Par ESCHETE RON. Jazz Intros terminaisons offre 60 intros et les terminaisons de chansons dans beaucoup de touches et de styles. Ron est un joueur de guitare bien connu et admiré ayant joué avec Ray Brown, Gene Harris, Ella Fitzgerald, parmi beaucoup d'autres. Ces harmoniquement riches phrases offrent de nombreuses idées géniales et aperçu de la création de votre propre intros et les terminaisons. Livre est en notation standard avec les diagrammes d'accords et CD mettant en vedette tous les exemples. / Niveau : Intermédiaire à Avancé / Jazz - Improvisation / Recueil / Guitare

Cet ouvrage s?adresse en priorité aux guitaristes débutants ou peu expérimentés, qui souhaitent se faire plaisir en jouant facilement des grands tubes pop, rock et folk, d?hier et d?aujourd?hui, à la guitare électrique et/ou acoustique.Celui-ci se compose en effet de 25 chansons complètes, proposées sous une forme simplifiée, et donc abordables par tous. Pour faciliter l?apprentissage, les chansons sont ainsi découpées en plusieurs parties (intro, couplet, refrain, etc...), qu?il conviendra dans un premier temps d?aborder séparément, avant d?être en mesure de les enchaîner selon l?ordre indiqué. Par ailleurs, les partitions, en solfège et tablature, ne proposent que des accords simples, basiques, qui respectent bien sûr la tonalité d?origine.Outre le plaisir évident que vous aurez à jouer les différentes parties de guitare de ces morceaux, c?est leur assemblage qui vous sera vraiment profitable, tant du point de vue de l?endurance que de la concentration, et fera de vous un bien meilleur guitariste.Sur les enregistrements joints à la méthode, vous trouverez plusieurs fichiers audios et vidéos. Les vidéos présentent en images toutes les parties de guitare à jouer, alors que les enregistrements audios proposent, pour leur part, les playbacks correspondants, à deux tempi différents, pour y jouer les chansons ?en situation?.Nul doute qu?avec cette méthode vous épaterez rapidement la galerie, tout en vous éclatant guitare en mains ! / Guitare / Play Music Publishing

Par DUPUIS PASCAL. A l?instar du Volume 1, ce deuxième volet de la collection ?Songbook Facile? s?adresse en priorité aux guitaristes débutants ou peu expérimentés, qui souhaitent se faire plaisir en jouant facilement des grands tubes pop, rock, blues et folk, à la guitare électrique et/ou acoustique. Cet ouvrage se compose en effet de 25 chansons complètes, d?hier et d?aujourd?hui, proposées sous une forme simplifiée, et donc abordables par tous. Pour faciliter l?apprentissage, les chansons sont ainsi découpées en plusieurs parties (intro, couplet, refrain, etc...), qu?il conviendra dans un premier temps d?aborder séparément, avant d?être en mesure de les enchaîner selon l?ordre indiqué. Par ailleurs, les partitions, en solfège et tablature, ne proposent que des accords simples, basiques, qui respectent bien sûr la tonalité d?origine. Outre le plaisir évident que vous aurez à jouer les différentes parties de guitare de ces morceaux, c?est leur assemblage qui vous sera vraiment profitable, tant du point de vue de l?endurance que de la concentration, et fera de vous un bien meilleur guitariste. Sur le disque joint à la méthode, vous trouverez plusieurs fichiers audios et vidéos. Les vidéos (mp4) présentent en images toutes les parties de guitare à jouer, alors que les enregistrements audios (mp3) proposent, pour leur part, les playbacks correspondants, à deux tempi différents, pour y jouer les chansons ?en situation?. Nul doute qu?avec cette méthode vous épaterez rapidement la galerie, tout en vous éclatant guitare en mains ! / Date parution : 2020-11-16/ Recueil / Guitare

Guitariste Mat Gurman de Los Angeles, en Californie, est un joueur de session avec une liste de crédits heavyweight. Il a travaillé avec des artistes de tous les styles de musique de Backstreet Boys à Tany Tucker. Mat est diplômé du California Institute of the Arts et est apparu comme un guitariste et chanteur avec The Tonight Show Band. Il a joué sur les sessions pour la cérémonie des Oscars, MTV, Comedy Central, Fox et d'innombrables publicités nationales, jingles et émissions de télévision. 50 Licks Blues Style DVD Package Mat montre licks pour des progressions blues dominant et mineure, revirements, intro licks, licks fin, arrêt temps licks et bien plus encore. Il a également vous montrera toutes les techniques classiques utilisées dans la guitare blues - coudes, pull-offs, hammer-ons, diapositives, insultes, vibrato, chaîne sourdine raclage et plus encore. Chaque lick est joué dans le contexte alors démontré lentement avec explications complets sur les techniques utilisées et leurs applications appropriées. / Guitare / Dvd

