| Vol.2 Chediak En Français Guitare [Partition] ID Music
Le livre Vocal réelle est la réponse à l'ouvrage de faux. C'est une alternati...(+)
Le livre Vocal réelle est la réponse à l'ouvrage de faux. C'est une alternative à la pléthore de volumes mal conçues, illisibles, inexacts, mal edited qui abondent sur le marché aujourd'hui. Le livre Vocal réelle est extrêmement précis, soignée et vise, avant tout, pour un usage pratique. Tous les efforts réalisés pour le rendre agréable à effectuer. La sélection de musiques pour ce volume met en évidence les principaux compositeurs jazz du passé des années 60, avec une attention particulière pour les années 1960 et 1970. Un certain nombre de chansons par Rogers
46.70 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| DOBERMAN YPPAN SILVIUS
LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.4 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Menuet 1 (WSW 1.8) Menuet 2 (WSW 1.9) Gavotte (WSW 1.10) Gavotte et Double (WSW 2.8/WSW 2.9) Prélude (WSW 4.1) Ouverture (WSW 4.2) Courante (WSW 4.3) Bourrée (WSW 4.4) Allegro (WSW 1*) Courante Royale (WSW 2*) Prélude (WSW 10.1) [Menuet '] (WSW 4*) Fuga (WSW 6*) Fuga (WSW 7*) L'Amant malheureux (WSW 8*) Fantasie (WSW 9*) [Menuet] (WSW 10*) Plainte (WSW 15.1) Tombeau du Baron d'Hartig (WSW 11*) [Bourrée '] (WSW 12*) Menuet (WSW 13*) Gavotte (WSW 14*) Menuet (WSW 15*) Praelude [and Fugue] (WSW 17*) [Menuet] (WSW 18*) Trio (WSW 19*) Bourrée (WSW 31.7*) Tombeau de Logy (WSW 20*) Prélude de Weiss (WSW 21*) Fantaisie (WSW 24*) Menuet (WSW 22*) Gavotte (WSW 23*) Capricio (WSW 25*) Menuet 1 (WSW 26*) Menuet 2 (WSW 27*) Mademoiselle Tiroloise (WSW 28*) Bourrée (WSW 13.4) / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
42.90 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
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MANUSCRIPT VOL.5 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Concert d'un luth et d'une flûte traversière WSW 6 Concert d'un luth avec une flûte traversière WSW 8 Concert d'un luth avec la flûte traversière WSW 9 Duo 4 WSW 14 en sol m Duo 5 WSW 20 en ré m / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
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MANUSCRIPT VOL.1 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Sonata 1 (WSW 1) en mi M Sonata 2 (WSW 2) en ré M Sonata 3 (WSW 3) en sol m Sonata 4 (WSW 5) en sol M Sonata 5 (WSW 7) en ré m Sonata 6 (WSW 10) en mi M Sonata 7 (WSW 11) en ré m Sonata 8 (WSW 12) en la M Sonata 9 (WSW 13) en ré m / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
53.10 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
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LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.3 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Sonata 18 (WSW 24) en do M Sonata 19 (WSW 25) en sol m Sonata 20 (WSW 26) en ré M Sonata 21 (WSW 27) en ré m Sonata 22 (WSW 28) en mi M Sonata 23 (WSW 29) en la m Sonata 24 (WSW 30) en mi M Sonata 25 (WSW 31) en mi M Sonata 26 (WSW 32) en mi M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
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MANUSCRIPT VOL.2 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Sonata 10 (WSW 15) en la M Sonata 11 (WSW 16) en sol M Sonata 12 (WSW 17) en do M Sonata 13 (WSW 18) en ré M Sonata 14 (WSW 19) en mi M Sonata 15 (WSW 21) en mi m Sonata 16 (WSW 22) en sol M Sonata 17 (WSW 23) en la M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
55.40 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
| Barrientos C. - Mambo
For Mo - Guitare Guitare Guitare classique Editions Orphee
The composer says: Several musical threads led to my writing this piece of musi...(+)
