Created in 1851, 'Ride of the Valkyries' is the prelude to the third act of the music drama 'The Valkyrie'. The purely instrumental version soon found its way onto the concert stages and turned out to be a first-rate attraction. Apart from 'Treulich geführt', 'Ride of the Valkyries' probably is Wagner's most popular melody.More intimate insights, however, are given by 'Siegfried-Idyll'. In 1870, Richard Wagner came up with a rather special birthday present for his wife Cosima. He surprised her with a secretly composed orchestral work the dedication of which alludes to impressions or circumstances at the birth of their common son Siegfried. / Orchestre

Par JARRELL MICHAEL. De la nature... du musical Michael Jarrell, né en 1958, est l'un des compositeurs les plus en vue de sa génération. Dans une démarche toute personnelle, qui ne s'est inféodée à aucun mouvement, et dans une quête intérieure inlassablement poursuivie, il a opéré une synthèse de l'héritage des musiques d'après-guerre dont il a extrait certaines caractéristiques techniques pour les mettre au service d'une véritable poétique musicale. En effet, contrairement à ses aînés, il explore moins le langage pour lui-même, faisant des nouvelles techniques le lieu d'une mutation dans la pensée musicale, qu'il ne cherche à le mettre au service de l'expression. Aussi se méfie-t-il d'une conceptualisation excessive, et de l'utopie dont l'oeuvre serait porteuse, préférant mettre en valeur les vertus d'un artisanat qu'il enseigne par ailleurs à Vienne et à Genève, ainsi que lors de nombreux séminaires à travers l'Europe. Ses oeuvres, facilement identifiables dans l'abondante production contemporaine, sont toutes liées les unes aux autres, non seulement par une certaine forme de sensibilité, leur tonalité propre, mais aussi par la récurrence de certains traits que Jarrell retravaille dans des contextes différents. Il s'est ainsi très tôt constitué un univers qu'il ne cesse de remodeler, visant moins l'originalité apparente de chacune des pièces qu'un déplacement constant des perspectives dans lesquelles les mêmes idées, en elles, peuvent être appréhendées. 'Cent fois sur le métier...' voilà quelle pourrait être sa devise. On trouve ainsi dans chacune de ses oeuvres quelque chose de familier qui acquiert en même temps une certaine étrangeté, sentiment qui constitue peut-être un élément essentiel de son expressivité. La musique de Jarrell arpente les régions du rêve et de l'irréalité, à la recherche de son moment de vérité, souvent situé dans les sonorités les plus graves et tes plus lentes, là où le temps, ailleurs agité, s'immobilise. C'est peut-être ce qui confère à sa musique une forme de tendresse inséparable de la beauté sonore, allant jusqu'à un esthétisme raffiné, loin des recherches extrêmes et des formulations autoritaires. Chez lui, même les techniques instrumentales les plus inhabituelles, ou les sonorités électroniques, auxquelles il a souvent recours, sont rapatriées dans un monde sensible emprunt de pureté où ce sont les qualités expressives qui dominent. Celles-ci ne renvoient pas forcément au moi du compositeur, qui tend au contraire à s'effacer, mais davantage à l'essence même du musical, au phénomène en soi, porteur d'une présence singulière au monde. On retrouve de telles qualités dans sa dernière oeuvre, ...Le ciel, tout à l'heure si limpide, soudain se trouble horriblement..., commandée par l'Orchestre de la Suisse Romande. Elle fait appel à un grand orchestre symphonique standard: 3 flûtes (dont alto et piccolo, 2 hautbois et cor anglais, 2 clarinettes et clarinette basse, 2 bassons et contrebasson, 4 cors, 3 trompettes, 3 trombones, tuba, harpe, timbales, 4 percussions (vibraphone, glockenspiel, cloches tubes, cymbales, bongos, tam-tam, grosse caisse, temple blocks, tom grave, spring coils, triangle, mark tree) et cordes. Malgré un titre qui pourrait sous-entendre un élément programmatique, l'oeuvre appartient à la catégorie de la musique pure. L'orchestre y est traité de façon conventionnelle, mais avec une virtuosité d'écriture, un raffinement dans la sonorité qui exige beaucoup de ses interprètes. D'un seul tenant, l'oeuvre se divise en quatre parties principales d'inégale longueur, les deux premières étant plus importantes que les deux suivantes: la première est constituée d'un continuum de notes rapides réparties entre les cordes et Les bois, tandis que les trompettes, doublées par différents instruments, lancent une figure d'appel incisive qui s'allonge progressivement. L'écriture est d'une grande virtuosité, les figurations en triples croches passant d'un instrument ou d'un groupe à un autre. Les notes rapides se figent une première fois dans des oscillations jouées notamment par les cordes divisées, puis