Par VAN DER ROOST JAN. This major concert work cosists o five movements. 1st movement: La Laguna del ShimbeSituated high up in the Andes mountains in Northern Peru are the Huaringas, a group of lagoons in isolated and mysterious surroundings. The water has healing powersand for centuries traditional healers have settled there in small villages. From far the sick come to the Huaringas to be treated in nightly rituals, in which the hallucinating juice of the San Pedro cactus gives the prophet a look inside hispatient. The biggest lagoon is the “Laguna del Shimbe”, one of the countless wells of the immense Amazon stream. 2nd movement: Los AguarunasFurther downstream in Northern Peru we come across the rain tribe of Los Aguarunas. It’s a proud, beautiful andindependent race, which has never succumbed to domination, not even from the Incas. They live from everything the forest has to offer: fish, fruit, plants, . . . . They also grow some crops and live as semi-nomads. They take their fate into their ownhands and after having made contact with modern civilisation, they have integrated new elements into their lives without betraying their own ways. 3rd movement: MekaronMekaron is an Indian word meaning “picture”, “soul”, “essence”. The Indians are theorigina inhabitants of the Amazon region. They either live in one place as a group or move around a large region. They all have their own political system, their own language and an intense social life. At the same time they are master of music andmedicine. “Everywhere the white man goes, he leaves a wilderness behind him”, wrote the North American Indian leader Seatl in 1885. As a result of these contacts with the whites, the disruption of most Indian societies began. (In this century alone, 80 tribes have vanished completely). 4th movement: KêêtuajêThis is the name of the initiating ceremony of the Krahô tribe in the Brazilian state of Goias, in which young boys and girls enter adult life. They are cleansed with water, painted with redpaint and covered with feathers, after which the ritual dance holds the entire tribe spell-bound. 5th movement: Paulino FaiakanIn 1988 the Indian chiefs Faiakan and Raoni Kaiapo came to Europe to protest against the building of the Altamira dam inBrazil. As a result of the dam the Indians would be driven from their traditional land and enormous artificial would be created. The project was supported financially by, amongst others, the European Community. In February 1989 the Indian tribesaround Altamira held a protest march for the first time in their history together. Amongst other things they paid tribute tot Chico Mendez, who, murdered in 1988, was the leader of the rubber syndicate and a fierce opponent of the destruction of theBrazilian rain forest. Brazilian and world opinion was awakened. The building of the dam was -albeit temporarily - stopped. / Niveau : 6 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Poema Sinfonico per Orchestra. Par RESPIGHI OTTORINO. Ottorino Respighi (1879-1936) est considéré comme l'un des plus grands compositeurs italiens du début du XXe siècle. Respighi a composé plusieurs opéras, des ballets, quelques cantates, des oeuvres de musique de chambre et des mélodies pour orgue et piano. Son style unique a été profondément influencé par les impressionnistes français, par Rimski-Korsakov et Richard Strauss. Toutefois, il est surtout connu pour son triptyque symphonique Fontane di Roma (Les Fontaines de Rome), Pini di Roma (Les Pins de Rome) et Feste Romane (Fêtes romaines). Le poème symphonique Feste Romane (Fêtes romaines), dernier volet de la trilogie, est composé de quatre mouvements : Circenses, Il Giubileo, L’Ottobrata et La Befana. Circenses (Jeux dans le Circus Maximus) La Rome antique plébiscitait les jeux du cirque ( circenses, en latin). Ce premier mouvement reflète l’agitation autour des jeux spectaculaires dans l’immense enceinte du Circus Maximus. Il Giubileo (Le Jubilé) Une procession de pèlerins s’approche de la Cité sainte de Rome. Les cloches des églises se mettent à sonner. La musique s’inspire largement d’un chant chrétien occidental. L’Ottobrata (La fête de la moisson d’octobre) En octobre, Rome fête l’Ottobrata. L’atmosphère est joyeuse, on entend des échos de chasse, des airs de danses et des chansons