my music towards a simpler and lighter expression. An expression that also contains detached glimpses from my childhood's endless summers by the North Sea. Birds, high and slow on a blue sky, and the evening quietly descending. The special light, the distant sounds. But also the confusion, repetitions and dead ends of the world. An expression that, more than in my previous music, is 'About Light and Lightness.' - Rune Glerup, 2021 / Date parution : 2023-10-31/ Répertoire / Orchestre

Par JARRELL MICHAEL. De la nature... du musical Michael Jarrell, né en 1958, est l'un des compositeurs les plus en vue de sa génération. Dans une démarche toute personnelle, qui ne s'est inféodée à aucun mouvement, et dans une quête intérieure inlassablement poursuivie, il a opéré une synthèse de l'héritage des musiques d'après-guerre dont il a extrait certaines caractéristiques techniques pour les mettre au service d'une véritable poétique musicale. En effet, contrairement à ses aînés, il explore moins le langage pour lui-même, faisant des nouvelles techniques le lieu d'une mutation dans la pensée musicale, qu'il ne cherche à le mettre au service de l'expression. Aussi se méfie-t-il d'une conceptualisation excessive, et de l'utopie dont l'oeuvre serait porteuse, préférant mettre en valeur les vertus d'un artisanat qu'il enseigne par ailleurs à Vienne et à Genève, ainsi que lors de nombreux séminaires à travers l'Europe. Ses oeuvres, facilement identifiables dans l'abondante production contemporaine, sont toutes liées les unes aux autres, non seulement par une certaine forme de sensibilité, leur tonalité propre, mais aussi par la récurrence de certains traits que Jarrell retravaille dans des contextes différents. Il s'est ainsi très tôt constitué un univers qu'il ne cesse de remodeler, visant moins l'originalité apparente de chacune des pièces qu'un déplacement constant des perspectives dans lesquelles les mêmes idées, en elles, peuvent être appréhendées. 'Cent fois sur le métier...' voilà quelle pourrait être sa devise. On trouve ainsi dans chacune de ses oeuvres quelque chose de familier qui acquiert en même temps une certaine étrangeté, sentiment qui constitue peut-être un élément essentiel de son expressivité. La musique de Jarrell arpente les régions du rêve et de l'irréalité, à la recherche de son moment de vérité, souvent situé dans les sonorités les plus graves et tes plus lentes, là où le temps, ailleurs agité, s'immobilise. C'est peut-être ce qui confère à sa musique une forme de tendresse inséparable de la beauté sonore, allant jusqu'à un esthétisme raffiné, loin des recherches extrêmes et des formulations autoritaires. Chez lui, même les techniques instrumentales les plus inhabituelles, ou les sonorités électroniques, auxquelles il a souvent recours, sont rapatriées dans un monde sensible emprunt de pureté où ce sont les qualités expressives qui dominent. Celles-ci ne renvoient pas forcément au moi du compositeur, qui tend au contraire à s'effacer, mais davantage à l'essence même du musical, au phénomène en soi, porteur d'une présence singulière au monde. On retrouve de telles qualités dans sa dernière oeuvre, ...Le ciel, tout à l'heure si limpide, soudain se trouble horriblement..., commandée par l'Orchestre de la Suisse Romande. Elle fait appel à un grand orchestre symphonique standard: 3 flûtes (dont alto et piccolo, 2 hautbois et cor anglais, 2 clarinettes et clarinette basse, 2 bassons et contrebasson, 4 cors, 3 trompettes, 3 trombones, tuba, harpe, timbales, 4 percussions (vibraphone, glockenspiel, cloches tubes, cymbales, bongos, tam-tam, grosse caisse, temple blocks, tom grave, spring coils, triangle, mark tree) et cordes. Malgré un titre qui pourrait sous-entendre un élément programmatique, l'oeuvre appartient à la catégorie de la musique pure. L'orchestre y est traité de façon conventionnelle, mais avec une virtuosité d'écriture, un raffinement dans la sonorité qui exige beaucoup de ses interprètes. D'un seul tenant, l'oeuvre se divise en quatre parties principales d'inégale longueur, les deux premières étant plus importantes que les deux suivantes: la première est constituée d'un continuum de notes rapides réparties entre les cordes et Les bois, tandis que les trompettes, doublées par différents instruments, lancent une figure d'appel incisive qui s'allonge progressivement. L'écriture est d'une grande virtuosité, les figurations en triples croches passant d'un instrument ou d'un groupe à un autre. Les notes rapides se figent une première fois dans des oscillations jouées notamment par les cordes divisées, puis à travers des notes répétées qui traversent toute la texture orchestrale. Après un