Par ARMAN HOWARD. Howard Arman, director of the Bavarian Radio Choir, has been actively engaged with international Christmas carols through various Christmas-related CD productions of his choir in the past years. This has resulted in a number of original arrangements for four- to eight-part mixed choir a cappella, shedding new light on well-known classics such as O du fröhliche [O, you joyful], Stille Nacht [Silent Night] and Lasst uns froh und munter sein [Let us be happy and cheerful]. The first volume includes five Christmas carols from the German-speaking regions. They range from simple but harmonically intriguing settings such as Lieb Nachtigall, wach auf [Dear nightingale, wake up] to eight-part sound paintings with bell-like chimes as in O du fröhliche and classical double choir settings such as Resonet in laudibus . The second volume includes five Christmas spirituals with English texts, forming a contrast to the solemn and festive character of the first. The choir can prove its swing and jazz qualities here; the stirring arrangements are a gain for classical Christmas concerts, too. Following the tradition of the spiritual, some settings also require soloists, which can, however, also be recruited from the choir if adequate singers are available. The first piece combines the spirituals It?s a Birthday and Wasn?t That a Mighty Day to form a medley, Ain?t That a Rockin? gives a moment of tranquility before the likewise rousing spirituals Mary Had a Baby and Little David conclude the volume. In both volumes, Howard Arman provides a short preface in German and English, explaining the background of each piece and giving advice on performance. / Date parution : 2022-07-20/ Recueil / Choeur Mixte a Cappella

The Series: The Soundtrack, Music from the Disney+ Original Series. The 10-episode Disney+ series, set as the real-life East High, where the original movie was filmed, follows a group of students as they countdown to opening night of their school's first-ever production of High School Musical. With meta references and some docu-style elements, it's a modern take on the classic from 15 years ago. Show-mances blossom - friendships are tested, while new ones are made - rivalries flare - songs are sung - and lives are changed forever as these young people discover the transformative power that only high school theater can provide. This folio features 17 songs for piano, voice and guitar from the soundtrack, including: All I Want · Born to Be Brave · Breaking Free · Get'cha Head in the Game · I Think I Kinda, You Know · Just for a Moment · Out of the Old · Truth, Justice and Songs in Our Key · We're All in This Together · What I've Been Looking For · Wondering · and more./ Recueil / Piano/Vocal/Guitare (PVG)

Richard Reed Parry's Quartet For Heart And Breath is an innovative and original piece based on the performers' own bodily rhythms. This sheet music is for String Quartet (Violin/Violin/Viola/Cello).Richard Reed Parry is familiar to millions as the lead singer of rock band Arcade Fire, yet his foray into classical music is equally worthy of attention. Quartet For Heart And Breath is an experiment into using the performers' heartbeats and breathing to dictate the tempo. The performers are instructed to wear stethoscopes in order to listen to their heartbeats closely, while one complete breath corresponds to one bar and two heartbeats equal two crotchets.The result is a quiet and subtle piece, as each instrument has to play softly so as to be able to keep in time. The piece also has a naturally occurring dynamism in that the players' heart rates constantly change as the performance goes on, with each instrument falling in and out of sync sometimes culminating in a beautiful moment of all heartbeats matching each other. Interestingly, this unique aspect means that no performance will ever be the same, meaning to hear or play this composition will be a truly once in a lifetime experience.Quartet For Heart And Breath is a superbly one-of-a-kind composition by Richard Reed Parry. Commissioned by the Kronos Quartet, this piece makes for a wonderfully distinctive performance, with fascinating implications for the connection between the music and the body. / Quatuor A Cordes

Par TAKE THAT. As the original boy-band, Take That took the pop world by storm in the 1990s with a flurry of huge hit singles, setting the blueprint for today's biggest pop acts. Along with principal songwriter Gary Barlow, Robbie, Jason, Mark and Howard captured the hearts of a generation with addictive melodies, characteristic good looks and a genuine sense of fun. Originally formed as a British answer to New Kids On The Block, the band split in February 1996 prompting The Samaritans to set up telephone help lines to counsel distraught fans. The split also saw the beginning or Robbie Williams' record-breaking solo career. In 2005 the four remaining members reformed for a fresh tour and retrospective DVD release. The tour was to become one of the fastest-selling tickets of that year, confirming yet again the continued adoration of their massive dedicated fanbase. This commemorative songbook features 17 of their biggest moments, including Back For Good , Could It Be Magic and Pray , all arranged for Piano, Voice and Guitar. / Niveau : Assez Facile / Recueil / Piano, Chant et Guitare

Par JARRELL MICHAEL. De la nature... du musical Michael Jarrell, né en 1958, est l'un des compositeurs les plus en vue de sa génération. Dans une démarche toute personnelle, qui ne s'est inféodée à aucun mouvement, et dans une quête intérieure inlassablement poursuivie, il a opéré une synthèse de l'héritage des musiques d'après-guerre dont il a extrait certaines caractéristiques techniques pour les mettre au service d'une véritable poétique musicale. En effet, contrairement à ses aînés, il explore moins le langage pour lui-même, faisant des nouvelles techniques le lieu d'une mutation dans la pensée musicale, qu'il ne cherche à le mettre au service de l'expression. Aussi se méfie-t-il d'une conceptualisation excessive, et de l'utopie dont l'oeuvre serait porteuse, préférant mettre en valeur les vertus d'un artisanat qu'il enseigne par ailleurs à Vienne et à Genève, ainsi que lors de nombreux séminaires à travers l'Europe. Ses oeuvres, facilement identifiables dans l'abondante production contemporaine, sont toutes liées les unes aux autres, non seulement par une certaine forme de sensibilité, leur tonalité propre, mais aussi par la récurrence de certains traits que Jarrell retravaille dans des contextes différents. Il s'est ainsi très tôt constitué un univers qu'il ne cesse de remodeler, visant moins l'originalité apparente de chacune des pièces qu'un déplacement constant des perspectives dans lesquelles les mêmes idées, en elles, peuvent être appréhendées. 'Cent fois sur le métier...' voilà quelle pourrait être sa devise. On trouve ainsi dans chacune de ses oeuvres quelque chose de familier qui acquiert en même temps une certaine étrangeté, sentiment qui constitue peut-être un élément essentiel de son expressivité. La musique de Jarrell arpente les régions du rêve et de l'irréalité, à la recherche de son moment de vérité, souvent situé dans les sonorités les plus graves et tes plus lentes, là où le temps, ailleurs agité, s'immobilise. C'est peut-être ce qui confère à sa musique une forme de tendresse inséparable de la beauté sonore, allant jusqu'à un esthétisme raffiné, loin des recherches extrêmes et des formulations autoritaires. Chez lui, même les techniques instrumentales les plus inhabituelles, ou les sonorités électroniques, auxquelles il a souvent recours, sont rapatriées dans un monde sensible emprunt de pureté où ce sont les qualités expressives qui dominent. Celles-ci ne renvoient pas forcément au moi du compositeur, qui tend au contraire à s'effacer, mais davantage à l'essence même du musical, au phénomène en soi, porteur d'une présence singulière au monde. On retrouve de telles qualités dans sa dernière oeuvre, ...Le ciel, tout à l'heure si limpide, soudain se trouble horriblement..., commandée par l'Orchestre de la Suisse Romande. Elle fait appel à un grand orchestre symphonique standard: 3 flûtes (dont alto et piccolo, 2 hautbois et cor anglais, 2 clarinettes et clarinette basse, 2 bassons et contrebasson, 4 cors, 3 trompettes, 3 trombones, tuba, harpe, timbales, 4 percussions (vibraphone, glockenspiel, cloches tubes, cymbales, bongos, tam-tam, grosse caisse, temple blocks, tom grave, spring coils, triangle, mark tree) et cordes. Malgré un titre qui pourrait sous-entendre un élément programmatique, l'oeuvre appartient à la catégorie de la musique pure. L'orchestre y est traité de façon conventionnelle, mais avec une virtuosité d'écriture, un raffinement dans la sonorité qui exige beaucoup de ses interprètes. D'un seul tenant, l'oeuvre se divise en quatre parties principales d'inégale longueur, les deux premières étant plus importantes que les deux suivantes: la première est constituée d'un continuum de notes rapides réparties entre les cordes et Les bois, tandis que les trompettes, doublées par différents instruments, lancent une figure d'appel incisive qui s'allonge progressivement. L'écriture est d'une grande virtuosité, les figurations en triples croches passant d'un instrument ou d'un groupe à un autre. Les notes rapides se figent une première fois dans des oscillations jouées notamment par les cordes divisées, puis à travers des notes répétées qui traversent toute la texture orchestrale. Après un passage intermédiaire privilégiant les sons graves, l'écriture vive reprend jusqu'à un sommet dramatique marqué par des trilles, aussitôt suivi d'une désintégration qui mène à la seconde partie. Celle-ci débute avec des quintes jouées par les cordes graves divisées et colorées par les percussions (les contrebasses, qui doivent modifier leur accord, jouent des sons harmoniques). La musique semble vouloir repartir d'un point originel, elle se réinvente à partir d'une structure élémentaire, dans une extrême douceur. L'impétuosité du début laisse place à une grande délicatesse des sonorités. C'est un trait que l'on retrouve dans de nombreuses pièces de Jarrell: après l'effervescence d'une écriture brillante, agitée, nerveuse, que l'auditeur suit dans sa course folle, vient un moment réflexif et profond, qui nécessite une réorientation de l'écoule, une plongée dans la nature même du phénomène sonore. La trame qui se déploie dans un tempo lent offre ainsi une autre image de la sonorité orchestrale, comme si une musique des origines, au caractère de litanie, était soudain dévoilée sous la couche éclatante du début. Elle donne le sentiment d'avoir commencé bien avant son moment d'apparition, comme si elle provenait des couches profondes de la conscience, d'une mémoire archaïque. D'ailleurs, Jarrell réélabore ici un passage d'une pièce antérieure, Music for a While, lui reprenant son matériau de base. Le sentiment de profondeur est dû au formidable ralentissement du temps, qui nous met soudainement en apesanteur, mais aussi à une forme en spirale, qui tranche avec la musique directionnelle qui précédait. L'effet que provoque la distance sensible entre de tels contrastes est onirique: on ne sait plus si la première partie, qui nous échappe en se projetant vers l'avant, n'était qu'une forme illusoire, ou si nous entrons, avec la partie lente, dans une sorte de rêve éveillé. Un passage central, dans cette seconde partie, s'organise autour de guirlandes sonores à la harpe et aux cloches que tout l'orchestre remplit de sonorités suaves. Les arpèges descendants des vents doublés par des pizzicatos de cordes, que transpercent des notes répétées aux trompettes et aux cors, dans un climat encore doux, annoncent la reprise du mouvement frénétique. Mais cette fois, ce sont moins des figures virevoltantes qui passent à travers les pupitres que des blocs de notes joués par la masse des instruments: des figures qui s'élancent vers le haut aboutissent à des notes répétées, en une forme d'antiphonie, et mènent à un sommet d'intensité. Après quoi, en guise de coda, une quatrième partie nous conduit à une fin mourante: l'harmonie se fige, les polyrythmes annulent toute sensation de mesure, les longues tenues des instruments graves chutent chromatiquement, les percussions jouant des figures rituelles, en résonance, jusqu'à l'immobilité finale. Le titre de la pièce provient de Lucrèce (De la nature). Il n'a pas de signification structurelle immédiate, comme souvent chez Jarrell, mais exprime en quelques mots l'idée qui avait présidé au morceau. Le trouble s'apparente ici à une forme d'étrangeté, à quelque chose d'inquiétant qui n'apparaît pas de façon narrative, tel un vent d'orage dans un ciel serein, mais comme l'essence même de l'articulation formelle entre deux types d'écriture, deux types d'expression qui exigent des temporalités opposées l'une à l'autre. La soudaineté, c'est le renversement entre les deux. Pourtant, on retrouve un même noyau entre les parties vives et les parties lentes, la quinte jouant dans les deux cas un rôle structurel, et le mib apparaissant comme une note polaire (toute la musique de Jarrell est aimantée par des pôles qui orientent l'écoute). Si le passage du limpide au trouble se traduit par la sonorité orchestrale, par le maniement très sensible des timbres qui provient en grande part de la tradition orchestrale française, il se manifeste aussi par des figures qui évitent tout profil thématique, toute forme mélodique au sens traditionnel du terme, et qui composent la texture. L'auditeur a directement à faire avec la matière sonore. Et celle-ci est composée de part en part. L'adjectif poétique vient à l'esprit pour définir une invention qui s'écarte aussi bien des formes illustratives que des constructions schématiques, et qui repose essentiellement sur l'organisation des hauteurs au détriment des effets, des sonorités bruiteuses ou des gestes iconoclastes. Et malgré les passages brillants, malgré les explosions sonores toujours maîtrisées et un maniement virtuose de l'orchestre, cette poétique révèle un caractère fondamental plutôt intimiste. Philippe Albèra / contemporain / Répertoire / Orchestre

Arranged for SATB, here are five all-time classic Christmas songs with a warm and nostalgic feeling.O Holy Night and Silent Night both originated in 19th century Europe while Have Yourself A Merry Little Christmas was introduced by Judy Garland in a 1944 Hollywood musical. Silver Bells was a 1950 Livingston-Evans pop hit but surely the most famous of them all is Irving Berlin's White Christmas, the 1940 song for which its composer had high hopes the moment he completed it. Conceived as a nostalgic number, White Christmas was a slow starter but went on to become a huge success and, for many, the ultimate Christmas song.These arrangements lend themselves to being performed separately or in seamless succession for a Classic Christmas recital audiences will love. / Choeur Mixte (SATB) Et Piano

The works of Swiss composer Ivo Antognini have been described as sublime. This setting of the beloved hymn by Franz Gruber certainly qualifies as sublime with the rich jazz chord voicings and unique choral textures. It may be performed by a vocal jazz group, chamber choir or larger concert ensemble for a beautiful and warm concert moment. / Choeur Mixte (SATB) A Cappella

Par . This collection features 23 Disney hits arranged for duets among two flutes or a flute in combination with clarinet, alto sax, trumpet, or trombone! / Date parution : 2022-06-14/ Recueil / 2 Trombones

Par . This collection features 23 Disney hits arranged for duets among two flutes or a flute in combination with clarinet, alto sax, trumpet, or trombone! / Date parution : 2022-06-14/ Recueil / 2 Trompettes