| Epistolae Choeur SSAATBB Et Orgue Schott
A reflexion on the central Christian values of faith, love and hope, described a...(+)
A reflexion on the central Christian values of faith, love and hope, described as 'Sinfonia sacra'. The musical setting of Martin Luther's text is published in a new arrangement for the upcoming Luther Year 2017. / Choeur SSAATBB Et Orgue
19.40 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Epistolae (POOS HEINRICH) Choeur Mixte (SSSAAATTTBBB) avec
Solistes (SSSA) Schott
Par POOS HEINRICH. Paulinische Briefe, Martin Luther/ Répertoire / Choeur Mixte...(+)
Par POOS HEINRICH. Paulinische Briefe, Martin Luther/ Répertoire / Choeur Mixte (SSSAAATTTBBB) avec Solistes (SSSA)
17.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Aus Tiefer Not Orchestre d'harmonie [Conducteur et Parties séparées] - Facile De Haske Publications
Arr. Jacob De Haan. Le magnifique thème du choral Aus tiefer Not schrei ich zu ...(+)
Arr. Jacob De Haan. Le magnifique thème du choral Aus tiefer Not schrei ich zu dir (Du fond de l’abîme, je t’invoque, o Éternel) est attribué à Martin Luther. Il s’agit d’une mise en musique du Psaume 130 (De profundis) dans sa version allemande. Cette hymne fait partie du corpus du premier des recueils de cantiques luthériens, le Geistliches Gesangbüchlein, publié à Wittenberg, en 1524, par Johann Walter. Deux cents ans plus tard, Jean-Sébastien Bach composait une cantate, fondée sur le choral du même nom de Martin Luther. Pour réaliser cet arrangement pour Orchestre d’Harmonie, Jacob de Haan s’est particulièrement inspiré de l’oeuvre de Bach. Aus tiefer Not est uneprécieuse contribution au répertoire sacré. / Niveau : 2.5 / Transcription / Recueil / Concert Band ou Harmonie
106.30 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| 3 Washington Statues
(SPARKE PHILIP) Orchestre d'harmonie [Conducteur et Parties séparées] - Intermédiaire/avancé Anglo Music
Par SPARKE PHILIP. Three Washington Statues fut commandé par la United States A...(+)
Par SPARKE PHILIP. Three Washington Statues fut commandé par la United States Army Band « Pershing’s Own », dirigée par le Colonel Thomas H. Palmatier. Certains des monuments, mémoriaux et statues les plus emblématiques du monde se trouvent à Washington D. C. Philip Sparke en a choisi trois comme inspiration pour ce morceau : « The Lincoln Memorial » où le compositeur dépeint la grandeur de ce temple grec de style dorique ; « The Martin Luther King, Jr. Memorial » sur les marches duquel le discourscélèbre « I have a dream » fut prononcé – la musique est révérencieuse ainsi que puissante en référence à ce discours de Martin Luther King ; et la statue « Encore » en mémoire du célèbrecompositeur, pianiste et chef d’orchestre de jazzafro-américain Duke Ellington. Dans le mouvement final, Philip Sparke a réussi à saisir le dynamisme virtuose, énergétique et unique de la musique d’Ellington. / Niveau : 6 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie
233.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Aus Tiefer Not Orchestre d'harmonie [Conducteur] - Facile De Haske Publications
Arr. Jacob De Haan. Le magnifique thème du choral Aus tiefer Not schrei ich zu ...(+)
Arr. Jacob De Haan. Le magnifique thème du choral Aus tiefer Not schrei ich zu dir (Du fond de l’abîme, je t’invoque, o Éternel) est attribué à Martin Luther. Il s’agit d’une mise en musique du Psaume 130 (De profundis) dans sa version allemande. Cette hymne fait partie du corpus du premier des recueils de cantiques luthériens, le Geistliches Gesangbüchlein, publié à Wittenberg, en 1524, par Johann Walter. Deux cents ans plus tard, Jean-Sébastien Bach composait une cantate, fondée sur le choral du même nom de Martin Luther. Pour réaliser cet arrangement pour Orchestre d’Harmonie, Jacob de Haan s’est particulièrement inspiré de l’oeuvre de Bach. Aus tiefer Not est uneprécieuse contribution au répertoire sacré. / Niveau : 2.5 / Transcription / Recueil / Concert Band ou Harmonie
20.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| 3 Washington Statues
(SPARKE PHILIP) Orchestre d'harmonie [Conducteur] - Intermédiaire/avancé Anglo Music
Par SPARKE PHILIP. Three Washington Statues fut commandé par la United States A...(+)
Par SPARKE PHILIP. Three Washington Statues fut commandé par la United States Army Band « Pershing’s Own », dirigée par le Colonel Thomas H. Palmatier. Certains des monuments, mémoriaux et statues les plus emblématiques du monde se trouvent à Washington D. C. Philip Sparke en a choisi trois comme inspiration pour ce morceau : « The Lincoln Memorial » où le compositeur dépeint la grandeur de ce temple grec de style dorique ; « The Martin Luther King, Jr. Memorial » sur les marches duquel le discourscélèbre « I have a dream » fut prononcé – la musique est révérencieuse ainsi que puissante en référence à ce discours de Martin Luther King ; et la statue « Encore » en mémoire du célèbrecompositeur, pianiste et chef d’orchestre de jazzafro-américain Duke Ellington. Dans le mouvement final, Philip Sparke a réussi à saisir le dynamisme virtuose, énergétique et unique de la musique d’Ellington. / Niveau : 6 / Répertoire / Concert Band ou Harmonie
41.20 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Wein, Weib Und Gesang
(STRAUSS JOHANN (FILS)) Orchestre d'harmonie [Conducteur] - Intermédiaire De Haske Publications
Wine, Women and Song, op. 333. Par STRAUSS JOHANN (FILS). À l’instar du Beau ...(+)
Wine, Women and Song, op. 333. Par STRAUSS JOHANN (FILS). À l’instar du Beau Danube bleu, la valse Wein, Weib und Gesang, op. 333 ( Aimer, boire et chanter, 1869), a été composée, à l’origine, pour le Wiener Männergesangverein (Choeur d’Hommes de Vienne). Johann Strauss s’est inspiré d’une citation attribuée à Martin Luther « Qui n'aime point le vin, les femmes ni le chant restera sot toute sa vie » (“Wer nicht liebt Wein, Weib und Gesang, der bleibt ein Narr sein Leben lang”). La version originale de Strauss s’ouvre avec un long passage d’ouverture de près de cent mesures ( Quasi religioso, suivie d’un Allegro ), très rarement joué. Cette transcription pour Orchestre d’Harmonie en est égalementdépourvue, mais débute néanmoins avec une introduction brillante ( Maestoso ) d’où se détache la première ligne mélodique qui revient plus tard, dans le quatrième air de valse. Le premier thème représente la quintessence de l’art de vivre viennois ; Strauss s’appuie sur la chanson à boire ' Stoß an, stoß an, du Liebchen mein ' (“Trinquons, ma bien-aimée”) extraite de son opérette Wiener Blut (Sang viennois). Les trois airs qui suivent font également preuve de vivacité et d’élégance. Et bien entendu, comme dans toutes les autres valses de concert, le thème initial revient dans le passage de fin. Une courte cadence endiablée clôt l’oeuvre. / Niveau : 3 / Valse / Répertoire / Concert Band ou Harmonie