à travers des notes répétées qui traversent toute la texture orchestrale. Après un passage intermédiaire privilégiant les sons graves, l'écriture vive reprend jusqu'à un sommet dramatique marqué par des trilles, aussitôt suivi d'une désintégration qui mène à la seconde partie. Celle-ci débute avec des quintes jouées par les cordes graves divisées et colorées par les percussions (les contrebasses, qui doivent modifier leur accord, jouent des sons harmoniques). La musique semble vouloir repartir d'un point originel, elle se réinvente à partir d'une structure élémentaire, dans une extrême douceur. L'impétuosité du début laisse place à une grande délicatesse des sonorités. C'est un trait que l'on retrouve dans de nombreuses pièces de Jarrell: après l'effervescence d'une écriture brillante, agitée, nerveuse, que l'auditeur suit dans sa course folle, vient un moment réflexif et profond, qui nécessite une réorientation de l'écoule, une plongée dans la nature même du phénomène sonore. La trame qui se déploie dans un tempo lent offre ainsi une autre image de la sonorité orchestrale, comme si une musique des origines, au caractère de litanie, était soudain dévoilée sous la couche éclatante du début. Elle donne le sentiment d'avoir commencé bien avant son moment d'apparition, comme si elle provenait des couches profondes de la conscience, d'une mémoire archaïque. D'ailleurs, Jarrell réélabore ici un passage d'une pièce antérieure, Music for a While, lui reprenant son matériau de base. Le sentiment de profondeur est dû au formidable ralentissement du temps, qui nous met soudainement en apesanteur, mais aussi à une forme en spirale, qui tranche avec la musique directionnelle qui précédait. L'effet que provoque la distance sensible entre de tels contrastes est onirique: on ne sait plus si la première partie, qui nous échappe en se projetant vers l'avant, n'était qu'une forme illusoire, ou si nous entrons, avec la partie lente, dans une sorte de rêve éveillé. Un passage central, dans cette seconde partie, s'organise autour de guirlandes sonores à la harpe et aux cloches que tout l'orchestre remplit de sonorités suaves. Les arpèges descendants des vents doublés par des pizzicatos de cordes, que transpercent des notes répétées aux trompettes et aux cors, dans un climat encore doux, annoncent la reprise du mouvement frénétique. Mais cette fois, ce sont moins des figures virevoltantes qui passent à travers les pupitres que des blocs de notes joués par la masse des instruments: des figures qui s'élancent vers le haut aboutissent à des notes répétées, en une forme d'antiphonie, et mènent à un sommet d'intensité. Après quoi, en guise de coda, une quatrième partie nous conduit à une fin mourante: l'harmonie se fige, les polyrythmes annulent toute sensation de mesure, les longues tenues des instruments graves chutent chromatiquement, les percussions jouant des figures rituelles, en résonance, jusqu'à l'immobilité finale. Le titre de la pièce provient de Lucrèce (De la nature). Il n'a pas de signification structurelle immédiate, comme souvent chez Jarrell, mais exprime en quelques mots l'idée qui avait présidé au morceau. Le trouble s'apparente ici à une forme d'étrangeté, à quelque chose d'inquiétant qui n'apparaît pas de façon narrative, tel un vent d'orage dans un ciel serein, mais comme l'essence même de l'articulation formelle entre deux types d'écriture, deux types d'expression qui exigent des temporalités opposées l'une à l'autre. La soudaineté, c'est le renversement entre les deux. Pourtant, on retrouve un même noyau entre les parties vives et les parties lentes, la quinte jouant dans les deux cas un rôle structurel, et le mib apparaissant comme une note polaire (toute la musique de Jarrell est aimantée par des pôles qui orientent l'écoute). Si le passage du limpide au trouble se traduit par la sonorité orchestrale, par le maniement très sensible des timbres qui provient en grande part de la tradition orchestrale française, il se manifeste aussi par des figures qui évitent tout profil thématique, toute forme mélodique au sens traditionnel du terme, et qui composent la texture. L'auditeur a directement à faire avec la matière sonore. Et celle-ci est composée de part en part. L'adjectif poétique vient à l'esprit pour définir une invention qui s'écarte aussi bien des formes illustratives que des constructions schématiques, et qui repose essentiellement sur l'organisation des hauteurs au détriment des effets, des sonorités bruiteuses ou des gestes iconoclastes. Et malgré les passages brillants, malgré les explosions sonores toujours maîtrisées et un maniement virtuose de l'orchestre, cette poétique révèle un caractère fondamental plutôt intimiste. Philippe Albèra / contemporain / Répertoire / Orchestre