passage intermédiaire privilégiant les sons graves, l'écriture vive reprend jusqu'à un sommet dramatique marqué par des trilles, aussitôt suivi d'une désintégration qui mène à la seconde partie. Celle-ci débute avec des quintes jouées par les cordes graves divisées et colorées par les percussions (les contrebasses, qui doivent modifier leur accord, jouent des sons harmoniques). La musique semble vouloir repartir d'un point originel, elle se réinvente à partir d'une structure élémentaire, dans une extrême douceur. L'impétuosité du début laisse place à une grande délicatesse des sonorités. C'est un trait que l'on retrouve dans de nombreuses pièces de Jarrell: après l'effervescence d'une écriture brillante, agitée, nerveuse, que l'auditeur suit dans sa course folle, vient un moment réflexif et profond, qui nécessite une réorientation de l'écoule, une plongée dans la nature même du phénomène sonore. La trame qui se déploie dans un tempo lent offre ainsi une autre image de la sonorité orchestrale, comme si une musique des origines, au caractère de litanie, était soudain dévoilée sous la couche éclatante du début. Elle donne le sentiment d'avoir commencé bien avant son moment d'apparition, comme si elle provenait des couches profondes de la conscience, d'une mémoire archaïque. D'ailleurs, Jarrell réélabore ici un passage d'une pièce antérieure, Music for a While, lui reprenant son matériau de base. Le sentiment de profondeur est dû au formidable ralentissement du temps, qui nous met soudainement en apesanteur, mais aussi à une forme en spirale, qui tranche avec la musique directionnelle qui précédait. L'effet que provoque la distance sensible entre de tels contrastes est onirique: on ne sait plus si la première partie, qui nous échappe en se projetant vers l'avant, n'était qu'une forme illusoire, ou si nous entrons, avec la partie lente, dans une sorte de rêve éveillé. Un passage central, dans cette seconde partie, s'organise autour de guirlandes sonores à la harpe et aux cloches que tout l'orchestre remplit de sonorités suaves. Les arpèges descendants des vents doublés par des pizzicatos de cordes, que transpercent des notes répétées aux trompettes et aux cors, dans un climat encore doux, annoncent la reprise du mouvement frénétique. Mais cette fois, ce sont moins des figures virevoltantes qui passent à travers les pupitres que des blocs de notes joués par la masse des instruments: des figures qui s'élancent vers le haut aboutissent à des notes répétées, en une forme d'antiphonie, et mènent à un sommet d'intensité. Après quoi, en guise de coda, une quatrième partie nous conduit à une fin mourante: l'harmonie se fige, les polyrythmes annulent toute sensation de mesure, les longues tenues des instruments graves chutent chromatiquement, les percussions jouant des figures rituelles, en résonance, jusqu'à l'immobilité finale. Le titre de la pièce provient de Lucrèce (De la nature). Il n'a pas de signification structurelle immédiate, comme souvent chez Jarrell, mais exprime en quelques mots l'idée qui avait présidé au morceau. Le trouble s'apparente ici à une forme d'étrangeté, à quelque chose d'inquiétant qui n'apparaît pas de façon narrative, tel un vent d'orage dans un ciel serein, mais comme l'essence même de l'articulation formelle entre deux types d'écriture, deux types d'expression qui exigent des temporalités opposées l'une à l'autre. La soudaineté, c'est le renversement entre les deux. Pourtant, on retrouve un même noyau entre les parties vives et les parties lentes, la quinte jouant dans les deux cas un rôle structurel, et le mib apparaissant comme une note polaire (toute la musique de Jarrell est aimantée par des pôles qui orientent l'écoute). Si le passage du limpide au trouble se traduit par la sonorité orchestrale, par le maniement très sensible des timbres qui provient en grande part de la tradition orchestrale française, il se manifeste aussi par des figures qui évitent tout profil thématique, toute forme mélodique au sens traditionnel du terme, et qui composent la texture. L'auditeur a directement à faire avec la matière sonore. Et celle-ci est composée de part en part. L'adjectif poétique vient à l'esprit pour définir une invention qui s'écarte aussi bien des formes illustratives que des constructions schématiques, et qui repose essentiellement sur l'organisation des hauteurs au détriment des effets, des sonorités bruiteuses ou des gestes iconoclastes. Et malgré les passages brillants, malgré les explosions sonores toujours maîtrisées et un maniement virtuose de l'orchestre, cette poétique révèle un caractère fondamental plutôt intimiste. Philippe Albèra / contemporain / Répertoire / Orchestre

