Toutes les chansons de l'album, arrangé pour voix et guitare en notation standard et tablature guitare facile. Comprend les paroles et les symboles de la corde. Après avoir terminé leur tournée européenne en 2001 de ' Parachutes ', leur chanteur, Chris Martin a insisté pour qu'il était ' sèche '. Cet album est le résultat de l'angoisse et l'inquisition qu'ils affrontaient de la presse britannique, qui avait été décidée à l'idée de la dissipation du groupe / Guitare / 64 pages / Partition

Par KISSIN EVGENY. Le Quatuor à cordes op. 3 d'Evgeny Kissin, dont le langage musical est proche de la musique de Dimitri Chostakovitch, est constitué de quatre mouvements fortement contrastés: au modéré 'Adagio liberamente' du début succède un 'Allegro inquieto' extrêmement vivant, parsemé de glissandi et se mouvant entre des dynamiques extrêmes. Le 3e mouvement, intitulé 'Largo drammatico', est animé d'un insistant motif rythmique fortement pointé, tandis que le dernier mouvement, après une introduction surmontée de l'indication 'Pensierosamente, ma mantenendo strettamente il ritmo puntato' ('Pensivement, mais en conservant strictement le rythme pointé'), enchaîne sur un Finale 'Moltoallegro e sarcastico' fulminant traversé d'éléments de fugato et, comme tous les autres mouvements, imprégné de dodécaphonisme. Cette oeuvre exigeante d'un bon quart d'heure a été conçue en 2015-2016 et enregistrée pour la première fois chez Nimbus Records par le Quatuor Kopelmann en 2018. Le Quatuor à cordes op. 3 d'Evgeny Kissin, dont le langage musical est proche de la musique de Dimitri Chostakovitch, est constitué de quatre mouvements fortement contrastés: au modéré 'Adagio liberamente' du début succède un 'Allegro inquieto' extrêmement vivant, parsemé de glissandi et se mouvant entre des dynamiques extrêmes. Le 3e mouvement, intitulé 'Largo drammatico', est animé d'un insistant motif rythmique fortement pointé, tandis que le dernier mouvement, après une introduction surmontée de l'indication 'Pensierosamente, ma mantenendo strettamente il ritmo puntato' ('Pensivement, mais en conservant strictement le rythme pointé'), enchaîne sur un Finale 'Moltoallegro e sarcastico' fulminant traversé d'éléments de fugato et, comme tous les autres mouvements, imprégné de dodécaphonisme. Cette oeuvre exigeante d'un bon quart d'heure a été conçue en 2015-2016 et enregistrée pour la première fois chez Nimbus Records par le Quatuor Kopelmann en 2018./ Répertoire / 2 Violons, Alto, Violoncelle

Par KISSIN EVGENY. Le Quatuor à cordes op. 3 d'Evgeny Kissin, dont le langage musical est proche de la musique de Dimitri Chostakovitch, est constitué de quatre mouvements fortement contrastés: au modéré 'Adagio liberamente' du début succède un 'Allegro inquieto' extrêmement vivant, parsemé de glissandi et se mouvant entre des dynamiques extrêmes. Le 3e mouvement, intitulé 'Largo drammatico', est animé d'un insistant motif rythmique fortement pointé, tandis que le dernier mouvement, après une introduction surmontée de l'indication 'Pensierosamente, ma mantenendo strettamente il ritmo puntato' ('Pensivement, mais en conservant strictement le rythme pointé'), enchaîne sur un Finale 'Moltoallegro e sarcastico' fulminant traversé d'éléments de fugato et, comme tous les autres mouvements, imprégné de dodécaphonisme. Cette oeuvre exigeante d'un bon quart d'heure a été conçue en 2015-2016 et enregistrée pour la première fois chez Nimbus Records par le Quatuor Kopelmann en 2018. Le Quatuor à cordes op. 3 d'Evgeny Kissin, dont le langage musical est proche de la musique de Dimitri Chostakovitch, est constitué de quatre mouvements fortement contrastés: au modéré 'Adagio liberamente' du début succède un 'Allegro inquieto' extrêmement vivant, parsemé de glissandi et se mouvant entre des dynamiques extrêmes. Le 3e mouvement, intitulé 'Largo drammatico', est animé d'un insistant motif rythmique fortement pointé, tandis que le dernier mouvement, après une introduction surmontée de l'indication 'Pensierosamente, ma mantenendo strettamente il ritmo puntato' ('Pensivement, mais en conservant strictement le rythme pointé'), enchaîne sur un Finale 'Moltoallegro e sarcastico' fulminant traversé d'éléments de fugato et, comme tous les autres mouvements, imprégné de dodécaphonisme. Cette oeuvre exigeante d'un bon quart d'heure a été conçue en 2015-2016 et enregistrée pour la première fois chez Nimbus Records par le Quatuor Kopelmann en 2018./ Répertoire / 2 Violons, Alto, Violoncelle

10 pièces simples et motivantes par volume pour découvrir le Boogie-Woogie. Les exercices préparatoires à l'interprétation des pièces insistent sur le travail de la main gauche qui est capital dans ce style puisque le balancement du 'Boogie-Woogie?, forme variante du jazz, repose entièrement sur la ligne de basse ! / Piano (Ou Clavier) / 36 pages / niveau : Facile - Elémentaire / Partition

Par CHEPELOV PIERRE / MENUT BENOIT. Tout en poursuivant le développement des paramètres rythmique et mélodique dans la suite des volumes précédents, les auteurs insistent sur la maîtrise des gammes, des modulations, du système tonal en général, mais aussi des modes naturels et autres échelles, sans oublier le développement de la perception des degrés, des quatre cadences principales, des accords de septième, ainsi que celui de la pratique des clés (Sol, Fa, Ut3, Ut4, Ut1) et l\'approche de la transposition à l\'oral et à l\'écrit. / Date parution : 2022-01-14/ Répertoire / Formation Musicale

Par PEPIN CAMILLE. Création du 25 août 2019, à l’abbaye de Silvacane dans le cadre du Festival de Quatuors du Lubéron, par le Quatuor Auryn. Feuilles d’eau de Silvacane est une œuvre pour quatuor à cordes dédiée au Quatuor Auryn. Créée durant l’été 2019 à l’Abbaye de Silvacane dans le sud de la France, la pièce fait tout d’abord écho aux motifs ornementaux typiques des abbayes cisterciennes du XIIè siècle appelés les « feuilles d’eau ». Il s’agit de feuilles qui s’évasent et se replient en volutes, décorant les chapiteaux de colonnes qui portent les retombées des voûtes. Ces sobres motifs m’inspiraient déjà un matériau musical à transformer durant toute la pièce. Mais le titre fait aussi référence au magnifique travail de Fabienne Verdier [1] dans ses Feuilles d’eau de Silvacane (2004) : une série de six toiles de 46 x 27,5cm réalisées avec de l’encre, des pigments et du vernis. Elle représente six feuilles d’eau à l’encre noire diluée sur fond gris (la pierre de Silvacane). Un petit carré rouge représente l’alchimie - le feu intérieur menant à la transcendance - sur chacune des toiles. Pour la coloriste et l’amoureuse des textures instrumentales que je suis, la technique de Fabienne Verdier est fascinante. Elle s’inspire du style calligraphique chinois intitulé l’herbe folle : impression fugitive, improvisation extravagante née d’une pulsion intérieure. Cette démarche artistique trouve résonance en moi car le « déclic » amenant l’idée qui va irriguer toute une pièce se fait toujours de manière surprenante. Je ne sais jamais véritablement comment cette idée abstraite a soudain pu devenir concrète et couchée sur le papier ! Pendant l’écriture de cette pièce, j’avais donc à l’esprit cette sobriété des abbayes cisterciennes et les images de cette encre diluée, liquide et diaphane, sur les toiles de Verdier. Mais j’ai bien sûr pensé à la feuille de la nature elle-même ! J’ai cherché diverses palettes de couleurs et de grains pour habiller la sonorité du quatuor à cordes et nourrir la matière comme la sève nourrit une plante. J’ai utilisé un matériau organique se régénérant et se renouvelant sans cesse. Il inonde toute la pièce au fil des images que j’avais. Tout d’abord, celle de l’aube fraîche et brumeuse et des gouttes de rosée qui perlent sur les feuilles (pizzicati du début) - des reflets irisés du soleil naissant sur les feuilles - des rayons de lumière faibles et instables qui tentent de percer à travers les feuillages (trémolos d’harmoniques). Ces derniers se font de plus en plus insistants pour émerger de ces aplats fondus à la texture bruissante et dont le reprises d’archet sont imperceptibles. Le grain change (sur le chevalet, sur la touche, flautando, ricochets) comme la lumière varie de couleur et d’intensité au cours d’une journée. Ce sont autant de touches impressionnistes qui se fondent et se diluent dans la matière. Elles laissent place à une partie centrale brillante et dansante à la pulse inépuisable, célébrant ainsi la force mystérieuse et vitale de la matière végétale toujours en transformation. La pièce se termine par l’éclat de la lune se levant sur les jardins de Silvacane, baignant ainsi les feuilles d’eau de cette lueur crépusculaire. Camille Pépin/ Répertoire / Quatuor à Cordes

Des Fleurs du mal'ostensiblement s'insère dans le modèle traditionnel de la Sonate pour piano de trois mouvements et est conforme à la forme sonate rudimentaire. Pourtant, les restrictions formelles, dont la prédominance du motif unique établi par l'insistance de la tierce mineure, génèrent une rage pour la liberté dans son : ici, Baudelaire est interprété par le biais de ses Fleurs du mal comme le maître de délire et le visionnaire. / Piano

d'après The Turn of the Screw d'Henry James. Par GUILLOU JEAN. Though the work bearing this title is a portrait of childhood, it is a childhood quite different from the purely gameplaying and dreamlike childhood that is customarily represented. The childhood described here is carrying the seed, in all its purity, of all positive and negative qualities to be found the fully-grown men: a childhood both angelic and diabolical, and indeed very close to Henry James' 'The Turn of the Screw' which was the direct inspiration for this monodrama. Its growth follows the innumerable sudden changes, turns and contrasts of the unsophisticated spirit. There is hardly any development at all, as each idea gives birth to the next or rejects the previons one, being object to every impulse, every tempest, every flux, every fear and delight. After a dreamlike introduction, in which two simple melodies stand out, comes a sudden awakening, Allegro, stamped all over with lavish and forever regenerating dynamism. A sudden halt leads a kind of outburst from the most simple folklore is singing, in regular, repeated notes. Again the question mark leads us to another melody, Tranquillo, of a sweet tempo, but brilliantly decorated with counter-point, its cursive traits leading this time to a kind of roguish march (Vigoroso). Yet soon there emerges a melancholic chant, Largo, in the Cromorne's timbre, and then, in the highest register of the Trumpet there reappears like a metamorphosed memory, the theme of the second movement. Passing other episodes, we come to Tempo giusto, insistent and glorious, interrupted by other passionate figures, cut off by unsettling silent moments and taken up again in always accelerating volleys./ Répertoire / Orgue

Par PEREZ-RAMIREZ MARCO-ANTONIO. Shouting Silences n'est pas née d'une image mentale qui lui aurait préexisté. Elle a été construite au présent, sans anticipation, dans la pratique quotidienne de mon écriture musicale. Cette manière d'aborder la création me permet d'écrire une musique de l'Instant, de l'Instinct et surtout, sans forme pré-établie. La forme n'a plus d'importance pour moi, elle existe, mais est issue simplement du rapport des masses en présences, de la diversité des dynamiques et de la profondeur d'articulation. C'est ainsi une musique sans cesse en mouvement, dans le passage et le déséquilibre permanent, où les voix se rompent et glissent les unes sur les autres. L'Elan vital y est le moteur de chaque instant. Le passage c'est à la fois le relais et la transformation. C'est ce qui m'intéresse principalement dans le fonctionnement de notre cerveau. Comment la pensée, la vision, l'audition deviennent parole... Comment l'expérience des différents arts, de la littérature ou de la philosophie passent dans ma musique... Il n'y a pas de stabilité, mais un déséquilibre constant, le passage incessant de quelque chose à quelque chose d'autre - rien ne s'arrête jamais, tout se transforme en permanence au moment de l'écriture. Ainsi la création, la découverte, sont présentes à chaque instant de l'écriture, à chaque mesure. 'J'apprends, je découvre ce que je cherche en peignant. Ainsi j'ai rencontré souvent ce que je n'attendais pas. Connaître à l'avance ce que l'on cherche c'est déjà l'avoir trouvé',Pierre Soulages. Shouting silences est une ligne rompue, violente, répétée avec insistance, de là jaillissent tensions et énergies. Cette tension tente d'être maximale à chaque instant, mais ce climax se déplace, se dérobe sans cesse. Cette pièce est aussi un réseau complexe de connexions, d'une précision chirurgicale, comme dans notre cerveau, mais que j'espère toujours sensuel et porteur de sens, jamais gratuit. Shouting silences est dédiée, à ma famille et à mes amis proches. Marco-Antonio Pérez-Ramirez / contemporain / Répertoire / Violoncelle et Ensemble

Die Wut über den Verlorenen Groschen. Par BEETHOVEN LUDWIG VAN. Composé en 1794/1795, le Rondo pour piano doit sa célébrité essentiellement à son sous-titre Die Wut über den verlorenen Groschen («Colère pour un sou perdu»). Pour autant, ce dernier ne lui vient pas du compositeur, mais a été ajouté au manuscrit autographe de main étrangère. Dans son titre original, Beethoven lui-même souligne le style all?ungharese («à la hongroise») qu?il déforme en Ingharese, insistant ainsi encore davantage sur le caractère humoristique de cette pièce pleine de tempérament. Robert Schumann ne s?y trompa pas: «Difficile de trouver plus drôle que cette facétie. Récemment, j?ai ri tout du long en le jouant pour la première fois.». La révision de l?édition Urtext conformément au dernier état de la recherche musicologique est signée de la spécialiste de Beethoven Joanna Cobb Biermann, tandis que le pianiste chinois Haochen Zhang partage avec nous ses doigtés pour cette ?uvre particulièrement populaire. / Date parution : 2023-03-11/ Répertoire / Piano