33.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Wein, Weib Und Gesang
(STRAUSS JOHANN (FILS)) Orchestre d'harmonie [Conducteur et Parties séparées] - Intermédiaire De Haske Publications
Wine, Women and Song, op. 333. Par STRAUSS JOHANN (FILS). À l’instar du Beau ...(+)
Wine, Women and Song, op. 333. Par STRAUSS JOHANN (FILS). À l’instar du Beau Danube bleu, la valse Wein, Weib und Gesang, op. 333 ( Aimer, boire et chanter, 1869), a été composée, à l’origine, pour le Wiener Männergesangverein (Choeur d’Hommes de Vienne). Johann Strauss s’est inspiré d’une citation attribuée à Martin Luther « Qui n'aime point le vin, les femmes ni le chant restera sot toute sa vie » (“Wer nicht liebt Wein, Weib und Gesang, der bleibt ein Narr sein Leben lang”). La version originale de Strauss s’ouvre avec un long passage d’ouverture de près de cent mesures ( Quasi religioso, suivie d’un Allegro ), très rarement joué. Cette transcription pour Orchestre d’Harmonie en est égalementdépourvue, mais débute néanmoins avec une introduction brillante ( Maestoso ) d’où se détache la première ligne mélodique qui revient plus tard, dans le quatrième air de valse. Le premier thème représente la quintessence de l’art de vivre viennois ; Strauss s’appuie sur la chanson à boire ' Stoß an, stoß an, du Liebchen mein ' (“Trinquons, ma bien-aimée”) extraite de son opérette Wiener Blut (Sang viennois). Les trois airs qui suivent font également preuve de vivacité et d’élégance. Et bien entendu, comme dans toutes les autres valses de concert, le thème initial revient dans le passage de fin. Une courte cadence endiablée clôt l’oeuvre. / Niveau : 3 / Valse / Répertoire / Concert Band ou Harmonie
168.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| The Complete Blues Guitar
Method : Mastering Blues
Guitar - 2Nd Edition Guitare notes et tablatures Alfred Publishing
Cette conclusion de puissance-emballé de The Complete Blues Guitar Method est u...(+)
Cette conclusion de puissance-emballé de The Complete Blues Guitar Method est une méthode avancée pour guitaristes de blues, et est également idéal pour les joueurs de rock qui veulent un bord bleus. Maîtriser Guitar Blues propose des cours approfondis sur des échelles de blues, des échelles composites, le mode Mixolydian, superpositions d'arpèges, le blues 8-bar, blues gospel, blues mineures, et beaucoup plus. Il couvre les techniques et lèche de grands joueurs comme Muddy Waters, Big Bill Broonzy, Freddie King, BB King et John Lee Hooker. La deuxième édition propose de nouveaux exemples dans les styles de certains des plus grands noms du blues contemporains comme Luther Allison, Jonny Lang, Duke Robillard, et Debbie Davies, et comprend toute nouvelle vidéo hébergée par l'éducateur expert et la guitare virtuose Jared Meeker avec des démonstrations passionnantes des exemples et des techniques. Si vous avez terminé partir Blues et Blues Guitar intermédiaire, c'est votre meilleure étape suivante! / Guitare
43.50 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Méthodes Et
Traités - 4
Volumes - France 1600 -
1800 Violon Anne Fuzeau Productions
Anne Fuzeau Classique vous propose tous les textes théoriques, méthodes, trait...(+)
Anne Fuzeau Classique vous propose tous les textes théoriques, méthodes, traités, articles, partitions de musique classique concernant le violon.Ces méthodes anciennes sont reproduites en fac-similé et regroupés en - quatre volumes.Volume - 1 (Réf. 5850) : ANCELET - Jacques-Laurent BETHISY - Sébastien de BROSSARD (1-2) - Michel CORRETTE (1) - Jean-Baptiste DOMENJOUD - Pierre DUPONT - Encyclopédie - F.A.P. de GARSAULT - Francesco GEMINIANI - Marin MERSENNE - Michel Pignolet de MONTECLAIR - Léopold - MOZARTVolume 2 (Réf.5851) : Anonyme (1-2) - Michel - CORRETTE (2) - LABADENS (1) - L'ABBE LE FILS - Jean-Benjamin de LABORDE - Théodore-Jean TARADE.Volume - 3 (Réf. 5852) : Anonyme (3-4) - Joseph DEMAR - Louis-Antoine DURIEU - Encyclopédie méthodique - LABADENS (2) - J.J.O. de MEUDE-MONPAS.Volume - 4 (Réf.5853) : L'aîné ANICOT - Anonyme (5) - Antoine BAILLEUX - Jean-Baptiste BEDARD - Jean-Baptiste CARTIER - Sébastien - DEMAR - Bernardo LORENZITI - Abbé SIBIRE.Table des matières :Volume 1 :Mersenne Marin : Harmonie universelle - 1636Brossard Sébastien de : Dictionnaire de musiqua - 1703Brossard Sébastien de : (Méthode de violon manuscrite) - c. 1711Montéclair Michel Pignolet de : Méthode facile pour apprendre à jouer du violon - 1711Dupont Pierre : Principes de violon - 1718Corrette Michel : L'école d'Orphée - 1738Dupont Pierre : Principes de violon '(seconde édition) - 1740Encyclopédie : Articles sur le violon et la lutherie - 1751/1772Geminiani Francesco : L'art de jouer du violon - 1752Ancelet : Observations sur la musique - 1757Domenjoud Jean-Baptiste : De la préférence des vis aux chevilles - 1757Garsault F.A.P. de : Notionnaire, ou mémorial raisonné - 1761Bethisy Jacques Laurent : Exposition de la théorie - 1764Mozart Leopold : Méthode raisonnée pour apprendre à jouer du violon - - 1770Volume 2 : Anonyme : Manière de graduer un violon - 1771 - - - - - - - - - - - - - - Observation sur la manière de graduer un violonLabadens : Nouvelle méthode pour apprendre à jouer du violon - 1772L'Abbé Le Fils : Principes de violon pour apprendre le doigté - 1772Tarade Théodore-Jean : Traité du violon - 1774Laborde Jean-Benjamin de : Essai sur la musique ancienne et moderne - 1780Corrette Michel : L'art de se perfectionner - 1782Volume 3 : Anonyme - : La parfaite connoissance - 1782Bornet Louis, l'ainé : Nouvelle méthode de violon - 1786Meude-Monpas J.J.O. de : Dictionnaire de musique - 1787Encyclopédie méthodique : Article sur les outils de lutherie et compléments à l'Encyclopédie de Diderot - 1788Anonyme : Principes pour apprendre facilement - c. 1790Labadens : Nouvelle méthode pour apprendre à jouer du violon - 1790Durieu Louis-Antoine : Méthode de violon - 1794Demar Joseph : Nouvelle méthode abrégée - c. 1797Volume 4 : Demar Sébastien : Méthode abrégée pour le violon - c. 1797Anonyme : Principes de violon - c. 1798Bailleux Antoine : Méthode raisonnée - 1796Lorenziti Bernardo : Principes ou nouvelle méthode - 1798Cartier Jean-Baptiste : L'art du violon - 1799Anicot l'ainé : Principes de violon - c. 1800Bedard Jean-Baptiste : Nouvelle méthode de violon - 1800Sibire Abbé : La chélonomie - 1806Téléchargez le catalogue Anne Fuzeau Classique / Violon / 1208 pages / niveau : 1 / Fac-Similés - Format: 24 X 33
350.70 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Cantate Egale Pays #3 -
Gd Mmré (PESSON
GERARD) En Français Voix, Ensemble et Electronique [Partition] Lemoine, Henry
Par PESSON GERARD. Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates ...(+)
Par PESSON GERARD. Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates de Bach, la création de Gérard Pesson marque sa première rencontre avec l'électronique et la lutherie virtuelle.
Toute la poétique du compositeur français, un théâtre de lumières et d'intermittences, investit l'espace scénique des cantates : une machinerie minutieuse de gestes instrumentaux, d'objets trouvés, détournés ou fabriqués - les 'ciels acoustiques', l'orgue de verre. La dramaturgie se souvient du découpage baroque avec ses mouvements à configuration variable, les rythmes de danse ou l'alternance entre solistes et ensemble.
Dans ce 'pays-cantate' qui est tout à la fois trace et mémoire, origine et destination, l'écriture vive du présent (les textes du jeune Mathieu Nuss ou d'Elena Andreyev) est interrompue par la visitation du passé, ici l'immense poésie de Gérard Manley Hopkins et sa vision d'une nature transfigurée.
Extrait du programme du Festival Agora
J'ai voulu ces cantates comme un théâtre intérieur, un théâtre de mots où le paysage de la musique, son mouvement panoramique, sa vitesse, sont le poème. Poème ami, d'abord supputé, appelé, discuté, biffé, dit et redit. Texte construit par lectures passionnées qui devient la préfiguration exacte du temps de la musique. Alors, musique et poème font territoire. Ils sont l'un à l'autre le pays. La cantate est opéra de climats, respiration articulée dans laquelle la musique devient didascalie du poème, son envers scandé. La cantate est une et fragmentée, c'est une narration librement relancée, souvent interceptée par son propre commentaire. Son fonds d'images serait comme partagé, ainsi que devait l'être, à l'époque de Bach, l'histoire biblique. J'ai souhaité que ces cantates, qui sont une dramaturgie sans action explicite, soient pourtant mises en profondeur, en lumières, en mots aussi, par un artiste venant du spectacle. J'en ai fait la proposition à Daniel Lévy avec qui j'ai déjà eu la chance de collaborer. Ces trois cantates sont distinctes, elles ont des effectifs vocaux et instrumentaux légèrement différents, mais une diagonale les traverse, qui passe par la poésie profonde et sidérante de Gerard Manley Hopkins (1844-1889) où se concentrent une méditation sur la présence de Dieu et une observation de la nature, de ses éléments dont la musique elle-même est une part atmosphérique. On retrouve un écho à 'la question de Dieu' et au 'décor planté' dans les deux textes contemporains des cantates 1 (Mathieu Nuss) et 3 (Elena Andreyev).
Ces cantates adoptent une forme en numéros successifs, souvent brefs, enchaînés ou non. On trouve, par exemple dans la première, des chorals, des airs, des récitatifs, même si rien dans la musique (à part peut-être le son d'un orgue) ne fait allusion à l'univers baroque - si ce n'est aussi (dans la deuxième cantate) l'utilisation du poème de Manley Hopkins en hommage à Henry Purcell.
L'électronique est ici la tentative qui prolonge et met en danger le poème (et non moins le musicien). Elle est pour moi l'aventure par excellence - ma première véritable incursion dans ce domaine. Foi en le poème, doute en l'électronique. Ce qui les lie est une sorte d'instrumentalisation dont la technique du sample devient le précipité poétique, changé ici en un clavier de sensations. Samples de voix, de vents, de pluies, de souffles, de train dans le lointain, d'horloges et d'oiseaux. Le murmure du monde - ce Naturlaut dont parlait Gustav Mahler - rentre tout entier dans une boîte à merveilles, laissant voir ses coutures (jusqu'aux gimmicks des boîtes à rythmes), mais non moins son aspiration presque enfantine à se fondre dans toutes les voix, à les épouser, à les déplier comme un de ces génies des contes orientaux qui sortent de la lampe à huile si on la frotte - et ici, on frotte beaucoup. Puis à son tour le sample, qui est affaire de cadrage serré, réensemence les instruments qui deviennent greffons de clavier.
L'électronique, dans les trois cantates, est délibérément non spatialisée. Elle doit former avec les instruments et les voix, tous amplifiés, un son homogène et centré qui délimite l'espace du jeu, celui de la parole. L'électronique (sauf dans la cantate 2, où elle assume davantage la fonction d'un 'décor sonore') est le plus souvent fondue avec les musiciens en un méta-instrument. A aucun moment l'électronique n'affirme de puissance, de brillance. Sa présence, souvent indiscernable, est un point de fuite de l'écoute, comme une perturbation qu'on peut intégrer pleinement à l'image sonore, ou bien laisser opérer comme un venin légèrement urticant du timbre.
Gd Mmré
La troisième cantate, qui utilise le tutti des instruments et des voix, est sur un texte d'Elena Andreyev (poète et par ailleurs musicienne), Gd Mmré, dont j'ai réalisé, avec son accord et son aide, un découpage. C'est un théâtre choral où la voix parlée, chantonnée (les comédiens Valérie Blanchon et Christophe Brault), donne une dimension dramatique à ce texte convoquant tant d'images, toujours sous la forme d'une introspection ardente, d'un traveling intense, parfois ironique, distancé, souvent questionneur. L'électronique feuillette ici la polyphonie des voix et des paroles - elle dispose les décors nombreux appelés par le texte, qui sont des doublures en plis vifs et cassés, elle ouvre des pistes, qui sont parfois des leurres. L'électronique est la maladresse des mots, sa fragilité digitale. Elle rêve tous les timbres qu'elle synthétise ou qu'elle commente de façon moqueuse, elle 'échantillonne' les résidus de la parole et du souffle, elle s'instille en échos menaçants. L'électronique est le pied de côté, la rime subsidiaire, le sous-titrage asynchrone de ce Grand Murmuré.
Gérard Pesson / contemporain / Répertoire / Voix, Ensemble et Electronique
46.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Cantate Egale Pays #2 -
God's Grandeur
(PESSON GERARD) En Français Voix, Ensemble et Electronique [Partition] Lemoine, Henry
Par PESSON GERARD. Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates ...(+)
Par PESSON GERARD. Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates de Bach, la création de Gérard Pesson marque sa première rencontre avec l'électronique et la lutherie virtuelle.
Toute la poétique du compositeur français, un théâtre de lumières et d'intermittences, investit l'espace scénique des cantates : une machinerie minutieuse de gestes instrumentaux, d'objets trouvés, détournés ou fabriqués - les 'ciels acoustiques', l'orgue de verre. La dramaturgie se souvient du découpage baroque avec ses mouvements à configuration variable, les rythmes de danse ou l'alternance entre solistes et ensemble.
Dans ce 'pays-cantate' qui est tout à la fois trace et mémoire, origine et destination, l'écriture vive du présent (les textes du jeune Mathieu Nuss ou d'Elena Andreyev) est interrompue par la visitation du passé, ici l'immense poésie de Gérard Manley Hopkins et sa vision d'une nature transfigurée.
Extrait du programme du Festival Agora
J'ai voulu ces cantates comme un théâtre intérieur, un théâtre de mots où le paysage de la musique, son mouvement panoramique, sa vitesse, sont le poème. Poème ami, d'abord supputé, appelé, discuté, biffé, dit et redit. Texte construit par lectures passionnées qui devient la préfiguration exacte du temps de la musique. Alors, musique et poème font territoire. Ils sont l'un à l'autre le pays. La cantate est opéra de climats, respiration articulée dans laquelle la musique devient didascalie du poème, son envers scandé. La cantate est une et fragmentée, c'est une narration librement relancée, souvent interceptée par son propre commentaire. Son fonds d'images serait comme partagé, ainsi que devait l'être, à l'époque de Bach, l'histoire biblique. J'ai souhaité que ces cantates, qui sont une dramaturgie sans action explicite, soient pourtant mises en profondeur, en lumières, en mots aussi, par un artiste venant du spectacle. J'en ai fait la proposition à Daniel Lévy avec qui j'ai déjà eu la chance de collaborer. Ces trois cantates sont distinctes, elles ont des effectifs vocaux et instrumentaux légèrement différents, mais une diagonale les traverse, qui passe par la poésie profonde et sidérante de Gerard Manley Hopkins (1844-1889) où se concentrent une méditation sur la présence de Dieu et une observation de la nature, de ses éléments dont la musique elle-même est une part atmosphérique. On retrouve un écho à 'la question de Dieu' et au 'décor planté' dans les deux textes contemporains des cantates 1 (Mathieu Nuss) et 3 (Elena Andreyev).
Ces cantates adoptent une forme en numéros successifs, souvent brefs, enchaînés ou non. On trouve, par exemple dans la première, des chorals, des airs, des récitatifs, même si rien dans la musique (à part peut-être le son d'un orgue) ne fait allusion à l'univers baroque - si ce n'est aussi (dans la deuxième cantate) l'utilisation du poème de Manley Hopkins en hommage à Henry Purcell.
L'électronique est ici la tentative qui prolonge et met en danger le poème (et non moins le musicien). Elle est pour moi l'aventure par excellence - ma première véritable incursion dans ce domaine. Foi en le poème, doute en l'électronique. Ce qui les lie est une sorte d'instrumentalisation dont la technique du sample devient le précipité poétique, changé ici en un clavier de sensations. Samples de voix, de vents, de pluies, de souffles, de train dans le lointain, d'horloges et d'oiseaux. Le murmure du monde - ce Naturlaut dont parlait Gustav Mahler - rentre tout entier dans une boîte à merveilles, laissant voir ses coutures (jusqu'aux gimmicks des boîtes à rythmes), mais non moins son aspiration presque enfantine à se fondre dans toutes les voix, à les épouser, à les déplier comme un de ces génies des contes orientaux qui sortent de la lampe à huile si on la frotte - et ici, on frotte beaucoup. Puis à son tour le sample, qui est affaire de cadrage serré, réensemence les instruments qui deviennent greffons de clavier.
L'électronique, dans les trois cantates, est délibérément non spatialisée. Elle doit former avec les instruments et les voix, tous amplifiés, un son homogène et centré qui délimite l'espace du jeu, celui de la parole. L'électronique (sauf dans la cantate 2, où elle assume davantage la fonction d'un 'décor sonore') est le plus souvent fondue avec les musiciens en un méta-instrument. A aucun moment l'électronique n'affirme de puissance, de brillance. Sa présence, souvent indiscernable, est un point de fuite de l'écoute, comme une perturbation qu'on peut intégrer pleinement à l'image sonore, ou bien laisser opérer comme un venin légèrement urticant du timbre.
God's Grandeur
Cette cantate, d'après quatre poèmes de Gerard Manley Hopkins, forme un moment suspendu, découpé selon des unités poétiques auxquelles correspondent ce que j'ai appelé des 'ciels acoustiques', sortes de monochromes électroniques, cyclos sonores minimaux sur lesquels les voix et les instruments se posent : basse fréquence, ou hyper aiguë, impression sonore de ciel étoilé, bruit de vaporetto au loin, etc. Le son peut sembler parfois comme un léger parasite qui 'entame' l'écoute. Un petit clavier de verre dialogue avec des échantillonnages d'orgue véritable. C'est la plus hiératique, la plus chantée et récitative, la plus sombre aussi des trois cantates.
Gérard Pesson / contemporain / Répertoire / Voix, Ensemble et Electronique
39.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Pesson Gerard - Cantate
Egale Pays N.2 - God's
Grandeur - Voix, Ensemble
Et Electronique Lemoine, Henry
Discipline / Instrument : voix, ensemble et électronique Nomenclature : S / Hc ...(+)
Discipline / Instrument : voix, ensemble et électronique Nomenclature : S / Hc / T / B / fl / hb / cl / hp / clav / perc / vlc / electr. Durée : 17' Genre : Contemporain Média : Partition Editeur : Lemoine Date de parution : 17/05/2010 Librettiste : Poèmes de Gerard Manley Hopkins (1844-1889) Commanditaire : Ircam-Centre Pompidou et Ars Musica Création : 07/06/2010 - Paris, Festival Agora, Centre Pompidou - Ensemble vocal Exaudi, l'Instant Donné, Daniel Lévy (mise en espace), Sébastien Roux (Réalisation informatique musicale, Ircam) ISBN / ISMN : 9790230988889 Notice Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates de Bach, la création de Gérard Pesson marque sa première rencontre avec l'électronique et la lutherie virtuelle. Toute la poétique du compositeur français, un théâtre de lumières et d'intermittences, investit l'espace scénique des cantates : une machinerie minutieuse de gestes instrumentaux, d'objets trouvés, détournés ou fabriqués - les ciels acoustiques, l'orgue de verre. La dramaturgie se souvient du découpage baroque avec ses mouvements à configuration variable, les rythmes de danse ou l'alternance entre solistes et ensemble. Dans ce pays-cantate qui est tout à la fois trace et mémoire, origine et destination, l'écriture vive du présent (les textes du jeune Mathieu Nuss ou d'Elena Andreyev) est interrompue par la visitation du passé, ici l'immense poésie de Gérard Manley Hopkins et sa vision d'une nature transfigurée. Extrait du programme du Festival Agora J'ai voulu ces cantates comme un théâtre intérieur, un théâtre de mots où le paysage de la musique, son mouvement panoramique, sa vitesse, sont le poème. Poème ami, d'abord supputé, appelé, discuté, biffé, dit et redit. Texte construit par lectures passionnées qui devient la préfiguration exacte du temps de la musique. Alors, musique et poème font territoire. Ils sont l'un à l'autre le pays. La cantate est opéra de climats, respiration articulée dans laquelle la musique devient didascalie du poème, son envers scandé. La cantate est une et fragmentée, c'est une narration librement relancée, souvent interceptée par son propre commentaire. Son fonds d'images serait comme partagé, ainsi que devait l'être, à l'époque de Bach, l'histoire biblique. J'ai souhaité que ces cantates, qui sont une dramaturgie sans action explicite, soient pourtant mises en profondeur, en lumières, en mots aussi, par un artiste venant du spectacle. J'en ai fait la proposition à Daniel Lévy avec qui j'ai déjà eu la chance de collaborer. Ces trois cantates sont distinctes, elles ont des effectifs vocaux et instrumentaux légèrement différents, mais une diagonale les traverse, qui passe par la poésie profonde et sidérante de Gerard Manley Hopkins (1844-1889) où se concentrent une méditation sur la présence de Dieu et une observation de la nature, de ses éléments dont la musique elle-même est une part atmosphérique. On retrouve un écho à la question de Dieu et au décor planté dans les deux textes contemporains des cantates 1 (Mathieu Nuss) et 3 (Elena Andreyev). Ces cantates adoptent une forme en numéros successifs, souvent brefs, enchaînés ou non. On trouve, par exemple dans la première, des chorals, des airs, des récitatifs, même si rien dans la musique (à part peut-être le son d'un orgue) ne fait allusion à l'univers baroque - si ce n'est aussi (dans la deuxième cantate) l'utilisation du poème de Manley Hopkins en hommage à Henry Purcell. L'électronique est ici la tentative qui prolonge et met en danger le poème (et non moins le musicien). Elle est pour moi l'aventure par excellence - ma première véritable incursion dans ce domaine. Foi en le poème, doute en l'électronique. Ce qui les lie est une sorte d'instrumentalisation dont la technique du sample devient le précipité poétique, changé ici en un clavier de sensations. Samples de voix, de vents, de pluies, de souffles, de train dans le lointain, d'horloges et d'oiseaux. Le murmure du monde - ce Naturlaut dont parlait Gustav Mahler - rentre tout entier dans une boîte à merveilles, laissant voir ses coutures (jusqu'aux gimmicks des boîtes à rythmes), mais non moins son aspiration presque enfantine à se fondre dans toutes les voix, à les épouser, à les déplier comme un de ces génies des contes orientaux qui sortent de la lampe à huile si on la frotte - et ici, on frotte beaucoup. Puis à son tour le sample, qui est affaire de cadrage serré, réensemence les instruments qui deviennent greffons de clavier. L'électronique, dans les trois cantates, est délibérément non spatialisée. Elle doit former avec les instruments et les voix, tous amplifiés, un son homogène et centré qui délimite l'espace du jeu, celui de la parole. L'électronique (sauf dans la cantate 2, où elle assume davantage la fonction d'un décor sonore) est le plus souvent fondue avec les musiciens en un méta-instrument. A aucun moment l'électronique n'affirme de puissance, de brillance. Sa présence, souvent indiscernable, est un point de fuite de l'écoute, comme une perturbation qu'on peut intégrer pleinement à l'image sonore, ou bien laisser opérer comme un venin légèrement urticant du timbre. God's Grandeur Cette cantate, d'après quatre poèmes de Gerard Manley Hopkins, forme un moment suspendu, découpé selon des unités poétiques auxquelles correspondent ce que j'ai appelé des ciels acoustiques, sortes de monochromes électroniques, cyclos sonores minimaux sur lesquels les voix et les instruments se posent : basse fréquence, ou hyper aiguë, impression sonore de ciel étoilé, bruit de vaporetto au loin, etc. Le son peut sembler parfois comme un léger parasite qui entame l'écoute. Un petit clavier de verre dialogue avec des échantillonnages d'orgue véritable. C'est la plus hiératique, la plus chantée et récitative, la plus sombre aussi des trois cantates. Gérard Pesson
37.70 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| Cantate Egale Pays #1 -
Jachère Aidant
(PESSON GERARD) En Français Voix, Ensemble et Electronique [Partition] Lemoine, Henry
Par PESSON GERARD. Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates ...(+)
Par PESSON GERARD. Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates de Bach, la création de Gérard Pesson marque sa première rencontre avec l'électronique et la lutherie virtuelle.
Toute la poétique du compositeur français, un théâtre de lumières et d'intermittences, investit l'espace scénique des cantates : une machinerie minutieuse de gestes instrumentaux, d'objets trouvés, détournés ou fabriqués - les 'ciels acoustiques', l'orgue de verre. La dramaturgie se souvient du découpage baroque avec ses mouvements à configuration variable, les rythmes de danse ou l'alternance entre solistes et ensemble.
Dans ce 'pays-cantate' qui est tout à la fois trace et mémoire, origine et destination, l'écriture vive du présent (les textes du jeune Mathieu Nuss ou d'Elena Andreyev) est interrompue par la visitation du passé, ici l'immense poésie de Gérard Manley Hopkins et sa vision d'une nature transfigurée.
Extrait du programme du Festival Agora
J'ai voulu ces cantates comme un théâtre intérieur, un théâtre de mots où le paysage de la musique, son mouvement panoramique, sa vitesse, sont le poème. Poème ami, d'abord supputé, appelé, discuté, biffé, dit et redit. Texte construit par lectures passionnées qui devient la préfiguration exacte du temps de la musique. Alors, musique et poème font territoire. Ils sont l'un à l'autre le pays. La cantate est opéra de climats, respiration articulée dans laquelle la musique devient didascalie du poème, son envers scandé. La cantate est une et fragmentée, c'est une narration librement relancée, souvent interceptée par son propre commentaire. Son fonds d'images serait comme partagé, ainsi que devait l'être, à l'époque de Bach, l'histoire biblique. J'ai souhaité que ces cantates, qui sont une dramaturgie sans action explicite, soient pourtant mises en profondeur, en lumières, en mots aussi, par un artiste venant du spectacle. J'en ai fait la proposition à Daniel Lévy avec qui j'ai déjà eu la chance de collaborer. Ces trois cantates sont distinctes, elles ont des effectifs vocaux et instrumentaux légèrement différents, mais une diagonale les traverse, qui passe par la poésie profonde et sidérante de Gerard Manley Hopkins (1844-1889) où se concentrent une méditation sur la présence de Dieu et une observation de la nature, de ses éléments dont la musique elle-même est une part atmosphérique. On retrouve un écho à 'la question de Dieu' et au 'décor planté' dans les deux textes contemporains des cantates 1 (Mathieu Nuss) et 3 (Elena Andreyev).
Ces cantates adoptent une forme en numéros successifs, souvent brefs, enchaînés ou non. On trouve, par exemple dans la première, des chorals, des airs, des récitatifs, même si rien dans la musique (à part peut-être le son d'un orgue) ne fait allusion à l'univers baroque - si ce n'est aussi (dans la deuxième cantate) l'utilisation du poème de Manley Hopkins en hommage à Henry Purcell.
L'électronique est ici la tentative qui prolonge et met en danger le poème (et non moins le musicien). Elle est pour moi l'aventure par excellence - ma première véritable incursion dans ce domaine. Foi en le poème, doute en l'électronique. Ce qui les lie est une sorte d'instrumentalisation dont la technique du sample devient le précipité poétique, changé ici en un clavier de sensations. Samples de voix, de vents, de pluies, de souffles, de train dans le lointain, d'horloges et d'oiseaux. Le murmure du monde - ce Naturlaut dont parlait Gustav Mahler - rentre tout entier dans une boîte à merveilles, laissant voir ses coutures (jusqu'aux gimmicks des boîtes à rythmes), mais non moins son aspiration presque enfantine à se fondre dans toutes les voix, à les épouser, à les déplier comme un de ces génies des contes orientaux qui sortent de la lampe à huile si on la frotte - et ici, on frotte beaucoup. Puis à son tour le sample, qui est affaire de cadrage serré, réensemence les instruments qui deviennent greffons de clavier.
L'électronique, dans les trois cantates, est délibérément non spatialisée. Elle doit former avec les instruments et les voix, tous amplifiés, un son homogène et centré qui délimite l'espace du jeu, celui de la parole. L'électronique (sauf dans la cantate 2, où elle assume davantage la fonction d'un 'décor sonore') est le plus souvent fondue avec les musiciens en un méta-instrument. A aucun moment l'électronique n'affirme de puissance, de brillance. Sa présence, souvent indiscernable, est un point de fuite de l'écoute, comme une perturbation qu'on peut intégrer pleinement à l'image sonore, ou bien laisser opérer comme un venin légèrement urticant du timbre.
Jachère aidant
La première cantate, sur un texte du poète Mathieu Nuss, écrit spécialement pour cette occasion, est une sorte de cantate express, liquide, changeante, bruissante, parfois fredonnée, chaque unité étant extrêmement brève. Un narrateur semble livrer sa vision de manière joueuse, souvent interrogative. Le découpage est lui-même rapide, comme le story-board d'une histoire à développer, mais donnée là dans l'urgence. L'électronique est liée au 'clavier de sensations' dont j'ai parlé, conçu à partir de bruits quotidiens ou atmosphériques qui, peu à peu, se changent en gammes musicales et en clavier chantant.
Gérard Pesson / contemporain / Répertoire / Voix, Ensemble et Electronique
54.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Pesson Gerard - Cantate
Egale Pays N.1 - Jachere
Aidant - Voix, Ensemble
Et Electronique Lemoine, Henry
Discipline / Instrument : voix, ensemble et électronique Nomenclature : 2S / T ...(+)
Discipline / Instrument : voix, ensemble et électronique Nomenclature : 2S / T / B / fl / cl / clav / perc / vl / vla / vlc / electr. Durée : 20' Genre : Contemporain Média : Partition Editeur : Lemoine Date de parution : 17/05/2010 Librettiste : Poèmes de Mathieu Nuss (1980) Commanditaire : Ircam-Centre Pompidou et Ars Musica Création : 07/06/2010 - Paris, Festival Agora, Centre Pompidou - Ensemble vocal Exaudi, l'Instant Donné, Daniel Lévy (mise en espace), Sébastien Roux (Réalisation informatique musicale, Ircam) ISBN / ISMN : 9790230988698 Notice Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates de Bach, la création de Gérard Pesson marque sa première rencontre avec l'électronique et la lutherie virtuelle. Toute la poétique du compositeur français, un théâtre de lumières et d'intermittences, investit l'espace scénique des cantates : une machinerie minutieuse de gestes instrumentaux, d'objets trouvés, détournés ou fabriqués - les ciels acoustiques, l'orgue de verre. La dramaturgie se souvient du découpage baroque avec ses mouvements à configuration variable, les rythmes de danse ou l'alternance entre solistes et ensemble. Dans ce pays-cantate qui est tout à la fois trace et mémoire, origine et destination, l'écriture vive du présent (les textes du jeune Mathieu Nuss ou d'Elena Andreyev) est interrompue par la visitation du passé, ici l'immense poésie de Gérard Manley Hopkins et sa vision d'une nature transfigurée. Extrait du programme du Festival Agora J'ai voulu ces cantates comme un théâtre intérieur, un théâtre de mots où le paysage de la musique, son mouvement panoramique, sa vitesse, sont le poème. Poème ami, d'abord supputé, appelé, discuté, biffé, dit et redit. Texte construit par lectures passionnées qui devient la préfiguration exacte du temps de la musique. Alors, musique et poème font territoire. Ils sont l'un à l'autre le pays. La cantate est opéra de climats, respiration articulée dans laquelle la musique devient didascalie du poème, son envers scandé. La cantate est une et fragmentée, c'est une narration librement relancée, souvent interceptée par son propre commentaire. Son fonds d'images serait comme partagé, ainsi que devait l'être, à l'époque de Bach, l'histoire biblique. J'ai souhaité que ces cantates, qui sont une dramaturgie sans action explicite, soient pourtant mises en profondeur, en lumières, en mots aussi, par un artiste venant du spectacle. J'en ai fait la proposition à Daniel Lévy avec qui j'ai déjà eu la chance de collaborer. Ces trois cantates sont distinctes, elles ont des effectifs vocaux et instrumentaux légèrement différents, mais une diagonale les traverse, qui passe par la poésie profonde et sidérante de Gerard Manley Hopkins (1844-1889) où se concentrent une méditation sur la présence de Dieu et une observation de la nature, de ses éléments dont la musique elle-même est une part atmosphérique. On retrouve un écho à la question de Dieu et au décor planté dans les deux textes contemporains des cantates 1 (Mathieu Nuss) et 3 (Elena Andreyev). Ces cantates adoptent une forme en numéros successifs, souvent brefs, enchaînés ou non. On trouve, par exemple dans la première, des chorals, des airs, des récitatifs, même si rien dans la musique (à part peut-être le son d'un orgue) ne fait allusion à l'univers baroque - si ce n'est aussi (dans la deuxième cantate) l'utilisation du poème de Manley Hopkins en hommage à Henry Purcell. L'électronique est ici la tentative qui prolonge et met en danger le poème (et non moins le musicien). Elle est pour moi l'aventure par excellence - ma première véritable incursion dans ce domaine. Foi en le poème, doute en l'électronique. Ce qui les lie est une sorte d'instrumentalisation dont la technique du sample devient le précipité poétique, changé ici en un clavier de sensations. Samples de voix, de vents, de pluies, de souffles, de train dans le lointain, d'horloges et d'oiseaux. Le murmure du monde - ce Naturlaut dont parlait Gustav Mahler - rentre tout entier dans une boîte à merveilles, laissant voir ses coutures (jusqu'aux gimmicks des boîtes à rythmes), mais non moins son aspiration presque enfantine à se fondre dans toutes les voix, à les épouser, à les déplier comme un de ces génies des contes orientaux qui sortent de la lampe à huile si on la frotte - et ici, on frotte beaucoup. Puis à son tour le sample, qui est affaire de cadrage serré, réensemence les instruments qui deviennent greffons de clavier. L'électronique, dans les trois cantates, est délibérément non spatialisée. Elle doit former avec les instruments et les voix, tous amplifiés, un son homogène et centré qui délimite l'espace du jeu, celui de la parole. L'électronique (sauf dans la cantate 2, où elle assume davantage la fonction d'un décor sonore) est le plus souvent fondue avec les musiciens en un méta-instrument. A aucun moment l'électronique n'affirme de puissance, de brillance. Sa présence, souvent indiscernable, est un point de fuite de l'écoute, comme une perturbation qu'on peut intégrer pleinement à l'image sonore, ou bien laisser opérer comme un venin légèrement urticant du timbre. Jachère aidant La première cantate, sur un texte du poète Mathieu Nuss, écrit spécialement pour cette occasion, est une sorte de cantate express, liquide, changeante, bruissante, parfois fredonnée, chaque unité étant extrêmement brève. Un narrateur semble livrer sa vision de manière joueuse, souvent interrogative. Le découpage est lui-même rapide, comme le story-board d'une histoire à développer, mais donnée là dans l'urgence. L'électronique est liée au clavier de sensations dont j'ai parlé, conçu à partir de bruits quotidiens ou atmosphériques qui, peu à peu, se changent en gammes musicales et en clavier chantant. Gérard Pesson
52.00 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| Méthodes Et
Traités - Vol.3 -
France 1600 - 1800 En Français Violon Anne Fuzeau Productions
Anne Fuzeau Classique vous propose tous les textes théoriques, méthodes, trait...(+)
Anne Fuzeau Classique vous propose tous les textes théoriques, méthodes, traités, articles, partitions de musique classique concernant le violon.Ces méthodes anciennes sont reproduites en fac-similé et regroupés en - quatre volumes.Anonyme (3-4) - Louis, L'ainé BORNET - Joseph DEMAR - Louis-Antoine DURIEU - Encyclopédie méthodique - LABADENS (2) - J.J.O. de MEUDE-MONPASTable des matières : Anonyme - : La parfaite connoissance - 1782Bornet Louis, l'ainé : Nouvelle méthode de violon - 1786Meude-Monpas J.J.O. de : Dictionnaire de musique - 1787Encyclopédie méthodique : Article sur les outils de lutherie et compléments à l'Encyclopédie de Diderot - 1788Anonyme : Principes pour apprendre facilement - c. 1790Labadens : Nouvelle méthode pour apprendre à jouer du violon - 1790Durieu Louis-Antoine : Méthode de violon - 1794Demar Joseph : Nouvelle méthode abrégée - c. 1797Téléchargez le catalogue Anne Fuzeau Classique / Violon / 264 pages / niveau : 1 / Fac-Similés - Format: 24 X 33
93.00 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Le Livre Des Illusions
(MANTOVANI BRUNO) En Français Orchestre [Partition] Lemoine, Henry
Par MANTOVANI BRUNO. Lorsque Frank Madlener m'a proposé le projet de confronter...(+)
Par MANTOVANI BRUNO. Lorsque Frank Madlener m'a proposé le projet de confronter un orchestre symphonique avec la lutherie électronique, j'ai tout de suite accepté ce défi sachant qu'il me faudrait rapidement fixer des contraintes très fortes, tant le champ des possibles, qu'il soit instrumental ou électroacoustique, était infini. Mon idée initiale était d'utiliser pour la première fois des transformations en temps réel, afin d'assouplir les rapports de verticalité et d'utiliser l'informatique comme un moyen d'orchestration. Celle de Frank était de se demander comment l'électronique pouvait créer l'illusion d'un orchestre déployé dans l'espace, entourant le public, et créant des configurations acoustiques inouïes. Afin de travailler sur cette problématique, j'ai décidé d'utiliser une formation orchestrale défective, ou certains instruments (notamment ceux qui étaient les moins localisables à l'écoute, comme le basson ou le cor) seraient absents et 'remplacés' dans la texture générale par l'ordinateur.
Qui dit 'illusion' dit aussi 'surprise', et j'avais besoin, pour élaborer la forme de l'oeuvre, de prendre comme point de départ une source qui ait à la fois une grande diversité interne (une succession d'instants pourraient être traduits musicalement par autant de configurations acoustiques) et une cohérence. Rapidement, il m'est apparu que mes recherches étaient finalement très similaires à celles de l'immense chef espagnol Ferran Adrià, dont la cuisine joue en permanence sur le conflit entre connu et inconnu, entre référence et invention abstraite, et dont les menus sont 'composés' avec un sens de la forme absolument saisissant. Très régulièrement, je tente d'établir des liens entre la musique et les arts de la bouche (gastronomie, oenologie), par l'improvisation au piano sur des vins ou des mets, et par l'écriture (notamment d'un duo pour alto et piano, Quelques effervescences, qui s'inspire de vins pétillants du monde). Les deux univers me semblent intimement liés, dans l'immédiateté de la réception, et dans le parallélisme entre les sensations éprouvées (de nombreux musiciens font appel à des métaphores gustatives pour parler de leur travail : un accord 'épicé', une sonorité 'grasse', une orchestration 'acide'...).
Le menu que j'ai eu l'honneur de déguster en 2007 au restaurant 'El Bulli' s'articulait autour de 35 plats que j'ai utilisés chronologiquement, tant l'articulation entre le salé et le sucré, les mets marins et terriens, le végétal et l'animal était, en soi, une dramaturgie parfaite. L'illusion était présente dès le premier instant. Ainsi, 'l'olive sphérique' qui débutait ce repas jouait sur le contraste entre un objet visuellement identifiable (une olive) et son 'interprétation' surprenante (il s'agissait en fait d'une reconstruction visuelle de l'olive, mais qui n'était autre que de l'huile d'olive emprisonnée dans une fine couche gélatineuse verte : aspect et goût étaient en phase, mais la texture, elle, était inouïe). Musicalement, la traduction de ce plat était assez évidente : un impact reprenant l'explosion de cet met en bouche débute la pièce, et une texture plus continue vient évoquer le déploiement de l'huile dans la bouche.
Certains plats sont assez unitaires, d'autres contiennent en eux un parcours que j'ai fidèlement reproduit (par exemple la 'framboise au wasabi', qui se déguste en trois temps successifs). J'ai aussi mis en relation certains plats entre eux, afin de créer des 'retours' qui permettent à la structure musicale de sortir d'une logique de catalogue (par exemple, une fleur de capucine, dégustée avant les desserts, renvoie gustativement, et donc musicalement, à une amande fraîche qui, elle, est présente dans le premier quart du repas). Ce 'livre' s'achève sur la texture aérienne d'un papier effervescent au cassis qui conclut de façon suspensive une pièce particulièrement animée, où les masses sonores s'opposent de façon frontale, et viennent occuper tout l'espace de la salle de concert.
Commande de l'Orchestre de Paris et de l'Ircam, le Livre des illusions (hommage à Ferran Adrià) est dédié à Marie Linden et Grégoire Biasini. Cette oeuvre a été créée à la salle Pleyel le 11 juin 2009 sous la direction de Jean Deroyer.
Bruno Mantovani
Liste des plats au menu du restaurant 'El Bulli' de Ferran Adrià, illustrés dans l'oeuvre de Bruno Mantovani:
- Olives sphériques
- Gin Fizz
- Chocolat sans chocolat #1 (pistache)
- Snack doré
- Mercedes
- Frites d'ananas lyophilisé
- Chocolat sans chocolat #2 (ananas)
- Meringue de betterave au yaourt
- Boule de cacao amer
- Chocolat sans chocolat #3 (cassis)
- G.P.
