| Jazz : La Discothèque
Idéale En 25 Albums
Originaux (Coffret 25 CD) CD [Coffret CDs]
- Record Label: Sony - Catalog#: 88697 720092 - Country Of Release:...(+)
- Record Label: Sony - Catalog#: 88697 720092 - Country Of Release: NLD - Year Of Release: 2010 - Notes: 25 Original Albums In Noble Box
104.00 EUR - vendu par Amazon DĂ©lais: En Stock | |
| Fischer Eric :
Topographic Long Range
(sa lente mise en veille
dès le milieu du XVIIIe
siècle, la viole
réapparait, neuve, comme
un trésor de timbres et
de textures pour les
compositeurs
d'aujourd'hui) Violes de Gambe [Partition] Dhalmann
Pour violes de gambe. Collection Musique d'Aujourd'hui sur Instruments Anciens.D...(+)
Pour violes de gambe. Collection Musique d'Aujourd'hui sur Instruments Anciens.Dédié à Marianne Muller.- 1) Premier duo (2 basses de viole)- 2) Les géosophiques (basse de viole solo) A. Sources B. Concordancia discordancium canonum C. Medius D. De l'abrupt E. Coda- 3) Deuxième duo (2 basses de viole)- 4) La clepsydre (Trio : 1 dessus de viole et 2 basses de viole)Topographic Long Range a été enregistré par Marianne Muller sur le cd 'Poeticall Musicke...Topographic Long Range', oeuvres de Tobia Hume et Eric Fischer.20 - 30 mn. Très difficileEcrire pour la viole gambe (ou tout autre instrument dit ancien) n'est en lien avec aucune nostalgie. Par sa lente mise en veille dès le milieu du XVIIIe siècle, la viole réapparait, neuve, comme un trésor de timbres et de textures pour les compositeurs d'aujourd'hui. Grâce à son grain si spécifique qui rend à l'intime sa rugosité, elle parle la langue de notre époque !Les sons produisent à l'intérieur de nous des volumes, des espaces, des distances jusqu'à constituer une cartographie, imaginaire et abstraite, du temps où chaque instant devient un long-terme. Bien sûr, la chose n'est pas à entendre d'un point de vue descriptif mais dans sa nature poétique.La thématique globale de 'Topographic Long-Range' est décomposée en petits modules qui se succèdent, s'imbriquent, se transforment dans un parcours circulaire, et par ce cheminement (qui éclot d'une danse, en tout cas de son énergie, jusqu'au monde suspendu du trio final), se dire à chaque révolution : cela, je ne l'avais pas entendu encore - il ne me sonnera plus jamais ainsi.On pourrait également parler d'une lente mutation d'état intérieur, qui part du minéral et va à la substance aqueuse (dans la terminologie même, puisque le premier duo est un rock et que le trio final se nomme 'la clepsydre' - mais de cela, je ne pris conscience qu'à postériori !). Notre oreille quitte peu à peu l'équilibre d'un tempérament (quel qu'il soit !), perd sa gravité, au sens physique du terme, pour flotter en apesanteur (mélodies en quart de ton, glissandi, longues tenues non mesurées, simultanéité de flux non synchronisés).Ce glissement à peine perceptible tout au long de l'ouvrage, ponctué et nourri de rythmiques répétitives, deviendra flagrant, voire révélé, au deuxième duo, nous remémorant par là même qu'au parfait centre des 'géosophiques', une viole seule nous en avait chanté les prémices dans 'médius'.Puis, par le lent écoulement de la clepsydre, dans cette douceur un peu triste (teinté d'un petit sourire résigné), nos traces et nos gestes s'estomperont au revers des silences dans la rosée de demain. / Cordes Et Viole De Gambe
74.50 EUR - vendu par LMI-partitions DĂ©lais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Longest Cocktail Party,
The Divers Alfred Publishing
Apple Records was a noble experiment created in the spirit of the 1960s by four ...(+)
Apple Records was a noble experiment created in the spirit of the 1960s by four musicians who came to represent everything that was best about those tumultuous, experimental, and liberating times. The Beatles started out with the greatest of intentions, but reality soon got in the way. Much has been written about this period in the history of The Beatles' evolution and dissolution---some of it true, some of it wildly exaggerated, but not much of it first-hand. The Longest Cocktail Party is a rare exception. Written by Richard DiLello, who served as Apple Record's 'House Hippie' from 1968 to 1970, this unusual first-hand glimpse into The Beatles' empire humorously chronicles the stranger-than-life stories that were to become legendary, including visits by the Hell's Angels and endless tales of celebrity antics. Alfred Music is proud to offer this latest edition, which features a new and insightful foreword by the author. Originally published by Playboy Press in 1972, The Longest Cocktail Party has proven itself a timeless chronicle of this most colorful period in pop history. / Divers
29.00 EUR - vendu par LMI-partitions DĂ©lais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| DOBERMAN YPPAN SILVIUS
LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.4 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague Ă Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Menuet 1 (WSW 1.8) Menuet 2 (WSW 1.9) Gavotte (WSW 1.10) Gavotte et Double (WSW 2.8/WSW 2.9) Prélude (WSW 4.1) Ouverture (WSW 4.2) Courante (WSW 4.3) Bourrée (WSW 4.4) Allegro (WSW 1*) Courante Royale (WSW 2*) Prélude (WSW 10.1) [Menuet '] (WSW 4*) Fuga (WSW 6*) Fuga (WSW 7*) L'Amant malheureux (WSW 8*) Fantasie (WSW 9*) [Menuet] (WSW 10*) Plainte (WSW 15.1) Tombeau du Baron d'Hartig (WSW 11*) [Bourrée '] (WSW 12*) Menuet (WSW 13*) Gavotte (WSW 14*) Menuet (WSW 15*) Praelude [and Fugue] (WSW 17*) [Menuet] (WSW 18*) Trio (WSW 19*) Bourrée (WSW 31.7*) Tombeau de Logy (WSW 20*) Prélude de Weiss (WSW 21*) Fantaisie (WSW 24*) Menuet (WSW 22*) Gavotte (WSW 23*) Capricio (WSW 25*) Menuet 1 (WSW 26*) Menuet 2 (WSW 27*) Mademoiselle Tiroloise (WSW 28*) Bourrée (WSW 13.4) / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
42.90 EUR - vendu par Woodbrass DĂ©lais: Sur commande | |
| Les Sept Paroles (MURAIL
TRISTAN) En Français Orchestre, Choeur et Electronique [Partition] Lemoine, Henry
Par MURAIL TRISTAN. (...) (Les Sept paroles) bénéficie(nt) des plus récents d...(+)
Par MURAIL TRISTAN. (...) (Les Sept paroles) bénéficie(nt) des plus récents développements sur le plan de la synthèse vocale. L'intervention de l'ordinateur durant le concert a été remplacé par une collection très élargie d'échantillons que le compositeur a élaborés avec son assistant (Grégory Beller) dans les studios parisiens de l'Ircam. Pendant le concert, les échantillons audio sont activés par un seul clavier situé au centre de l'orchestre. De cette façon, la synchronisation entre musiques acoustique et électronique est parfaite. Cette technique permet de confronter un choeur virtuel au choeur réel. Ceci est de très grande importance, car les chanteurs, si doués soient-ils, sont limités en termes de registre ainsi qu'en capacité d'intonation.
Tristan Murail indique : 'A certains moments précis, le choeur virtuel chante dans l'extrême aigu ou dans l'extrême grave et produit des micro-intervalles qui complètent les hauteurs diatoniques du choeur réel. J'utilise également des effets électroniques d'écho et de spatialisation qui présentent des similitudes avec le Requiem de Berlioz.'
Mais la référence à la musique de l'époque romantique s'arrête là . Les chanteurs de chair et d'os ne chantent pas une histoire ni ne traduisent d'émotion vive, sauf au milieu de la partie 4, où la partie de choeur atteint un point culminant. A l'échelle de l'ensemble de la pièce, l'orchestre et le choeur sont parfaitement unis. Ceci correspond à la sobriété de l'approche de Tristan Murail qui n'a pas voulu écrire un oratorio, mais 'une oeuvre orchestrale avec voix'. Pour les mêmes raisons, il s'est tout à fait détourné de l'idée d'un soliste qui représenterait le Christ.
'Je voulais absolument éviter le pathos du XIXème siècle. J'espère que l'émotion viendra de la forme musicale et non des mots. Afin de ne pas me laisser entraîner par le récit, j'ai d'abord écrit les notes. Ce n'est qu'ensuite que j'ai réfléchi à la mise en place du texte. J'ai pu ainsi dans mon processus de composition tenir le contenu sémantique à distance.' (Tristan Murail).