The composer says: Several musical threads led to my writing this piece of music to celebrate my friend Matanya Ophee's (AKA MO) 80th birthday - a life lived with the guitar. Jelly Roll Morton once asserted: 'In fact, if you can't manage to put tinges of Spanish in your tunes, you will never be able to get the right seasoning; I call it, for jazz.' Over the last couple of years I moved back to Jelly Roll Morton's city: New Orleans, home of my adolescence and reacquainted myself with the tinges of Spanish in its rich musical heritage. One of these pieces was the Mardi Gras Mambo, an iconic song frequently played during Mardi Gras and, in David Newman's reworking of the lyrics, at the New Orleans Saints football games as the Super Bowl Mambo. Uncited sources on both Wikipedia and Essortment say the word Mambo means 'conversation with the gods' in Kikongo, the language spoken by Central African slaves taken to Cuba where it became the name for a musical form and a dance style that developed originally in Cuba in the able hands of Cachao's (Bassist Orestes Lopez) tune: Danzon Mambo. This rhythmic style became famous in the 1950's following its use in dance bands in Mexico and through New Orleans to the United States. The infectiousness of the New Orleans re-interpretation of the Mambo's ostinato bass line and the reaction of people who are readily moved to dance when they hear it spoke to me of dance and celebration. This led me to choose some of this piece's characteristics and title for this piece: Mambo for MO. As we have progressed on the instrument, some of us may have encountered the four-chord descending minor chord progression known as the Andalusian cadence: i - VII - VI - V in many different genres and guises. After all, it appears in Ray Charles' Hit the Road, Jack, the verse on Good Vibrations by The Beach Boys, Walk, Don't Run by The Ventures, Runaway by Del Shannon and in that great work arranged and embraced by the Guitar: J.S. Bach's Chaconne from the Partita in D minor for solo violin, BWV 1004. This bass line derived from a Latin American musical style as reinterpreted in New Orleans, a chord progression that evokes the Flamenco Music of Spain, and my impressions of the sinuous lines of people dancing the Second Line in the streets of New Orleans at Mardi Gras led me to this synthesis as a tribute to a man who has contributed so much in his lifelong efforts for the guitar, its history and lore on the occasion of his birthday! Happy Birthday, Matanya! Carlos Barrientos was born on June 25, 1954 in Tela, Honduras. He began his formal music studies at the National Music Conservatory in Guatemala City, Guatemala C.A. His training with Maestro Elias Barreiro, Director of Guitar Studies at Tulane University, was supplemented with Master Classes with Manuel Barrueco, Leo Brouwer, Juan Mercadal, Michael Newman, Tommy Tedesco and Carlos Barbosa-Lima. He studied composition under the tutelage of Dr. Jerry Sieg, University of New Orleans, and Dr. Roy Johnson, Florida State University. He consulted with Michael D. Martin, Ph.D., Associate Professor of Music, Albany State University, Albany, GA in the creation of a recordings library that reflects Western Art Music and American Jazz for the students at Albany State University. The New York Premiere of the First Movement of his Second Guitar Sonata was dedicated to and performed by Classical Guitarist Maestro Carlos Barbosa-Lima in 2003 at Carnegie Hall. At the request of U.S. Senator Bob Graham one of his compositions, Si Tu Te Vas (If You Go Away), was included on a recording to promote The Everglades Trail. In 2004, at the American Church in Paris, France the World Premiere of his Romance for Flute and Guitar was performed by the award-winning Serenade Duo, flutist Michelle LaPorte and guitarist Gerry Saulter. He has performed with such legendary musicians as Herbie Mann, Donald Byrd and Debbie Reynolds, led an on stage Renaissance Trio in a University of New Orleans production of Shakespeare's Twelfth Night, and played incidental music for their production of Bertold Brecht's The Good Woman of Sichuan. He has performed Carulli's Guitar Concerto in A, Leonard Bernstein's West Side Story and Marvin Hamlish's A Chorus Line with the Northwest Florida Symphony Orchestra and Okaloosa-Walton Community College, Niceville, FL, and with the Southern Art Music Ensemble, a Jazz/Latin Fusion Sextet, including an Honors Convocation in Atlanta for Mr. Ted Turner. He has been a guest performer with the Albany State University Jazz Ensemble at The Fletcher Henderson Jr., Macon and Atlanta Jazz Festivals, and played the banjo in the Albany State University /Albany Symphony's co-production of George Gershwin's Opera Porgy and Bess.