New Edition of the Complete Works V/5. Par SCHUBERT FRANZ. In addition to his symphonies, Franz Schubert also wrote and handed down to posterity a total of eight finished concert overtures (two of them in two versions) between ca. 1811 and 1819. With the exception of the “Overture in D” (D 4) to the comedy “Der Teufel als Hydraulicus” (“The Devil as Engineer”) and the “Overture in D” (D 26), whose original title was cut out of the manuscript, they are all compositions which are associated neither with a drama nor a programme. They thus embody the type of the pure concert overture at an astonishingly early point in the history of music and are also in keeping with this terminologically by virtue of explicitly not having any other appellations whatsoever in the title: the epithet common for two works “in the Italian style” was only added posthumously. Our volume sees publication for the first time of the “Italian Overture in C” (D 591) in its two authentic versions, this being in contrast to the performance tradition based on a potpourri of the sources. The widely handed-down but corrupted musical course of the “Overture in D” (D 590) has likewise been rectified for the first time. Overshadowed by his symphonies, Schubert’s overtures have hitherto been largely undervalued both in their reception and in musical practice – including the “Overture in E minor” (D 648), which sees Schubert venturing into radically new spheres of expression to a greater extent than in virtually any other of his works./ Recueil / Orchestre

Par HENZE HANS WERNER. In this work, I had wanted completely to submit to the traditional rules of the classical symphony so as to mould my musical expression as if in a furnace and enable it to reach the listener as directly and clearly as possible. The first movement is a kind of German dance, an Allemande, so to speak; the second one a Lied. The third, in strict scherzo-form, is a representation of the sufferings of the German poet Friedrich Hölderlin, in Dr. Autenriedth's mental institution in Tübingen. The last movement is a setting of Hölderlin's poem 'Half of Live'. - Hans Werner Henze/ Répertoire / Orchestre

Eine kleine Nachtmusik' '... written with ease, but skillfully refined' 'Eine kleine NachtMusick' is how Mozart entered the Serenade in G major in his personal catalogue of works on 10 August 1787. It was written without any known incentive or commission during the time that Mozart was composing 'Don Giovanni', a time when he was celebrating his greatest success as an opera composer. The work is one of the jewels of Mozart's output, combining bright radiance and a natural simplicity with brilliant refinement. Similarly, the autograph manuscript of this perfect masterpiece is captivating because of its balanced clarity and beautiful handwriting. The manuscript was inaccessible to the public for almost half a century, but now Bärenreiter has received exclusive permission to produce a new facsimile of Mozart's original. The edition reproduces the facsimile pages as individual sheets and leaves, reflecting the way the original copy has survived. These pages ' in high-quality colour printing, each trimmed individually ' are presented in a handsome box. This is accompanied by a booklet with an introductory text by Wolfgang Rehm including information on the genesis of the composition and the various aspects of the autograph manuscript. 'The fact that it's all over town does not alter anything in the quality of this occasional piece written with ease but skillfully refined.' (Wolfgang Hildesheimer) BÄRENREITER FACSIMILE The seal is used exclusively for facsimile editions published by Bärenreiter which meet the highest demands in both scholarly and technical terms. The distinguishing features include: - a facsimile in high-quality colour printing - scholarly commentary 'Facsimile of the autograph score KV 525 'Introduction: 'I. 1787: The work. Its background, genesis, significance and impact 'II. The Autograph. Its clear, its twisted paths 'Notes and References 'Einführung: 'I. 1787: Das Werk. Sein Umfeld, seine Entstehung, Bedeutung und Wirkung 'II. Das Autograph. Seine eindeutigen, seine verschlungenen Pfade 'Anmerkungen 'Watermark No. 55 'Facsimile of the autograph fragment KV 525a Edition no.: BVK 2282 ISBN: 9783761822821 Volume / Series: Documenta musicologica II/46 / Bärenreiter Facsimile Editor: Rehm, Wolfgang Language(s) of work: German, English Product format: Facsimile Binding: in a case Pages / Format: 38 S. - 25,4 x 34,0 cm