L'oeuvre commence par une introduction orchestrale de treize minutes qui édifie un décor où sont déjà mis en exergue certains éléments musicaux déterminants. Suivent les sept paroles elles-mêmes (sept parties enchaînées). Afin de fournir à l'auditeur des repères quant au déroulement de la forme, chaque partie est annoncée par des sons de cloches échantillonnés. Les textes de l'oeuvre n'ont pas tant trait aux sept dernières paroles du Christ en elles-mêmes qu'à un besoin spirituel plus général qui correspondrait à la condition humaine.
Les mots désespérés du Christ en croix : 'Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-Tu abandonné' (Matthieu, 27-46), sont empruntés à un Psaume dans lequel le croyant se plaint explicitement auprès de l'Eternel : 'Mon Dieu, j'appelle de jour et Tu ne réponds pas - et, de nuit, je ne m'apaise pas.' (Psaume 22-3). Tristan Murail a été touché par cette plainte et par l'interprétation radicale qu'en donnera Nietzsche bien des siècles plus tard : 'Dieu est mort'.
Sa composition se termine dans la déception par un choral extrêmement doux, presque murmuré, dans lequel le choeur répète la ligne du Psaume.
Dans l'oeuvre de Tristan Murail, la voix humaine joue un rôle discret. Il n'y a pas de chant soliste. Le chant choral intervient trois fois seulement : dans ces Sept paroles, dans leur précédent de 1988 et dans ...Amaris et dulcibus aquis... pièce pour choeur, synthétiseur et électronique de 1994.
Est-ce que Tristan Murail cherchera à dépasser à l'avenir l'énorme faille existant entre chant et spectralisme ? Son collègue spectral Gérard Grisey s'est tourné vers la musique vocale dans les dernières années de sa vie de manière très réussie. Tristan Murail nous dit que : 'la voix humaine ne fait partie d'aucun de mes projets pour les trois prochaines années. Il y aura peut-être des possibilités plus tard. Pendant la composition des Sept paroles, j'ai fait des découvertes dans ce domaine. J'ai par exemple été très satisfait du choral spectral qui revient à plusieurs reprises et de la manière dont, dans la cinquième partie, la mélodie vocale est colorée par le son de l'orchestre. Le choeur chante des intervalles simples qui sont perçus différemment grâce aux harmonies spectrales de l'orchestre.'
Michel Khalifa,
Extrait du programme de salle des ZaterdagMatinee,
Concertgebouw Amsterdam, 10 avril 2010
Traduction française : Editions Henry Lemoine / contemporain / Répertoire / Orchestre, Choeur et Electronique
84.60 EUR - vendu par LMI-partitions DĂ©lais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| 70 Bach Chorales For Easy
Classical Guitar Guitare notes et tablatures Guitare classique [Partition + Accès audio] - Facile Hal Leonard
Dans le début des années 1700, des chorals de Bach enchanté les auditeurs ave...(+)
Dans le début des années 1700, des chorals de Bach enchanté les auditeurs avec leurs harmonies inventives, le chromatisme, le mouvement contrapuntique, et les changements de centre tonal. Depuis ce temps, les étudiants en musique du monde entier ont étudié les chorals comme un parangon de 'pratique courante' l'harmonie et la voix principale. Et en vertu de leur beauté sublime, les musiciens continuent à effectuer les chorals à ce jour. La texture en quatre parties des chorals peut rendre leur performance à la guitare - avec ses limites de doigté - quelque peu problématique. Mais parfois, par l'amincissement de la texture à trois ou deux parties et, parfois, inverser les parties inférieures (permettant à l'alto ou ténor pour servir temporairement de la basse), nous avons créé des solos de guitare facile à jouer classiques qui capturent tout l'intérêt et beauté de compostitions originale de Bach. / Guitare
27.10 EUR - vendu par LMI-partitions DĂ©lais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Le Livre Des Illusions
(MANTOVANI BRUNO) En Français Orchestre [Partition] Lemoine, Henry
Par MANTOVANI BRUNO. Lorsque Frank Madlener m'a proposé le projet de confronter...(+)
Par MANTOVANI BRUNO. Lorsque Frank Madlener m'a proposé le projet de confronter un orchestre symphonique avec la lutherie électronique, j'ai tout de suite accepté ce défi sachant qu'il me faudrait rapidement fixer des contraintes très fortes, tant le champ des possibles, qu'il soit instrumental ou électroacoustique, était infini. Mon idée initiale était d'utiliser pour la première fois des transformations en temps réel, afin d'assouplir les rapports de verticalité et d'utiliser l'informatique comme un moyen d'orchestration. Celle de Frank était de se demander comment l'électronique pouvait créer l'illusion d'un orchestre déployé dans l'espace, entourant le public, et créant des configurations acoustiques inouïes. Afin de travailler sur cette problématique, j'ai décidé d'utiliser une formation orchestrale défective, ou certains instruments (notamment ceux qui étaient les moins localisables à l'écoute, comme le basson ou le cor) seraient absents et 'remplacés' dans la texture générale par l'ordinateur.
Qui dit 'illusion' dit aussi 'surprise', et j'avais besoin, pour élaborer la forme de l'oeuvre, de prendre comme point de départ une source qui ait à la fois une grande diversité interne (une succession d'instants pourraient être traduits musicalement par autant de configurations acoustiques) et une cohérence. Rapidement, il m'est apparu que mes recherches étaient finalement très similaires à celles de l'immense chef espagnol Ferran Adrià , dont la cuisine joue en permanence sur le conflit entre connu et inconnu, entre référence et invention abstraite, et dont les menus sont 'composés' avec un sens de la forme absolument saisissant. Très régulièrement, je tente d'établir des liens entre la musique et les arts de la bouche (gastronomie, oenologie), par l'improvisation au piano sur des vins ou des mets, et par l'écriture (notamment d'un duo pour alto et piano, Quelques effervescences, qui s'inspire de vins pétillants du monde). Les deux univers me semblent intimement liés, dans l'immédiateté de la réception, et dans le parallélisme entre les sensations éprouvées (de nombreux musiciens font appel à des métaphores gustatives pour parler de leur travail : un accord 'épicé', une sonorité 'grasse', une orchestration 'acide'...).
Le menu que j'ai eu l'honneur de déguster en 2007 au restaurant 'El Bulli' s'articulait autour de 35 plats que j'ai utilisés chronologiquement, tant l'articulation entre le salé et le sucré, les mets marins et terriens, le végétal et l'animal était, en soi, une dramaturgie parfaite. L'illusion était présente dès le premier instant. Ainsi, 'l'olive sphérique' qui débutait ce repas jouait sur le contraste entre un objet visuellement identifiable (une olive) et son 'interprétation' surprenante (il s'agissait en fait d'une reconstruction visuelle de l'olive, mais qui n'était autre que de l'huile d'olive emprisonnée dans une fine couche gélatineuse verte : aspect et goût étaient en phase, mais la texture, elle, était inouïe). Musicalement, la traduction de ce plat était assez évidente : un impact reprenant l'explosion de cet met en bouche débute la pièce, et une texture plus continue vient évoquer le déploiement de l'huile dans la bouche.
Certains plats sont assez unitaires, d'autres contiennent en eux un parcours que j'ai fidèlement reproduit (par exemple la 'framboise au wasabi', qui se déguste en trois temps successifs). J'ai aussi mis en relation certains plats entre eux, afin de créer des 'retours' qui permettent à la structure musicale de sortir d'une logique de catalogue (par exemple, une fleur de capucine, dégustée avant les desserts, renvoie gustativement, et donc musicalement, à une amande fraîche qui, elle, est présente dans le premier quart du repas). Ce 'livre' s'achève sur la texture aérienne d'un papier effervescent au cassis qui conclut de façon suspensive une pièce particulièrement animée, où les masses sonores s'opposent de façon frontale, et viennent occuper tout l'espace de la salle de concert.
Commande de l'Orchestre de Paris et de l'Ircam, le Livre des illusions (hommage à Ferran Adrià ) est dédié à Marie Linden et Grégoire Biasini. Cette oeuvre a été créée à la salle Pleyel le 11 juin 2009 sous la direction de Jean Deroyer.
Bruno Mantovani
Liste des plats au menu du restaurant 'El Bulli' de Ferran Adrià , illustrés dans l'oeuvre de Bruno Mantovani:
- Olives sphériques
- Gin Fizz
- Chocolat sans chocolat #1 (pistache)
- Snack doré
- Mercedes
- Frites d'ananas lyophilisé
- Chocolat sans chocolat #2 (ananas)
- Meringue de betterave au yaourt
- Boule de cacao amer
- Chocolat sans chocolat #3 (cassis)
- G.P.