Par RAVEL MAURICE. This volume contains a pair of works originally written for piano by Ravel, and later orchestrated by him. Le Tombeau De Couperin is a four-piece suite written between 1914 and 1917, dedicated to close friends who died in World War I. Valses Nobles Et Sentimentales pays homage to the work of Franz Schubert. These eight uninterrupted Waltzes abound in Schubertian characteristics./ Répertoire / Orchestre

FROM THE RESPONSORY DOMINE AD ADJUVANDUM ME FESTINA. Par VIVALDI ANTONIO / SIEVING ROBERT (Arr.). Robert Sieving\'s arrangement of Allegro for Double String Orchestra by Antonio Vivaldi, RV593, originally a motet featuring the vocal setting of Psalm 69 for soprano, 2 oboes, 2 SATB choirs, and double string orchestra, provides the opportunity for two orchestras to perform in opposition and have a musical conversation through fugal writing. Sieving has maintained Vivaldi\'s writing and sound, as the two orchestras battle it out to be the reigning orchestra. Each orchestra and section have interesting parts, with string crossings, minimal shifting, stylistic Baroque bow use, and call and response sections or echo sections. Invite a neighboring orchestra to perform this wonderful double string piece or divide your orchestra in two groups. Such a wonderful addition to our Vivaldi repertoire by Robert Sieving at Level 3. / Date parution : 2022-07-30/ Répertoire / Orchestre

Responsorio Per S., 2 Cori A 4 Voci Miste, 2 Ob. E Archi Divisi In 2 Cori - Parti Orchestra. Par VIVALDI ANTONIO. Responsorio Per S., 2 Cori A 4 Voci Miste, 2 Ob. E Archi Divisi In 2 Cori - Parti Orchestra / Date parution : 1905-06-23/ Répertoire / Orchestre

Vivaldi, Antonio The Four Seasons Edition no. TP 399 ISMN 9790006204625 Editor Hogwood, Christopher This study score follows our very successful publications of the Urtext full score and performance material (BA 6994) and the piano reduction of all four concertos (BA 6994a). This critical edition of Vivaldi's masterpiece is based on the Manchester manuscript source, which originates from Vivaldi's circle, and represents an alternative (in many cases, more explicit) version of these famous concertos. The Manchester source has until now not been used as the primary source for a modern edition. - First study score to be based on the Manchester source - Critical scholarly edition - Details regarding the work's source history as well as comments on performance practice

Edizione Critica A Cura Di Michael Talbot. Par VIVALDI ANTONIO. Langue: Deutsch / Date parution : 1905-06-15/ Répertoire / Solistes, Choeur et Ensemble de Chambre

