50 Songs Nur Mit Powerchords and Full Energy contains 50 Songs to be played with power chords only. Timeless Rock and Pop Classics arranged for Guitar by Peter Korbel.Korbel's book teaches the use of power chords. It is both a tutorial and a songbook because it begins with a theory section, and an introduction of all the songs that are included, going on to list them again with full text and chords. / Guitare

Twenty-four carols in easy arrangements for the classical Guitar, playable by one or two guitarists. / Guitare Ou Guitare Classique

Guitar Solos By Howard Alden From The Film Sweet And Lowdown. Par HOWARD ALDEN. Sweet and Lowdown, Woody Allen's film from 1999, starred Sean Penn as the legendary, but fictitious jazz guitarist of the '30s, Emmett Ray. Emmett considered himself to be the second greatest jazz guitarist in the world next to Django Reinhardt. The versatile Howard Alden played all of the solo acoustic guitar parts for the movie, as well as coaching Mr. Penn to play guitar for his role (for which he received an Oscar nomination, best actor). This book contains note-for-note transcriptions in both standard notation and tab of Howard's Django-esque interpretations and improvisations of classic standards of the 1930s, as well as original solo guitar pieces written by Woody's longtime musical director, jazz pianist Dick Hyman. Sweet and Lowdown contributed greatly to the recent renewal of interest in and revival of swing and gypsy jazz guitar. Howard's guitar work is a warm and personal example of the timeless musical vocabulary of swing guitar. / Niveau : Intermédiaire à Avancé / Jazz - Solos / Recueil / Guitare

Sweet and Easy est rempli de facile à jouer des pièces pour le débutant dans laquelle le compositeur a créé un monde plein de sons de guitare magnifique. Cette introduction agréable à vos morceaux premier spectacle promet de divertir sans fin. Alors, prenez votre guitare et c'est parti. / Guitare / 32 pages / niveau : Facile - Elémentaire / Recueil

Par DYENS ROLAND. 'Hommage à Leo Brouwer', aurait également pu s'intituler cette oeuvre dont le titre définitif - les guitaristes l'auront compris - est une paraphrase du fameux Eloge de la danse (1964) du compositeur et chef d'orchestre cubain. Découpée en une succession de mouvements courts et longs, cette pièce, parfois sous forme de citations enfouies, rassemble ce que je crois devoir à Léo Brouwer, l'un des guides objectifs de la guitare d'aujourd'hui. Roland Dyens / Niveau : Difficile / classique / Répertoire / Guitare

Par . Learn some of Berklee's favorite, most popular guitar music. This collection includes some of the most popular songs and repertoire taught by the Berklee Guitar Department faculty. The music is taught and performed in their Guitar Sessions summer programs, global initiatives, online, and on campus. By learning this music, you will experience a diversity of styles: classic rock, blues, country, singer/songwriter, jazz, jam band, funk, progressive rock, funk, classical, and contemporary improvisation/microtonal music. Each piece is selected and introduced by some of Berklee's most popular faculty members. This collection will help you become a well-rounded player and prepare you to participate in Berklee's guitar programs. Notation varies, depending on the style of the selection, and may include traditional notation, tablature, and chord diagrams. 20 songs, including: Apache (Jerry Lorden) · Freight Train (Elizabeth Cotten) · Hey Hey (Big Bill Broonzy) · Two Bones and a Pick (T-Bone Walker) · We Gather Together (16th Century Dutch song) · The Weight (Robbie Robertson) · Wildwood Flower (Maybelle Carter) · You've Got to Hide Your Love Away (Lennon/McCartney) · and more. / Date parution : 2023-08-12/ Recueil / Guitare

Par BOYDSTON CHRISTOPHER. Paramètres de belle guitare classique de 'Gymnopedie # 1' (Satie), 'Trompette Tune' (Purcell) et beaucoup d'autres. / Niveau : Intermédiaire / Wedding - Solos / Recueil / Guitare Classique