- Galette curry/cacahuètes
- Meringue Ă la pistache avec espuma de yaourt
- Eponge de sésame
- Dacquoise de pignons
- Framboise au wasabi
- Fleur de horchata
- Amande fraîche et huile d'amande
- Haricot géant à l'ail japonais
- Meringue au Schweppes avec fraises lyophilisées
- Anchois Ă la fleur de basilic
- Assiette italienne
- Risotto de pamplemousse
- Gnocchi de polenta
- Ravioles de graines de pimientos del Padron
- Couteaux aux algues
- Caviar d'escargots
- Concombres de mer avec cannelloni d'algues
- Anguille Ă la moelle/fleur de capucine/concombre
- Barbe Ă papa, glace Ă la banane
- Mûres à la liqueur de mûre
- Dessert blanc
- Fraises au vinaigre de Jerez
- Sablés mandarine/thé vert/menthe
- Papier effervescent au cassis / contemporain / RĂ©pertoire / Orchestre
84.60 EUR - vendu par LMI-partitions DĂ©lais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| DOBERMAN YPPAN SILVIUS
LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.1 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague Ă Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Sonata 1 (WSW 1) en mi M Sonata 2 (WSW 2) en ré M Sonata 3 (WSW 3) en sol m Sonata 4 (WSW 5) en sol M Sonata 5 (WSW 7) en ré m Sonata 6 (WSW 10) en mi M Sonata 7 (WSW 11) en ré m Sonata 8 (WSW 12) en la M Sonata 9 (WSW 13) en ré m / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
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| DOBERMAN YPPAN SILVIUS
LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.2 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague Ă Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Sonata 10 (WSW 15) en la M Sonata 11 (WSW 16) en sol M Sonata 12 (WSW 17) en do M Sonata 13 (WSW 18) en ré M Sonata 14 (WSW 19) en mi M Sonata 15 (WSW 21) en mi m Sonata 16 (WSW 22) en sol M Sonata 17 (WSW 23) en la M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
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LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.3 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague Ă Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Sonata 18 (WSW 24) en do M Sonata 19 (WSW 25) en sol m Sonata 20 (WSW 26) en ré M Sonata 21 (WSW 27) en ré m Sonata 22 (WSW 28) en mi M Sonata 23 (WSW 29) en la m Sonata 24 (WSW 30) en mi M Sonata 25 (WSW 31) en mi M Sonata 26 (WSW 32) en mi M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
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MANUSCRIPT VOL.5 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague Ă Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Concert d'un luth et d'une flûte traversière WSW 6 Concert d'un luth avec une flûte traversière WSW 8 Concert d'un luth avec la flûte traversière WSW 9 Duo 4 WSW 14 en sol m Duo 5 WSW 20 en ré m / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
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| Cantate Egale Pays #3 -
Gd Mmré (PESSON
GERARD) En Français Voix, Ensemble et Electronique [Partition] Lemoine, Henry
Par PESSON GERARD. Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates ...(+)
Par PESSON GERARD. Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates de Bach, la création de Gérard Pesson marque sa première rencontre avec l'électronique et la lutherie virtuelle.
Toute la poétique du compositeur français, un théâtre de lumières et d'intermittences, investit l'espace scénique des cantates : une machinerie minutieuse de gestes instrumentaux, d'objets trouvés, détournés ou fabriqués - les 'ciels acoustiques', l'orgue de verre. La dramaturgie se souvient du découpage baroque avec ses mouvements à configuration variable, les rythmes de danse ou l'alternance entre solistes et ensemble.
Dans ce 'pays-cantate' qui est tout à la fois trace et mémoire, origine et destination, l'écriture vive du présent (les textes du jeune Mathieu Nuss ou d'Elena Andreyev) est interrompue par la visitation du passé, ici l'immense poésie de Gérard Manley Hopkins et sa vision d'une nature transfigurée.
Extrait du programme du Festival Agora
J'ai voulu ces cantates comme un théâtre intérieur, un théâtre de mots où le paysage de la musique, son mouvement panoramique, sa vitesse, sont le poème. Poème ami, d'abord supputé, appelé, discuté, biffé, dit et redit. Texte construit par lectures passionnées qui devient la préfiguration exacte du temps de la musique. Alors, musique et poème font territoire. Ils sont l'un à l'autre le pays. La cantate est opéra de climats, respiration articulée dans laquelle la musique devient didascalie du poème, son envers scandé. La cantate est une et fragmentée, c'est une narration librement relancée, souvent interceptée par son propre commentaire. Son fonds d'images serait comme partagé, ainsi que devait l'être, à l'époque de Bach, l'histoire biblique. J'ai souhaité que ces cantates, qui sont une dramaturgie sans action explicite, soient pourtant mises en profondeur, en lumières, en mots aussi, par un artiste venant du spectacle. J'en ai fait la proposition à Daniel Lévy avec qui j'ai déjà eu la chance de collaborer. Ces trois cantates sont distinctes, elles ont des effectifs vocaux et instrumentaux légèrement différents, mais une diagonale les traverse, qui passe par la poésie profonde et sidérante de Gerard Manley Hopkins (1844-1889) où se concentrent une méditation sur la présence de Dieu et une observation de la nature, de ses éléments dont la musique elle-même est une part atmosphérique. On retrouve un écho à 'la question de Dieu' et au 'décor planté' dans les deux textes contemporains des cantates 1 (Mathieu Nuss) et 3 (Elena Andreyev).
Ces cantates adoptent une forme en numéros successifs, souvent brefs, enchaînés ou non. On trouve, par exemple dans la première, des chorals, des airs, des récitatifs, même si rien dans la musique (à part peut-être le son d'un orgue) ne fait allusion à l'univers baroque - si ce n'est aussi (dans la deuxième cantate) l'utilisation du poème de Manley Hopkins en hommage à Henry Purcell.
L'électronique est ici la tentative qui prolonge et met en danger le poème (et non moins le musicien). Elle est pour moi l'aventure par excellence - ma première véritable incursion dans ce domaine. Foi en le poème, doute en l'électronique. Ce qui les lie est une sorte d'instrumentalisation dont la technique du sample devient le précipité poétique, changé ici en un clavier de sensations. Samples de voix, de vents, de pluies, de souffles, de train dans le lointain, d'horloges et d'oiseaux. Le murmure du monde - ce Naturlaut dont parlait Gustav Mahler - rentre tout entier dans une boîte à merveilles, laissant voir ses coutures (jusqu'aux gimmicks des boîtes à rythmes), mais non moins son aspiration presque enfantine à se fondre dans toutes les voix, à les épouser, à les déplier comme un de ces génies des contes orientaux qui sortent de la lampe à huile si on la frotte - et ici, on frotte beaucoup. Puis à son tour le sample, qui est affaire de cadrage serré, réensemence les instruments qui deviennent greffons de clavier.
L'électronique, dans les trois cantates, est délibérément non spatialisée. Elle doit former avec les instruments et les voix, tous amplifiés, un son homogène et centré qui délimite l'espace du jeu, celui de la parole. L'électronique (sauf dans la cantate 2, où elle assume davantage la fonction d'un 'décor sonore') est le plus souvent fondue avec les musiciens en un méta-instrument. A aucun moment l'électronique n'affirme de puissance, de brillance. Sa présence, souvent indiscernable, est un point de fuite de l'écoute, comme une perturbation qu'on peut intégrer pleinement à l'image sonore, ou bien laisser opérer comme un venin légèrement urticant du timbre.
Gd Mmré
La troisième cantate, qui utilise le tutti des instruments et des voix, est sur un texte d'Elena Andreyev (poète et par ailleurs musicienne), Gd Mmré, dont j'ai réalisé, avec son accord et son aide, un découpage. C'est un théâtre choral où la voix parlée, chantonnée (les comédiens Valérie Blanchon et Christophe Brault), donne une dimension dramatique à ce texte convoquant tant d'images, toujours sous la forme d'une introspection ardente, d'un traveling intense, parfois ironique, distancé, souvent questionneur. L'électronique feuillette ici la polyphonie des voix et des paroles - elle dispose les décors nombreux appelés par le texte, qui sont des doublures en plis vifs et cassés, elle ouvre des pistes, qui sont parfois des leurres. L'électronique est la maladresse des mots, sa fragilité digitale. Elle rêve tous les timbres qu'elle synthétise ou qu'elle commente de façon moqueuse, elle 'échantillonne' les résidus de la parole et du souffle, elle s'instille en échos menaçants. L'électronique est le pied de côté, la rime subsidiaire, le sous-titrage asynchrone de ce Grand Murmuré.
GĂ©rard Pesson / contemporain / RĂ©pertoire / Voix, Ensemble et Electronique
46.10 EUR - vendu par LMI-partitions DĂ©lais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Energie Blanche, Bleu
Lointain (PEPIN CAMILLE) Orchestre à Cordes [Conducteur et Parties sĂ©parĂ©es] Billaudot
Par PEPIN CAMILLE. Ce nonette s'inspire de la série Énergie blanche de Fabienn...(+)
Par PEPIN CAMILLE. Ce nonette s'inspire de la série Énergie blanche de Fabienne Verdier. Sur le fond lisse et bleu nuit des toiles viennent contraster des traits de peinture blanche, comme une force opposée. Au fil des tableaux, cette énergie évolue en ondulations nocturnes fluides ou rugueuses, en scintillements légers, en nuages vaporeux ou encore en crépitements. Les toiles semblent emplies de matière en apesanteur et c'est pourquoi j'ai imaginé une musique planante, cherchant un équilibre entre mouvement et immobilité. Pour moi, il se dégage de cette série bicolore l'idée d'une vitalité, d'une force, d'une lumière qui habite le vide infini et lointain du ciel.
J'ai recréé cette énergie blanche en aspérités (grains de matière ou frêles touches de lumière) venant perturber ces nappes de bleu vibrant et mystérieux aux valeurs longues et étirées. Mon travail a été d'imaginer des variations de ces deux matière-couleurs grâce à la palette de textures extraordinaire qu'offrent les instruments à cordes. La pièce est ainsi conçue comme un voyage coloré et hypnotique en sept tableaux correspondant chacun à une toile de la série de Verdier.
Hors champ est un épisode froid et nocturne au sein duquel de faibles lueurs de lumière tentent à peine de percer l'obscurité de la nuit. Des glissandi inquiétants naissent aux altos et violoncelles en stéréo et présentent le motif qui irriguera toute l'œuvre. La contrebasse émet une pulsation irrégulière et mystérieuse, au loin.
Une ondulation douce puis majestueuse s'élève dans Ascendance. Avec l'arrivée des violons, elle traverse la matière sombre en répandant ses faisceaux brillants et lumineux.
Turbulence est le lieu des perturbations. L'énergie blanche constituée ici de particules vives et chaotiques se dérègle sans cesse et envahit l'espace.
Dans Synchronie I, les violoncelles se partagent le motif fondateur de l'ouvrage en un seul et même souffle, pur et suspendu. Puis, ils s'unissent pour ne former qu'une seule voix et un chant de violon les rejoint. Ce dernier se fait l'annonciateur de lumière durant cette brève accalmie.
Mémoires du vent rappelle le début de l'œuvre avec cette palpitation irrégulière de la contrebasse et les glissandi inquiétants des cordes graves. Mais ces mémoires sont aussi l'écho des Turbulences qui se transforment ici en Vortex, dans lequel l'énergie blanche et chaotique devient un véritable tourbillon de lumière liquide.
Pour clore la pièce, Synchronie II reprend Synchronie I avec la couleur plus froide et mystérieuse des altos, toujours en stéréo. Les touches de lumière des cordes aiguës s'affaiblissent avant de s'éteindre complètement, au loin.
Cette pièce appartient au même cycle que mon quatuor à cordes Feuilles d'eau de Silvacane inspiré par la série du même nom de Fabienne Verdier.
Camille PĂ©pin / Date parution : 2022-06-08/ RĂ©pertoire / Orchestre Ă Cordes
160.40 EUR - vendu par LMI-partitions DĂ©lais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| PEPIN CAMILLE - ENERGIE
BLANCHE, BLEU LOINTAIN Billaudot
Ce nonette s'inspire de la série Énergie blanche de Fabienne Verdier. Sur le f...(+)
Ce nonette s'inspire de la série Énergie blanche de Fabienne Verdier. Sur le fond lisse et bleu nuit des toiles viennent contraster des traits de peinture blanche, comme une force opposée. Au fil des tableaux, cette énergie évolue en ondulations nocturnes fluides ou rugueuses, en scintillements légers, en nuages vaporeux ou encore en crépitements. Les toiles semblent emplies de matière en apesanteur et c'est pourquoi j'ai imaginé une musique planante, cherchant un équilibre entre mouvement et immobilité. Pour moi, il se dégage de cette série bicolore l'idée d'une vitalité, d'une force, d'une lumière qui habite le vide infini et lointain du ciel.J'ai recréé cette énergie blanche en aspérités (grains de matière ou frêles touches de lumière) venant perturber ces nappes de bleu vibrant et mystérieux aux valeurs longues et étirées. Mon travail a été d'imaginer des variations de ces deux matière-couleurs grâce à la palette de textures extraordinaire qu'offrent les instruments à cordes. La pièce est ainsi conçue comme un voyage coloré et hypnotique en sept tableaux correspondant chacun à une toile de la série de Verdier.Hors champ est un épisode froid et nocturne au sein duquel de faibles lueurs de lumière tentent à peine de percer l'obscurité de la nuit. Des glissandi inquiétants naissent aux altos et violoncelles en stéréo et présentent le motif qui irriguera toute l'œuvre. La contrebasse émet une pulsation irrégulière et mystérieuse, au loin.Une ondulation douce puis majestueuse s'élève dans Ascendance. Avec l'arrivée des violons, elle traverse la matière sombre en répandant ses faisceaux brillants et lumineux.Turbulence est le lieu des perturbations. L'énergie blanche constituée ici de particules vives et chaotiques se dérègle sans cesse et envahit l'espace.Dans Synchronie I, les violoncelles se partagent le motif fondateur de l'ouvrage en un seul et même souffle, pur et suspendu. Puis, ils s'unissent pour ne former qu'une seule voix et un chant de violon les rejoint. Ce dernier se fait l'annonciateur de lumière durant cette brève accalmie.Mémoires du vent rappelle le début de l'œuvre avec cette palpitation irrégulière de la contrebasse et les glissandi inquiétants des cordes graves. Mais ces mémoires sont aussi l'écho des Turbulences qui se transforment ici en Vortex, dans lequel l'énergie blanche et chaotique devient un véritable tourbillon de lumière liquide.Pour clore la pièce, Synchronie II reprend Synchronie I avec la couleur plus froide et mystérieuse des altos, toujours en stéréo. Les touches de lumière des cordes aiguës s'affaiblissent avant de s'éteindre complètement, au loin.Cette pièce appartient au même cycle que mon quatuor à cordes Feuilles d'eau de Silvacane inspiré par la série du même nom de Fabienne Verdier.Camille PépinCommande M4H - Le Concert Idéal - Festival International de Besançon.Création du 7 août 2021, dans le cadre du Festival Musique aux 4 Horizons, à Ronchamp, par l'ensemble Le Concert Idéal sous la direction de Marianne PIKETTY. / Grand format / Billaudot
145.40 EUR - vendu par Woodbrass DĂ©lais: Sur commande | |
| Bataille, SĂ©bastien :
Chroniques de luxe En Français [Livre] Le Bord de l'Eau
40 chanteurs francophones chroniquent le dernier album de 40 chanteurs francopho...(+)
40 chanteurs francophones chroniquent le dernier album de 40 chanteurs francophones.
Selon un célèbre journaliste, un bon rock-critique est forcément un bon musicien. Mais un bon musicien peut-il faire un bon rock-critique ? Ce livre regroupe les chroniques inédites d?artistes francophones qui ont bien voulu écrire sur le dernier album d?un collègue chanteur. Le choix du disque de chaque participant ne relève bien évidemment pas du hasard mais permet une vraie immersion entre objectivité et subjectivité dans l?espace de liberté totale que constitue une chronique d?album.
Ce bel objet (la signature manuscrite de chaque artiste est reproduite en bas de sa chronique) présente un intérêt littéraire et musical sans précédent, mais davantage encore : imagine-t-on le Serge Gainsbourg débutant de 1958 chroniquer le dernier album en date d?un Georges Brassens déjà consacré ? Ou Indochine écrire une page entière sur un album du groupe Téléphone à l?aube des années 80 ? Nul doute que ces documents possèderaient une valeur historique, voire sociologique, indéniable dans les bibliothèques. Chroniques de luxe réalise aujourd?hui le rêve des passionnés de musique et autres lecteurs curieux de cette expérience artistique sans précédent.
Didier Wampas chronique l'album de Johnny Halliday, Antoine l?album « Rouge sang », de Renaud. Quand l?un des groupes majeurs du rock français, Eiffel, chronique le dernier Louise Attaque, la langue s?étourdit d?étincelles, de fulgurances rimbaldiennes. Quand CharlElie Couture se penche sur le dernier Benjamin Biolay, on entend New York respirer derrière lui. Et ce ne sont que quatre exemples parmi 40 autres. On l?aura compris, la chanson francophone dans toute sa diversité est représentée : la nouvelle scène, les rockers, les punks, les metalleux, les artistes révélés par Internet, les figures incontournables, les chanteurs « cultes », etc.
Chaque « artiste-critique » bénéficie d?une note biographique dans le livre. / Variété / Livre /
18.00 EUR - vendu par Note4Piano DĂ©lais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Theorie Der Tränen :
Gesang (PAUSET BRICE) En Français Cor et Piano [Partition] Lemoine, Henry
Par PAUSET BRICE. Une première petite chronique.
Depuis longtemps l'idée - la ...(+)
Par PAUSET BRICE. Une première petite chronique.
Depuis longtemps l'idée - la nécessité plutôt - d'en finir avec les belles architectures victorieuses, les solides métaphores, le confort du déjà connu, pour imaginer les conditions d'une musique sinon inimaginable, du moins, moins 'calibrée'.
Ce morceau représente la première pièce d'un cycle que je me refuse donc à planifier comme tel, tant le sujet est par ailleurs rétif aux outils de la raison.
Les larmes - en allemand : Tränen (NdE) nous concernent tous sans exception. Elles matérialisent l'expression de nombre de nos sentiments. Nous les produisons nous-mêmes, avec nos propres corps et elles nous déterminent dans notre fragilité, ou plus exactement dans ce que nous acceptons d'en montrer.
Il s'agira donc plutôt d'une chronique en forme de dérive, sans plan et sans fondations, mêlant distanciation poétique, observation presque physiologique, dialogues et même autobiographie.
On me dira qu'il est étrange pour un compositeur mâle (ou supposé tel) de se pencher ainsi sur un sujet si traditionnellement féminin. On m'a appris tout petit qu'un homme ne pleure pas - une faille de plus dans mon éducation: je pleure très facilement et pour toutes sortes de raisons.
Difficulté de rester dans le sujet, et de ne pas glisser vers ses conséquences: ne pas parler de pleureuses, donc, mais songer à des 'larmes professionnelles' - et surtout ne pas s'appesantir sur les larmes de tristesse: je leur préfère celles produites par le rire, ou celles, fluides entre toutes, émanant de la joie de retrouver enfin un être cher.
Le chant - en allemand : Gesang (NdE) promis par le dernier élément du titre est un chant 'en négatif'. Il m'est personnellement très difficile, très périlleux de parler en pleurant. Les larmes sont plus fortes que le discours et imposent leur propre rythme à la voix. Le parler devient alors, à travers les larmes, un chant étrange, involontaire: le timbre de la voix se modifie, son souffle se dévoile sous un jour inhabituellement sensuel, la scansion du verbe est comme conditionnée par le mètre des larmes, faisant intervenir de courts silences, le discours lui-même se prête plus volontiers à des redites, comme des refrains compulsifs.
Il s'agirait donc d'une musique purement mélodique, dont la ligne n'existerait en tant que telle qu'à travers une collection de brisures, de trous d'air, de vexations - une musique dépourvue de masque.
Brice Pauset / contemporain / RĂ©pertoire / Cor en Fa et Piano
31.80 EUR - vendu par LMI-partitions DĂ©lais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| The Who : Le groupe Mod En Français Biographie [Livre]
Les Who ont fait leur apparition au milieu des années 1960, peu après la doubl...(+)
Les Who ont fait leur apparition au milieu des années 1960, peu après la double et divine surprise des Beatles et des Rolling Stones. Dans les clubs, tout d'abord, puis lors des grand-messes pop de Monterey ou de Woodstock, ils ont développé un jeu de scène apocalyptique souvent proche du rite sacrificiel ; en studio, ils ont composé quelques-unes des chansons les plus percutantes de leur époque, comme I Can't Explain, Happy Jack, The Kids Are Alright et bien sûr My Generation, qui restera à jamais comme l'hymne absolu des Mods. Mais les Who n'ont pas seulement été les porte-parole de la rébellion adolescente des sixties. Ils ont aussi et surtout fait franchir à la scène rock un cap décisif avec l'opéra-rock Tommy - l'?uvre la plus aboutie de leur carrière -, puis avec Who's Next et avec Quadrophenia, hommage à la génération Mod en forme d'?uvre conceptuelle elle aussi. Trois ?uvres essentielles, qui, parues entre 1969 et 1973, ont en outre élevé Pete Townshend au rang de génial compositeur. Après un silence assourdissant de plus de vingt ans, les Who sont revenus à la une de l'actualité avec l'album Endless Wire et avec une série de concerts à travers le monde. Le moment est donc venu de retracer l'histoire du quartette londonien, l'un des groupes les plus passionnants de l'épopée du rock, dont ils ont écrit quelques-uns des chapitres les plus enflammés. Anecdotes multiples, revue détaillée de leurs albums (comme de leurs albums solo), avec en toile de fond, la saga du rock anglais, tel est le menu de cet ouvrage, The Who, le groupe Mod. Les Who n'ont pas tenu leur promesse - " mourir avant d'être vieux ". Et c'est tant mieux ! Comme les Rolling Stones, ils ont percé le secret de l'éternelle jeunesse...
6.48 EUR - vendu par Amazon DĂ©lais: En Stock | |
| Hammje Thomas - Methode
Ukulele Uke Attitude + Cd En Français Ukulele [Partition + CD] Editions J.J. Rébillar
La méthode 48 pages CD 10 vidéos gratuites sur Youtube. Une méthode ludi...(+)
La méthode 48 pages CD 10 vidéos gratuites sur Youtube. Une méthode ludique tout en couleurs pour jouer du ukulélé dans tous les styles : Chanson, Pop, Rock, Blues, Reggae, Soul, World, Bossa, Manouche, Swing' Instrument de prédilection de la musique hawaïenne, l'ukulélé est vite devenu universel au cours de ces dernières années. On peut ainsi le pratiquer dans presque tous les styles de musique. C'est dans cette optique que cette méthode a été conçue. Tout simplement et en vous amusant, découvrez différentes techniques de jeu (rythmiques, arpèges, mélodies, picking). Jouez simultanément la mélodie et l'accompagnement d'un morceau, travaillez l'oreille, la mise en place, la synchronisation des deux mains sur un répertoire riche et varié. En bref, la uke attitude !! Le style des plus grands revisité au uke The Beatles ' The Rolling Stones ' Chuck Berry ' ZZ Top ' ACDC ' Eric Clapton ' Robert Johnson ' Israel Kamakawiwo'ole ' Bob Marley ' Stevie Wonder ' Michael Jackson ' Django Reinhardt ' Luiz Bonfa and more'
19.93 EUR - vendu par Woodbrass DĂ©lais: En Stock | |
| The New Church Anthem
Book (DAKERS LIONEL) Chorale SATB [Partition] Oxford University Press
Paperback. Par DAKERS LIONEL. La collection définitive de 100 hymnes, surtout p...(+)
Paperback. Par DAKERS LIONEL. La collection définitive de 100 hymnes, surtout pour les voix SATB, de l'époque Tudor à nos jours, y compris les favoris de chaque période, et des morceaux moins connus. Réductions clavier sont inclus pour la musique non accompagnés, et des accompagnements d'orgue sont toujours pratiques. Dakers Lionel est né à Rochester, Kent, en 1924, et mourut en 2003. Il a été directeur de la Royal School of Church Music de 1972 à 1989 et jouit d'une réputation internationale comme un ambassadeur de l'excellence dans la musique d'église. Il a également été pendant plus de 30 ans un examinateur pour l'Associated Board de l'Ecole Royale de Musique. Il a obtenu un doctorat en musique de Lambeth en 1979, est devenu un Fellow du Royal College of Music en 1980 et a été nommé CBE en 1983./ Recueil / Chant
37.40 EUR - vendu par LMI-partitions DĂ©lais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Histoire de la musique En Français
S’adressant à un large
public, cette synthèse guide
le mélomane dans le...(+)
S’adressant à un large
public, cette synthèse guide
le mélomane dans le
labyrinthe des périodes, des
Ă©coles et des styles au fil
de 4000 ans d’histoire de la
musique.
Présentée chronologiquement,
l’histoire des compositeurs
et des Ĺ“uvres, du langage
musical, des courants et de
grandes écoles esthétiques.
Un ouvrage qui couvre toutes
les Ă©poques : de la musique
hellénique et romaine au
chant grégorien, du baroque
au répertoire classique et
romantique, jusqu’à la
musique contemporaine.
Un plan clair, précis et
pédagogique :
- une présentation du
contexte historique et
culturel,
- les notions indispensables
sur la notation et la
théorie musicale,
- une biographie des
compositeurs les plus
marquants et les
caractéristiques de leur
langage musical et des Ĺ“uvre
26.40 EUR - vendu par Amazon DĂ©lais: En Stock | |
| Dufourt Hugues - Le Mani
Del Violinista D'apres
Giacomo Balla -
Conducteur Orchestre [Conducteur] Lemoine, Henry
Création 26/08/2015 - Sion (Suisse) - Finale du Concours International de violo...(+)
Création 26/08/2015 - Sion (Suisse) - Finale du Concours International de violon Tibor Varga - Orchestre de Chambre de Lausanne Commanditaire Concours International de violon Tibor Varga Notice Le futurisme italien fut, au début du XXe siècle, le premier véritable mouvement d'avant-garde qui, en Europe, refusa l'art dans sa totalité, décréta l'abolition du passé et prétendit rénover tous les aspects de la vie humaine en cherchant à exprimer la nature et les problèmes du monde moderne. Le mouvement fut inauguré par Marinetti en 1909, suivi un an plus tard du manifeste de la peinture futuriste signé par Giacomo Balla, Carlo Carrà , Umberto Boccioni et Luigi Russolo. La bataille futuriste, qui mobilisa le vif de l'art italien de 1910 à 1916, naquit d'une violente polémique contre la tradition figurative et la conception de l'image-spectacle. La philosophie futuriste, nourrie d'élan vital, d'utopie machiniste et d'ardeur dionysiaque entendait dynamiter la culture antiquaire de l'Italie officielle. Marinetti exalte la vitesse, le mouvement, le bruit, la guerre. Mais aussi la pulsion, la déraison, la transgression, le débridement des ambitions et des désirs humains. Le caractère novateur et visionnaire du futurisme italien fut toutefois passablement terni par ses imprécations et ses fourvoiements politiques. Laissant de côté l'orientation réactionnaire du mouvement et son esprit de clocher extrémiste, on retiendra, parmi les traits les plus originaux du futurisme pictural, la recherche de la représentation du mouvement, avant l'invention du cinéma et avant l'art cinétique. S'inspirant des séquences photographiques d'Eadward Muybridge et de la chronophotographie d'Etienne-Jules Marey, les futuristes italiens sont parvenus à un incontestable degré de réussite dans le domaine proprement plastique. Le processus du devenir est représenté comme tel, et se déploie selon des lignes de force et des formes en croissance. La couleur est également saisie dans son dynamisme, avec ses foyers et ses aires de diffusion. Dans Le mani del violinista, une huile sur toile de 1912 aujourd'hui à Londres, Giacomo Balla s'est également livré à un exercice de synesthésie, cherchant à transposer en images un processus qui fait appel à d'autres modalités sensorielles. Le geste du violoniste, le placement de l'instrument à hauteur d'épaule, les mouvements combinés de la main et du bras, l'écartement et l'échelle d'appui des doigts de la main gauche, la mise en vibration des cordes, l'élan et le rebondissement de l'archet, sa vivacité et son exactitude, tous ces facteurs qui d'ordinaire demeurent imperceptibles et indissociables sont ainsi décomposés, puis réunis et rendus en une impression unique. Les mouvements successifs de la main et les morsures d'archet se séparent selon des procédés pointillistes, puis s'assemblent en une séquence accélérée et se lient dans le même fondu qui restitue l'unité et les inflexions de la tension musculaire. Ce qui est donné à voir n'est pas une illustration réaliste ni une nomenclature des possibilités instrumentales mais un condensé des allures de l'exécution transcendante, montrant les réflexes d'une main rompue au mécanisme de son instrument. Ma propre version musicale de la toile de Giacomo Balla s'inspire des caractères de cette vision futuriste de l'art. La virtuosité même de l'instrumentiste, son habileté d'exécutant, est ici expressément représentée comme un art de l'art. La partition porte une attention aigüe à la technique spécifique de l'effet sonore, à la justesse du geste instrumental dans la dépense de l'archet et la souplesse des déplacements. La grande école des violonistes consistait à faire disparaître le manteau rugueux des aspérités naturelles de l'instrument sous une surface lisse et parfaite de sonorités épurées. Ce grand art évolue aujourd'hui sous la pression d'une esthétique contemporaine plus sensible au grain, aux effets de texture voire aux effets raboteux de l'archet. Un autre type de virtuosité se fait jour, qui intègre les coups d'archets, les accents, les sons dénaturés, dans une sorte de formalisme instrumental pris au second degré. Les interférences entre les différents modes de jeu importent plus désormais que leur intégration dans une sonorité optimale. Cet art insatiable ne recherche plus la magnificence mais l'épreuve. La partition se divise en trois grandes parties. La première est une cadence confiée au soliste, centrée sur les accords, la rythmique et les enjambements d'une articulation qui ne se plie pas aux divisions métriques de la mesure. La seconde partie est l'enfer des violonistes et met aux prises, parmi toutes les cordes de l'orchestre, des figures contrapuntiques hachées, heurtées et contrastées. La troisième partie est davantage tournée vers des études d'équilibre de sonorités, dont la cohérence est délicate à obtenir car les notes se situent dans des registres extrêmes ou paradoxaux. Le soliste est confronté à un type nouveau de virtuosité, celui des sons harmoniques - groupes d'harmoniques naturels ou artificiels. Commande du Concours International de Violon Tibor Varga Sion Valais, la partition est écrite pour l'Edition 2015 de ce Concours. L'oeuvre est dédiée à Enzo Restagno. Hugues Dufourt
30.20 EUR - vendu par Woodbrass DĂ©lais: En Stock | |
| Viola Time Runners + Cd
(BLACKWELL KATHY / DAVID) Alto (Viole) [Partition + CD] - Débutant Oxford University Press
Par BLACKWELL KATHY / DAVID. Viola Time Runners est compatible avec Fiddle Time ...(+)
Par BLACKWELL KATHY / DAVID. Viola Time Runners est compatible avec Fiddle Time Runners: tous les airs (sauf les morceaux chaîne C) peut être joué ensemble par l'alto et du violon, que ce soit à l'unisson, à l'unisson avec quelques modifications simples, ou avec l'ensemble des pièces fournies. Le livre utilise les modèles et les doigts 0-12-3-4 0-1-2-34, et comprend les 'promos chaîne C ' - pièces supplémentaires à donner beaucoup de pratique sur la chaîne C. Duos avec des pièces d'égale difficulté et un CD avec des spectacles de toutes les pièces - basse et batterie ajoutée pour le jazz et du rock - de rendre l'apprentissage amusant l'alto. Les accompagnements au piano sont fournis dans Runners Piano Book. Kathy Blackwell est un professeur expérimenté chaîne itinérant, qui enseigne actuellement en privé après plusieurs années de travail pour l'Oxfordshire County Council. Elle a un intérêt particulier dans l'enseignement du violon et l'alto à de jeunes enfants, à la fois individuellement et en groupes. Sa détermination à trouver les meilleurs morceaux - bien écrit et accessible, mélodieux et accrocheur - conduit directement à la création du violon / alto / violoncelle séries chronologiques.
David Blackwell a étudié la musique à l'Université d'Edimbourg, depuis quand il a poursuivi une carrière dans l'édition musicale, d'abord à ABRSM, où il devient directeur de la rédaction, puis à Oxford University Press, où il est maintenant chef de l'édition de musique. Il est co-éditeur de OUP In the Mood: 17 Jazz Classics pour les Chorales et chants de chorales d'5, et a publié un certain nombre de dispositions simples chorale. Il est co-auteur avec son épouse primés de la série OUP cordes, violon / alto / violoncelle Temps, qui ont remporté deux fois le prix MIA pour la meilleure publication pour l'éducation Kathy. / Niveau : Très Facile / Recueil / Alto
17.00 EUR - vendu par LMI-partitions DĂ©lais: En Stock | |
| Zigana (CHARDONNENS
SARAH) En Français Clarinette et Piano [Partition] - Facile Combre
Par CHARDONNENS SARAH. Evaluer ses compétences instrumentales en vue de les par...(+)
Par CHARDONNENS SARAH. Evaluer ses compétences instrumentales en vue de les parfaire s'il en est besoin, ou de les consolider, c'est ce que propose au jeune musicien ce répertoire de 23 courtes pièces à caractère pédagogique.
A chacun des titres sont associés 2, voire 3 objectifs relatifs aux modes de jeu, aux nuances, à l'habileté digitale, à la maîtrise des doigtés, à la justesse rythmique... Pour exemple, la pièce Bonimenteur est consacrée au tempo rapide, aux mordants, et à la précision des figures rythmiques.
Sont également abordés les effets sonores contemporains.
La chronologie dans laquelle les morceaux doivent être joués est aléatoire et se fera en fonction des objectifs instrumentaux et musicaux que l'élève souhaite atteindre.
En début du recueil, l'auteur rappelle les quelques consignes élémentaires indispensables au bon déroulement du travail quotidien. En fin de recueil figure sur deux pages le tableau des objectifs avec auto-évaluation.
Musicalement, une histoire relie toutes ces compositions : Zigana s'appelle en réalité Zeliona. Elle est née en 1876, dans la région des Carpates, en Roumanie, un des pays de l'Europe orientale. Son papa, Sandor était violoniste. Très jeune, la petite a été initiée aux rythmes de son peuple, à l'exubérance des chants de fêtes, à la mélancolie des musiques des anciens. Les yeux de sa maman étaient sombres comme l'ébène. C'est pour cette raison que Zéliona, à 8 ans, a choisi de jouer de la clarinette, cet instrument dont le son l'a immédiatement charmée. Chaque jour elle en a découvert les possibilités et elle s'est perfectionnée sans jamais se lasser.