8.00 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| Estelas (OHANA MAURICE) Guitare [Partition] Billaudot
Par OHANA MAURICE. Esquisse de l'histoire d'une esquisse
Estelas (Stèles) a Ã...(+)
Par OHANA MAURICE. Esquisse de l'histoire d'une esquisse
Estelas (Stèles) a été créée le 16 mars 1977 à New-York par Abel Carlevaro qui l'a jouée par la suite en France et en Colombie. Mais d'où vient cette œuvre inconnue, une des rares pièces que Maurice Ohana ait composées pour la guitare à six cordes ?
Pour connaître la genèse de cette pièce il faut remonter jusqu'en 1948, année de la rencontre et début de l'amitié entre Ohana et Carlevaro. À l'époque, Ohana jette à l'intention d'Abel Carlevaro l'ébauche d'un concerto pour guitare qui deviendra en 1957 les Trois Graphiques pour guitare et orchestre. Entre-temps Carlevaro est reparti dès 1951 en Uruguay et il faudra attendre 1974 pour que les deux amis se rencontrent de nouveau à Paris.
Ces retrouvailles sont à l'origine des« Estelas », puisqu'à l'issue d'une soirée qui les réunit, le compositeur à son piano et le guitariste à son instrument, ce dernier repartit au petit matin avec pour mission de « mettre au propre » les notes de son ami Ohana.
Ce qu'il fit avant d'en assurer la création, de l'inscrire à son répertoire, et d'écrire à Ohana que l'œuvre rencontrait beaucoup de succès. S'ensuivit une correspondance entre les deux amis, au cours de laquelle Ohana paraît avoir eu du mal à récupérer la partition et ce n'est qu'en 1980 que Carlevaro, de passage à Paris, put la lui remettre.
Entre-temps Maurice Ohana avait décidé de ne plus écrire que pour la guitare à 10 cordes et il réutilisa une partie du matériau des « Estelas » pour composer une pièce beaucoup plus développée : le « Cadran lunaire », qui vit le jour en 1981.
Si cette esquisse a été quelque peu « oubliée » par Ohana, on y reconnaît sans difficulté sa « patte », et on découvrira avec émotion ces sept miniatures où se manifeste l'immense talent avec lequel le compositeur aura fait de la guitare une fidèle confidente tout au long de sa vie.
La révision, les doigtés et les suggestions de tempo ont été réalisés à la lumière de la version définitive du« Cadran Lunaire».
Jean Horreaux / Date parution : 2022-10-12/ Répertoire / Guitare
9.90 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Barrientos C. -
Periwinkle Memories -
Guitare Guitare Guitare classique Editions Orphee
The composer says: For years, my fellow guitarists have been asking me to compo...(+)
The composer says: For years, my fellow guitarists have been asking me to compose a solo classical guitar piece that reflects that most American of musical styles'the blues. Their prodding was the motivation for Periwinkle Memories; the inspiration for the piece, however, really came from a maestro of extraordinary skill, and a teacher of even more extraordinary patience, Elias Barreiro, my guitar teacher at the University of New Orleans. I have always tried to emulate in my performances the beauty of his interpretations, and to fuse in my compositions the power and emotion of the blues. The name, Periwinkle Memories was a serendipity. I was struck by the light purplish-blue hue of the periwinkle, and soon learned the history of the funnel-shaped flower (Vinca minor.) Though it now grows wild in parts of the United States it is native to Australia, some consider it an invasive weed, most admire its extraordinary beauty. Common herbicides won't kill it. The periwinkle is too vigorous and hardy for that. And now it is not merely a begrudged part of the American landscape, it is a vibrant part of the American landscape, elegant, stubborn, and nearly native. Like the blues. And like that young recalcitrant student Maestro Barreiro worked so hard to mold so many years ago. Ogden Nash said, 'One man's remorse is another man's reminiscence.' Periwinkle Memories is a celebration of Maestro Barreiro, and of both facets of that adage in me. Carlos Barrientos was born on June 25, 1954 in Tela, Honduras. He began his formal music studies at the National Music Conservatory in Guatemala City, Guatemala C.A. His training with Maestro Elias Barreiro, Director of Guitar Studies at Tulane University, was supplemented with Master Classes with Manuel Barrueco, Leo Brouwer, Juan Mercadal, Michael Newman, Tommy Tedesco and Carlos