For Speaker And 5 Instrumentalists. Par SCHOENBERG ARNOLD. Pierrot lunaire marks the high point of Schoenberg's expressionistic period, the essence of which he described as renouncing tonal centers and systematic relationships, replacing them with the twelve-tone method he was later to develop, with its dodecaphonic principles. Dethroning tonality and 'emancipating the dissonance' led to a radical change in his understanding of form and the intensity of musical expression beginning in 1907/1908: 'And I am unconditionally approaching a new kind of expression - I can sense it. The sounds now are virtually becoming a bestially direct expression of sensual and intellectual feelings - almost as if everything had been directly propagated.' (Diary entry, March 1912.)/ Répertoire / Récitant et 5 Instrumentistes

The new scholarly-critical edition of the score of Rameau's 'ballet héroïque? Les Indes galantes finally clears up its convoluted source history. At the first performance, on 23 August 1735, it consisted of a prologue and three acts: Le Turc généreux, Les Incas du Pérou and Les Fleurs. But Les Fleurs already proved controversial in the early performances, and from 11 September of that same year it was given a wholly new form. For the revival on 10 March 1736 Rameau and Fuzelier added an entirely new act Les Sauvages, and in the years that followed, the 'ballet héroïque? was presented either complete (1743, 1751 and 1761) or abridged with a prologue, Les Incas du Pérou and Les Sauvages (1751-73).With regard to the instrumental movements (dances and descriptive pieces), the present publication is based on the complete edition Opera Omnia Rameau (OOR) volumes IV/2 and IV/7 edited by Sylvie Bouissou which are currently in preparation. It includes not only the orchestral pieces in the version deemed valid by Rameau in 1736 (with version 2 of Les Fleurs and Les Sauvages), but also those from the first version of Les Fleurs (1735) as well as its 1743 and 1773 revisions. Performers are thus given a complete selection of all the orchestral numbers from one of Rameau's central stage works for use also in concert performance.- Based on Opera Omnia Rameau (OOR) Series IV/2 and IV/7- Well-presented layout in a format of 23.7 x 33 cm / Orchestre

'La Mer?, which is an impressionistic work through and through, was composed between 1903-1905. Debussy however refined this work up until at least 1913. These corrections are found in a score which Debussy gave to his wife as a present for her private library in 1913.The new scholarly-critical edition draws on several important sources previously unavailable to musicologists, resulting in an array of new readings and corrections. In addition, there are many changes, a.o. in terms of articulation and dynamics.This new edition includes the famous 'fanfare? in Movement III, clearly marked in small print and brackets. This fanfare was excised in the 1910 reissue of the work, but was reinstated by a number of great conductors who knew Debussy, i.e. Monteux, Münch, Mitropoulos and Ansermet. They felt that the excision was a misunderstanding and that the fanfare was necessary for the structure of the movement. And so, the Bärenreiter edition presents the revival of a performing tradition which is committed to the fanfare.- New Urtext edition with numerous corrections in comparison to other editions- Important sources which were previously inaccessible have been taken into account- Score and orchestral parts in large format (25.5 x 32.5cm)- Score and orchestral parts with an impeccable generous layout- Includes an informative introduction (Eng/Fr/Ger), facsimiles, source descriptions and a Critical Commentary (Eng) / Orchestre

'La Mer?, which is an impressionistic work through and through, was composed between 1903-1905. Debussy however refined this work up until at least 1913. These corrections are found in a score which Debussy gave to his wife as a present for her private library in 1913.The new scholarly-critical edition draws on several important sources previously unavailable to musicologists, resulting in an array of new readings and corrections. In addition, there are many changes, a.o. in terms of articulation and dynamics.This new edition includes the famous 'fanfare? in Movement III, clearly marked in small print and brackets. This fanfare was excised in the 1910 reissue of the work, but was reinstated by a number of great conductors who knew Debussy, i.e. Monteux, Münch, Mitropoulos and Ansermet. They felt that the excision was a misunderstanding and that the fanfare was necessary for the structure of the movement. And so, the Bärenreiter edition presents the revival of a performing tradition which is committed to the fanfare.- New Urtext edition with numerous corrections in comparison to other editions- Important sources which were previously inaccessible have been taken into account- Score and orchestral parts in large format (25.5 x 32.5cm)- Score and orchestral parts with an impeccable generous layout- Includes an informative introduction (Eng/Fr/Ger), facsimiles, source descriptions and a Critical Commentary (Eng) / Ensemble A Vent

