Compilation de 25 thèmes de films spécialement arrangés pour piano, voix, guitare (symboles d'accords). Cet ouvrage est le 2ème volume.

Titres : Mamma Mia (Mamma Mia). My Heart Will Go On (Titanic). Now We Are Free (Gladiator). Profondo Rosso (Profondo Rosso). The Mission (The Mission). Unchained Melody (Ghost). Anonimo Veneziano (Anonimo Veneziano). Chariots Of Fire (Chariots Of Fire). Dos Gardenias (Buena Vista Social Club). Ebb Tide (Ebb Tide). Eye Of The Tiger (Rocky III). Footloose (Footloose). Halleluya (Shrek). I Will Always Love You (The Bodyguard). Il Postino (Il Postino). La Dolce Vita (La Dolce Vita). Love Is A Many Splendored Thing (Love Is A Many Splendored Thing). Maple Leaf Rag (The Sting). Moon River (Breakfast At Tiffany?s). Otto E Mezzo (8 E ½). Over The Rainbow (The Wizard Of Oz). Singin? In The Rain (Singin? In The Rain). The never Ending Story (The Never Ending Story). The Untouchables (The Untouchables). Up Where We Belong (An Officer And A Gentleman)

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Menuet 1 (WSW 1.8)
Menuet 2 (WSW 1.9)
Gavotte (WSW 1.10)
Gavotte et Double (WSW 2.8/WSW 2.9)
Prélude (WSW 4.1)
Ouverture (WSW 4.2)
Courante (WSW 4.3)
Bourrée (WSW 4.4)
Allegro (WSW 1*)
Courante Royale (WSW 2*)
Prélude (WSW 10.1)
[Menuet '] (WSW 4*)
Fuga (WSW 6*)
Fuga (WSW 7*)
L'Amant malheureux (WSW 8*)
Fantasie (WSW 9*)
[Menuet] (WSW 10*)
Plainte (WSW 15.1)
Tombeau du Baron d'Hartig (WSW 11*)
[Bourrée '] (WSW 12*)
Menuet (WSW 13*)
Gavotte (WSW 14*)
Menuet (WSW 15*)
Praelude [and Fugue] (WSW 17*)
[Menuet] (WSW 18*)
Trio (WSW 19*)
Bourrée (WSW 31.7*)
Tombeau de Logy (WSW 20*)
Prélude de Weiss (WSW 21*)
Fantaisie (WSW 24*)
Menuet (WSW 22*)
Gavotte (WSW 23*)
Capricio (WSW 25*)
Menuet 1 (WSW 26*)
Menuet 2 (WSW 27*)
Mademoiselle Tiroloise (WSW 28*)
Bourrée (WSW 13.4) / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN

Par ARCTIC MONKEYS. One of the most important British bands of recent years, the Arctic Monkeys follow up their first two phenomenally successful albums with Humbug , their first record in over two years. Influenced by Cream and Jimi Hendrix, Humbug features some of frontman Alex Turner's most innovative and profound lyrics yet, whilst also maintaining the Arctic's core sound. This book features all the songs arranged for Guitar Tab with vocal line, including Crying Lightning and Pretty Visitors . It also contains four pages of colour photographs. / Niveau : Assez Facile / Tablatures / Guitare Tablatures

Captivating Classics from Argentina
Arranged by Diego Collatti
Spielpartitur - for 2 guitars - German - English - French
Consultant(s)/assistant(s): Giovanetti, Ignacio
Gardel's tangos remain classics, which no performer who aspires to be taken seriously can ignore. For this album Argentinian Tango specialist Diego selected some of Gardel's most popular tangos and arranged them for two guitars. The timbre of this instrument is exceptionally well suited to evoking in sound the musical riches of an impoverished community of immigrants in Argentina's past, as well as to making the fascination and glamour of Gardel's tango music come alive again. Both parts are of medium difficulty, and the melodies repeatedly introduce new elements of tone production and rhythm, training young musicians in technique and ensemble playing. And, last but not least, these duets are an ideal introduction to the profound music of the tango, whose vitality and versatility are not only fun, but which also holds totally new means of expression in store.
/ Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / UNIVERSAL EDITION

Imagery Suite è lo straordinario prodotto dell'incontro musicale di due tra i più grandi chitarristi del nostro tempo : Maurizio Colonna, uno dei più significativi innovatori del chitarrismo classico contemporaneo, e Frank Gambale, caposcuola e puntoferimento assoluto dei nuovi linguaggi jazz-rock. La reale possibilità di fare musica senza rinunciare ad esprimere totalmente il proprio stile, la propria personalità musicale è, senza dubbio, il sorprendente risultato ottenuto in Imagery Suite. Un ato che certamente poggia sul virtuosismo e sulla profonda conoscenza strumentale dei due chitarristi, ma ciò che veramente colpisce di Colonna e Gambale sono la carica emotiva, l'energia, la grande sensibilità, tutto a livelli assolutamente eccezionecisamente fuori dall'ordinario. El Prado - Villa Borghese - Maracanà - Pacific Palisades - Beachwood breeze - Camaiore - Fortaleza - L.A.X. / Guitare