Barbosa-Lima. He studied composition under the tutelage of Dr. Jerry Sieg, University of New Orleans, and Dr. Roy Johnson, Florida State University. He consulted with Michael D. Martin, Ph.D., Associate Professor of Music, Albany State University, Albany, GA in the creation of a recordings library that reflects Western Art Music and American Jazz for the students at Albany State University. The New York Premiere of the First Movement of his Second Guitar Sonata was dedicated to and performed by Classical Guitarist Maestro Carlos Barbosa-Lima in 2003 at Carnegie Hall. At the request of U.S. Senator Bob Graham one of his compositions, Si Tu Te Vas (If You Go Away), was included on a recording to promote The Everglades Trail. In 2004, at the American Church in Paris, France the World Premiere of his Romance for Flute and Guitar was performed by the award-winning Serenade Duo, flutist Michelle LaPorte and guitarist Gerry Saulter. He has performed with such legendary musicians as Herbie Mann, Donald Byrd and Debbie Reynolds, led an on stage Renaissance Trio in a University of New Orleans production of Shakespeare's Twelfth Night, and played incidental music for their production of Bertold Brecht's The Good Woman of Sichuan. He has performed Carulli's Guitar Concerto in A, Leonard Bernstein's West Side Story and Marvin Hamlish's A Chorus Line with the Northwest Florida Symphony Orchestra and Okaloosa-Walton Community College, Niceville, FL, and with the Southern Art Music Ensemble, a Jazz/Latin Fusion Sextet, including an Honors Convocation in Atlanta for Mr. Ted Turner. He has been a guest performer with the Albany State University Jazz Ensemble at The Fletcher Henderson Jr., Macon and Atlanta Jazz Festivals, and played the banjo in the Albany State University /Albany Symphony's co-production of George Gershwin's Opera Porgy and Bes
9.00 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| Valses Poeticos (GRANADOS
ENRIQUE) Guitare [Partition] Mel Bay
Par GRANADOS ENRIQUE.
Enrique Granados composed his Valses Poeticos for solo Pi...(+)
Par GRANADOS ENRIQUE.
Enrique Granados composed his Valses Poeticos for solo Piano around 1886-1887, after he moved from Barcelona to Paris to study with Charles-Wilfrid de Beriot and Felip Pedrell.
This book presents the seven beautiful waltzes in the Valses Poeticos for Guitar, preceded by an un-waltz-like introduction (Vivace molto) and ending with a colorful, clever coda (Presto).
Lily Afshar's Guitar arrangement is very faithful to the original Piano version and contains fingerings that are idiomatic and musical. The total performance length is sixteen minutes in duration in eight movements/ Répertoire / Guitare
21.19 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Fimbel Jean-Jacques :
Cinq Macros Pieces Guitare [Partition] Dhalmann
Cinq pièces pour guitare pour le deuxième cycle- Samantha ballade- Prélude à ...(+)
Cinq pièces pour guitare pour le deuxième cycle- Samantha ballade- Prélude à l'après-midi d'une mère- Alice au pays des cigales- Cooki song- Rêverie du caribouJean-Jacques FIMBEL suit les cours de guitare à l'Ecole Nationale de Musique de Bourg-La-Reine (classe d'Antonio MEMBRADO), puis auprès de Betho DAVEZAC (à l'ENM de Meudon où il obtient une Médaille d'Or) avec lequel il va étudier les répertoires de la guitare baroque, romantique ainsi que celui de la vihuela. Il se perfectionne auprès d'Alberto PONCE à l'Ecole Normale de Musique de Paris, où il obtient le Diplôme d'Exécution de Guitare, d'Histoire de la Musique, d'Analyse et suit également le cursus d'Ecriture.Titulaire du Diplôme d'Etat et du Certificat d'Aptitude de professeur de guitare, il enseigne la guitare au Conservatoire de Mulhouse. Il assume depuis quelques années la responsabilité de Conseillé Pédagogique dans l'est de la France, auprès des Cefedem de Bourgogne et de Lorraine.Jean-Jacques FIMBEL se produit régulièrement en concert (soliste, duo Arcadia sur instruments d'époque, ensemble de guitare de Haute- Alsace, Dou Dodeca (2 guitares), Duo Atlantide (Violoncelle et guitare) et diverses formations de musique de chambre?) et est régulièrement sollicité pour des conférences. Il enseigne la guitare lors de masterclass organisées par l'association Guitarmaniaks aux côtés de Roland Dyens (Semaine Internationale de la Guitare à Colmar), ainsi que dans le cadre du stage de musique d'ensemble d'été à Buhl. Il a enregistré des CD et participé à diverses émissions de télévision (Arte, France 3). Il a pris part à des festivals tels que le Festival Baroque de Mulhouse (1999-2008), le Festival International de Musique de Chambre d'Illzach 2003-2005 ou le Festival de Badenweiler en Allemagne 2006-2009? / Cordes Pincées Et Guitare