'La Mer?, which is an impressionistic work through and through, was composed between 1903-1905. Debussy however refined this work up until at least 1913. These corrections are found in a score which Debussy gave to his wife as a present for her private library in 1913.The new scholarly-critical edition draws on several important sources previously unavailable to musicologists, resulting in an array of new readings and corrections. In addition, there are many changes, a.o. in terms of articulation and dynamics.This new edition includes the famous 'fanfare? in Movement III, clearly marked in small print and brackets. This fanfare was excised in the 1910 reissue of the work, but was reinstated by a number of great conductors who knew Debussy, i.e. Monteux, Münch, Mitropoulos and Ansermet. They felt that the excision was a misunderstanding and that the fanfare was necessary for the structure of the movement. And so, the Bärenreiter edition presents the revival of a performing tradition which is committed to the fanfare.- New Urtext edition with numerous corrections in comparison to other editions- Important sources which were previously inaccessible have been taken into account- Score and orchestral parts in large format (25.5 x 32.5cm)- Score and orchestral parts with an impeccable generous layout- Includes an informative introduction (Eng/Fr/Ger), facsimiles, source descriptions and a Critical Commentary (Eng) / Contrebasse

'La Mer?, which is an impressionistic work through and through, was composed between 1903-1905. Debussy however refined this work up until at least 1913. These corrections are found in a score which Debussy gave to his wife as a present for her private library in 1913.The new scholarly-critical edition draws on several important sources previously unavailable to musicologists, resulting in an array of new readings and corrections. In addition, there are many changes, a.o. in terms of articulation and dynamics.This new edition includes the famous 'fanfare? in Movement III, clearly marked in small print and brackets. This fanfare was excised in the 1910 reissue of the work, but was reinstated by a number of great conductors who knew Debussy, i.e. Monteux, Münch, Mitropoulos and Ansermet. They felt that the excision was a misunderstanding and that the fanfare was necessary for the structure of the movement. And so, the Bärenreiter edition presents the revival of a performing tradition which is committed to the fanfare.- New Urtext edition with numerous corrections in comparison to other editions- Important sources which were previously inaccessible have been taken into account- Score and orchestral parts in large format (25.5 x 32.5cm)- Score and orchestral parts with an impeccable generous layout- Includes an informative introduction (Eng/Fr/Ger), facsimiles, source descriptions and a Critical Commentary (Eng) / Violon II

Par DVORAK ANTONIN. This study score is based on the score and complete performance material of Dvorák's famous B minor Cello Concerto (BA 9045) edited by Jonathan Del Mar and published in 2011. In addition the study score contains a Foreword by Dvorák scholar Jan Smaczny. Like every other major 19th-century cello concerto, Dvorák's concerto resulted from a collaboration between the composer and a virtuoso musician. Several passages in Dvorák's autograph were written by the cellist Hanus Wihan but Bärenreiter's edition now reveals that some details in the orchestral parts are also in his writing, showing just how closely the two musicians were working together. The editor Jonathan Del Mar has conscientiously examined every available source, including two that have hitherto been either ignored or crucially undervalued. His research has led to a benchmark edition that reconstructs, for the first time since its initial publication in 1896, Dvorák's definitive version of the solo part. It differs from previous editions in practically every measure and hundreds of corrections have also been made to the orchestral parts. - Includes Dvorák's final and definitive version of the solo cello part - Incorporates new discoveries regarding the collaboration between Dvorák and Wihan - With Feuermann's and Casals's alternative versions of a passage in the first movement - Detailed Foreword (Eng/Cz/Ger)/ Répertoire / Violoncelle et Orchestre