En production symphonique de Tchaïkovski, la Symphonie n o 4 était une oeuvre charnière. Il a annoncé le compositeur comme un symphoniste majeur de son temps, éclipsant ses précédents, moins-que-remarquables efforts dans ce formulaire, et ouvert la voie à ses derniers grands travaux: la hantise Cinquième Symphonie et le sixième biographique, la profonde 'Pathétique. 'Quatrième Symphonie de Tchaïkovski - écrite en 1877 à l'âge de 37 - se présente comme une déclaration très personnelle. De façon spectaculaire en forme et brillamment orchestrée, il saisit une qualité théâtrale et de la couleur orchestrale qui ont façonné le compositeur symphonique fantaisie Francesca da Rimini, écrit un an plus tôt. Le quatrième ouvre sans équivoque avec la poussée d'un fanfare de cuivres - le 'sort' motif qui est de réapparaître dans le dernier mouvement - s'écoule alors de la qualité qui caractérise effort de Tchaïkovski grands généreusement mélodieux partitions de ballet. Le second mouvement s'attarde sur l'une des mélodies les plus poignants du compositeur, et le troisième - le Scherzo - offre une fantaisie délicieuse de cette orchestrateur maître: la charmante Pizzicato ostinato, un moment unique dans toute la littérature orchestrale.La symphonie est reproduit ici de la foi Breitkopf and Härtel édition, avec des mouvements bar-numérotés et les marges larges en bas de chaque page de score pour les notes et les analyses. Idéal pour l'étude en classe, à la maison, ou dans la salle de concert, ce à prix abordable, de haute qualité, le volume de taille conventionnelle sera l'édition de choix pour les étudiants en musique et amateurs de musique.Réimpression de l'édition Breitkopf and Härtel. / Orchestre

L'oeuvre musicale qui a pour support une Partition a pour titre Concerto (Orchestre A Cordes). C'est une partition musicale composée par Chaynes Charles et qui est destinée aux joueurs de Conducteur et Poche. Le détail de l'instrumentation Partition D'Orchestre In 16 Poche vous permettra de savoir si cette partition correspond bien à ce que vous cherchez. Son style Classique vous permettra de découvrir ô combien la musique Classique est belle et enrichissante. / Partition D'Orchestre In 16 Poche / Partition

Joseph Haydn Symphonie en Ré majeur Hob. I:104 (Symphonie de Londres) Hubert Unverricht (Editeur) Ulrich Wilker (Préface) Edition Urtext, Studien-Edition (partition de poche), reliure paperback Les douze «Symphonies de Londres» constituent le sublime accord final dans l''uvre symphonique de Haydn. Elles furent composées pour l'impresario londonien Johann Peter Salomon, et Haydn lui-même en dirigea les créations alors qu'il demeurait pour un certain temps dans la métropole anglaise dans les années 1791-92 et 1794-95. La Symphonie n° 96 en Ré majeur de 1791 fait partie des premières symphonies conçues à Londres, pour Londres. Elle a été postérieurement surnommée «Le miracle», mais ce surnom lui a été affecté par erreur car si un miracle a bien eu lieu, épargnant les auditeurs lors de la chute d'un lourd candélabre sans que personne de l'assistance ne fût blessé, ce fut à l'occasion d'un concert où était jouée une autre symphonie de Haydn. Elle n'en reste pas moins un miracle d'esprit musical: du raffinement des rapports harmoniques des motifs en accords parfaits par lesquels commence chacun des quatre mouvements, jusqu'aux changements d'atmosphère virtuoses résultant de surprenantes modulations harmoniques, Haydn livre ici une véritable parade démonstrative du développement de ses idées musicales. L'édition d'étude reprend le texte de l'édition complète des 'uvres de Haydn, garantissant ainsi la plus haute qualité scientifique. Une préface informative et un bref commentaire critique font de cette partition en format maniable un accompagnateur idéal pour tous les fans de Haydn, ainsi que tous ceux qui souhaitent le devenir.

Facsimile of the autograph score in the British Library, London. Par HAENDEL GEORG FRIEDRICH. The first performance of George Frideric Handel’s oratorio “Messiah” on 13 April 1742 in Dublin aroused unqualified rapture. A newspaper report a few days later declared that it combined “the Sublime, the Grand, and the Tender”. Its success has remained undiminished ever since, and the “Messiah” has taken its place in musical life. In 2009, to mark the 250th anniversary of Handel’s death, the British Library and Bärenreiter joined forces and made the autograph score of the “Messiah” available to the public in a meticulously reproduced, lavishly published facsimile. The renowned Handel scholar Donald Burrows introduces the characteristics of Handel’smanuscript, describes the history of the work’s composition, and explains the differences between later versions of the “Messiah”, as reflected in the conducting scores. A two-page sketch from the Fitzwilliam Museum Cambridge completes the publication. Facsimile of the autograph in the British Library. 282 + 2 pages of facsimile and 55 pages of introduction (English/German/Japanese) half-linen, hardback / Oratorio / Répertoire / Divers