Par CHIARO GIOVANNI DE. Cette collection offre un répertoire fraîche pour les cérémonies de mariage offrant une merveilleuse alternative à l'orgue d'église. Sélections comprennent le Canon à D (Pachelbel) - Jesu, Joy of Man du désirant (Bach) - marche nuptiale (Mendelssohn) - et autres populaire et agréable pièces appropriées pour l'occasion. Ecrit en notation standard uniquement avec les doigtés suggérées. / Niveau : Intermédiaire / Wedding - Solos / Recueil / Guitare Classique

Par . This one-of-a-kind collection features accessible, must-know Gospel songs presented in a combination of standard notation, chords, and lyrics. Perfect for beginning guitarists anxious to build up their repertoire! Songs include: Because He Lives · Church in the Wildwood · Give Me That Old Time Religion · He's Got the Whole World in His Hands · His Eye Is on the Sparrow · His Name Is Wonderful · How Great Thou Art · I Saw the Light · In the Garden · Just a Closer Walk with Thee · Mansion over the Hilltop · The Old Rugged Cross · Precious Lord, Take My Hand (Take My Hand, Precious Lord) · Shall We Gather at the River' · Soon and Very Soon · Sweet by and By · Swing Low, Sweet Chariot · There's Something About That Name · Turn Your Radio On · When the Saints Go Marching In · Wings of a Dove · and more! / Date parution : 2023-03-11/ Recueil / Guitare

With the musically literate steel or nylon-string guitarist in mind, this book features 32 well-known gospel tunes arranged in guitar-friendly keys in standard notation only. While ideal for solo performance in church services, suggested guitar chords provide a foundation for sight reading, improvisation and group singing. To encourage students to pencil-in their own ideas about digitation, minimal right and left-hand fingering is given. Includes access to online audio./ Recueil / Guitare

les vétérans punk rock allemands, Die Toten Hosen, sorti leur 2 disques Fat ans meilleur album : Reich und Sexy II en 2002. Il y a 20 lourds de guitare awesome pistes couvrant leur carrière illustre sur l'album et représente leurs greatest hits et les meilleurs morceaux. C'est le folio correspondant au Reich und Sexy avec la musique organisée comme une ligne vocale et les paroles avec boîtes de corde et symboles, ainsi que leadsheets avec toutes les paroles. Tous les principaux riffs, solos et intros de guitare sont transcrits en détail plus de tablature pour guitare. Il s'agit d'un recueil de chansons percevable fantastique qui contient une préface par la bande, certaines images fantastiques ainsi que toute la musique. / Niveau : Assez Facile / Rép International / Recueil / Guitare

Guitar Edition. Par WECKL DAVE. Voici une occasion pour vous de sit-in avec le groupe de Dave Weckl jouant des graphiques provenant de l'album Weckl rythmique de l'âme. Le livre contient un jeu long spécial CD des pièces originales, mais avec l'instrument en question omis. De cette façon le plets à jouer avec le groupe et le plus grand plaisir de fabrication de musique avec les professionnels d'expérience. Le livre comprend des graphiques complètes de la part du joueur, des explications détaillées sur comment effectuer la musique, les définitions du terme, les concepts, les exemples musicaux et les conseils de copioformance.Ce paquet contient: CD avec la musique de sortie de Dave Weckl Band, rythme de l'âme, sans la guitare suivi / complète des cartes de guitare pour chaque chanson / Jazz / Recueil / Guitare

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Sonata 1 (WSW 1) en mi M
Sonata 2 (WSW 2) en ré M
Sonata 3 (WSW 3) en sol m
Sonata 4 (WSW 5) en sol M
Sonata 5 (WSW 7) en ré m
Sonata 6 (WSW 10) en mi M
Sonata 7 (WSW 11) en ré m
Sonata 8 (WSW 12) en la M
Sonata 9 (WSW 13) en ré m / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Sonata 18 (WSW 24) en do M
Sonata 19 (WSW 25) en sol m
Sonata 20 (WSW 26) en ré M
Sonata 21 (WSW 27) en ré m
Sonata 22 (WSW 28) en mi M
Sonata 23 (WSW 29) en la m
Sonata 24 (WSW 30) en mi M
Sonata 25 (WSW 31) en mi M
Sonata 26 (WSW 32) en mi M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN