| DOBERMAN YPPAN SILVIUS
LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.4 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Menuet 1 (WSW 1.8) Menuet 2 (WSW 1.9) Gavotte (WSW 1.10) Gavotte et Double (WSW 2.8/WSW 2.9) Prélude (WSW 4.1) Ouverture (WSW 4.2) Courante (WSW 4.3) Bourrée (WSW 4.4) Allegro (WSW 1*) Courante Royale (WSW 2*) Prélude (WSW 10.1) [Menuet '] (WSW 4*) Fuga (WSW 6*) Fuga (WSW 7*) L'Amant malheureux (WSW 8*) Fantasie (WSW 9*) [Menuet] (WSW 10*) Plainte (WSW 15.1) Tombeau du Baron d'Hartig (WSW 11*) [Bourrée '] (WSW 12*) Menuet (WSW 13*) Gavotte (WSW 14*) Menuet (WSW 15*) Praelude [and Fugue] (WSW 17*) [Menuet] (WSW 18*) Trio (WSW 19*) Bourrée (WSW 31.7*) Tombeau de Logy (WSW 20*) Prélude de Weiss (WSW 21*) Fantaisie (WSW 24*) Menuet (WSW 22*) Gavotte (WSW 23*) Capricio (WSW 25*) Menuet 1 (WSW 26*) Menuet 2 (WSW 27*) Mademoiselle Tiroloise (WSW 28*) Bourrée (WSW 13.4) / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
42.90 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
| DOBERMAN YPPAN SILVIUS
LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.1 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Sonata 1 (WSW 1) en mi M Sonata 2 (WSW 2) en ré M Sonata 3 (WSW 3) en sol m Sonata 4 (WSW 5) en sol M Sonata 5 (WSW 7) en ré m Sonata 6 (WSW 10) en mi M Sonata 7 (WSW 11) en ré m Sonata 8 (WSW 12) en la M Sonata 9 (WSW 13) en ré m / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
53.10 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
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LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.2 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Sonata 10 (WSW 15) en la M Sonata 11 (WSW 16) en sol M Sonata 12 (WSW 17) en do M Sonata 13 (WSW 18) en ré M Sonata 14 (WSW 19) en mi M Sonata 15 (WSW 21) en mi m Sonata 16 (WSW 22) en sol M Sonata 17 (WSW 23) en la M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
55.40 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
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LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.3 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Sonata 18 (WSW 24) en do M Sonata 19 (WSW 25) en sol m Sonata 20 (WSW 26) en ré M Sonata 21 (WSW 27) en ré m Sonata 22 (WSW 28) en mi M Sonata 23 (WSW 29) en la m Sonata 24 (WSW 30) en mi M Sonata 25 (WSW 31) en mi M Sonata 26 (WSW 32) en mi M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
55.40 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
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LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.5 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Concert d'un luth et d'une flûte traversière WSW 6 Concert d'un luth avec une flûte traversière WSW 8 Concert d'un luth avec la flûte traversière WSW 9 Duo 4 WSW 14 en sol m Duo 5 WSW 20 en ré m / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
62.10 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
| Murail Tristan - Une
Relecture Des
Kinderszenen De Robert
Schumann Lemoine, Henry
MURAIL Tristan Une relecture des Kinderszenen de Robert Schumann Discipline...(+)
MURAIL Tristan Une relecture des Kinderszenen de Robert Schumann Discipline / Instrument : Relecture pour flûte, violoncelle et piano Création 03/03/2019 - Segry, Abbaye de La Prée - Samuel Bricault (flûte), Marie Ythier (violoncelle), Marie Vermeulin (piano) Notice [...] Enfin, pour bien illustrer cette rencontre qui est le thème de cet album, l'idée a germé, et s'est rapidement imposée, d'une réalisation que je ferais d'une oeuvre de Schumann, et qui constituerait le lien le plus évident entre les deux mondes sonores. Cette réalisation serait donc naturellement écrite pour les trois partenaires du disque, violoncelle, flûte et piano. L'idée m'est vite venue que les Kinderszenen (Scènes d'enfants) seraient parfaites pour ce projet. En effet, les Scènes d'enfants ont un potentiel musical, expressif, évocateur, qui dépasse de loin la réalisation pour piano de Schumann. Sans doute a-t-il voulu rester simple et facile - dans son esprit, les pièces devaient être jouables par des enfants. Je ne suis pas sûr que ce soit vraiment le cas... certaines pièces ne sont pas si faciles, d'autres supposent des écarts inaccessibles à une main d'enfant. Mais presque toutes sont de petits chefs-d'oeuvre, avec une grande puissance imaginative, reposant pourtant sur des idées simples et concises. Comment alors aborder cette réalisation, ou plutôt ce qui deviendra une relecturs : le regard d'un compositeur sur un autre compositeur ? J'ai vite écarté l'idée d'une instrumentation dans un style d'époque plausible - qui n'aurait presque rien apporté aux pièces originales, aussi bien que celle d'une trop profonde réécriture risquant d'aboutir à une trahison. J'ai cherché, finalement, à faire bénéficier les pièces de Schumann d'une mise en couleurs (comme on colorise de vieux films originellement en noir et blanc), d'une amplification des idées et des sentiments, tout en restant le plus fidèle à la lettre comme à l'esprit de la partition. J'ai repensé, toutes choses égales par ailleurs - car nous ne sommes là pas du tout à la même échelle -, à l'exemple magnifique des Tableaux d'une exposition orchestrés par Ravel. Ravel n'avait pas simplement orchestré le piano, il avait cherché à retrouver, cachée derrière la réalisation pianistique de Moussorgski, l'essence même des idées musicales qui avaient en fait préludé à la réalisation pour le piano, qui n'en était clairement qu'une des réalisations possibles. Fort de ces réflexions, je n'ai pas hésité, pour mon regard sur les Scènes d'enfants, à utiliser toute la moderne palette des techniques instrumentales, démultipliant ainsi les timbres disponibles et les effets acoustiques résultants de leurs combinaisons. Le flûtiste joue souvent la flûte alto, au timbre si chaud et expressif, au registre grave qui permet par endroit au violoncelle de chanter la voix supérieure. Le violoncelle est employé dans toutes ses possibilités d'articulations, de timbre, et de registre, changeant très vite d'un mode de jeu et d'une sonorité à l'autre. Réutilisant une approche de l'instrumentation que j'avais déjà mise en oeuvre dans des pièces telles que La Barque mystique, je fais rapidement changer de rôle chaque instrument, donnant ainsi l'illusion d'une orchestration bien plus nombreuse qu'un simple trio. J'ai donc cherché à accentuer le caractère de chacune des pièces, et à retrouver les intentions cachées derrière la simplicité du piano de Schumann, et j'ai ainsi obtenu des contrastes que la version originale ne permet pas - ou permet moins. Pour amplifier le côté enfantin ou féérique de la musique, je me suis autorisé quelques ajouts, que j'évoquerai plus loin ; néanmoins j'ai voulu respecter le texte intégralement, en ce sens que pas une note ne manque de la partition originale, que les harmonies tonales sont intégralement respectées, de même que l'écriture rythmique. En revanche, de concert avec les interprètes, nous n'avons pas toujours suivi les mouvements métronomiques indiqués par Schumann, qui paraissaient souvent trop rapides (il y a d'ailleurs parfois quelques contradictions entre les commentaires de Schumann sur ses pièces, et les tempi indiqués). Les pièces originales, probablement en raison des contraintes mentionnées plus haut, sont cantonnées dans les registres médium et médium-grave. J'ai décidé de les éclaircir par endroit, en ajoutant des résonances ou doublures aiguës, ou à l'inverse d'ajouter quelques notes plus graves pour donner plus de corps à la sonorité. C'est donc ainsi qu'une étrange sonorité (bisbigliando de flûte, trille d'harmoniques du violoncelle) introduit la première pièce, puis plane au-dessus d'elle (Von fremden Ländern und Menschen = Des Pays et des hommes étrangers - ou étranges), que Hasche-Mann (Colin-Maillard) deviendra encore plus furtif, tandis que le Cheval de bois (Ritter vom Steckenpferd) claquera, soufflera et hennira. Fürchtenmachen fera vraiment peur ! Dans l'ultra-célèbre Rêverie (Traümerei), après l'énoncé du thème dans ce registre si expressif de l'aigu du violoncelle, le piano prendra soudain la parole, comme dans un concerto romantique. Comme je le disais plus haut, quelques éléments enfantins viendront, à l'occasion, s'ajouter à la trame sonore : petite boîte à musique (dans l'aigu du piano) dans la première et la dernière pièce, sons percussifs col legno du violoncelle dans Wichtige Begebenheit (Evénement important) - transformé pour l'occasion en marche militaire pour soldats de plomb... Et finalement, l'enfant s'endormira (Kind im Einschlummern), bercé par le violoncelle se balançant entre ponticello et ordinario, et apaisé par les sons éoliens de la flûte... J'espère que les auditeurs partageront le plaisir que j'ai eu à imaginer cette relecture, et que nous avons eu à l'enregistrer ; un grand merci aux trois interprètes, Marie Ythier, Marie Vermeulin, et Samuel Bricault, pour leur participation enthousiaste à cette entreprise, et pour leurs nombreuses et judicieuses suggestions.
