| 6 Sonates En Trio Pour
Orgue (BACH JOHANN
SEBASTIAN) En Français Alto, Piano [Partition] Delrieu
Par BACH JOHANN SEBASTIAN. Transcription pour alto et piano par Bruno Monsaingeo...(+)
Par BACH JOHANN SEBASTIAN. Transcription pour alto et piano par Bruno Monsaingeon et Antoine Joly
On ne saurait affirmer que le répertoire original de concert de l'alto, en tant qu'instrument soliste, soit richement pourvu en chefs-d'oeuvre. Au mieux, et encore si on inclut les sonates de Brahms, elles-mêmes transcrites de la clarinette, deux programmes de récital et on a fait le tour de la question.
Avec le présent recueil, nous n'avons d'autre ambition que de contribuer à élargir cet éventail.
Les six sonates - dites en trio - pour orgue de Johann Sebastian Bach, figurent parmi les oeuvres les plus rigoureuses du compositeur. A l'inverse d'autres compositions pour orgue de Bach, ses grandes Fantaisies et Toccatas, dans lesquelles abondent de luxuriantes formules virtuoses de nature indubitablement instrumentale, les sonates relèvent d'une stricte écriture à trois voix, sans que jamais le moindre ajout harmonique, la moindre tentation exhibitionniste, viennent troubler leur parfaite pureté polyphonique.
Il nous est apparu que leur facture fondamentalement a-instrumentale était telle que ces sonates se prêtaient sans doute mieux que toutes autres à la transcription. De surcroît, il était clair qu'il existait une évidente adéquation entre leur écriture et celle destinée à un instrument à archet, et que la vocalité intensément expressive de leurs mouvements lents, comme la sobre alacrité de leurs mouvements rapides, conviendraient à merveille aux couleurs sonores très spécifiques de l'alto.
Restait à faire en sorte que la transcription pour cet instrument crée l'illusion qu'elles avaient été originellement conçues pour lui.
A cet égard, deux types de problèmes étaient à résoudre.
Le choix des tonalités. Bach lui-même, lorsqu'il adaptait pour le clavier ses concertos originellement écrits pour le violon, recourait toujours à un changement de tonalité, en transposant systématiquement ces oeuvres d'un ton vers le bas. Passer du clavier de l'orgue à l'alto requérait de procéder à un traitement analogue, pour faire en sorte que l'instrument à cordes soit exposé dans le registre qui lui serait le plus favorable, tout en tenant compte de ses propres limites. Dans notre recherche des tonalités les mieux adaptées à chacune des sonates, nous avons été guidés par le souci de contourner deux écueils celui qui contraindrait l'alto à jouer dans un registre trop aigu, où sa sonorité a tendance à se faire claironnante - et à éviter parallèlement de l'emmener trop souvent vers son registre grave, magnifique pour les notes tenues et chantantes, mais qui sied mal aux notes rapides, telles que les doubles croches, dont les Allegros de Bach font une allègre consommation. Du fait de l'épaisseur des cordes graves de l'alto, leur émission y est quelque peu confuse, et elles y prennent presque inévitablement une sonorité pelucheuse qui rend l'équilibre acoustique de la souveraine polyphonie de Bach peu perceptible. C'est ainsi qu'après bien des essais et tâtonnements, nous sommes arrêtés aux transpositions suivantes: de Mi bémol majeur à Sol majeur pour la 1e sonate, d'Ut mineur à Sol mineur pour la 2e, de Mi mineur à Ré mineur pour la 3e, et ainsi de suite. Dans l'édition, nous indiquons à chaque fois la tonalité d'origine.
Pour finaliser nos choix, nous avons d'ailleurs dû jouer avec un paramètre supplémentaire, car il va sans dire qu'une fois décidée la tonalité d'ensemble de telle ou telle sonate, nous nous sommes fixé pour règle de respecter les relations de tonalité adoptées par Bach entre les mouvements rapides et lents de ses oeuvres.
La distribution des voix entre les deux instruments. Bach ayant naturellement réparti les deux voix de 'dessus' et la voix de basse de ses sonates entre les deux mains et le pédalier de l'organiste, la solution qui apparaissait à première vue s'imposer pour notre transcription, consistait à attribuer la voix supérieure à l'alto, tandis que les deux mains de l'instrument à clavier se chargeraient de la voix médiane et de la basse. Et de fait, c'est ainsi que nous procédâmes pour l'essentiel. Néanmoins, en de nombreuses occasions, nous avons jugé bon de faire exception à ce principe trop simple. Deux types de raisons nous ont ainsi conduits à recourir ici ou là à une redistribution des parties d'un instrument à l'autre. Le souci là encore de ne jamais placer l'alto dans une tessiture extrême, et surtout d'éviter d'aboutir à une confusion des entrées et des réponses fuguées. Ce faisant, nous croyons être parvenus par la même occasion à créer des échanges d'une grande vitalité entre les deux instruments.
En publiant ici le résultat du travail prodigieusement stimulant qui fut le nôtre - accompagné de propositions de coups d'archet soigneusement étudiées (mais évidemment révisables selon les choix interprétatifs de chacun), destinées à en rendre clairs le phrasé, l'expression et la facture - nous avons la conviction de pourvoir à l'enrichissement du répertoire des altistes sous la forme de six chefs-d'oeuvre de tout premier ordre, sans que la transcription les ait d'aucune manière dénaturés. Nous sommes également persuadés que le soi-disant 'parent pauvre' de la famille des cordes ne le cédera en rien au 'roi des instruments' dans l'expression du sublime lyrisme constamment présent dans ces oeuvres de Johann Sebastian Bach. / classique / Répertoire / Alto et Piano
42.90 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Sorel Alexandre - La
Methode Bleue En Français Piano seul Lemoine, Henry
Lorsque Chopin improvisait, Georges Sand disait qu'il cherchait La note bleue. L...(+)
Lorsque Chopin improvisait, Georges Sand disait qu'il cherchait La note bleue. Le bleu est la couleur de l'âme... Cette méthode s'adresse à l'enfant débutant qui ne sait encore rien de la musique ni du piano. Son propos est de lui apprendre à jouer tout de suite des petits morceaux qui seront agréables à entendre, pour lui et ses parents. Tout en assimilant les premières connaissances de solfège et de grammaire musicale, il devra les interpréter avec une vraie musicalité et simultanément se familiariser avec les bons principes de technique manuelle, car tout doit être développé ensemble. La grande clé de l'art du piano est de comprendre que la musique doit commencer à vivre dans l'oreille et l'imagination de l'enfant avant que celui-ci ne pose ses doigts sur les touches. C'est pourquoi le petit Mozart a tout de suite joué du piano. Dès les premières leçons, l'enfant doit donc apprendre à chanter ce qu'il va jouer, car la raison d'être des signes qu'il voit devant lui est de transcrire des sons vivants, destinés à l'oreille. Cette méthode vise donc à ne jamais séparer la lecture des notes - du chant - de la quête du beau son et du phrasé. La dimension affective est par ailleurs essentielle pour assimiler la musique. C'est pourquoi ces morceaux sont ici proposés avec des paroles, comme des comptines. L'expérience prouve en effet que les images aident beaucoup les petits à chanter et à mémoriser. Les paroles aident en outre l'enfant à phraser naturellement, sans même qu'il ait à penser à cette notion de phrasé qui est bien trop abstraite pour lui au début. Les histoires et les images stimulent ses émotions or, sans émotion, l'on ne retient rien ! Cette méthode contient aussi, outre les éléments de solfège habituels, des conseils techniques expliquant comment il faut toucher le piano et quels gestes il faut faire pour obtenir un beau son, un beau phrasé. Car, si l'on ressent la musique mais que le geste est inadéquat, rien n'est possible ! Un Cd permettra d'écouter les morceaux, joués à deux ou à quatre mains. L'enfant pourra également jouer tout seul, tout en se faisant accompagner par le Cd. Ajoutons enfin l'essentiel : tout le coeur de cette méthode s'appuie sur les conseils que Chopin donnait à ses élèves pour apprendre à jouer du piano. Ils figurent dans Esquisses de Méthode, cet ouvrage élaboré par Chopin lui-même mais qu'il n'a pu achever, et dans le livre incontournable du grand musicologue Jean-Jacques Eigeldinger, le spécialiste mondial de Chopin : Chopin vu par ses élèves (1). A la mesure du débutant, nous tenterons d'appliquer ici pas à pas ces principes du Maître. Chaque chapitre sera ainsi ponctué de phrases de Chopin telles que : Il vous faut chanter si vous voulez jouer du piano ou : Le poignet est la respiration dans la voix, Soyez souple jusqu'au bout des pieds. Emanant de l'un des plus grands musiciens qui ait écrit pour le piano, lui-même génial pianiste et admirable pédagogue, sa pensée mérite d'être gravée dans le coeur de chaque petit(e) pianiste qui se lance dans cette grande aventure du piano... Alexandre Sorel (1) Chopin vu par ses élèves, par Jean-Jacques Eigeldinger, 3e édition revue et commentée, 450 pages, La Baconnière, Neuchâtel, 1998. Réédité par Fayard, octobre 2006, 454 pages / et : Chopin : Esquisses pour une Méthode de piano, Textes réunis et présentés par J. Jacques Eigeldinger, Paris, éditions Flammarion, coll. Harmoniques, 138 p. Mars 2010. Presse La Méthode Rose a formé tant de jeunes pianistes. D'autres méthodes d'Alfred Cortot (Principes rationnels de la technique pianistique) ou d'Isidor Philipp sont conçues pour l'acquisition de la vélocité ; celles de Marie Jaëll (1846-1925) et de Blanche Selva (1884-1942), pour la qualité du son. Tout récemment, sont parus les 2 volumes du vaste et original manuel de piano : A Compianon (fin 2018, en 2 volumes, 300 p.) de Stéphan Patin (né en 1966) - pour débutant et pianiste plus chevronné, reposant sur l'apprentissage mental et digital, et l'appropriation formatrice des quelque 200 morcelets très diversifiés. Voici, cette année, (préfacée par J.-J. Eigeldinger, le spécialiste de Chopin), la Méthode Bleue (en 2 volumes, avec illustrations sonores et conseils pédagogiques) d'Alexandre Sorel selon lequel la musique doit commencer à vivre dans l'oreille et l'imagination de l'enfant avant que celui-ci ne pose ses doigts sur les touches... et qu'il doit donc apprendre à chanter ce qu'il va jouer. A cet effet, il propose des morceaux avec des paroles comme des comptines, ce qui facilite la mémorisation. Au fil des 10 leçons, le débutant est appelé à emprunter la marche à suivre claire et bien pensée du pédagogue. L'auteur précède les questionnements de l'enfant et des parents, et y répond, étape par étape. L'imaginaire enfantin est sollicité grâce à la présence d'un bestiaire engageant (puce, chat, chien, tourterelle, écureuil, grenouille, perroquet...). Le tout est joliment agrémenté de médaillons de caractère assez naïf, du meilleur effet. L'auteur cite les conseils donnés par Frédéric Chopin à ses élèves, les intégrant judicieusement dans le cursus pédagogique jalonné par les différentes étapes indispensables à l'autonomisation progressive du musicien en herbe. Mine de rien, lecture des notes, apprentissage rythmique, incorporation de la gestuelle pianistique, développement de l'appropriation musicale se font dans un contexte délibérément rassurant (familial, amical) et un climat de confiance, avec des figures musicales tutélaires (Mozart, Chopin) pour aboutir à quelques pages accessibles du maître franco-polonais : Polonaise en sol mineur, Valse en la mineur... (Voir CD : Chopin à Nanteuil... Récital d'Alexandre Sorel). Edith Weber L'Education musicale n°127 (sept-oct 2019)
40.80 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| DOBERMAN YPPAN SILVIUS
LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.4 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Menuet 1 (WSW 1.8) Menuet 2 (WSW 1.9) Gavotte (WSW 1.10) Gavotte et Double (WSW 2.8/WSW 2.9) Prélude (WSW 4.1) Ouverture (WSW 4.2) Courante (WSW 4.3) Bourrée (WSW 4.4) Allegro (WSW 1*) Courante Royale (WSW 2*) Prélude (WSW 10.1) [Menuet '] (WSW 4*) Fuga (WSW 6*) Fuga (WSW 7*) L'Amant malheureux (WSW 8*) Fantasie (WSW 9*) [Menuet] (WSW 10*) Plainte (WSW 15.1) Tombeau du Baron d'Hartig (WSW 11*) [Bourrée '] (WSW 12*) Menuet (WSW 13*) Gavotte (WSW 14*) Menuet (WSW 15*) Praelude [and Fugue] (WSW 17*) [Menuet] (WSW 18*) Trio (WSW 19*) Bourrée (WSW 31.7*) Tombeau de Logy (WSW 20*) Prélude de Weiss (WSW 21*) Fantaisie (WSW 24*) Menuet (WSW 22*) Gavotte (WSW 23*) Capricio (WSW 25*) Menuet 1 (WSW 26*) Menuet 2 (WSW 27*) Mademoiselle Tiroloise (WSW 28*) Bourrée (WSW 13.4) / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
42.90 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
| DOBERMAN YPPAN SILVIUS
LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.1 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Sonata 1 (WSW 1) en mi M Sonata 2 (WSW 2) en ré M Sonata 3 (WSW 3) en sol m Sonata 4 (WSW 5) en sol M Sonata 5 (WSW 7) en ré m Sonata 6 (WSW 10) en mi M Sonata 7 (WSW 11) en ré m Sonata 8 (WSW 12) en la M Sonata 9 (WSW 13) en ré m / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
53.10 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
| DOBERMAN YPPAN SILVIUS
LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.3 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Sonata 18 (WSW 24) en do M Sonata 19 (WSW 25) en sol m Sonata 20 (WSW 26) en ré M Sonata 21 (WSW 27) en ré m Sonata 22 (WSW 28) en mi M Sonata 23 (WSW 29) en la m Sonata 24 (WSW 30) en mi M Sonata 25 (WSW 31) en mi M Sonata 26 (WSW 32) en mi M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
55.40 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
| DOBERMAN YPPAN SILVIUS
LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.2 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Sonata 10 (WSW 15) en la M Sonata 11 (WSW 16) en sol M Sonata 12 (WSW 17) en do M Sonata 13 (WSW 18) en ré M Sonata 14 (WSW 19) en mi M Sonata 15 (WSW 21) en mi m Sonata 16 (WSW 22) en sol M Sonata 17 (WSW 23) en la M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
55.40 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
| DOBERMAN YPPAN SILVIUS
LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.5 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Concert d'un luth et d'une flûte traversière WSW 6 Concert d'un luth avec une flûte traversière WSW 8 Concert d'un luth avec la flûte traversière WSW 9 Duo 4 WSW 14 en sol m Duo 5 WSW 20 en ré m / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
62.10 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
| Mozart, Wolfgang Amadeus
: Piano Sonata C major K.
309 (284b) Piano seul [Partition] G. Henle
«Je veux le composer tout à fait d?après le caractère de Mlle Rose». Voici ...(+)
«Je veux le composer tout à fait d?après le caractère de Mlle Rose». Voici ce que répondit Mozart à la question de savoir comment il allait concevoir l?Andante de sa Sonate en Ut majeur. Il avait fait la connaissance de Rosina Cannabich à Mannheim durant l?automne 1777. Composée à son intention, la Sonate K. 309 lui fut tout de suite présentée lors d?une leçon, si bien que d?après les dires de son professeur, elle la jouait déjà de manière «admirable» en décembre 1777. Afin que de nombreux élèves puissent faire de même, nous présentons ce joyau de la musique de piano de Mozart, jusqu?alors seulement disponible dans les recueils intégrals des sonates (HN 1 et 3), sous la forme d?une édition séparée avec, en sus, une nouvelle préface de l?éditeur.
1er MOUVEMENT Le premier mouvement de la sonate K 309 en ut majeur est un modèle pour enseigner la structure de la forme sonate. Dans les formes sonate, pas plus que dans la fugue de Bach, aucun dogme ne sert de base au processus de composition, mais chaque sonate apporte une nouvelle variation à un principe fondamental. Cela impliquait, pour Mozart, l?obligation stricte de se conformer à certains schémas sans pour autant laisser entraver sa propre liberté de création. Pour ses mouvements de sonates en tonalités majeures, il était, par exemple, favorable à la dominante comme la plupart de ses contemporains. Sur ce point, Haydn, en revanche, se délectait à tenter de nouvelles expériences.
Il serait peut-être utile, par une brève analyse, de montrer quel était le modèle de référence d?une «forme d?allegro de sonate» pour Mozart, et le premier mouvement de la sonate en ut majeur K 309 est, à cet égard, un exemple idéal pour un tel examen. Le premier thème est un début caractéristique en marcato, suivi d?une «réponse» de cinq mesures. La quarte descendante et la sixte ascendante du début forment un des motifs favoris de Mozart; c?est son procédé mélodique habituel. Il l?utilise souvent en mineur comme en majeur et beaucoup de ses thèmes commencent par ce motif (pour exemple le deuxième mouvement de la sonate en la majeur K 331 et l?Adagio en si mineur K 540 et certains thèmes des Symphonies K 114, 124, 319/II et 551/II). Les sept mesures du thème principal sont répétées avec une légère variation. Les mesures 12 à 30 viennent conclure la période du premier thème par une phrase réponse (3 3 mesures). La transition fait appel à un nouveau matériau puis, dans la mesure 35 (âpres 2 mesures préliminaires) vient un second thème cantabile à la dominante (sol majeur), comprenant deux fois quatre mesures. Il est également repris et s?achemine vers un thème de clôture plein d?allant (groupe conclusif) qui traverse un passage d?ornementation pianistique (m. 43) et enferme une merveilleuse réduction des mesures 35 et 36 dans la mesure 45. L?exposition se termine par une «codetta» de cinq mesures. Le développement présente d?abord le motif d?exposition en sol mineur puis les différentes idées du premier thème sont élaborées. Dans cette démarche, Mozart s?en réfère beaucoup plus aux principes d?école qu?il ne le fait d?habitude. Deux autres expositions du motif du départ nous conduisent à la réexposition dans la mesure 94. Le second thème, maintenant à la tonique, s?est interverti avec son accompagnement. On assiste à un rappel du début dans une coda qui s?impose avec force.
2eme MOUVEMENT Le deuxième mouvement de cette sonate est un Andante un poco adagio introspectif. Mozart avait fait part dans une lettre de sin désir d?adapter cet Andante au caractère de la jeune pianiste Rosa Cannabich pour laquelle il l?avait écrit : «c?est une jolie et charmante jeune fille, tout comme cet andante. Elle est très mûre et posée pour son âge, elle ne parle pas beaucoup et c?est toujours avec grâce et gentillesse».
3eme MOUVEMENT C?est un Rondo élégant et fluide, d?une longueur inusitée, qui clôt cette sonate. / [Sonate pour piano en Ut majeur K. 309 (284b)] / Classique / Partition / Agrafé /
11.08 EUR - vendu par Note4Piano Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Piano Scores Unlimited En Français Piano seul [DVD-ROM] IPE Music
Ecoles de Musique, Conservatoires, Médiathèques, Etablissements Scolaires, Pro...(+)
Ecoles de Musique, Conservatoires, Médiathèques, Etablissements Scolaires, Professeurs de Piano, Pianistes débutants ou confirmés, Concertistes... désormais, vous pouvez imprimer, utiliser et faire circuler librement un grand répertoire de partitions sans que ce soit considéré comme une photocopie pour les cours, les examens, les auditions, les concerts, le travail chez soi'
Voici les plus grand répertoire de partitions pour Piano libre de droit et sans restrictions sur un seul DVD-Rom comprenant : - 630 Oeuvres Majeures doigtées avec soin et classées par niveau de difficulté - 2 500 Pages de Musique à imprimer dans une qualité irréprochable - 26 heures d'écoute au format MP3 à exporter et à utiliser sans limitation
Quelques exemples d'utilisation
Installé dans une salle de cours, chaque professeur aura le loisir de faire écouter à son élève chaque morceau enregistré par des pianistes virtuoses. Puis le professeur imprimera naturellement la partition que l'élève emportera avec lui pour travailler à la maison. Pour les cours de musique collectifs, cours d'initiation dans les Ecoles primaires, Collèges, Lycées, Conservatoires', une solution ludique et inépuisable pour faire découvrir la musique des grands compositeurs. Le professeur imprime pour chaque élève la partition qu'il aura choisi de faire travailler, déchiffrer, expliquer, avec l'aide de l'Audio. Quoi qu'il en soit, même pour les bibliothèques, vous disposez d'un répertoire complet à imprimer à l'infini sans que ce soit considéré comme du « photocopillage » puisque les oeuvres contenues dans Piano Score Unlimited appartiennent au domaine public. Imprimez des partitions d'une qualité graphique exceptionnelle ! Doigtée avec soin, chaque partition est tirée de la première édition ou de l'oeuvre originale du compositeur. Pour vous aider dans vos choix, les pièces ont été classées par compositeur et par niveau de difficulté. Exportez le fichier MP3 qui a été interprété par des pianistes virtuoses pour l'utiliser sans restriction et libre de droit, agrémenter vos DVD, élaborer des programmes d'écoute pour vos élèves ou vous-même...
Débutez en travaillant les exercices du recueil « Le Premier Maître du Piano Opus 599 », « Les Cinq Doigts Opus 777 », « Les Etudes » de Czerny ou de Burgmuller, le célèbre « petit livre » d'Anna Magdalena BACH' Déchiffrez les partitions de l'incontournable répertoire de Piano : « Le Clavecin bien tempéré » de JS BACH ou les « Sonatines » de Clémenti ' Interprétez les « Nocturnes », « Préludes », « Mazurkas »,Grandes « Valses » de Chopin, les airs les plus connus (« Fantaisie », « Marche turque », « Petite Sonate`) et `Sonates` de Mozart, les « Petits Préludes » ou les fameuses « Fugues », les « Inventions à 2 et 3 voies » de J.S.Bach, les « Romances sans Paroles » de Mendelssohn, l' « Album pour la jeunesse », « Scènes d'enfants » de Schumann, les « Moments Musicaux », les « Impromptus » de Schubert, « Les Arabesques », le « Children's Corner » ,« Le Petit Nègre» de Debussy, les « Ragtimes » de Scott Joplin, pour ne citer qu'eux... De Haendel, Schubert, Beethoven, en passant entre autres par Tchaïkovski ou Purcell, Couperin, Gounod, Scarlatti'. / DVD /
59.00 EUR - vendu par Note4Piano Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| 3Eme Recueil De
Pièces, Petits
Airs, Brunettes, Menuets,
Etc.- S.D. (=1757) Orchestre de chambre Anne Fuzeau Productions
Edition : Paris, l'Auteur, Bayard, Leclerc, s.d. (=1744)Pièces à deux instrume...(+)
Edition : Paris, l'Auteur, Bayard, Leclerc, s.d. (=1744)Pièces à deux instruments égaux, particulièrement deux flûtes seules, de différents auteurs, dont Blavet. Certaines pièces suivies de variations.Présentation par Jean SaintArroman : Utilisation pédagogique des pièces.Ces trois recueils de pièces à deux flûtes seules, offrent un panorama de la musique du milieu du XVIIIe siècle en France, avec l'ajout de quelques airs étrangers. Les pièces sont de difficultés variées. Les phrasés sont très bien indiqués, et l'agrémentation, détaillée dans l'introduction, est très représentative du classicisme français. / Musique De Chambre / 96 pages / niveau : 1 / Fac-Similés - Format: 23.5 X 31.5
45.20 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Easy Classical Fake Book
C Ed. Tous Les Instruments [Partition] - Facile Hal Leonard
Mélodie, paroles and Chords simplifiées dans la clé de c. Un ' livre de faux ...(+)
Mélodie, paroles and Chords simplifiées dans la clé de c. Un ' livre de faux ' contient des chansons écrites dans un format concis qui comprend uniquement la mélodie et les cordes, vous permettant d'interpréter les performances de la chanson que vous vous sentez est appropriée. C'est excellent pour rapidement les chansons de ng par vous-même ou avec un ensemble. Chaque chanson dans un livre de faux n'a qu'une mélodie unique en fait écrite en notes, qui est habituellement la mélodie vocale ou de plomb. Cette mélodie auront les paroles écrites sous les notes, avec chaque note tcorresponding alignés de mot. Ci-dessus les notes de la mélodie apparaissent les noms des cordes appropriés à jouer - par exemple, une corde ' Do mineur ' serait écrite comme ' Cmin ' ou Cm', plutôt que d'écrire sur toutes les notes dans ces accords comme ils apparaissent inriginal version de la chanson. Ce format est très compact, c'est pourquoi vous verrez souvent fakebooks contenant des chansons de 500 ou plus. / Niveau : Facile / Recueil / Instruments en Do
31.50 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
| Mozart, Wolfgang Amadeus
: Piano Sonata D major K.
284 (205b) Piano seul [Partition] G. Henle
La Sonate en Ré majeur est la dernière des six Sonates K. 279?284 que Mozart e...(+)
La Sonate en Ré majeur est la dernière des six Sonates K. 279?284 que Mozart emporta dans ses valises lorsqu?il s?apprêtait à se rendre vers Paris en septembre 1777. Il rapporta à son père qu?il exécuta ces sonates avec succès déjà à Munich, Augsbourg et Mannheim.
Il les pourvut de nombreuses indications de dynamique et trouva aussi en ce qui concerne leur forme des solutions inhabituelles, comme par exemple le lent Rondeau en Polonaise qui fait office de mouvement central de la Sonate en Ré majeur.
Jusqu?alors réunies dans les recueils (HN 1 et 3), ces six sonates sont désormais éditées séparément avec, en sus, de nouvelles préfaces.
Mozart a dédié cette sonate à un certain Freiherr Thaddäus von Dürnitz, ce qui explique qu?on l?ait souvent appelée la «Sonate à Dürnitz». De ces six premières sonates c?est conteste la meilleure, la plus brillante et celle qui requiert le plus d?habileté technique. On peut comprendre pourquoi Mozart l?affectionnait particulièrement et qu?il ait continué à l?exécuter lui-même.
C?est de cette incomparable lorsqu?elle était interprétée sur un des nouveaux pianofortes de Stein.
1er MOUVEMENT Une première version du début du premier mouvement rédigée sur une page et demie a été supprimée par Mozart. Il a commencé à réécrire la version définitive au bas de cette même page. Le matériau thématique de ce mouvement d?ouverture (et, à un moindre degré, celui des mouvements suivants) est disposé sur une échelle plus vaste, presque plus orchestrale, ce qui constitue une rupture avec le ton d?intimité des premières sonates. L?effet de tremolo dans les mesures 13 à 16 et les annonces répétées à l?unisson du premier thème peuvent très bien se lire comme la réduction d?un tutti orchestral. Le deuxième thème, ligne mélodique plus souple, sans accompagnement dans sa mesure d?introduction, contient une chaîne descendante de premiers renversements ? formule harmonique fort prisée aux siècles baroque et classique (il y a des passages analogues dans les thèmes subsidiaires de l?ouverture de l?Iphigénie en Tauride de Gluck et le premier mouvement du Concerto Italien de Johann Sebastian Bach). Cela fonctionne comme un passage de solo par opposition aux entrées de tutti qui suivent dans la mesure 30. Le développement traverse un cycle de tonalités mineures avant le début de la réexposition dans la mesure 72.
2eme MOUVEMENT Mozart a intitulé le second mouvement: Rondeau en Polonaise. Il s?agit donc d?une danse. Les quatre premières mesures constituent une forme de dialogue (comme le thème du premier mouvement de la sonate précédente en sol majeur) et Mozart les soumet à des variations avec un certain bonheur. Il accentue le contraste entre l?exposition et la contre-exposition par des indications de dynamique.
3eme MOUVEMENT Le dernier mouvement de la sonate est une suite de variations joyeuses qui est un régal pour le pianiste, et présente, jusqu?à la variation en adagio les caractéristiques d?une gavotte. Le don spécial de Mozart pour l?écriture en variations s?y manifeste de la manière la plus brillante. L?impression superficielle de forme diffuse ne résiste pas l?examen approfondi: il ne serait guère facile d?oublier une des douze variations ou d?en ajouter une. La variation Adagio est d?un intérêt tout particulier pour les spécialistes de Mozart, car elle nous donne quelque a perçus de sa conception de l?ornementation impromptue: l?autographe n?est que pudiquement orné et il est probable que Mozart enjolivait son texte lors de l?exécution au gré de sa fantaisie. Mais une version richement ornée a survécu dans la première édition publiée du vivant de Mozart ; et il ne fait pas de doute que cette version enjolivée est l??uvre de Mozart lui-même ? qui d?autre pourrait enjoliver une musique d?une manière aussi ingénieuse' Cela nous éclaire sir les idées de Mozart en matière d?ornementation en général et en particulier. / [Sonate pour piano en Ré majeur K. 284 (205b)] / Classique / Partition / Agrafé /
12.66 EUR - vendu par Note4Piano Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| KLARTHE GENGEMBRE
JEAN-CLAUDE - SUITE DE
DANSES POUR VIOLON &
MARIMBA En Français Violon KLARTHE
Jean-Claude Gengembre - Suite de danses (2011) Commande du Duo Contrastes, ...(+)
Jean-Claude Gengembre - Suite de danses (2011) Commande du Duo Contrastes, cette Suite de danses est composée de petites pièces pour violon et marimba. Le titre fait référence aux Suites de Bach pour violon ou pour violoncelle, souvent transposées pour marimba. L’écriture de petites pièces permet de développer des ambiances différentes (avec notamment le marimba, dont l’étendue fait cinq octaves et dont les registres graves et aigus donnent des couleurs très différentes) et d’explorer des horizons différents tant au niveau des tempi que des registres et des styles. Ecrire pour ces deux instruments permet aussi de confronter un instrument noble avec un passé imposant (le violon) et un instrument populaire et récent (le marimba). Comme les Suites de Bach, la pièce commence par un Prélude introductif, présentant les instruments et l’originalité de leur association. Le thème du deuxième mouvement, Imprévisible Chaconne, est calqué sur le rythme de son illustre homonyme, la Chaconne de la Partita en ré mineur de Bach. La Petite valse nostalgique, se souvenant du thème de la chaconne, commence par le citer, mais en l’harmonisant autrement, puis le fait évoluer. L’atmosphère nostalgique est accentuée par une écriture hachée, avec des élans interrompus et des arrêts. Initié sur un rythme de pavane, le quatrième mouvement, Pavane fanée, se développe avec des glissandi, suggérant les fleurs qui commencent à se courber et dont la beauté se fane. La pièce se termine par un final enlevé, Fuoco, évoquant des danses espagnoles ou orientales. / Partitions classique / Cordes / Violon / KLARTHE
28.00 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
| Folk Songs of the World Instrumentation Flexible [Conducteur et Parties séparées] De Haske Publications
1. Emerald Isle (Île d?émeraude), cette première partie met en vedette la ver...(+)