Kammeroper Nr. 2. Par RIHM WOLFGANG. Chamber opera does not mean “little opera.” On the same scale as chamber music is to the symphony, it is rather the other way of talking onstage. The movable apparatus permits sophisticated voice-leading. A large ensemble demands simple conception to achieve the complexity it perhaps intends; this can be formulated more sharply and nuanced in a chamber ensemble. Therefore it is the subject which this type of presentation must sustain – or, better, provoke. Büchner’s Lenz is a description of the conditions within a process of collapse, moments of destruction already occurred but not yet accepted, evident in the points of contact with the environment. And it was those points of contact which Michael Fröhling attempted to reconstruct onstage. Lenz’s distraught state is always the same; only the proximity of the environment to that distraught state grows and ebbs. The musical consequence An hour of extreme chamber music results from this description: always bound for the main character – actually, not a commentary, but the main character himself as a multilayered level of action. Although Lenz acts on many levels – or tries to or believes he is – he has no room to manoeuvre. That is why he is also tightly interwoven in his sonic surroundings; the voices which only he hears are just as much himself as the two men with whom he foregathers (the liberal pragmatist Oberlin and the alert merchant who always “does the right thing” in every situation) – they evoke responses which he deeply desires. Omnipresent Friederike is just as much his inner world as Nature is – Nature, which he can no longer perceive unless it is personified, enlivened or dead. Therefore, the music’s task is both to motivate the “situation” (atmospherically) and to be the psychological constant (via a network of entangled references per se) in an action as it is played out. The compositional process December 1977 to June 1978 – a period identical to the stepwise understanding of an existence as that of Jakob Lenz. Yet the more the historical figure became precisely attendant in my intellect in terms of data and atmosphere, the more it retreated in favour of a cipher of disturbance as I began to understand Lenz. Thence the explanation for the failure of the attempts to approach him – including my attempt to interpret him via musical representation – because, essentially, Lenz himself is the failure. Only the naked stages of that failure remain portrayable, i.e. including the failure of those who wish to “help” Lenz, for example, while Lenz himself is already trapped inextricably in a state of complete destruction. I tried to compose my way into that situation as far as possible; the insistence of several rhythmic and harmonic configurations is the palpable expression of the main character’s ever-recurring rigidity. One sound pervades the entire work. The musical stage For me, this is a place where very magical and very human things take place. In Jakob Lenz, the human aspects often switch to magical ones, since the realism of a self-suasive, unhinged soul takes on surreal traits – or we simply cannot understand that otherwise except as not being real. A character like Jakob Lenz on the stage is complex due to the fact alone that it harbours many stages within itself, and music must represent those constantly present stages. I have tried to do so in the most direct way – by not cleanly separating the musical layers, but keeping them constantly in evidence until they must break forth, each in accord with its own dramaturgy. In an overview, the large form takes on aspects of a rondo, performed in overlapping layers – a type of rondo relief, since perspectives of psychological proximity and distance are indeed formulated musically as atmospheric relations. Above all: the thread on which Jakob Lenz hangs is the current onto the listeners’ hearts. Wolfgang Rihm (January 1979)/ Répertoire / Chant et Piano

10 pièces simples et motivantes par volume pour découvrir le Boogie-Woogie. Les exercices préparatoires à l'interprétation des pièces insistent sur le travail de la main gauche qui est capital dans ce style puisque le balancement du 'Boogie-Woogie?, forme variante du jazz, repose entièrement sur la ligne de basse ! / Piano (Ou Clavier) / 28 pages / niveau : Facile / Partition

from Porgy and BessInstrument : string quartet (double bass ad lib.)Type : score and partsNombre de Pages : 16There is hardly any other lullaby in the field of classical music - apart from Brahms' 'Guten Abend, gute Nacht' - that has gained such popularity as George Gershwin's (1898-1937) 'Summertime'. It is a song from his opera Porgy and Bessâ'' which was premiered in New York on 10 October 1935 with only moderate success at first. Every important jazz musician insisted on presenting his own version of this rather evocative and catchy song with which Clara rocks her child to sleep at the beginning of the opera. The present version now offers the opportunity to play this famous 'Summertime' with a string quartet (and double-bass ad lib.) or string orchestra - let's swing!

Tout en poursuivant le développement des paramètres rythmique et mélodique dans la suite des volumes précédents, les auteurs insistent sur la maîtrise des gammes, des modulations, du système tonal en général, mais aussi des modes naturels et autres échelles, sans oublier le développement de la perception des degrés, des quatre cadences principales, des accords de septième, ainsi que celui de la pratique des clés (Sol, Fa, Ut3, Ut4, Ut1) et l'approche de la transposition à l'oral et à l'écrit. / Méthodes et pédagogie / Formation musicale / Formation musicale - solfège / HAL LEONARD