50.70 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| Ich Hatte Viel
Bekümmernis (BACH
JOHANN SEBASTIAN) Chorale SATB SATB, Piano BARENREITER
Kantaten. Urtext Der Neuen Bach-Ausgabe. Par BACH JOHANN SEBASTIAN. The cantata ...(+)
Kantaten. Urtext Der Neuen Bach-Ausgabe. Par BACH JOHANN SEBASTIAN. The cantata ' Ich hatte viel Bekümmernis ” dates from around 1713 and was probably performed for the first time that year in the Liebfrauenkirche in Halle . Its assigning to the third Sunday after Trinity probably only occurred the following year. With its large-scale structure and strong emphasis on biblical texts, it was extremely popular in the 19th century and remains one of Bach's best-known cantatas today. The cantata is published here in a vocal score based on the New Bach Edition with an idiomatic, straightforward piano reduction by Martin Focke .
- One of Bach's best-known cantatas
- Urtext based on the ' New Bach Edition”
- Clear straightforward piano reduction/ Répertoire / Solistes (SATB), Choeur Mixte (SATB) et Orchestre
15.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| A Box of Darkness With a
Bird in Its Heart
(MENDONCA VASCO) Violon [Partition] Leduc, Alphonse
Par MENDONCA VASCO. 'Terrance Hayes? series of sonnets is an extraordinary colle...(+)
Par MENDONCA VASCO. 'Terrance Hayes? series of sonnets is an extraordinary collection of poems: his poetry captures the spiralling social and political chaos in America (and the world) in a way no newspaper article or scholarly essay has been able to; his words have the rare quality of clarifying a collective feeling that is messy and confusing, an elusive and disturbing combination of fear, hope, perhaps despair. I have never personally experienced (and probably never will) the reality Hayes writes about: the oppression, danger and ambiguity he reflects upon are alien to my own experience. But I nevertheless felt compelled to create something inspired by his words. To engage - how can you not engage' The first movement of ''A Box of Darkness with a Bird in its Heart'' is a hurtful ostinato with an uneven, organic pulse - not unlike the way we breathe under physical or emotional strain. The second is a quiet, delicate birdsong; its very high melody almost a secret that?s unwillingly shared - followed by an expressive lament. The ending in the low register brings me the image of a viola da gamba played outside in a warm summer night, a distant tale of violence and loss. In the final movement the energy picks up, in a relentless and unforgiving mechanism of pizzicati. This piece was written for the wonderful violinist Diana Tishchenko, and is dedicated to her. (Vasco Mendonça)' / Date parution : 2022-04-26/ Répertoire / Violon
27.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| First 50 Guitar Duets You
Should Play 2 Guitares (duo) [Partition] Hal Leonard
If you're new to the guitar, you are probably eager to learn some songs. This bo...(+)
If you're new to the guitar, you are probably eager to learn some songs. This book features special arrangements in standard notation of a variety of songs from pop/rock hits and standards to show tunes and movie themes that guitarists can play with a teacher or band. Includes: Chopsticks · Clocks (Coldplay) · Eleanor Rigby (The Beatles) · Game of Thrones Theme · Hallelujah (Leonard Cohen) · Linus and Lucy (from A Charlie Brown Christmas) · Memory (from Cats) · Over the Rainbow (from The Wizard of Oz) · Star Wars (Main Theme) · What a Wonderful World (Louis Armstrong) · You Raise Me Up (Josh Groban) · and many more./ Recueil / Guitare
22.80 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Ragtime Rage Piano seul Bosworth
Ragtime is a word probably derived from 'ragged time'. It began to flourish in t...(+)
Ragtime is a word probably derived from 'ragged time'. It began to flourish in the 1890's, its basis being strong syncopation in both melody and accompaniment. Scott Joplin did not invent ragtime, but he stands out as its most prominent figure. This collection contains fourteen fun-to-play Joplin Piano transcriptions compiled, arranged and edited by John W. Schaum A.S.C.A.P.. / Piano
18.50 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Two Nocturnes (DOBRZYNSKI
IGNACY FELIKS) Piano seul [Partition] PWM (Polskie Wydawnictwo Muzyczne)
Par DOBRZYNSKI IGNACY FELIKS. Ignacy Feliks Dobrzynski wrote eight nocturnes for...(+)
Par DOBRZYNSKI IGNACY FELIKS. Ignacy Feliks Dobrzynski wrote eight nocturnes for piano. Five of them were published in 1833–1834 in two books as Opp. 21 and 24, while the remainder appeared in various occasional collections issued much later.