Les enfants, les grandes personnes, l'écoutaient avec admiration... la musique qu'elle faisait naître de son instrument leur allait droit au coeur. Elle a inventé des mélodies pour parler de Tchavoro Le Mannelier, des couleurs du crépuscule, de La Mouche qui la poursuivait par temps de grande chaleur. Puis un jour, une troupe de cirque a croisé son chemin et elle s'est émerveillée des prouesses des jongleurs, du Funambule et du charmeur de serpent. C'est ainsi qu'elle a décidé de quitter sa roulotte familiale, pour suivre Les Saltimbanques, de ville en ville, avec pour seule compagne sa clarinette. / Niveau : Assez Facile / classique / Répertoire / Clarinette et Piano
26.20 EUR - vendu par LMI-partitions DĂ©lais: En Stock | |
| Les 100 meilleurs riffs
de basse - Volume 2
(TAUZIN BRUNO) En Français Basse electrique Play Music Publishing
Par TAUZIN BRUNO. Voici le deuxième volume des “100 meilleurs riffs de basseâ...(+)
Par TAUZIN BRUNO. Voici le deuxième volume des “100 meilleurs riffs de basse”. A l’instar du premier, et comme l’indique clairement son titre, celui-ci recense 100 nouveaux riffs pour les bassistes. Mais pas n’importe quels riffs bien sûr... des riffs mythiques dans l’esprit des plus grands tubes de la musique moderne, tous styles confondus (funk, blues, rock, hard, reggae...), ces morceaux qui ont traversé les décennies, qui font partie de la culture «bassistique», qu’il faut absolument connaître et savoir jouer. Chacun des 100 riffs de basse présentés dans ces pages est agrémenté d'une explication pouvant être technique et/ou théorique, afin de vous aider à les affronter plus aisément. Tous les riffs, sans exception, sont repris sur le CD MP3 joint à la méthode, ce qui vous permettra de lever le voile sur des mises en place parfois difficiles à aborder avec la seule partition. La plupart de ces riffs sont abordables par le plus grand nombre... le principe même d’un riff réussi reposant souvent sur la simplicité et l’efficacité ! Bref, voici un ouvrage 100% plaisir... qui vous permettra d’épater rapidement votre entourage !
A la manière de Hysteria, I’d Rather Go Blind, La Grange, Roundabout, Longview, Hollywood Swinging, Smooth Criminal, Manic Depression, Beds Are Burning, Them Changes, Thank You, Jungle Boogie, Ruby Lee, A View To A Kill, Don’t Look Back in Anger, Boulevard Of Broken Dreams, Human Nature, The Riddle, On A Plain, Hey Ya !, Blitzkrieg Bop, Tainted Love, Free Fallin’, Good Vibrations, Wicked Game, Zombie, Get Off My Cloud, Papa Was A Rolling Stone, Beautiful Day, Take On Me, You Shook Me All Night Long, Ain’t No Sunshine, Locked Out Of Heaven, Jamming, God Put A Smile On Your Face, Superfly, Cold Sweat, September, Rescue Me, Everlong, Sex Machine, All Right Now, Runaway, Welcome To The Jungle, La Bamba, Super Bad, Got To Give It Up, Californication, Dock Of The Bay, Suck My Kiss, Nothing’s Too Good For My Baby, Bad, Master Blaster, Dark Necessities, Blame It On The Boogie, Just Kissed My Baby, Synchronicity II, People Say, (I Can’t Get No) Satisfaction, Island In The Sun, Jeremy, Around The World, One Nation Under The Groove, Whipping Post, Tell Me Something Good, Badge, The Joker, London Calling, Sugar Daddy, Psycho Killer, Flashlight, The Less I Know The Better, Hot Motion, Disco Inferno, Chameleon, Higher Ground... et tant d'autres encore !/ Recueil / Guitare Basse
20.40 EUR - vendu par LMI-partitions DĂ©lais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| O Little Town Of
Bethlehem Band 5 Chorale 3 parties SAB A Cappella Schott
Chor zu dritt with its three-part settings is aimed at the large number of choir...(+)
Chor zu dritt with its three-part settings is aimed at the large number of choirs which cannot do full justice to the mainly four-part choral literature with divoded male voices. In Vol. 5, O little Town of Bethlehem, the singers can look forward to many national and international Advent songs and Christmas carols - and to successful concerts in the Christmas season, even with only one male voice! / Choeur Mixte (SABar) A Cappella
29.10 EUR - vendu par LMI-partitions DĂ©lais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| HENRIK WIESE - THE
PICCOLO AUDITION Flûte traversière UNIVERSAL EDITION
Henrik Wiese once again draws on his wealth of experience as a flutist and pedag...(+)
Henrik Wiese once again draws on his wealth of experience as a flutist and pedagogue: with his book “The Piccolo & Alto Flute Audition“, he has compiled a total of 207 audition excerpts in a carefully edited and clearly arranged compendium. In alphabetical order, it contains standard passages from orchestral works of various genres throughout music history, both common and less frequently requested. This up-to-date collection is a reliable companion and indispensable for optimal preparation for international auditions of all kinds at the opera, with symphony or chamber orchestras. Easy-to-read, uniform and modern layout make the edition convenient to use. The critical report and chronological list of audition excerpts for quicker stylistic classification make the editor a comprehensive coach for flutists. Numerous other tips and remarks gained by Wiese from his practical experience and exchange with colleagues and students complete the book. International demand is fulfilled by the texts being in three languages (German, French, English), thus making “The Piccolo & Alto Flute Audition“ the equivalent of the already established edition “The Flute Audition“. BartĂłk BĂ©la: III. Pe loc aus RumĂĽnische Volkstänze BartĂłk BĂ©la: III. Elegia aus Concerto for Orchestra BartĂłk BĂ©la: V. Finale aus Concerto for Orchestra Beethoven Ludwig van: 4. Satz aus Symphonie Nr. 5 Beethoven Ludwig van: 4. Satz aus Symphonie Nr. 9 Berg Alban: 1. Akt, 4. Szene aus Wozzeck Berg Alban: 2. Akt, 2. Szene aus Wozzeck Berlioz Hector: 3. Teil, Szene XII. Meuet des Follets aus La damnation de Faust Berlioz Hector: V. Songe d'une nuit du Sabbat aus Symphonie fantastique Bizet Georges: 1. Akt, Nr. 2 Marche et choeur des gamins aus Carmen Bizet Georges: 3. Akt, Nr. 18 Introduction aus Carmen Borodin Alexander: Allegro vivo und Presto aus Polowetzer Tänze Brahms Johannes: Variation V aus Variationen ĂĽber ein Thema von Haydn Brahms Johannes: Variation VIII aus Variationen ĂĽber ein Thema von Haydn Brahms Johannes: 4. Satz aus Klavierkonzert Nr. 2 Brahms Johannes: 3. Satz aus Symphonie Nr. 4 Britten Benjamin: II. Sunday Morning aus Four Sea Interludes Britten Benjamin: IV. Storm aus Four Sea Interludes Britten Benjamin: Variation A aus The Young Person's Guide to the Orchestra Britten Benjamin: Fugue aus The Young Person's Guide to the Orchestra Delibes LĂ©o: 2. Akt, Nr. 11 Musique des automates aus CoppĂ©lia Donizetti Gaetano: Sinfonia aus Don Pasquale Donizetti Gaetano: Nr. 7 Scena e Quartetto aus Don Pasquale Dukas Paul: Scherzo, Poco animando und Vif aus L'Apprenti sorcier Dvorák AntonĂn: 3. Satz aus Symphonie Nr. 6 Dvorák AntonĂn: 1. Satz aus Symphonie Nr. 9 Händel Georg Friedrich: 1. Akt, Nr. 11 Aria Augelletti, che cantate (Almirena) aus Rinaldo Hindemith Paul: II. Marsch und Pastorale aus Nobilissima Visione Holst Gustav: III. Merkur aus Die Planeten Holst Gustav: Dance of the spirits of water aus der Ballettmusik The Perfect Fool Ippolitov-Ivanov Michail: Nr. 4 Procession of the Sardar aus Suite Nr. 1 Caucasian Sketches Janácek Leoš: 3. Satz The Queen's Monastery, Brno aus Sinfonietta Kodály Zoltán: MarosszĂ©ker Tänze Kodály Zoltán: Tänze aus Galánta Ljadow Anatoli: VII. Dancing Song aus Acht russische Volkslieder Mahler Gustav: III. Von der Jugend aus Das Lied von der Erde Mahler Gustav: IV. Urlicht aus Symphonie Nr. 2 Auferstehung Mahler Gustav: V. Der groĂźe Appell aus Symphonie Nr. 2 Auferstehung Mozart Wolfgang Amadeus: 2. Akt, Nr. 13 Aria Alles fĂĽhlt der Liebe Freuden (Monostatos) aus Die Zauberflöte Ponchielli Amilcare: 3. Akt Danza delle Ore, Finale aus La Gioconda Prokofieff Sergei: I. The Birth of KijĂ© aus der Suite Leutnant Kishe Prokofieff Sergei: IV. Troika aus der Suite Leutnant Kishe Puccini Giacomo: Suor Angelica Puccini Giacomo: 3. Akt, 1. Szene aus Turandot Ravel Maurice: II. Malagueña aus Rapsodie espagnole Ravel Maurice: IV.Feria aus Rapsodie espagnole Ravel Maurice: II. Petit Poucet aus My mère l'Oye Ravel Maurice: III. Laideromette, Imperatrice des Pagodes aus My mère l'Oye Ravel Maurice: Lever du jour aus der Suite Daphnis et ChloĂ© Ravel Maurice: Pantomime aus der Suite Daphnis et ChloĂ© Ravel Maurice: Danse gĂ©nĂ©rale aus der Suite Daphnis et ChloĂ© Ravel Maurice: BolĂ©ro Ravel Maurice: 1. Satz aus Klavierkonzert G-Dur Ravel Maurice: 3. Satz aus Klavierkonzert G-Dur Rimski-Korsakow Nikolaj: 3. Satz The Young Prince and The Young Princess aus Sheherazade Rimski-Korsakow Nikolaj: 4. Satz Festiva at Baghdad aus Sheherazade Rossini Gioachino: Sinfonia aus der Ouverture zu La scala di seta Rossini Gioachino: Sinfonia aus der Ouverture zu L'Italiana in Algeri Rossini Gioachino: 1. Akt, Nr. 2 Cavatina Largo al Factotum (Figaro) aus Il barbiere di Siviglia Rossini Gioachino: 1. Akt, Nr. 8 Finale 1, Stretta aus Il barbiere di Siviglia Rossini Gioachino: Sinfonia aus der Ouverture zu La gazza ladra Rossini Gioachino: Sinfonia aus der Ouverture zu Semiramide Rossini Gioachino: Sinfonia aus der Ouverture zu Wilhelm Tell Schönberg Arnold: Nr. 18 Der Mondfleck aus Pierrot lunaire Schostakowitsch Dmitri: 1. Satz aus Symphonie Nr. 5 Schostakowitsch Dmitri: 2. Satz aus Symphonie Nr. 5 Schostakowitsch Dmitri: 1. Satz aus Symphonie Nr. 6 Schostakowitsch Dmitri: 2. Satz aus Symphonie Nr. 6 Schostakowitsch Dmitri: 1. Satz aus Symphonie Nr. 7 Schostakowitsch Dmitri: 2. Satz aus Symphonie Nr. 8 Schostakowitsch Dmitri: 4. Satz aus Symphonie Nr. 8 Schostakowitsch Dmitri: 1. Satz aus Symphonie Nr. 9 Schostakowitsch Dmitri: 2. Satz aus Symphonie Nr. 9 Schostakowitsch Dmitri: 3. Satz aus Symphonie Nr. 9 Schostakowitsch Dmitri: 5. Satz aus Symphonie Nr. 9 Schostakowitsch Dmitri: 1. Satz aus Symphonie Nr. 10 Schostakowitsch Dmitri: 2. Satz aus Symphonie Nr. 10 Schostakowitsch Dmitri: 3. Satz aus Symphonie Nr. 10 Schostakowitsch Dmitri: 1. Satz aus Symphonie Nr. 15 Sibelius Jean: III. Alla marcia aus der Suite Karelia Smetana Bedrich: Vivacissimo aus Die verkaufte Braut Sousa Filipe de: March aus The Stars and Stripes Forever StrauĂź Johann (Sohn): Ouverutre aus Die Fledermaus Strawinsky Igor: Variation de l'oiseau de feu aus der Suite L'Oiseau de Feu Strawinsky Igor: Ronde des princesses (Khorovode) aus der Suite L'Oiseau de Feu Tschaikowsky Peter Iljitsch: 3. Satz aus Symphonie Nr. 4 Tschaikowsky Peter Iljitsch: 4. Satz aus Symphonie Nr. 4 Tschaikowsky Peter Iljitsch: 2. Akt, Nr. 12 Divertissement, c) Le thĂ© (Danse chinoise) aus Der Nussknacker Tschaikowsky Peter Iljitsch: 3. Satz aus Symphonie Nr. 6 Verdi Giuseppe: 2. Akt Ballabile aus der Oper Aida Verdi Giuseppe: 1. Akt Coro Fuoco di goia aus der Oper Otello Verdi Giuseppe: 3. Akt Ballettmusik aus der Oper Otello Verdi Giuseppe: 1. Akt, 2. Teil aus der Oper Falstaff Verdi Giuseppe: 1. Akt, Nr. 2 Introduzione aus der Oper La traviata Verdi Giuseppe: 1. Teil, 1. Szene, Nr. 4 Coro di Zingari e Canzone aus der Oper Il trovatore Verdi Giuseppe: 3. Akt, Nr. 13 Scena, Terzetto e Tempesta aus der Oper Rigoletto Wagner Richard: 3. Szene aus der Oper Das Rheingold Wagner Richard: 3. Akt, 2. Szene Feuerzauber aus der Oper Die WalkĂĽre Holst Gustav: V. Saturn, the Bringer of Old Age aus Die Planeten Holst Gustav: VII. Neptun, the Mystic aus Die Planeten Ravel Maurice: 1. Teil Danse religieuse aus Daphnis et ChloĂ© Ravel Maurice: 1. Teil Danse gĂ©nĂ©rale aus Daphnis et ChloĂ© Ravel Maurice: 2. Teil Danse guerrière aus Daphnis et ChloĂ© Ravel Maurice: 3. Teil Lever du jour aus Daphnis et ChloĂ© Ravel Maurice: 3. Teil Pantomime aus Daphnis et ChloĂ© Ravel Maurice: 3. Teil Danse gĂ©nĂ©rale aus Daphnis et ChloĂ© Strawinsky Igor: 1. Teil L'Adoration de la terre aus Le sacre du printemps Strawinsky Igor: 1. Teil Danses des adolescentes aus Le sacre du printemps Strawinsky Igor: 1. Teil Rondes printanières aus Le sacre du printemps Strawinsky Igor: 2. Teil Le sacrifice, Introduction aus Le sacre du printemps Strawinsky Igor: 2. Teil Le sacrifice, Cercle mystĂ©rieux des adolescentes aus Le sacre du printemps Strawinsky Igor: 2. Teil Le sacrifice, Action rituelle des ancĂŞtres aus Le sacre du printemps / Partitions classique / Bois / FlĂ»te traversière / UNIVERSAL EDITION
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If you're new to the guitar, you are probably eager to learn some songs. This book features special arrangements in standard notation of a variety of songs from pop/rock hits and standards to show tunes and movie themes that guitarists can play with a teacher or band. Includes: Chopsticks · Clocks (Coldplay) · Eleanor Rigby (The Beatles) · Game of Thrones Theme · Hallelujah (Leonard Cohen) · Linus and Lucy (from A Charlie Brown Christmas) · Memory (from Cats) · Over the Rainbow (from The Wizard of Oz) · Star Wars (Main Theme) · What a Wonderful World (Louis Armstrong) · You Raise Me Up (Josh Groban) · and many more./ Recueil / Guitare
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Italian opera was at the centre of Handel's output for over 35 years with solo arias constituting one of the most important elements in Baroque opera. Dramatic roles, with their various moods and reactions, are characterised through arias. A large number of Handel's operas also contain at least one entire scene for two to three voices. These numbers make use not only of similar lyrical or expressive forms of expression such as the arias, but also employ contrapuntal elements as found in Handel's chamber music.Based on the Bärenreiter vocal scores, three volumes were published which contain some of Handel's best-known arias, duets and trios, together with less well-known numbers of equally high musical quality. The arias are arranged chronologically, reflecting the order in which the operas were composed.The three volumes:Female roles for high voice (BA 4295)Male roles for high voice (BA 4296)Duets, Trios and Ensemble Scenes (BA 4297)- Unbeatable collections of Handel's most beautiful arias and ensembles- Musical text based on the Urtext vocal scores of the 'Halle Handel Edition?- Detailed foreword (Eng/Ger) by Donald Burrows on Handel's singers and on the arias in the context of the operas- Translations of the Italian aria texts (Eng/Ger) / Voix Hautes Et Piano / Partition
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