Par BAY MEL. Moyen facile de guitare est populaire, facile à comprendre des cours pour enfants conçus pour donner à l'étudiant une formation approfondie à la note de lecture et de performance en solo. Jouant de la corde est introduite progressivement, utilisant des accords simplifiées. Création graphique, de couleur et de courtes pièces au format big-note font une série attrayante pour l'étudiant de guitare de jeunes. Quelques duos faciles sont inclus dans chaque livre de performance avec un enseignant ou un ami. Notation standard. / Niveau : Débutant / All Styles - Methods / Méthode / Guitare

Par BAY MEL. Moyen facile de guitare est populaire, facile à comprendre des cours pour enfants conçus pour donner à l\'étudiant une formation approfondie à la note de lecture et de performance en solo. Jouant de la corde est introduite progressivement, utilisant des accords simplifiées. Création graphique, de couleur et de courtes pièces au format big-note font une série attrayante pour l\'étudiant de guitare de jeunes. Quelques duos faciles sont inclus dans chaque livre de performance avec un enseignant ou un ami. Notation standard. CD inclus. / Niveau : Débutant / All Styles - Methods / Méthode / Guitare

Par SCHOLL INGO. Cet ouvrage consacré aux Blues est, avec ses 200 unverzichtbarenLicks, une véritable Encyclopédie de style, une fine Tonsätze de Auswahlimprovisierter - des marques déposées de la Gitarristen.Innerhalb plus important de ce manuel sont the licks par genre (ternaire, binaire, 12 / 8, intro, redressement, corail, etc.) et arrangés selon le niveau de difficulté.Tout le monde sera à ses propres frais - tant en termes de niveau et de saveur !Pour faciliter votre parcours d'apprentissage, l'un est systématiquement durant le CD pour cela dans le DVD de chaque lick comme Videopräsentiert ou même mehrereAnwendungen offre. The licks les noms des cordes, qui doivent être sieinterpretiert sont attachés, afin que vous pouvez placer cette richtigzu et vous il plus tard dans d'autres circonstances einsetzenkönnen - dans un autre tonalité, la progression d'accords ailleurs... / Pédagogie / Méthode / Guitare

Book/Cd Set. Par BAY WILLIAM. Approche de cette débutant à jouer de la guitare fingerstyle utilise bien connus des chansons folkloriques de développer des techniques de gauche et de droite. Les mélodies sont introduites avec accords simplifiées et de l'accompagnement fourni par un simple strum à la baisse du pouce. Ensuite, le pouce et trois doigts prédécoupée simultanément pour produire des accords de bloc et rendent enfin les schémas de procédé plus complexes. Alors que les accords de barre sont judicieusement évités tout au long, le concept de bass alternance est présenté avec ' pleine concentration 'chords en utilisant toutes les six chaînes, le cas échéant. Les mélodies sont affichées dans la notation standard, les paroles et les CD compagnon servent de guides rythmiques à l'étudiant - note ni la tablature, aptitude à la lecture est requise pour compléter ce cours agréable. / Niveau : Débutant / All Styles - Methods / Méthode / Guitare

Par MARSH STEVE. Ces mélodies sont ce que tous les orchestres devrait être sujet mais ne sont généralement pas. Ils utilisent des notes faciles et les rythmes de manière plus méthodique, imaginative et agréable, en se concentrant sur une seule ligne mélodies au premier rang seulement. Ce livre a une centaine des mélodies qui pourraient être introduites à l\'étudiant de presque la toute première leçon, et que les mélodies progressivement plus complexes, le livre sera utile pour les étudiants réfléchissement. Bien que le livre vise au joueur de grade 1-2, les élèves plus expérimentés peuvent également trouver utile d\'essayer de jouer les études dans des postes plus élevés. / Niveau : Débutant à Intermédiaire / All Styles - Technic / Etude / Guitare Classique