1. Emerald Isle (Île d?émeraude), cette première partie met en vedette la verdoyante île d?Irlande et son riche patrimoine de musique folklorique traditionnelle. Elle s?ouvre avec « My Lodging Is on the Cold Ground », un air également connu sous le titre « Believe Me, If All Those Endearing Young Charms » (mesures 5-24). Vient ensuite un autre air célèbre, « The Minstrel Boy » (mesures 29-44), lui-même suivi de « The Groves of Blarney », peut être mieux connu sous le titre « The Last Rose of Summer » (mesures 53-68). Chaque air est annoncé par une courte introduction et s?achève avec une courte conclusion. 2. Old Kentucky Memories (Souvenirs du vieux Kentucky), après une introduction de 14 mesures, toute l?attention se porte sur la chanson « My Old Kentucky Home ». A fil de la pièce, des fragments de souvenirs fugaces émergent, disparaissant aussi vite qu?ils se présentent : cette impression est créée par le biais de courts motifs et thèmes empruntés à d?autres chansons. On les entend brièvement puis ils s?estompent, comme de lointains souvenirs du vieux Kentucky, jusqu?à une reprise de l?introduction pour conclure la pièce. 3. Uppland, est une province suédoise aux riches traditions musicales, tout comme l?ensemble de la Suède, qui compte de nombreuses danses et chansons. Beaucoup sont en tonalité mineure, et cette partie en comprend trois. La première est « Svensk folkvisa » (mesures 1-38), qui est suivie de « ?Värmlandsvisan » (mesures 39-67), et la pièce s?achève avec « Vexelsang » (mesure 68 jusqu?à la fin). 4. Ratatouille, cette dernière partie ne comprend pas d?air provenant d?un seul pays. C?est un méli-mélo, une « ratatouille » de trois chansons folkloriques sans aucun lien. Il y a d?abord une chanson russe, « Le Rossignol » (mesures 1-30), puis « Sakura », originaire du Japon (mesures 31-58) et, enfin, « Waltzing Matilda », venue d?Australie (mesure 59 jusqu?à la fin). La chanson russe est d?Alexander Alyabyev (1787-1851), mais nous ignorons les auteurs des deux autres chansons./ Recueil / 4 Parties variables de Vents et Percussion
39.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Oeuvres Pour Piano Vol.I
(DEBUSSY CLAUDE) Piano seul G. Henle
Edition Urtext, Brochée. Par DEBUSSY CLAUDE. En 2012 sera célébré le 150e an...(+)
Edition Urtext, Brochée. Par DEBUSSY CLAUDE. En 2012 sera célébré le 150e anniversaire de la naissance de Debussy. À cette occasion, nous lui rendrons hommage en présentant ses oeuvres pour piano en trois volumes brochés ou reliés en toile. La musique de piano étant notre point fort, nous tenions à attribuer à l'oeuvre de celui qui fut à l'origine du renouvellement de la musique de piano une place de choix dans notre catalogue. Depuis le début des années 1980, nous avons édité l'une après l'autre et à intervalles réguliers toutes les oeuvres importantes que Debussy écrivit pour le piano. Notre éditeur, Ernst-Günter Heinemann, collabora étroitement avec le musicologue français renommé François Lesure, spécialiste de Debussy, et présenta grâce à nos éditions Urtext de qualité toutes les facettes de la musique de Debussy. Dans les trois recueils, on trouvera, classées chronologiquement d'après leur date de parution et débutant par la 'Danse bohémienne' composée vers 1880, toutes les oeuvres de notre catalogue éditées séparément. En guise de 'bis', on a glissé dans le premier volume le prélude à la cantate 'La Damoiselle élue'. Chacun des trois volumes procure des grands moments pianistiques. Mais ils invitent également à découvrir Debussy, le classique-moderne, sous un autre angle: le compositeur de petites pièces moins connues. Bon anniversaire, Claude Debussy!/ Répertoire / Piano
60.50 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Adagio (Collection
Anacrouse) En Français Piano seul [Partition] EBR Editions Bourges
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix...(+)
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d'oeuvres classiques, allant de la Renaissance à l'époque moderne.Proposer tout à la fois des 'incontournables' du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d'une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l'unité, a fait l'objet d'un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l'établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces oeuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d'ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement.Si Tomaso Albinoni est célèbre aujourd'hui, c'est principalement grâce à son fameux Adagio en sol mineur pour orchestre à cordes et orgue. Pourtant c'est une oeuvre dont il n'est pas complètement l'auteur. Il s'agit en réalité d'un arrangement écrit par son biographe italien Remo Giazotto. Selon ce dernier, on aurait découvert en 1945, au milieu des ruines de la bibliothèque de Dresde bombardée pendant la Deuxième Guerre Mondiale, une 'Sonate en trio' composée par Tomaso Albinoni. Remo Giazotto se serait basé sur le mouvement lent de cette sonate pour écrire l'Adagio, qui nous paraît si familier à présent puisqu'il est cité dans plusieurs musiques populaires, ainsi que dans des bandes originales de films.Cette oeuvre au tempo lent a pour introduction une mélodie à l'orgue soutenue par les violoncelles et les contrebasses en pizzicato. Vient ensuite le thème en tutti puis une cadence effectuée par le violon soliste accompagné par l'orgue. On reprend ensuite le début de l'oeuvre, puis le tutti rentre dans un élan tragique. L'oeuvre se termine par un court solo de violon, toujours soutenu par le tapis sonore de l'orgue et de l'orchestre. / Piano Solo
7.50 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Partita n° 3 en la
mineur BWV 827 (BACH
JOHANN SEBASTIAN) Piano seul [Partition] G. Henle
Par BACH JOHANN SEBASTIAN. Les six partitas de Bach constituent sans doute le re...(+)
Par BACH JOHANN SEBASTIAN. Les six partitas de Bach constituent sans doute le recueil de suites le plus célèbre et le plus exigeant de toute l?histoire de la musique. Conscient de l?importance de ce cycle, chaque partita étant constituée de nombreux mouvements, il les fit d?abord imprimer séparément. Composées entre 1726 et 1730 à Leipzig, elles firent ensuite l?objet d?un recueil commun paru en 1731 fièrement numéroté «opus 1». La diversité des formes est sans limites, l?écriture musicale est constamment parcourue du contrepoint le plus raffiné, sans compter le plaisir toujours renouvelé de la virtuosité. Les éditions G. Henle présentent cette ?uvre magistrale dans une édition Urtext révisée qui s?appuie tant sur les éditions originales que sur des sources manuscrites, et documente en détail les nombreuses annotations figurant dans les épreuves ayant appartenu aux membres de l?entourage de Bach. Elle reproduit également les versions ornementées en annexe.