34.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Complete albums (CHAHINE
KHALIL) En Français Guitare [Partition] Bookmakers International
Par CHAHINE KHALIL. La musique de Khalil Chahine est toujours une invitation au ...(+)
Par CHAHINE KHALIL. La musique de Khalil Chahine est toujours une invitation au voyage, à la contemplation et à la rêverie. Cet artiste d'exception est très justement défini comme un 'explorateur élégant de paysages musicaux délicats'. Après 6 albums, de nombreuses musiques de films, il a travaillé aussi pour la télé et à de nombreuses mises en scène, les Éditions Bookmakers lui consacrent pour la première fois un recueil regroupant tous les titres de ses albums écrits entre 1989 et 2009 ainsi que quelques thèmes de musiques de films. Vous y trouverez également un glossaire de diagrammes d'accords pour la guitare avec analyse harmonique qui regroupe les accords, et surtout les plus inhabituels, utilisés par ce musicien éclectique et mélodiste de talent. Livre broché, imprimé sur papier ivoire anti-reflets, idéal pour les musiciens./ Recueil / Guitare
33.50 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
| Modern Method Guitare
Jazz (LEAVITT WILLIAM) Guitare [Partition + Accès audio] Berklee
Par LEAVITT WILLIAM. Jouer grand jazz tandis que vous apprenez de cette méthode...(+)
Par LEAVITT WILLIAM. Jouer grand jazz tandis que vous apprenez de cette méthode de guitare vénéré ! Ces solos et duos carte directement aux leçons dans la méthode moderne de William Leavitt pour guitare, Volume 1, le texte de base guitare au Berklee College of Music. Depuis les années 1960, le Modernd pour la série de guitare a été une des méthodes de guitare plus populaires au monde, traduits plus... La méthode de guitare de Leonard Hal mondialement célèbre est préférée par les professeurs parce qu'elle les rend plus efficaces tout en facilitant leur travail. Etudiants jouissent de son format d'easollow qui leur donne une éducation solide de la musique tout en leur laissant jouer des chansons tout de suite. La méthode de guitare de Leonard Hal fournit un système complet de jouer les succès qui comprend trois niveaux d'instruction et une myriade de supplemenngbooks le long de jeu que laisser les étudiants à jouer les grandes chansons alors qu'ils sont encore beaucoup à apprendre à jouer. Un enfant est né - après-midi À Paris - Basin Street Blues - Daphne - ici est que Rainy Day - dans une humeur Sentimental - mes chaussures Little Suede - Samba De Orfeu - So What - S. / Méthode / Méthode / Guitare
31.50 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Antonio Lauro Works For
Guitar, Vol.2 (LAURO
ANTONIO) Guitare [Partition] Caroni Music
Par LAURO ANTONIO. Antonio Lauro is one of the most famous composers to come fro...(+)
Par LAURO ANTONIO. Antonio Lauro is one of the most famous composers to come from Venezuela. He has written many works for orchestra, piano, choir, harpsichord, and guitar. He is most well-known for his guitar works, this being his main instrument. In the early 1980s he gave concerts in London and Paris at the request of John Williams and Paco Pena. The pieces represented in these guitar works are for players at a beginner-intermediate level, and in standard notation only. Continuing the 19th Century tradition of other composers of Venezuelan waltzes, Lauro named many of his pieces after people or places. 'El Marabino' is the name given to someone who comes from the city of Maracaibo. 'Angostura' is the original Spanish name of the city where Lauro was born. 'Carora' is the colonial city near Lauro's birthplace. The Venezuelan waltz differs from the European waltz in its rhythm which may alternate between 3/4 and 6/8 time and in its more syncopated style. The melodies are highly sentimental and romantic. / Niveau : Facile à Intermédiaire / Répertoire / Guitare
21.19 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
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