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Sonata 18 (WSW 24) en do M
Sonata 19 (WSW 25) en sol m
Sonata 20 (WSW 26) en ré M
Sonata 21 (WSW 27) en ré m
Sonata 22 (WSW 28) en mi M
Sonata 23 (WSW 29) en la m
Sonata 24 (WSW 30) en mi M
Sonata 25 (WSW 31) en mi M
Sonata 26 (WSW 32) en mi M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN

Ten classic Scott Joplin Piano rags, arranged for Classical Guitar by Jerry Willard. Arranged in standard notation and tablature, these timeless tunes by the most famous of all ragtime composers sound absolutely great on a Classical Guitar, and to help you perform them perfectly, the Download Card features recordings of each by Willard himself.Rising quickly to fame for his ragtime compositions and achieving acclaim as the 'King of Ragtime Writers', composer and multi-instrumentalist Scott Joplin wrote some of the greatest rags ever, as well as some of the finest compositions of any style or genre. With Scott Joplin Favorites For Classical Guitar, you can learn such rags as Maple Leaf Rag, The Entertainer and Heliotrope Bouquet for the Classical Guitar. Suitable for intermediate to advanced players, this book will keep you entertained for hours as you pore over the expertly composed rags that have become so ingrained in modern music.Born to a musical family in Texas in 1867, it became immediately obvious that Joplin was of exceptional talent. After learning a number of instruments and moving to Missouri, his compositions brought him great fame and had a profound influence on other composers of the day, and for over a century to come. Tunes like Cleopha, Kismet Rag, Pleasant Moments and The Strenuous Life all had a huge impact on the musical world, turning this creative genius into a household name. Now, accomplished guitarist Jerry Willard has compiled and arranged ten of Joplin's best tunes into this sheet music songbook, letting you learn these wonderful compositions for the Classical Guitar. As a bonus extra, the included download card allows you to listen to Willard himself performing all ten songs that were specially recorded for this edition. This will allow you to hear exactly how each tune should sound, before learning and playing them for yourself. A biography and fascinating piece on the challenges of arranging Joplin for Classical Guitar are also included, making this more than just a collection of sheet music, but a wonderful publication that is perfect for Scott Joplin fans.Scott Joplin Favorites For Classical Guitar is a really great collection of ragtime sheet music that lets you learn and play the greatest ragtime compositions for that warm and sweet instrument. Perfect for fans of Scott Joplin, or perhaps even guitarists who want to venture into a genre they're not overly-familiar with, this songbook is a classic collection for Classical Guitar. / Guitare

Par GILEWITZ RICHARD. Connu aujourd'hui comme l'un des hommes plus étranges musique acoustique, Richard Gilewitz fascine ses auditoires avec fingerstyle gymnastique tout en filature fils trop incroyables ne pas pour être vrai. Sa capacité à rendre une guitare sonne comme un orchestre complet provient de 33 ans de technique bien rodé et 25 ans sur la route en tournée - création de sa propre sonorité de signature qui a été capturée sur ses six sorties. Mais c'est que son live montre que faire ressortir le meilleur de cet homme qui suit une cadence distincte qui crée une lueur qui croît sans cesse un peu plus brillante avec chaque morceau. / Acoustic Music - Concert/Documentary / Accessoire / Guitare

In questo video Mats Hedberg affronta in modo molto pratico la musica neoclassica, proponendo una serie di brani ed affidando direttamente alla loro esecuzione la possibilità di imparare, impadronendosi gradualmente delle tecniche necessarie per eseg L'obiettivo è chiaro: offrire la possibilità di avvicinarsi alla musica di derivazione classica (e di riproposizione in chiave elettrica) e di approfondirne la conoscenza tramite l'esecuzione dei brani che diventano, quindi, veri e propri esercizi. elta oculata dei brani, la possibilità di capire come vanno eseguiti, quali sono le difficoltà tecniche per padroneggiarli. La divisione dei brani/esercizi in capitoli segue questa impostazione: Progressioni tipiche della musica neoclassica - Tecniche'esercizio della mano sinistra - Tecniche per l'esercizio della mano destra - Brevi ma efficaci esempi di questa musica negli stili di Malmsteen, Blackmore, Steve Vai, Kee Marcello, ecc. - Sintesi della tecnica applicata alle due mani. Starà quindi a no / Guitare

Une grande collection de dix-neuf pièces festives, y compris des chants traditionnels, des chansons saisonniers et des extraits de oeuvres orchestrales et vocales, pour piano facile. Caractéristiques musicfrom des compositeurs tels que Tchaïkovski, Vivaldi, Corelli et Handel. Paroles de Incldues où il y a lieu, de sorte que vous pouvez chanter trop ! / Chant Et Piano

Jouez plus de 20 chansons avec seulement 4 accords !Livre au format original qui contient: - Les images des accords en couleur pour vous montrer comment exactement jouer un accord - Ligne mélodique du chant et les paroles - sélection de chansons Blues, Folk, Gospel et chansons de Noël / Guitare / Partition

24 festive favourites for carollers in melody line arrangements complete with lyrics and chord symbols. Also includes poems, recipes and craft ideas for the Advent season. / Voix

Par HINOJOSA JAVIER. / Niveau : Assez Facile / classique / Répertoire / Guitare