Air pour l'orchestre. Par HENZE HANS WERNER. In October of 1997, I received an invitation from New York Philharmonic Music Director Kurt Masur asking me to contribute a musical message for the coming millennium. Maestro Masur's letter read 'My dream would be to have you provide us with a work lasting from 10 to 15 minutes that could both stand on its own or perhaps be combined with musical messages with other composers which we might compile for a full evening's concert.' I welcomed the opportunity to bring one of six unique perspectives to this collective exploration of the meanings of the new millennium, and it is my hope that the Multi-Arts Production Fund will chose to support the New York Philharmonic's 'Messages for the Millennium' project. My Millennium Message, Fraternité, Air for Orchestra, can best be described as a quiet and placid work in which all the instruments of the orchestra are as one ... and sing in praise of harmony and peace. - Hans Werner Henze/ Répertoire / Orchestre

Depuis sa création en 1874, Die Fledermaus (La Chauve-Souris) a été l'une des opérettes les plus aimés jamais écrites. Parmi les ouvertures les plus célèbres de Johann Strauss, cette délicieuse sélection regorge de mélodies mémorables que votre public va sûrement reconnaître, et les changements de tempo et la mesure donnera à vos musiciens étudiants la possibilité de développer une grande variété de techniques de jeu. Une grande ouverture de concert ou plus, et une merveilleuse sélection du concours, cet arrangement sonne comme l'original tout en restant à la portée des jeunes musiciens. Comprend une gamme complète de pièces de percussion ainsi que des pièces pour violon III (Viola, clé de sol), Saxophone Alto et Piano Accompagnement. / Orchestre

Music Of Our Time. Par HENZE HANS WERNER. ‘My Sinfonia No. 8 is not at all tragic or moody like the Seventh. It is a summer piece and is based on three moments from Shakespeare’s A Midsummer Night’s Dream‘, writes Hans Werner Henze. This, however, is all we get to know from the composer regarding the work’s reference to Shakespeare’s comedy. On closer examination of the three-movement symphony it turns out that the first movement is a fantasia on Oberon’s order to Puck to search for the magic flower. In the second movement, Henze apparently set the love scenes between Titania and Bottom to music. Ultimately, the final movement shines gracefully and peacefully as if everything that had happened before had only been a dream. - Hans Werner Henze/ Répertoire / Orchestre

For Orchestra. Par AYRES RICHARD. Détails de la formation instrumentale: 2(pic).0.1.Eb Clarinette b Clarinette 1.c Basson-4.4(1.pic Trompette 2.pic Trompette , Eb Trompette ).1.b Trombone 1-timp.2perc(almgl, tub. bells, crots, glsp, xyl, tri, clash cym, 2 large wooden boxes, wood and saw, carpenter's metal hammer and nail) - hp.pno-str(14.12.10.8.6) - Durée: 25' - Format: DIN A4/ Répertoire / Orchestre

Mozart, Wolfgang Amadeus Missa en do mineur K. 427 Grande messe en do mineur La magnifique «Grande messe en ut mineur K. 427» de Mozart est impressionnante non seulement pour sa monumentalité et sa beauté musicale, mais aussi pour son état fragmentaire qui fascine les érudits et les interprètes depuis des décennies. En collaboration avec la Fondation internationale Mozarteum de Salzbourg, Barenreiter présente maintenant une nouvelle édition de ce travail, reflétant la pointe de la recherche tout en tenant compte des besoins des artistes interprètes. Normes savantes élevées, achèvement et reconstruction des mouvements: cette publication pionnière intègre tout cela afin de se rapprocher le plus possible de l''uvre elle-même: - Les «Kyrie» et «Gloria», qui survivent tous les deux de la main de Mozart, sont édités conformément aux normes savantes. - Les deux premières sections du «Credo» ont été méticuleusement complétées par l'éditeur Ulrich Leisinger, en s'inspirant des compositions originales de Mozart, par exemple l'air «Deh vieni non tardar» de «Le mariage de Figaro» et en prêtant attention à un style stylistiquement approprié et transparent. du son. - Le «Sanctus» et le «Benedictus» (avec le «Hosanna»), qui sont soit incomplets soit ne survivent que dans des sources secondaires, ont été reconstruits par l'éditeur. Les sections sans source connue sont omises dans cette édition. Pour compléter la publication, vous trouverez un avant-propos complet (allemand / anglais) et un commentaire critique détaillé (anglais). La première représentation de la nouvelle édition d'Ulrich Leisinger a été donnée en avril 2019 à l'Elbphilharmonie Hamburg par le Hamburg State Philharmonic Orchestra et la ChorWerk Ruhr sous la direction de Kent Nagano. La première première autrichienne a eu lieu à Salzbourg en août 2019 dans la grande salle du Mozarteum, avec Andrew Manze dirigeant la Camerata de Salzbourg sous les applaudissements du public et des critiques.