- Galette curry/cacahuètes
- Meringue à la pistache avec espuma de yaourt
- Eponge de sésame
- Dacquoise de pignons
- Framboise au wasabi
- Fleur de horchata
- Amande fraîche et huile d'amande
- Haricot géant à l'ail japonais
- Meringue au Schweppes avec fraises lyophilisées
- Anchois à la fleur de basilic
- Assiette italienne
- Risotto de pamplemousse
- Gnocchi de polenta
- Ravioles de graines de pimientos del Padron
- Couteaux aux algues
- Caviar d'escargots
- Concombres de mer avec cannelloni d'algues
- Anguille à la moelle/fleur de capucine/concombre
- Barbe à papa, glace à la banane
- Mûres à la liqueur de mûre
- Dessert blanc
- Fraises au vinaigre de Jerez
- Sablés mandarine/thé vert/menthe
- Papier effervescent au cassis / contemporain / Répertoire / Orchestre
84.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| La Tempesta
D'Après
Giorgione (DUFOURT
HUGUES) En Français Ensemble Instrumental et Petit
Orchestre [Partition] Lemoine, Henry
Par DUFOURT HUGUES. L'éclair tue le mouvement. La nature est sous narcose. Seul...(+)
Par DUFOURT HUGUES. L'éclair tue le mouvement. La nature est sous narcose. Seule la couleur est gagnée par une mobilité impondérable, incoercible, qui dissout les modelés et les précipite dans une lumière brune. La teinte ne s'apparente à rien: verdâtre tirant au vieil or, elle n'est pas de ce monde. Peut-être appartient-elle aux cieux les plus sombres de la métaphysique. L'orage est une parenthèse: un instant de réceptivité pure qui n'annonce aucun ressaisissement. Au seuil de la démesure. Comment suggérer, avec des sons, cette matérialisation de l'effroi par l'imprégnation et la fluence ? Les registres graves des instruments à vent - flûte contrebasse, clarinette contrebasse, cor anglais et trombone - se déploient dans un temps très lent, de pesanteur et d'engourdissement. L'émission est ample et permet le recouvrement mutuel des masses, le traitement en quelque sorte atmosphérique du timbre. Ce trait est accentué par l'emploi de la lutherie électronique qui dresse, en arrière-plan, un champ de valeurs tensionnelles. La sonorité du vibraphone, de la guitare ou de l'orgue électrique ne diffuse pas dans l'espace, elle aurait plutôt tendance à le contracter. D'où l'intérêt paradoxal que pouvait présenter la confrontation de tous ces instruments. La transposition musicale ne se limite pas à la recherche d'un équivalent onirique. J'ai voulu, un peu comme Giorgione l'avait fait pour la couleur, arracher le timbre à son caractère subalterne ou anecdotique. Le timbre prescrit sa forme. L'ébranlement d'une colonne sonore de clarinette contrebasse, par exemple, mobilise toute une dynamique ascensionnelle - souffle, grain, intensité, hauteur - qu'elle soumet à un régime de fluctuations intenses. La simple émission d'un son grave d'un instrument provoque un phénomène de tension agogique. Le timbre constitue un milieu dense, oscillant, fortement polarisé, régi par un ordre de différenciation interne. Il dilate un espace intérieur qui semble se prolonger au-delà de lui- même.
Hugues Dufourt / contemporain / Date parution : 1976-01-01/ Répertoire / Ensemble Instrumental et Petit Orchestre
28.00 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Piano Treasury Of Hymns
Cd Piano, Voix [Partition + CD] - Intermédiaire Amsco Wise Publications
The Piano Treasury of Hymns is designed to be the cornerstone of your personal m...(+)
The Piano Treasury of Hymns is designed to be the cornerstone of your personal music library. This tremendous collection contains 400 pages of the best-loved Christian hymns from Europe and America. From traditional favourites to contemporary worship songs, here you'll find the music that has inspired praise and worship for over four centuries. This sacred folio will provide years of enjoyment for everyone who loves the music of the church. Rediscover the beauty and power of the great songs that are a part of the fabric of the church and music history. / Piano
30.20 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Joy Of Christmas Piano, Voix et Guitare [Partition] - Intermédiaire Yorktown Music Press
Ce fantastique recueil contient 77 morceaux, chants de Noël, cantiques et chans...(+)
Ce fantastique recueil contient 77 morceaux, chants de Noël, cantiques et chansons qui célèbrent et renforcent la Joie de Noël. Arrangés pour le piano et le chant avec les symboles d'accord pour la guitare. / Piano / 80 pages / Partition
19.50 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| America S All-Time
Favorite Songs For God
And Country Piano seul [Partition] Amsco Wise Publications
Nowhere else will you find gathered together into one priceless treasury so many...(+)
Nowhere else will you find gathered together into one priceless treasury so many of your favourite American folk songs, patriotic anthems and marches, heart songs, sea chanteys, colonial songs, civil war songs, hymns, gospel songs, spirituals, Christmas carols, memorial songs, and sacred classics. This comprehensive volume includes over 175 full Piano arrangements with complete lyrics and chord symbols, and is illustrated with woodcuts, engravings and drawings throughout. / Rép International / Recueil / Piano
34.20 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Sing, Choirs!: Anthems,
Psalms And Hymns For
Choirs (SATB/Organ) Chorale SATB SATB, Orgue Novello & Co Ltd.
Sing, Choirs! is a library in miniature. It contains many of the Christian churc...(+)
Sing, Choirs! is a library in miniature. It contains many of the Christian church's popular traditional anthems, including at least one example that will be suitable for each of the major services of the year. A number of Anglican chants (Psalms, Magnificat and Nunc Dimittis) are included, set out in a way that should enable those who are unfamiliar with the style to perform them easily. The selection of movements from the Mass can be used to enrich the music of the liturgy in services. Many of the works in Sing, Choirs! are presented in their original form, such as Bruckner's Locus Iste and Mozart's Laudate Dominum . Others are arrangements, adaptations or longer pieces, abridged to bring them into the scope of a useable anthem, including choral arrangements of Handel's Largo , the Ave Marias by Schubert and by Bach and Gounod, and Franck's Panis Angelicus amongst many others. This collection has practicability as a priority. The Organ parts can be played on either the Piano or the Keyboard. Much of the music in Sing, Choirs! will be suitable for special occasions, making this an indispensable volume for choirs singing at weekly church services, weddings, funerals and in the concert hall. / Choeur Mixte (SATB) Et Orgue
28.20 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Anthology Trombone V.3 +
Cd (CAPPELLARI ANDREA) Trombone [Partition + CD] Carisch
Arrangeur: Andrea Cappellari. Par CAPPELLARI ANDREA. Arranged and adapted by And...(+)
Arrangeur: Andrea Cappellari. Par CAPPELLARI ANDREA. Arranged and adapted by Andrea Cappellari. Include Backing Tracks CD. / Pop & rock / Recueil / Trombone
26.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Gospel Homecoming 40
Favorite Gospel Songs En Français Piano, Voix et Guitare [Conducteur] - Facile ID Music
A Gospel Homecoming est une collection de certains des plus beaux chants gospel ...(+)
A Gospel Homecoming est une collection de certains des plus beaux chants gospel jamais! Voici une collection de chansons soigneusement sélectionnés qui évoquent une époque plus simple ... à partir de sélections Southern Gospel aux cantiques préférés.
Comme vous le chanter et de jouer à travers ces chansons, vous serez transportés vers un lieu de paix et de fraternité. Utilisez cette collection précieuse comme une pièce maîtresse pour créer votre propre groupe ou des rassemblements bourse musicale. Vous pouvez rentrer chez vous ... avec un retour aux sources évangéliques. / Piano/Vocal/Guitare (PVG) / niveau : Facile / Partition
25.00 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
Page suivante 1 31
|