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Sonata 1 (WSW 1) en mi M
Sonata 2 (WSW 2) en ré M
Sonata 3 (WSW 3) en sol m
Sonata 4 (WSW 5) en sol M
Sonata 5 (WSW 7) en ré m
Sonata 6 (WSW 10) en mi M
Sonata 7 (WSW 11) en ré m
Sonata 8 (WSW 12) en la M
Sonata 9 (WSW 13) en ré m / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Sonata 18 (WSW 24) en do M
Sonata 19 (WSW 25) en sol m
Sonata 20 (WSW 26) en ré M
Sonata 21 (WSW 27) en ré m
Sonata 22 (WSW 28) en mi M
Sonata 23 (WSW 29) en la m
Sonata 24 (WSW 30) en mi M
Sonata 25 (WSW 31) en mi M
Sonata 26 (WSW 32) en mi M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Menuet 1 (WSW 1.8)
Menuet 2 (WSW 1.9)
Gavotte (WSW 1.10)
Gavotte et Double (WSW 2.8/WSW 2.9)
Prélude (WSW 4.1)
Ouverture (WSW 4.2)
Courante (WSW 4.3)
Bourrée (WSW 4.4)
Allegro (WSW 1*)
Courante Royale (WSW 2*)
Prélude (WSW 10.1)
[Menuet '] (WSW 4*)
Fuga (WSW 6*)
Fuga (WSW 7*)
L'Amant malheureux (WSW 8*)
Fantasie (WSW 9*)
[Menuet] (WSW 10*)
Plainte (WSW 15.1)
Tombeau du Baron d'Hartig (WSW 11*)
[Bourrée '] (WSW 12*)
Menuet (WSW 13*)
Gavotte (WSW 14*)
Menuet (WSW 15*)
Praelude [and Fugue] (WSW 17*)
[Menuet] (WSW 18*)
Trio (WSW 19*)
Bourrée (WSW 31.7*)
Tombeau de Logy (WSW 20*)
Prélude de Weiss (WSW 21*)
Fantaisie (WSW 24*)
Menuet (WSW 22*)
Gavotte (WSW 23*)
Capricio (WSW 25*)
Menuet 1 (WSW 26*)
Menuet 2 (WSW 27*)
Mademoiselle Tiroloise (WSW 28*)
Bourrée (WSW 13.4) / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN

Un cours de guitare complète pour les débutants absolues avec Lee Hodgson ! Ce tutoriel facile à suivre est idéal si vous avez acheté juste votre première guitare, ou s'il y a eu une guitare assis autour d'un endroit qui attend d'être strummed... Ce DVD vous emmènera de novice niveau par le biais de niveau intermédiaire. Et pourtant il n'exige aucune connaissance préalable du tout : c'est vraiment pour une personne à partir du début. Lentement mais surement, le tuteur vous guide à travers toutes les choses qu'un débutant doit connaître et, très important, souligne ce qui peuvent mal tourner. Chacun des chapitres soigneusement conçues comprend le vocabulaire de la corde, tandis que couramment utilisés échelles et technique, sont introduits stratégiquement, avec certaines pratique theory - rien de trop exigeant, juste assez pour vous aider à comprendre ce que tu fais et pourquoi. Vous allez bientôt être pianoter chords, cueillette des mélodies et, espérons-le, écrire quelques chansons de votre propre ! Il n'a jamais été aussi facile de faire de la musique ! / Guitare / Dvd

Le guitariste débutant a été né de 20 ans d'expérience dans l'enseignement. Bien que spécifiquement conçues comme des aides de l'enseignant, il peut également être utilisé pour une étude indépendante.Des thèmes tels que la posture, la mise au point et le phrasé sont pas prescrits, étant laissé à l'appréciation de l'enseignant. À l'exception des conseils doigté droite et à gauche, cette approche est utilisée tout au long de la série. L'ensemble de la série a pour but d'être un tuteur mesurée et progressive. Les idées sont généralement introduits un à la fois pour éviter de surcharger l'élève.Book Two vise à renforcer le droit solide et techniques de la main gauche et couvre de nouveaux progrès dans la reconnaissance de notation. Il commence par l'introduction de croches (croches) et de se concentrer davantage sur la course libre (tirando). Ceci est contrebalancé par la nécessité de maintenir la course reste (apoyando) solide en donnant à l'élève une chance de jouer la mélodie et les pièces qui l'accompagnent.Exercices intensifs pour doigt 4, en passant par les accords et la mélodie, sont inclus, mais l'objectif principal est de compléter l'apprentissage des billets en première position, en prenant en plusieurs échelles et les modes le long du chemin. Simples accords ouverts sont également donnés une plus grande attention et le livre se termine par une couverture du chromatisme se rapportant aux trois derniers chaînes.À propos de l'auteur: Nigel Tuffs est un professeur instrumental avec plus de 20 années d'expérience dans tous les domaines de l'enseignement guitare. A l'origine un membre de plusieurs groupes de rock il a complété un baccalauréat spécialisé de l'Institut Colchester, spécialisée dans la composition et la performance, et a depuis travaillé comme musicien de chambre, ensembles de guitares en, en tant qu'accompagnateur et aussi en tant qu'éducateur. / Guitare Classique