En parfaite résonnance avec la démarche de Bach, la Partita n° 3 en la mineur est disponible à la fois dans l?édition complète et dans une édition séparée maniable et peu onéreuse, idéale pour les étudiants des cours supérieurs et pour l?étude personnelle.
Très utiles, les doigtés du pianiste William Youn sont remarquablement ergonomiques, et s?ajustent avec précision et sensibilité à la construction du discours musical de Bach.
Les variantes intéressantes issues des différentes sources sont aisément accessibles en notes de bas de page ou entre parenthèses directement dans la partition.
En guise de bonus, cette édition comprend également une version plus tardive de la Gigue qui comporte de nombreux changements de hauteurs de notes par rapport à la version initiale. / Date parution : 2023-03-11/ Répertoire / Piano
8.50 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Partita n° 3 en la
mineur BWV 827 (sans
doigtés) (BACH JOHANN
SEBASTIAN) Piano seul [Partition] G. Henle
Par BACH JOHANN SEBASTIAN. Les six partitas de Bach constituent sans doute le re...(+)
Par BACH JOHANN SEBASTIAN. Les six partitas de Bach constituent sans doute le recueil de suites le plus célèbre et le plus exigeant de toute l?histoire de la musique. Conscient de l?importance de ce cycle, chaque partita étant constituée de nombreux mouvements, il les fit d?abord imprimer séparément. Composées entre 1726 et 1730 à Leipzig, elles firent ensuite l?objet d?un recueil commun paru en 1731 fièrement numéroté «opus 1». La diversité des formes est sans limites, l?écriture musicale est constamment parcourue du contrepoint le plus raffiné, sans compter le plaisir toujours renouvelé de la virtuosité. Les éditions G. Henle présentent cette ?uvre magistrale dans une édition Urtext révisée qui s?appuie tant sur les éditions originales que sur des sources manuscrites, et documente en détail les nombreuses annotations figurant dans les épreuves ayant appartenu aux membres de l?entourage de Bach. Elle reproduit également les versions ornementées en annexe.
En parfaite résonnance avec la démarche de Bach, la Partita n° 3 en la mineur est disponible à la fois dans l?édition complète et dans une édition séparée maniable et peu onéreuse, idéale pour les étudiants des cours supérieurs et pour l?étude personnelle.
Les variantes intéressantes issues des différentes sources sont aisément accessibles en notes de bas de page ou entre parenthèses directement dans la partition.
En guise de bonus, cette édition comprend également une version plus tardive de la Gigue qui comporte de nombreux changements de hauteurs de notes par rapport à la version initiale. / Date parution : 2023-03-11/ Répertoire / Piano
8.50 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
| Der Getreue Music Meister
(1728-1729) (TELEMANN
GEORG PHILIPP) Luth, Clavecin, Violon, Viole de
Gambe, Chalumeau, - Facile Anne Fuzeau Productions
Par TELEMANN GEORG PHILIPP. Edition : Hamburg, 1728.Présentation de Michel Gibo...(+)
Par TELEMANN GEORG PHILIPP. Edition : Hamburg, 1728.Présentation de Michel Giboureau : - Introduction - table des matières - index par instrument et voix - notes et commentaires.Les différents mouvements de chaque oeuvre sont répartis à plusieurs endroits du volume. Les index de Michel Giboureau donnent le détail de ces répartitions. / Niveau : Facile / Répertoire / Luth, Clavecin, Violon, Viole de Gambe, Chalumeau,
47.90 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Clavierbüchlein Of
Anna Magdalena Bach Piano seul [Partition] Wiener Urtext
Le 1725 Notebook de Anna Magdalena Bach est principalement célèbre pour les pi...(+)
Le 1725 Notebook de Anna Magdalena Bach est principalement célèbre pour les pièces telles que les deux Menuets en sol mineur majeur et G (nos 4 et 5 de la collection actuelle) et l'Aria di Giovannini. Ces trois, en effet, la majorité des pièces, n'étaient pas composés de j. s. Bach, mais par d'autres, souvent assez inconnus musiciens. Bien que commencée par son mari, Anna Magdalena Bach compilé le bloc-notes pour son propre usage domestique. Un atout certain pour la collection est la Suite de Clavecin par Christian Petzold, organiste à la Cour de Dresde, qui contient les deux Menuets mentionnés ci-dessus. / Piano / Partition
18.00 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
| Archet-Type Pour Quatuor
A Cordes En Français Quatuor à cordes: 2 violons,
alto, violoncelle Delatour France
Composé de cinq mouvements (Danse, Romance, Petite valse, Marche et Mélodie ...(+)
Composé de cinq mouvements (Danse, Romance, Petite valse, Marche et Mélodie populaire), Archet-Type a été écrit en 2004 pour une formation ' quatuor à cordes ',La Danse, en la mineur, est constituée de quatre parties distinctes : Moderato, Presto, Moderato et Presto, Les parties ' Moderato ' s''appuient sur un motif mélodique récurrent tandis que les parties ' Presto ' se construisent surtout sur un motif rythmique plutôt instable,La Romance est un mouvement aux multiples facettes, en changement permanent, Les tonalités et les couleurs instrumentales nous font osciller entre sérénité, tristesse, légèreté et gravité,La Petite valse, en do Majeur, est un mouvement doté d''une mélodie pétillante et d''un petit côté swing nécessaires à sa légèreté et sa candeur, Toutefois, la partie du milieu -en la mineur- laisse penser que tout n''est pas toujours aussi simple et qu''une ombre plane toujours ,,,La Marche, en la mineur, est construite sur un élément rythmique récurrent exposé à l''alto puis repris tour à tour par les autres membres du quatuor, De cet ostinato naîtra ensuite la mélodie qui sera entendue jusqu''à la fin du mouvement,La Mélodie populaire, en do mineur, est un mouvement imaginé ' à la façon de ,,, ', Il s''agit d''un ' thème et variations ' sur une mélodie originale mais cherchant à imiter un thème ' populaire ', L''utilisation des pizzicati et des contretemps évoque un accompagnement joué à la guitare, / Quatuor A Cordes
38.40 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| 17 Suites Pour Clavecin,
Manuscrit Inédit Cor et Piano [Conducteur et Parties séparées] Martin, Robert
17 suites pour clavecin : - Manuscrit inédit (non daté)Le recueil manuscrit or...(+)
17 suites pour clavecin : - Manuscrit inédit (non daté)Le recueil manuscrit original comporte 28 oeuvres : 17 de Graupner, les autres de Haendel, Telemann et Kuhnau. Notre fac-similé ne reproduit que les suites de Graupner.Présentation : Restauration du manuscrit - Introduction d'Oswald Bill (spécialiste de ce compositeur) / Clavecin / 160 pages / niveau : 1 / Fac-Similés - Format: 23.5 X 32.5
66.50 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Debussy, Claude : Oeuvres
pour Piano - Volume I Piano seul [Partition] G. Henle
En 2012 sera célébré le 150e anniversaire de la naissance de Debussy.
(+)
En 2012 sera célébré le 150e anniversaire de la naissance de Debussy.
À cette occasion, nous lui rendrons hommage en présentant ses oeuvres pour piano en trois volumes brochés ou reliés en toile.
La musique de piano étant notre point fort, nous tenions à attribuer à l?oeuvre de celui qui fut à l?origine du renouvellement de la musique de piano une place de choix dans notre catalogue.
Depuis le début des années 1980, nous avons édité l?une après l?autre et à intervalles réguliers toutes les oeuvres importantes que Debussy écrivit pour le piano. Notre éditeur, Ernst-Günter Heinemann, collabora étroitement avec le musicologue français renommé François Lesure, spécialiste de Debussy, et présenta grâce à nos éditions Urtext de qualité toutes les facettes de la musique de Debussy.
Dans les trois recueils, on trouvera, classées chronologiquement d?après leur date de parution et débutant par la «Danse bohémienne» composée vers 1880, toutes les oeuvres de notre catalogue éditées séparément.
En guise de «bis», on a glissé dans le premier volume le prélude à la cantate «La Damoiselle élue». Chacun des trois volumes procure des grands moments pianistiques.
Mais ils invitent également à découvrir Debussy, le classique-moderne, sous un autre angle: le compositeur de petites pièces moins connues.
Bon anniversaire, Claude Debussy!? / Classique / Partition /
83.35 EUR - vendu par Note4Piano Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Pièces En Trio
Pour Les Flûtes,
Violons Et Dessus De
Viole Instrument(s) Et Basse Continue (2
Instruments De Dessus Et Basse
Continue) Anne Fuzeau Productions
Edition : Paris, l'Auteur, Hurel, Bonneüil, Foucault, 1692Les parties de dessus...(+)
Edition : Paris, l'Auteur, Hurel, Bonneüil, Foucault, 1692Les parties de dessus de ces pièces en trio peuvent être jouées par des flûtes traversières ou des flûtes à bec, des violons, des dessus de viole ou des hautbois. La préface donne le catalogue des oeuvres de Marin Marais et une analyse de l'agrémentation des pièces en trio. - Présentation de :Jean Saint-Arroman :L'agrémentation des pièces en trioPhilippe Lescat : Catalogue de l'oeuvre de Marin Marais3 parties instrumentales séparées : 1er dessus - 2eme dessus - basse continue / Instrument(s) Et Basse Continue (2 Instruments De Dessus Et Basse Continue) / 364 pages / niveau : 1 / Fac-Similés - Format: 23.5 X 31.5
110.30 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Suite Française I - ré
mineur BWV 812 (BACH
JOHANN SEBASTIAN) Piano seul [Partition] G. Henle
Par BACH JOHANN SEBASTIAN. Les Suites françaises de Bach font partie de ses ?uv...(+)
Par BACH JOHANN SEBASTIAN. Les Suites françaises de Bach font partie de ses ?uvres pour clavier les plus populaires et sont très volontiers utilisées également dans l?enseignement. Tel était d?ailleurs le cas dès l?époque de leur naissance, si bien que nous disposons aujourd?hui d?un nombre difficilement calculable de copies effectuées dans le cercle des élèves de Bach, copies qui nous transmettent de nombreuses variantes probablement authentiques. C?est avec une clarté exemplaire que le responsable d?édition, Ullrich Scheideler, décortique la complexité de l?état des sources dans la présente édition révisée Henle Urtext.
La Suite n° I en ré mineur BWV 812 est empruntée au volume de l?intégrale HN 593 et se prête en tant qu?édition séparée maniable et abordable à merveille pour l?enseignement. Ces qualités ne sont pas seulement dues au précieux doigtés de Michael Schneidt, mais aussi au traitement de l?ornementation: des signes complémentaires empruntés aux textes des copies anciennes sont reportés dans la partition, et leur exécution est expliquée dans la Préface, si bien que cette édition Urtext offre également une remarquable introduction à la pratique d?ornementation baroque. Autre avantage de cette édition: d?intéressantes divergences observées entre les différentes sources sont ici aisément accessibles dans les notes de bas de page. En résumé: une initiation idéale au monde des Suites de Bach! / Date parution : 2022-04-05/ Répertoire / Piano
8.50 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
Page suivante 1 31 61 ... 241
|