The Nocturne in A major was written in 1846 and belongs to the group of works composed by Dobrzynski during his tour of German cities. That tour was designed to increase the composer’s popularity and boost his finances. Besides concerts and meetings promoting Dobrzynski’s music, the ‘marketing campaign’ also included the publication of his new salon miniatures in particular cities. This Nocturne appeared in print in Berlin as Op. 52, together with a short mazurka constituting a transcription of the earlier song ‘Gdzie lubi’ (‘A fickle maid’). The form of this piece is based on an A-B-A1 scheme typical of the genre, with a quite elaborate epilogue. In section A, the composer based the melody on a one-bar motif in mazurka rhythm, which he combined with a bass led in widely spread chords, often used in nocturnes. He thus obtained a specifically idyllic mood. The sonorities, the type of melody and texture and, above all, the ornaments that appear as the work progresses bring to mind the early work of Fryderyk Chopin. The chordal section B, of lively expression, in the key of F sharp minor and a uniform triple rhythm, triggers associations with the middle section of Chopin’s Nocturne in A flat major, Op. 32 No. 2. After a short bridge, the reprise comprises a reiteration of the opening part of section A, which then passes into the epilogue, in which the composer splices motifs from both contrasting sections.
It is difficult to date the second Nocturne published here and to establish the circumstances surrounding its composition. It was published posthumously (in 1868, in Warsaw), in the Album Pamiatkowe IG.F. Dobrzynskiego (‘Souvenir album of I. F. Dobrzynski’), which also contained two mazurkas, two songs and an excerpt from his incidental music for the play Konrad Wallenrod arranged for four hands. These compositions were not previously published and probably come from private collections. The Nocturne carries a dedication to Miss Wanda Miecznikowska. Determining the principal key of this work is rather problematic, since it falls into two tonally and expressively contrasting sections, divided by a lengthy caesura. An agitated, emotional episode in F minor (in A-B-A1 form, section B in A flat major), ending with a distinct conclusion, is followed, rather unexpectedly, by completely new material in the key of F major; adhering to a slower tempo and of very restrained expression, it serves as a sort of post scriptum, a lengthy and calming musical commentary to the foregoing segment. One may even gain the impression that this Nocturne is essentially a diptych consisting of two separate ‘songs without words’. Judging by its style, which is close to the lyric writing of Franz Schubert, Felix Mendelssohn-Bartholdy or John Field, with elements of the style brillant, this work could have been written earlier than the Nocturne in A major. One may also discern here a certain melodic-rhythmic similarity to the above-mentioned Nocturne in A flat major by Chopin.
Both these Dobrzynski mazurkas could make interesting additions to the repertoire of both professional pianists and more advanced amateurs interested in nineteenth-century salon music. They may also enrich the programmes of concerts and broadcasts, particularly those devoted to Polish music, and also be included on the curricula of secondary schools of music.
The present edition was based on the first editions. The proposed fingering in both works and the pedalling in the Nocturne in A major are entirely the work of the editors; other editorial performance markings are given in brackets. / Répertoire / Piano
14.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Ancient Tales Fanfare [Conducteur et Parties séparées] Houben Editions
Par HOUBEN KEVIN. Ancient Tales Commandé par la Fanfare Ellona Ell (NL) à l’...(+)
Par HOUBEN KEVIN. Ancient Tales Commandé par la Fanfare Ellona Ell (NL) à l’occasion de son centenaire en 2023 Ancient Tales a été écrit par le compositeur Kevin Houben à l’occasion du 100e anniversaire de la Fanfare Ellona, une association villageoise authentique d'Ell qui valorise le plaisir et l’amitié. L'œuvre est une illustration musicale de certaines légendes et sagas qui se sont déroulées autour du village rural d'Ell, qui doit probablement son nom aux nombreux aulnes, présents dans toute la régionaux alentours du 15e siècle. Le début quelque peu mystérieux de cette œuvre fait référence à l'histoire de l'église engloutie dans le Weerbroekskuil. Selon la légende, on entendait sonner les cloches la nuit de Noël et on apercevait des esprits, sous forme de lumières, voler au-dessus des marais. Dès les premières mesure, Houben écrit un choral, qu’il utilisera comme fil conducteur tout au long de sa composition. Il développera ainsi des cellules mélodiques et rythmiques de son thème de base. Par la suite, l'œuvre se poursuit avec des passages joyeux et énergiques qui alternent avec des sections plus lyriques et plus calmes. En utilisant quelques tournures mélodiques et variations métriques intéressantes, Houben fait un clin d'œil à l'histoire mouvementée qu'ont connue les citoyens d'Ell à l'époque de la guerre de 80 ans, lorsque le pays paysan était en proie à des bandits de grands chemins et à des bandes de voyous. En construisant les Ellerschans, les habitants d'Ell ont montré leur résilience, à laquelle le compositeur fait référence en revenant constamment à des thèmes gais et dansants qui, confèrent à l'ensemble un caractère joyeux. Ancient Tales est une composition charmante et énergique qui provoquera le plaisir de jouer de nombreux membres de l'orchestre et qui plaira à un large public. En outre, l'œuvre offre à chaque groupe d'instruments un défi suffisant, ce qui en fait une pièce de concours appropriée. C'est pourquoi Ancient Times a été choisi par Vlamo comme pièce imposé pour le VLOF 2024. / Date parution : 2023-10-31/ Répertoire / Fanfare
172.90 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Ancient Tales Fanfare [Conducteur] Houben Editions
Par HOUBEN KEVIN. Ancient Tales Commandé par la Fanfare Ellona Ell (NL) à l’...(+)
Par HOUBEN KEVIN. Ancient Tales Commandé par la Fanfare Ellona Ell (NL) à l’occasion de son centenaire en 2023 Ancient Tales a été écrit par le compositeur Kevin Houben à l’occasion du 100e anniversaire de la Fanfare Ellona, une association villageoise authentique d'Ell qui valorise le plaisir et l’amitié. L'œuvre est une illustration musicale de certaines légendes et sagas qui se sont déroulées autour du village rural d'Ell, qui doit probablement son nom aux nombreux aulnes, présents dans toute la régionaux alentours du 15e siècle. Le début quelque peu mystérieux de cette œuvre fait référence à l'histoire de l'église engloutie dans le Weerbroekskuil. Selon la légende, on entendait sonner les cloches la nuit de Noël et on apercevait des esprits, sous forme de lumières, voler au-dessus des marais. Dès les premières mesure, Houben écrit un choral, qu’il utilisera comme fil conducteur tout au long de sa composition. Il développera ainsi des cellules mélodiques et rythmiques de son thème de base. Par la suite, l'œuvre se poursuit avec des passages joyeux et énergiques qui alternent avec des sections plus lyriques et plus calmes. En utilisant quelques tournures mélodiques et variations métriques intéressantes, Houben fait un clin d'œil à l'histoire mouvementée qu'ont connue les citoyens d'Ell à l'époque de la guerre de 80 ans, lorsque le pays paysan était en proie à des bandits de grands chemins et à des bandes de voyous. En construisant les Ellerschans, les habitants d'Ell ont montré leur résilience, à laquelle le compositeur fait référence en revenant constamment à des thèmes gais et dansants qui, confèrent à l'ensemble un caractère joyeux. Ancient Tales est une composition charmante et énergique qui provoquera le plaisir de jouer de nombreux membres de l'orchestre et qui plaira à un large public. En outre, l'œuvre offre à chaque groupe d'instruments un défi suffisant, ce qui en fait une pièce de concours appropriée. C'est pourquoi Ancient Times a été choisi par Vlamo comme pièce imposé pour le VLOF 2024. / Date parution : 2023-10-31/ Répertoire / Fanfare
42.00 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Le Jeune Claude -
Pseaumes En Vers Mesurez
1606 BREPOLS
Collection Epitome musical Ces psaumes forment un corpus unique dans l?hist...(+)
Collection Epitome musical Ces psaumes forment un corpus unique dans l?histoire de la musique. Bien que posthumes, ils représentent très vraisemblablement en partie le répertoire interprété sous Charles IX lors des concerts de l?Académie de poésie et de musique fondée par Jean Antoine de Baïf en 1570. En effet, ces concerts dominicaux résonnaient sans doute non seulement des « chansonnettes mesurées » profanes, mieux connues notamment par l?intérêt qu?elles ont suscité chez Olivier Messiaen (Revecy venir du printemps), mais aussi de psaumes de même facture, dont on espérait des effets bénéfiques sur un royaume alors en pleine tourmente religieuse.
De récentes découvertes (travaux de D. Lamothe) semblent confirmer le contexte très particulier de ce corpus : 4 des psaumes mesurés sont en effet bâtis sur des cantus firmus (tonus peregrinus, sixième ton « royal ») qui viennent cristalliser une évidente volonté oecuménique : des psaumes écrits pour un roi catholique, par un poète catholique (Jean Antoine de Baïf) et un poète protestant (Agrippa d?Aubigné), mis en musique par un huguenot déclaré (Claude Le Jeune).
Parmi les 27 pièces françaises et latines d?effectifs variés se trouve une exception notable : un Te Deum en français à 6 voix. Si les textes d?Agrippa d?Aubigné sont probablement d?origine, ceux de Jean Antoine de Baïf forment sans doute une série remaniée (rimée) sur le tard par Odet de La Noue pour cette publication . avec la précieuse collaboration du professeur Jean Vignes, spécialiste de ce poète, cette édition propose donc pour la première fois, lorsque l?alternative est possible, sa poésie originale tirée du fameux Manuscrit BNF Ms. Fr. 19140. Cette double présentation fera toute la différence avec l?ancienne édition (1905-1906, épuisée) d?Henry Expert.
105.47 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| Coffret jacques brel :
franz ; le far west En Français Video - Pas de partitions
Les deux fi lms où Jacques Brel est à la fois acteur et réalisateur. Ces fi l...(+)
Les deux fi lms où Jacques Brel est à la fois acteur et réalisateur. Ces fi lms, devenus extrêmement rares sont très attendus par les fans car ils ne sont plus programmés depuis des années. Les fi lms ont été réétalonnés et remasterisés en haute défi nition avec le directeur photo de l'époque. Franz Au bord de la mer du Nord, dans une pension de famille, des petits fonctionnaires passent des vacances de petitsbourgeois. Au coeur de ce climat mesquin, deux êtres - Léon et Léonie - se rencontrent et s'aiment. Jacques Brel et Barbara forment un magnifi que duo à la fois touchant et romantique toujours plein d'émotion, en un mot "Mythique". Le Far West Quadragénaire, Jack joue au cow-boy dans les villes belges. Là, il rencontre Lina et Gabriel. Les trois compagnons partent à la recherche de leur Eden, un endroit où tout est beau : Le Far West. Brel réécrit le mythe du Far West, et comme il le dit lui-même : "Le Far West, c'est ce qu'on rêvait quand on était gamin. Je parle des gens de mon âge, des gens de 45 ans. Avant-guerre, quand on était petit, le grand rêve, le grand mythe, c'était le Far West, c'était Buffalo Bill."
24.73 EUR - vendu par Amazon Délais: En Stock | |
| First 50 Classical Pieces
You Should Play Clarinette [Partition] Hal Leonard
on the Clarinet. Par . If you've been playing clarinet for a little while, you a...(+)
on the Clarinet. Par . If you've been playing clarinet for a little while, you are probably eager to learn some familiar songs. This book includes 50 must-know works by Bach, Brahms, Handel, Tchaikovsky and more arranged for clarinet. / Date parution : 2021-12-09/ Recueil / Clarinette
22.80 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
| Carmen Suite #2 Orchestre Eulenburg
Carmen' is one of the most popular and most frequently performed operas across t...(+)
Carmen' is one of the most popular and most frequently performed operas across the globe. Its world premiere was a flop which the composer Bizet did not live to see. Nevertheless, the opera very quickly gained acceptance at all major theatres, bringing in its wake countless arrangements of some particularly beautiful music numbers.It was, in all probability, Bizet's close friend and fellow student Ernest Guiraud who brought 12 numbers of the opera together to form two orchestral suites. After the first Carmen Suite which unites the most beautiful instrumental settings, the second suite with arrangements of the best-known vocal pieces is now available as well. The musical text is based on our new scientific edition of the opera edited by Robert Didion. / Orchestre
18.80 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| The Justinguitar.Com
Beginner's Songbook Guitare [Partition] - Débutant Amsco Wise Publications
Cette fantastique collection de nouvelles de Justin Sandercoe est le chansonnier...(+)
Cette fantastique collection de nouvelles de Justin Sandercoe est le chansonnier ultime pour cours de guitare débutant par excellence. Leçons révolutionnaires Justin Sandercoe sont utilisés par des centaines de milliers de personnes à travers le monde, et est probablement le cours de guitare les plus utilisés jamais! Maintenant vous pouvez apprendre à jouer 100 chansons classiques que votre jeu se développe dans le cours.
Le livre comprend:
Les paroles complètes et les accords à 100 chansons par des artistes tels que The Beatles, Bob Dylan, Bob Marley, Eric Clapton, Jimi Hendrix, Johnny / Mélodie/Vocal/Guitare (MVG) / 224 pages / niveau : Facile / Partition
25.30 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| FIRST 50 CLASSICAL PIECES
YOU SHOULD PLAY ON THE
CLARINET Clarinette - Facile Hal Leonard
If you've been playing clarinet for a little while, you are probably eager to le...(+)
If you've been playing clarinet for a little while, you are probably eager to learn some familiar works. This book includes 50 must-know works by Bach, Brahms, Handel, Tchaikovsky and more arranged for clarinet. Complete contents include: About Strange Lands and People from Scenes from Childhood (Schumann) ? Adagio, Op. 63, No. 24 (Baermann) ? Andante from Symphony No. 6 ?Pathétique? (Tchaikovsky) ? Andante from Symphony No. 94 ?Surprise? (Haydn) ? Aria from Aria con Variazioni (Handel) ? Ave Maria (Schubert) ? Barcarolle from The Tales of Hoffmann (Offenbach) ? Canon in D (Pachelbel) ? Dance of the Blessed Spirits from Orfeo ed Euridice (Gluck) ? Emperor Waltz (Strauss) ? Etude in E Major, Op. 10, No. 3 (Chopin) ? Evening Prayer from Hansel and Gretel (Humperdink) ? Funeral March of a Marionette (Gounod) ? He Shall Feed His Flock from Messiah (Handel) ? Heidenröslein (Schubert) ? Hungarian Dance No. 5 (Brahms) ? Intermezzo, Op. 117, No. 1 (Brahms) ? Irish Tune from County Derry (Grainger) ? Jupiter Chorale from The Planets (Holst) ? La donna è mobile from Rigoletto (Verdi) ? Largo from Serse (Handel) ? Largo from Symphony No. 9 ?From the New World? (Dvorák) ? Lullaby (Brahms) ? Lullaby (Schubert) ? Marmotte (Beethoven) ? Mazurka (Glinka) ? The Merry Farmer from Album for the Young (Schumann) ? Minuet from String Quintet in E Major, Op. 11, No. 5 (Boccherini) ? Minuet in D minor, BWV Appendix 132 (Anonymous) ? Minuet in G Major, BWV Appendix 114 (Petzold) ? Minuet in G Major, WoO 10, No. 2 (Beethoven) ? Minuet in G minor, BWV Appendix 115 (Petzold) ? The Moldau from Ma Vlast (Smetana) ? Musette in D Major, BWV Appendix 126 (Bach) ? Non più andrai from The Marriage of Figaro (Mozart) ? O mio babbino caro from Gianni Schicchi (Puccini) ? Ode to Joy from Symphony No. 9 (Beethoven) ? On the Beautiful Blue Danube (Strauss) ? Pavane (Fauré) ? Pomp and Circumstance March No. 1 (Elgar) ? Schlummerlied, Op. 84, No. 2 (Baermann) ? Solvejg's Song from Peer Gynt (Grieg) ? St. Anthony Chorale (Haydn) ? Theme from Swan Lake (Tchaikovsky) ? To Music (Schubert) ? Toreador's Song from Carmen (Bizet) ? Waltz from Sleeping Beauty (Tchaikovsky) ? Waltz from The Merry Widow (Lehár) ? Waltz, Op. 39, No. 15 (Brahms) ? Wild Horseman from Album for the Young (Schumann). / Partitions classique / Bois / Clarinette / HAL LEONARD
20.99 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| Messe De Requiem Op. 48 Chorale SATB Barenreiter
The ' Messe de Requiem? is probably the internationally best-known and most freq...(+)
The ' Messe de Requiem? is probably the internationally best-known and most frequently performed work by Gabriel Fauré . The composer's first version was limited to just five movements and small-scale forces with low strings, harp and organ. The work was then expanded several times culminating in the version for large orchestra of 1900. This orchestral version forms the basis of this edition.Despite its comparatively long period of gestation, the Requiem forms a stylistic unity. Unlike other requiem settings, the composer foregoes any theatrical gestures in this work. A restrained dynamic range together with graceful melodic writing for both soloists and choir give the work a gentle and optimistic character.The choral score just as the vocal score are based on the volume of the Complete Works of Gabriel Fauré (BA 9461) published in 2010. It is important to note that this choral score is also compatible with the first small-scale version as well as the second chamber orchestra version.- High-quality Urtext edition based on the 'Complete Works of Gabriel Fauré?- First systematic evaluation of all sources- Based on the large orchestral version of 1900- Choral score suitable for all versions of the Requiem / Choeur Mixte (SATB)
7.30 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| First 50 Songs You Should
Play On The Horn Cor Hal Leonard
A Must-Have Collection of Well-Known Songs, Including Many Horn Features!. If yo...(+)
A Must-Have Collection of Well-Known Songs, Including Many Horn Features!. If you've been taking horn lessons for a little while, you're probably eager to put your new skills to use and learn to play some familiar songs. The First 50 Songs You Should Play on the Horn includes a wide variety of favorite songs, from pop hits and movie themes to classical melodies and folk songs. Titles include: All of Me · All You Need Is Love · Fight Song · God Bless America® · The Godfather (Love Theme) · Hallelujah · Hello · I Will Always Love You · I'm Yours · Just Give Me a Reason · Just the Way You Are · Let It Go · My Heart Will Go On (Love Theme from 'Titanic') · Pure Imagination · Raiders March · Roar · Rolling in the Deep · Satin Doll · Shake It Off · Stand by Me· The Star-Spangled Banner · This Is Me · Uptown Funk · and more. / Pop and rock / Date parution : 2020-04-11/ Recueil / Cor
17.40 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
| First 50 Songs You Should
Play On Bassoon
Basson Hal Leonard
A Must-Have Collection of Well-Known Songs, Including Several Bassoon Features!....(+)
A Must-Have Collection of Well-Known Songs, Including Several Bassoon Features!. If you've been taking bassoon lessons for a while, you're probably eager to learn some familiar songs. The First 50 Songs You Should Play on the Bassoon includes a wide variety of favorite songs, from pop hits and movie themes to folk songs and classical melodies, several of which originally featured bassoon! Songs include: All of Me · All You Need Is Love · Fight Song · The Fool on the Hill · God Bless America® · The Godfather (Love Theme) · Hallelujah · Happy · Hello · Hey Jude · I Will Always Love You · In the Hall of the Mountain King · Theme from Jaws · Just Give Me a Reason · Let It Go · Livin' on a Prayer · The Pink Panther · Pure Imagination · Roar · Rolling in the Deep ·Satin Doll · Shake It Off · The Sorcerer's Apprentice · Stand by Me · Stay with Me · This Is Me · What a Wonderful World · and more. / Pop and rock / Date parution : 2020-04-11/ Recueil / Basson
20.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
| Selected Works For
Keyboard, Vol.IV Clavecin [Partition] Barenreiter
La cour d'organiste Antonio de Cabezón, qui a été nommé à la chapelle de la...(+)
La cour d'organiste Antonio de Cabezón, qui a été nommé à la chapelle de la cour de la Reine Isabelle de Toledo à l'âge de 16 ans, a été considéré à juste titre par ses contemporains comme l'organiste espagnole leader et claviériste du 16 ème siècle. Ses hymnes et des versets sont basées sur courte, harmonisations décorée des tonalités psaume. Dans le tientos, la transformation du style motet vocal à un style d'écriture approprié pour les instruments à clavier est parfaitement exécuté.Cette édition Urtext contient une sélection des meilleurs Cabezon de travaux connus et se composera de quatre volumes. Il a été préparé par deux rédacteurs en chef travaillant dans les universités portugaises et espagnoles qui sont tous deux grands spécialistes des oeuvres de Cabezón et reflète les derniers résultats de recherche.- Première édition critique universitaire, des oeuvres sélectionnées par l'organiste leader espagnol- Reflète les derniers résultats de la recherche- Chaque volume avec une préface (Ger / Eng) avec des conseils sur la technique de rédaction, le commentaire critique (Ger / Eng) et l'indice de sources'Les éditeurs ont fait un excellent choix parmi le grand nombre de pièces disponibles et ont probablement fait le meilleur choix en gardant le intabulations en deux volumes distincts de la tientos et pièces liturgiques. Cette édition fortement recommandée va un long chemin à offrir un tel choix représentatif, et sera peut-être mener les amateurs d'oeuvres sélectionnées, et restera l'anthologie standard pour de nombreuses années. '(Le Diapason Août 2011) / Orgue, Piano, Clavecin
47.90 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Today's Hits Piano, Voix et Guitare [Partition] Hal Leonard
30 Streaming Favorites. Par . Play 30 of today's most popular hits with this col...(+)
30 Streaming Favorites. Par . Play 30 of today's most popular hits with this collection featuring 30 songs arranged for piano and voice with guitar chord frames. / Date parution : 2022-04-05/ Recueil / Piano/Vocal/Guitare (PVG)
34.20 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
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