d’amour. Une sérénade romantique s’élève dans la douceur du soir. La Befana (L’Épiphanie) La nuit avant l’Épiphanie, la Piazza Navona est envahie par une foule en liesse qui s’apprête à célébrer la fête des rois. Des rythmes endiablés viennent clore le poème symphonique. Les sémillantes Fêtes romaines d’Ottorino Respighi puisent leur essence dans diverses fêtes historiques. Le compositeur-arrangeur japonais Yoshihiro Kimura en a réalisé une superbe adaptation pour Orchestre d’Harmonie. / Niveau : 6 / Transcription / Date parution : 1905-06-28/ Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Poema Sinfonico per Orchestra. Par RESPIGHI OTTORINO. Ottorino Respighi (1879-1936) est considéré comme l'un des plus grands compositeurs italiens du début du XXe siècle. Respighi a composé plusieurs opéras, des ballets, quelques cantates, des oeuvres de musique de chambre et des mélodies pour orgue et piano. Son style unique a été profondément influencé par les impressionnistes français, par Rimski-Korsakov et Richard Strauss. Toutefois, il est surtout connu pour son triptyque symphonique Fontane di Roma (Les Fontaines de Rome), Pini di Roma (Les Pins de Rome) et Feste Romane (Fêtes romaines). Le poème symphonique Feste Romane (Fêtes romaines), dernier volet de la trilogie, est composé de quatre mouvements : Circenses, Il Giubileo, L’Ottobrata et La Befana. Circenses (Jeux dans le Circus Maximus) La Rome antique plébiscitait les jeux du cirque ( circenses, en latin). Ce premier mouvement reflète l’agitation autour des jeux spectaculaires dans l’immense enceinte du Circus Maximus. Il Giubileo (Le Jubilé) Une procession de pèlerins s’approche de la Cité sainte de Rome. Les cloches des églises se mettent à sonner. La musique s’inspire largement d’un chant chrétien occidental. L’Ottobrata (La fête de la moisson d’octobre) En octobre, Rome fête l’Ottobrata. L’atmosphère est joyeuse, on entend des échos de chasse, des airs de danses et des chansons d’amour. Une sérénade romantique s’élève dans la douceur du soir. La Befana (L’Épiphanie) La nuit avant l’Épiphanie, la Piazza Navona est envahie par une foule en liesse qui s’apprête à célébrer la fête des rois. Des rythmes endiablés viennent clore le poème symphonique. Les sémillantes Fêtes romaines d’Ottorino Respighi puisent leur essence dans diverses fêtes historiques. Le compositeur-arrangeur japonais Yoshihiro Kimura en a réalisé une superbe adaptation pour Orchestre d’Harmonie. / Niveau : 6 / Transcription / Date parution : 1905-06-28/ Répertoire / Concert Band

Par VAN DER ROOST JAN. Sinfonia Hungarica est une oeuvre de commande pour l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze en Hongrie. Elle est dédiée à Ferenc Jankovski (Directeur de l’Orchestre d’Harmonie), Jozsef Ficsor (Maire de la ville de Kiskunfelegyhaze) et Gabriella Kiss. Cette symphonie en trois mouvements retrace l’histoire de la Hongrie. L’ensemble des trois mouvements s’inspire de la vie de personnages historiques clés, de guerres et d’autres événements de grande importance qui ont marqué l’histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de l’État hongrois (1001-2001). L’oeuvre a été donnée en création mondiale, le 31 mars 2001 à Budapest, par l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze placé sous la direction du compositeur. ATTILA, roi des Huns, surnommé “le Fléau de Dieu”, est le personnage central du premier mouvement où règne une atmosphère de peur, de menace, d’agression et de cruauté. Bléda, le frère d’Attila, est associé à un thème aux accents plus héroïques, tandis que Kerka, l’épouse bien-aimée du roi des Huns, est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidante de ce mouvement d’ouverture illustre l’effroyable rapidité avec laquelle les troupes d’Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes. Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD, le fondateur de l’État hongrois. Un passage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Émèse, la grand-mère d’Arpad, qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre l’un de ses opposants, le prince bulgare Zalan, et l’avoir chassé des terres magyares, Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag. Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit le pays au christianisme : Étienne Ier ( ISTVAN ), sacré roi de Hongrie le 1er janvier 1001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures d’ouverture, solennelles et majestueuses, mènent à un passage dont l’atmosphère belliqueuse s’intensifie pour s’achever en de violents fracas symbolisant la mort / Niveau : 6 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Par VAN DER ROOST JAN. Sinfonia Hungarica est une oeuvre de commande pour l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze en Hongrie. Elle est dédiée à Ferenc Jankovski (Directeur de l’Orchestre d’Harmonie), Jozsef Ficsor (Maire de la ville de Kiskunfelegyhaze) et Gabriella Kiss. Cette symphonie en trois mouvements retrace l’histoire de la Hongrie. L’ensemble des trois mouvements s’inspire de la vie de personnages historiques clés, de guerres et d’autres événements de grande importance qui ont marqué l’histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de l’État hongrois (1001-2001). L’oeuvre a été donnée en création mondiale, le 31 mars 2001 à Budapest, par l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze placé sous la direction du compositeur. ATTILA, roi des Huns, surnommé “le Fléau de Dieu”, est le personnage central du premier mouvement où règne une atmosphère de peur, de menace, d’agression et de cruauté. Bléda, le frère d’Attila, est associé à un thème aux accents plus héroïques, tandis que Kerka, l’épouse bien-aimée du roi des Huns, est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidante de ce mouvement d’ouverture illustre l’effroyable rapidité avec laquelle les troupes d’Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes. Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD, le fondateur de l’État hongrois. Un passage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Émèse, la grand-mère d’Arpad, qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre l’un de ses opposants, le prince bulgare Zalan, et l’avoir chassé des terres magyares, Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag. Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit le pays au christianisme : Étienne Ier ( ISTVAN ), sacré roi de Hongrie le 1er janvier 1001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures d’ouverture, solennelles et majestueuses, mènent à un passage dont l’atmosphère belliqueuse s’intensifie pour s’achever en de violents fracas symbolisant la mort / Niveau : 6 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Par VAN DER ROOST JAN. Sinfonia Hungarica est une oeuvre de commande pour l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze en Hongrie. Elle est dédiée à Ferenc Jankovski (Directeur de l’Orchestre d’Harmonie), Jozsef Ficsor (Maire de la ville de Kiskunfelegyhaze) et Gabriella Kiss. Cette symphonie en trois mouvements retrace l’histoire de la Hongrie. L’ensemble des trois mouvements s’inspire de la vie de personnages historiques clés, de guerres et d’autres événements de grande importance qui ont marqué l’histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de l’État hongrois (1001-2001). L’oeuvre a été donnée en création mondiale, le 31 mars 2001 à Budapest, par l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze placé sous la direction du compositeur. ATTILA, roi des Huns, surnommé “le Fléau de Dieu”, est le personnage central du premier mouvement où règne une atmosphère de peur, de menace, d’agression et de cruauté. Bléda, le frère d’Attila, est associé à un thème aux accents plus héroïques, tandis que Kerka, l’épouse bien-aimée du roi des Huns, est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidante de ce mouvement d’ouverture illustre l’effroyable rapidité avec laquelle les troupes d’Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes. Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD, le fondateur de l’État hongrois. Un passage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Émèse, la grand-mère d’Arpad, qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre l’un de ses opposants, le prince bulgare Zalan, et l’avoir chassé des terres magyares, Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag. Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit le pays au christianisme : Étienne Ier ( ISTVAN ), sacré roi de Hongrie le 1er janvier 1001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures d’ouverture, solennelles et majestueuses, mènent à un passage dont l’atmosphère belliqueuse s’intensifie pour s’achever en de violents fracas symbolisant la mort / Niveau : 6 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Par VAN DER ROOST JAN. Jan Van der Roost received the commission for this work from the ‘Orchestre d’Harmonie du Val d’Aoste’ and dedicated the composition to Lino Blanchod, the conductor of the orchestra. The first performance was on 26th January 1997 by the orchestra itself and under the direction of the composer. This extensive symphonic poem depicts the atmosphere and history of the autonomous French speaking region ‘Val d’Aoste’ in northern Italy, and is meant as a musical homage to the historical figure Cathérine de Challant. The opening of this piece describes the rugged nature of this region dominated by Mont Blanc, the roof of Europe. A brief, combative passage conjures up the numerous warsfought here through the ages, later expanding into a surprising ‘Renaissance Dance’ with an original and fitting recorder quartet. A broad, lyrical theme portrays the love that has always played an important role here. After recapturing several of the earlier themes, the piece closes with the renaissance dance, this time played by the brass. A spectacular finale brings this symphonic poem to a close. / Niveau : 6 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Sorti en salle en 1966 par les Rolling Stones, ce légendaire morceau de roche est crédité de Mick Jagger et Keith Richards, numéro un aux Etats-Unis et le Royaume-Uni était en 1966, et est sur ??le Billboard 'Top 500 Greatest Songs de tous les temps.' Marqué à droite dans la poche de votre groupe en développement, ce sera certainement un hit sur ??votre concert aussi bien! (01:30) / Concert Band

Poema Sinfonico per Orchestra. Par RESPIGHI OTTORINO. D’abord élève du Liceo Musicale de Bologne, le compositeur et violoniste italien Ottorino Respighi (1879-1936) suit l’enseignement de Rimski-Korsakov à Saint-Pétersbourg, où il fut quelque temps alto solo de l'Orchestre de l'Opéra. En 1908, alors qu’il séjourne à Berlin, il reçoit les conseils de Max Bruch. De retour en Italie, il entreprend une carrière de violoniste et d'altiste avant d’être nommé professeur de composition au Conservatoire Sainte-Cécile de Rome dont il deviendra directeur en 1924. Deux ans plus tard, Respighi démissionne de ce poste afin de pouvoir se consacrer pleinement à la composition. Ottorino Respighi est considéré comme l'un des plus grandscompositeurs italiens du début du XXe siècle. Auteur de plusieurs opéras, de ballets, de quelques cantates et oeuvres de musique de chambre, de mélodies pour orgue et piano, Respighi s’est acquis la notoriété mondiale notamment par le triptyque symphonique Fontane di Roma (Les Fontaines de Rome), Pini di Roma (Les Pins de Rome) et Feste Romane (Fêtes romaines). Son style unique a été profondément influencé par les impressionnistes français, par Rimski-Korsakov et Richard Strauss. Le compositeur-arrangeur japonais Yoshihiro Kimura a réalisé une superbe adaptation pour Orchestre d’Harmonie du poème symphonique Les Fontaines de Rome d'Ottorino Respighi. / Niveau : 6 / Transcription / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

A Suite of British and Irish Folk Songs. Par SPARKE PHILIP. Songs from Across the Water est une commande du Pennsylvania Symphonic Winds et de Phil Evans, fondateur et directeur. Phil Evans est originaire du Royaume-Uni où il a joué dans l’orchestre des HM Royal Marines pendant 25 ans. Vivant désormais aux Etats-Unis, il y a fondé le Pennsylvania Symphonic Winds en 2008 et lui a donné le slogan « un orchestre américain à l’accent britannique », aspirant à combiner les meilleures traditions d’harmonies des deux pays. Avec cette idée à l’esprit, le compositeur Philip Sparke a décidé de créer une suite de chansons folkloriques britanniques, orchestrées à l’influence américaine en rapport avec la philosophie du groupe. Les troismouvements qui s’enchaînent reposent sur les trois chansons folkloriques suivantes, qui viennent de tous les coins des Îles Britanniques : The Three Ravens & The Cruiskeen Lawn, The Lark in the Clear Air et The Piper o’ Dundee & Men of Harlech. / Niveau : 5 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie