| Le Rat De Ville Et Le Rat
Des Champs Pour Choeur
D'Enfants A 2 Voix
Et Piano En Français Chorale 2 parties 2 parties, Piano Delatour France
Les Fables de La Fontaine ont depuis longtemps attire? les compositeurs, Rythme?...(+)
Les Fables de La Fontaine ont depuis longtemps attire? les compositeurs, Rythme?es et hautes en couleurs, beaucoup de ces petites sce?nes appellent irre?sistiblement la mise en voix comme autant de petites sce?nes the?a?trales, C'est du moins dans cet esprit que j'ai traite? Le Rat de ville et le Rat des champs, selon une ve?ritable mise en sce?ne miniature, Le piano joue alors un ro?le majeur, commentant l'action et comple?tant le discours musical autant qu'il ' accompagne ' les voix,Divers e?pisodes narratifs alternent qui collent au plus pre?t a? la narration (sans refuser parfois un certain figuralisme re?cre?atif), Cette structure en e?pisodes nettement diffe?rencie?s, mais condense?s en une dure?e assez bre?ve (4 mn environ), explique le sous-titre de ' micro-cantate ', Le premier motif chante? par le choeur revient, apre?s les pe?ripe?ties centrales, vers la fin de l'oeuvre, qui se termine enfin par un fugato entre les deux voix en canon strict,D'une e?criture largement tonale et fonde?e sur des carrures claires pour en faciliter l'apprentissage, l'oeuvre a e?te? pense?e a? deux voix, Celles-ci sont la plupart du temps impe?ratives (notamment pour le final) mais il est possible, le cas e?che?ant, de re?duire plusieurs se?quences a? une seule voix : les parties vocales qui pourraient e?tre alors supprime?es sont signale?es entre crochets, De me?me, certains passages peuvent e?tre confie?s a? des voix solistes, soit pour varier les textures, soit pour alle?ger l'apprentissage pour l'ensemble des enfants, Enfin, les petites notes de la partie de piano (mes, 49-50) ne doivent e?tre joue?es que s'il s'ave?re indispensable de soutenir les voix en cas de difficulte? d'intonation - dans l'ide?al, on ne les jouera pas, / Choeur D'Enfants Et Piano
12.00 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Dans Les Steppes De
L'Asie Centrale (In
the Steppes of Central
Asia) En Français Partie Séparée [Partie séparée] - Avancé Martin, Robert
/ Partie Séparée / niveau : Or:5 / Partition
7.80 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: Sur commande | |
| Dans Les Steppes De
L'Asie Centrale (In
the Steppes of Central
Asia) En Français Parties Supplémentaires [Partie séparée] - Avancé Martin, Robert
/ Parties Supplémentaires / niveau : Or:5 / Partition
17.70 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Légendes Urbaines
(MURAIL TRISTAN) En Français 22 Instruments [Partition] Lemoine, Henry
Par MURAIL TRISTAN. (Prendre les mots 'légendes' et 'urbaines' dans leurs diff...(+)
Par MURAIL TRISTAN. (Prendre les mots 'légendes' et 'urbaines' dans leurs différents sens et en tester toutes les combinaisons)
Légendes urbaines est le résultat d'une commande précise de l'Ensemble intercontemporain, à l'occasion d'un concert 'à thème', lui-même partie d'une saison thématique. Ces thèmes, comme l'on sait, sont: la ville, le voyage, et plus précisément, pour ce concert, New York - New York n'étant évidemment pas une destination de voyage pour moi, sinon celle d'un 'commuting' fréquent depuis ma résidence semi-rurale. Les thèmes littéraires ou visuels en musique ont fait couler beaucoup d'encre et plongent plus d'un dans la perplexité. La musique peut-elle exprimer ou raconter ? Est-il possible de ressusciter le poème symphonique ? D'écrire encore des opéras ? Si oui, est-il légitime de le faire, ou n'est-ce pas définitivement obsolète ? Comme je crois à la méthode expérimentale, j'ai décidé de relever le défi et de m'essayer au thème proposé, non sans garder quelque distance ironique vis-à-vis de l'exercice. Occasion aussi de rechercher quelques modèles et de ne pas se priver de références, plus ou moins transparentes, à quelques-uns de mes prédécesseurs sur le nouveau continent. Le modèle formel est celui des Tableaux d'une exposition, avec sa suite de vignettes sonores entrelacées de promenades - les références musicales, on pourra s'amuser à les deviner. Les allusions visuelles, points de départ ou d'arrivée de la rêverie musicale, ne seront pas l'Empire State Building, la Statue de la Liberté et autres cartes postales formatées pour le tourisme, mais plutôt les images et sensations suscitées par la fréquentation d'une ville à la fois très familière et tout à fait étrangère.
Promenade 1
Les 'promenades' de Moussorgski s'effectuaient d'un pas à la fois martial et guilleret... Dans Manhattan, les distances sont grandes, qui inciteront à prendre plutôt le 'Subway', célèbre pour son infernal vacarme métallique. Par prudence pour nos tympans, on l'écoutera d'assez loin, accompagné d'appels de cuivres, le plus souvent sous forme de tierces descendantes - les 5 espèces de tierces permises par l'écriture en quarts de tons. Vacarmes métalliques et appels de cuivres ne se limitent d'ailleurs pas à constituer l'essentiel des 'promenades', mais envahissent les recoins de toute la pièce.
Staten Island Ferry
Autrefois, la 'skyline' (la ligne des gratte-ciels) de Manhattan surgissait pour le voyageur lentement sur l'horizon, objet de tous les rêves et de tous les espoirs, au terme d'une longue traversée maritime. Le bateau franchissait la rade de New-York, saluait au passage la Statue de la Liberté, et allait s'amarrer directement au pied des 'high-rises'. On se rappelle les vieux films et vues d'archives. New York ne s'aborde plus par la mer et cet aspect du rêve américain a donc disparu, mais on peut revivre l'expérience, dans une certaine mesure, en prenant le ferry de Staten Island. Au retour, on peut s'imaginer, accoudé à la rambarde d'un paquebot, découvrant la ville longtemps espérée... la vue est splendide, et le ferry gratuit - chose rare en ce pays.
Central Park at twilight
Superposition de musiques émanant de lieux différents, et se mouvant à différentes vitesses. Sensation étrange d'échapper un moment à la réalité de la ville dont les bruits ne parviennent qu'étouffés. Instants ambigus du crépuscule, brefs et éternels, bruissements dans les fourrés déjà obscurs (ce ne sont que les écureuils), les silhouettes des gratte-ciels s'illuminent une à une à travers les frondaisons. Chant harmonique de la 'Swainson's thrush' (grive à dos olive). Les derniers promeneurs se hâtent vers les sorties: de nos jours, il n'est plus très recommandé de rester écouter les sons de 'Central Park in the Dark'.
Sunday Joggers
Toujours à Central Park: le dimanche, s'installer le long de l'une des routes qui traversent le parc, et qui, fermées à la circulation, sont envahies par une foule ahanante, transpirante et clopinante. 'Joggers' de tous âge, sexe, taille, couleur et embonpoint - toutes vitesses, allures et harnachements. Certain(e)s promènent leur progéniture dans des poussettes de course (3 roues surdimensionnées, profilage aérodynamique), d'autres peinent à suivre leur(s) chien(s). Quelques tricheurs passent à vélo ou sur patins à roulettes. Toute une humanité pantelante défile devant vos yeux, et il faudrait être Daumier pour croquer le spectacle - ici c'est le prétexte d'une modeste étude sur les tempi superposés.
Whirlwinds
Le plan de Manhattan est intéressant: systématiquement rectangulaire, mais avec quelques grandioses irrégularités, en particulier celles provoquées par Broadway qui, vestige d'un vieux chemin indien, coupe diagonalement rues et avenues, provoquant de ce fait quelques extravagances architecturales et topologiques. Une autre conséquence du plan d'urbanisme - ou d'une absence de celui-ci - est que la circulation atmosphérique se trouve très fortement perturbée. Certains carrefours sont ainsi le siège de redoutables tourbillons venteux, en particulier ces carrefours complexes provoqués par l'intrusion de Broadway dans le damier urbain, ou encore la climatiquement terrifiante intersection entre Riverside et la 122ème rue, où la présence d'un clocher-gratte-ciel néo-pré-raphaélite perturbe fortement les masses d'air qui circulent le long de la rivière Hudson.
Promenade 2
Plus agitée que la Promenade 1, et conduisant au triptyque suivant:
George Washington Bridge 1
The Frozen River
George Washington Bridge 2
'Non seulement les possibilités des harmoniques des sons seront-elles révélées dans toute leur splendeur, mais encore l'usage de certaines interférences créées par les partiels constituera-t-il une contribution appréciable. On pourra s'attendre à l'utilisation, jamais envisagée jusqu'à ce jour, des résultants inférieurs et des sons différentiels et additionnels. Une magie sonore totalement nouvelle !' (Edgar Varèse, extrait d'une conférence donnée à Santa Fe en 1936).
George Washington Bridge, c'est notre Grande Porte de Kiev - et l'une des peu nombreuses voies d'accès à l'île de Manhattan (car Manhattan est une île, on l'oublie parfois). Une 'Grande Porte' en ferraille et en réfection permanente, mais qui fut un symbole de modernité en son temps et fascina, dit-on, Edgar Varèse, qui venait en surveiller l'avancement des travaux. C'est aussi l'occasion d'un triptyque intérieur, qui respecte la symétrie de l'ouvrage, ses deux piliers de métal argenté, son double pont d'où l'on peut jouir de vues somptueuses sur la skyline, le tout jeté sur un fleuve parfois gelé en hiver. C'est enfin un hommage à l'intuition prophétique de Varèse, dont la citation ci-dessus décrit très précisément les types d'harmonies développés quarante ans plus tard par les techniques dites 'spectrales' - sans que lui-même n'ait pu mettre ces idées en application.
Promenade 3
Au ralenti, et tuilée avec:
Hyperlinks
Où des connexions s'établissent subitement entre divers moments entendus précédemment - établissement de 'liens' inattendus entre textures les plus opposées.
Promenade 4
Rappel de la promenade 1, puis retour à Central Park, qui maintenant s'enfonce dans la nuit - dernier chant de la grive à dos olive...
Tristan Murail
Programme de l'EIC, Concert à la Cité de la Musique / contemporain / Répertoire / 22 Instruments
93.20 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Panorama, Particolari E
Licenza (PESSON GERARD) En Français Alto, Voix d'Alto et Ensemble [Partition] Lemoine, Henry
Par PESSON GERARD. Berlioz n'a pas aimé Rome, ni la villa Médicis, où il éta...(+)
Par PESSON GERARD. Berlioz n'a pas aimé Rome, ni la villa Médicis, où il était parti à contre-coeur. Il trouvait la ville étouffante et provinciale, la Villa étriquée académique et trop seigneuriale. Il est donc allé chercher ailleurs ce qu'il a appelé son 'Italie sauvage', une Italie de ciels, de vents, de pluies, de ruines ensauvagées, de montagnes, de bourgades à flanc de roches. En romantique qui vit des éléments, il n'emportait dans ses nombreuses virées à Tivoli, Subiaco ou aux Castelli Romani, qu'un carnet, un fusil et sa guitare, dormant parfois à la belle étoile, cherchant parfois la compagnie des petites gens, se faisant l'ami de quelques bandits au grand coeur, mais plus souvent épris de solitude.
Il y a eu effet-retard de l'Italie dans l'oeuvre de Berlioz. Le temps de développer, par une archéologie rétrospective, les impressions assimilées, et, pour une grande part, de réinventer un pays, certes vécu mais tout autant fantasmé. Ce pays-là, qui n'est donc d'aucun pays, deviendra la dorsale de beaucoup de ses oeuvres: Benvenuto Cellini, Béatrice et Bénédict, Roméo et Juliette, Carnaval Romain etc., et surtout Harold en Italie.
Harold reprend la manière autobiographique qui faisait, entre autres, l'originalité de la Symphonie Fantastique. Utilisant le héros byronien, Childe Harold, Berlioz livre en musique un scénario qui commande le cadrage panoramique. On peut parler d'une réappropriation par un héros prête-nom de ses propres sensations relevées sur le motif (processus du plein air à l'atelier qu'effectuaient aussi les peintres, ses collègues de séjour en Italie). C'est cette dualité paysage réel/paysage rêvé que veut traiter la partition Panorama, particolari e licenza ('Panorama, détails et licence') écrite à la demande de Christophe Desjardins.
De la même manière que j'ai utilisé parfois des musiques préexistantes pour chercher ma propre musique (Nebenstück/Brahms/filtrage, Wunderblock/Bruckner/effacement), j'ai voulu ici détailler la notion de champ que Berlioz manie de façon véritablement pré-cinématographique. Ce qui se rapproche de nous (un détail infime perdu dans le tutti), ce qui s'en éloigne, ce qui nous parvient encore - un travelling qui devient arrêt sur image, un cadrage resserré, le fondu de deux perspectives. Panorama, particolari e licenza est, en ce sens, une sorte de making of , comme on dit aujourd'hui, de ce modèle génial, partition hirsute, fruste, mais tout à la fois riche, hautement inspirée. Harold en Italie traduit cette sauvagerie que Berlioz voulait rendre en musique, combinat de sensations, de révolte et d'exaltation: un son capté puis stylisé, avec effets de réel devenant sous sa plume des trouvailles, de véritables effets spéciaux dont peu de musiciens avant lui avaient eu l'intuition.
A la demande de David Jisse et de la Muse en circuit, j'ai ajouté une partie électronique qui a été conçue par Laurent Sellier. Cette partie, essentielle, est une manière de réaliser concrètement ce qui est en filigrane dans Harold, la transmutation de toute expérience éprouvée en un véritable clavier de sensations.
Le percussionniste de Panorama, particolari e licenza est une sorte d'accessoiriste bruiteur. Il reformule concrètement le réel purement rêvé, mais d'une manière que j'ai voulue parfois dérisoire et délibérément 'bricolée', comme un travail magique qui puisse donner sens à cette vérité véhémente, incessamment recyclée, qui faisait tout l'art de Berlioz.
La question du soliste est importante dans Panorama, particolari e licenza. Il est tout à la fois le point de vue, la subjection, celui qui dit je, comme il est aussi le sujet de l'autofiction. Tout en étant central, il est égaré, parfois noyé dans le méta-instrument du récit. Au moins c'est ainsi que je l'ai traité, car il maille les instruments ensemble, prenant toutes les bribes du discours, abdiquant souvent ce qu'il y a de performatif dans la place du soliste romantique. Il est ici doublé par une voix d'alto de manière à rendre ce fading du sujet, ainsi que cette prise de parole par le texte poétique toujours central dans l'oeuvre de Berlioz.
J'ai expliqué les deux premiers mots du titre. Le dernier renvoie aux licences que je prends par rapport au modèle, mais aussi à cette forme musicale du XVIIIe - La Licenza - qui était une manière d'hommage à un personnage d'influence. Con licenza était aussi une façon d'indiquer une liberté dans l'interprétation (c'est bien ici le sujet: la transcription est un écart), le tempo ou dans l'ornementation. Con alcune licenze écrit Beethoven au début de la fugue de l'opus 106.
Panorama, particolari e licenza suit assez fidèlement, quant au déroulement du moins, trois mouvements d'Harold en Italie.
I - Aux montagnes: On y entend des bruits de vent, de ruisseaux, des sons de guitare et de harpe de voyage. Des bribes non linéaires du Childe Harold de Byron.
II - Marche (moissonneurs et angélus): Il s'agit de pèlerins dans l'original. Toutefois, Berlioz a été précis sur le souvenir qui a déclenché ce tableau dans sa musique. Ce sont des moissonneurs qui rentrent le soir au village en chantant une prière. J'ai choisi ici l'angélus, qui est devenu une véritable icône dans la peinture de ce siècle-là. On y entend donc des fragments chantés en latin. Le percussionniste joue de la faux. Car la mort n'est jamais loin dans l'imaginaire byronien et non moins berliozien. C'est aussi une référence à d'autres 'scènes aux champs' passées dans l'imaginaire collectif. Je ne peux cacher que moissonneur m'a soufflé aussi moins sonneur.
III - Sérénade (une chanson des Abruzzes): C'est le mouvement le plus 'stylisé'. On y entend une véritable chanson en dialecte des Abruzzes où est évoqué la fameuse lontananza: à la fois espace résonnant d'une montagne à l'autre, mais aussi éloignement, séparation de deux amants. C'est un chant sur la construction du futur et la désillusion amoureuse que Berlioz a pu entendre et dont il a pu méditer le poème, bien qu'il ne s'en soit pas musicalement inspiré. Mais l'esprit, qui combine la mélancolie, un rien de malice, d'inquiétude et de doute tout berlioziens, est gardé dans ce mouvement, jusque dans les paroles de la chanson:
O hirondelle qui vole sur Potenza
Salue-le pour moi, c'est mon espoir
Demande-lui ce qu'il fait, ce qu'il pense,
Comme il supporte la lontananza
Demande-lui ce qu'il fait, ce qu'il veut
Et comme il supporte la séparation.
Gérard Pesson, septembre 2006 / contemporain / Répertoire / Alto, Voix d'Alto et Ensemble
76.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Concerto op 16, parties
séparées (LHOYER
ANTOINE DE) (LHOYER
ANTOINE DE) En Français Guitare, Orchestre Editions Buissonnieres
Par LHOYER ANTOINE DE. Antoine de Lhoyer 1768-1852
Collection pour la guitare pr...(+)
Par LHOYER ANTOINE DE. Antoine de Lhoyer 1768-1852
Collection pour la guitare proposée par le duo Spinosi
La vie d'Antoine de Lhoyer est un véritable roman dont la guitare reste le personnage central. Ce compositeur, guitariste, Chevalier de Saint-Louis et de Saint-Jean de Jérusalem, Garde de la Manche du Roi, nous a légué des chefs-d'?uvre longtemps restés dans l'obscurité des bibliothèques.
La présente édition s'attache à vous en livrer les plus belles pages.
La première édition connue de ce concerto fut publiée par Böhme, à Hambourg, en 1802. Il peut sembler curieux qu'une ?uvre aussi enthousiasmante soit restée si longtemps ignorée des guitaristes et du public alors que son existence était parfaitement connue.
Ce concerto fut recréé en 2001 à Brest avec l'Ensemble Matheus (dirigé par Jean-Christophe Spinosi). Après l'avoir joué de très nombreuses fois en France et en Espagne, puis enregistré, j'invite tous les guitaristes à partager mon enthousiasme, ma joie et ma passion pour cette ?uvre superbe.
Voici LE concerto que tout guitariste devrait désormais avoir à son répertoire ! - Philippe Spinosi
Conducteur et parties séparée de guitare, 4 violon I, 4 violon II, 2 alto, 3 basse.
Révisions, cadences et reconstitution du IIe mouvement par Philippe Spinosi.
Le Concerto opus 16 et des duos pour guitares d'Antoine de Lhoyer ont été enregistrés en février 2004 par Philippe Spinosi et l'Ensemble Matheus sous la direction de Jean-Christophe Spinosi.
Disque paru chez Naïve : www.naiveclassique.com
Le Concerto pour guitare existe également pour guitare et piano : Concerto pour guitare opus 16 et pour orchestre en conducteur de poche. / Date parution : 2003-05-01/ Répertoire / Guitare
66.70 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Las Amarillas Chorale 3 parties SSA Boosey and Hawkes
Acharné et arrogante, un mélange de joie et de dédain. Le paradoxe central d'...(+)
Acharné et arrogante, un mélange de joie et de dédain. Le paradoxe central d'effectuer cette pièce il que les rythmes doivent être très incisif et exactes, et pourtant la précision doit être combiné avec l'attitude insouciante et festive qui empêche la prec / 3 Parties Voix Aigues (SSA)
3.70 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Mantovani Bruno -
L'autre Cote - Soli,
Choeur, Orchestre - Chant
and Piano Soli, choeur mixte et accompagnement Soli, chœur mixte et piano Lemoine, Henry
Commanditaire L'Etat et l'Opéra National du Rhin Notice Un opéra fantastique...(+)
Commanditaire L'Etat et l'Opéra National du Rhin Notice Un opéra fantastique d'après le roman d'Alfred Kubin, Die andere Seite Le livret a été tiré de L'Autre côté d'Alfred Kubin, traduction française de Robert Valençay revue par Christian Hubin (José Corti, 2000) Musique de Bruno Mantovani Livret de François Regnault (avec la collaboration de Bruno Mantovani) J'avais lu il y a longtemps L'Autre côté d'Alfred Kubin, dont le titre m'intriguait. J'avais dû voir des illustrations étranges, visiblement expressionnistes, audacieuses et cauchemardesques de l'artiste, et je m'étonnais qu'il eût écrit un roman. Le roman, assez vite, me saisit, puisqu'il racontait comment le héros, qui semble bien n'être autre que l'auteur, car il est comme lui dessinateur et a comme lui vécu à Salzbourg, se fait inviter par un ancien camarade de lycée dans un empire en lointaine Asie dont il est devenu le chef, et qu'il s'en va donc de l'Autre Côté, où commencent les aventures... On me fit rencontrer Bruno Mantovani, qui avait la commande d'un opéra, de la part de Nicholas Snowman, pour l'Opéra du Rhin. Nous nous sommes vus ensuite à plusieurs reprises, et je n'eus pas de mal à m'entendre avec ce compositeur moderne, dont les oeuvres que j'ai écoutées de lui me plaisent, qui connaît comme pas un - et de l'intérieur - toute l'histoire de l'opéra - et qui, en outre, comptait bien éviter quelques-uns des écueils sur lesquels nous tombions d'accord que l'opéra parfois s'échoue : sans mépris pour qui que ce soit, mais sans fausse modestie non plus. J'aimais l'opéra, depuis que j'avais vu Maria Callas en chanter deux, et depuis ma participation cinq ans comme dramaturge, ou ne je sais quoi, avec Patrice Chéreau à Bayreuth, et j'avais écrit un livret pour Georges Aperghis, avec qui j'ai eu le bonheur de travailler plusieurs fois. Sans parler d'un autre livret pour un autre opéra à venir. Mais étant essentiellement introduit dans le théâtre, je mesurai combien Mantovani sait que l'amour du théâtre, dont il est un excellent spectateur, est bien souvent le schibboleth qui départage les grands compositeurs d'opéra des autres. Le sujet On ne trouve pas forcément tout de suite un sujet de livret, et ensuite, on ne trouve pas forcément le livret de ce sujet. Nous envisagions quelques pistes, nous nous y engagions, et puis nous n'allions pas loin, ou c'était sans issue. D'entrée de jeu, nous étions convenus d'éviter la reprise d'un mythe ancien, fût-il grec ou amérindien, nous mesurions l'extrême difficulté de trouver un mythe moderne - cela ne s'invente pas - et nous répugnions aussi à prendre un sujet qui s'appliquât à l'actualité politique, faute de certitudes, ou plutôt par la conviction qu'on ne traite pas aisément des malheurs du monde, ou du moins, pas aussi frontalement que certains se l'imaginent. Les Soldats de Zimmermann, par exemple, parviennent à une telle portée esthétique et politique parce qu'il est passé par une pièce de Lenz, qui raconte des événements du XVIIIe siècle, Helmut Lachenmann est parvenu à une oeuvre poignante et d'une extrême beauté avec sa Petite Marchande d'allumettes pour parler du gauchisme, à partir d'un écrit de Gudrun Ensslin, parce qu'il est passé par un conte d'Andersen et par des textes de Léonard de Vinci. Je me suis alors souvenu de L'Autre côté, que j'ai relu, et Bruno et moi sommes vite tombés d'accord que cette oeuvre pouvait d'autant plus fortement nous inspirer que l'atmosphère d'inquiétante étrangeté, de fantastique et de décrépitude, très réussie, dans laquelle l'oeuvre est plongée, était au service d'une cause imaginaire, fabuleuse, invraisemblable, mais qui pouvait fonctionner comme une grande et terrible allégorie politique : l'Empire du Rêve, créé de toutes pièces par un richissime illuminé, Claus Patera, condisciple, donc, du dessinateur, constitué par des restes ramassés ou aux quatre coins du monde, dans une région nauséeuse et miasmatique, dont l'idéal promis au début se révèle vite une imposture, sans qu'on sache à qui la faute, car on apprendra que le dictateur lui-même, qu'on ne voit presque jamais, n'y croit plus guère, et combine dans sa personne les traits d'une adolescence angélique, d'une sénilité précoce et d'une espèce de déphasage complet d'avec ce qui se passe dans son Empire. Et pourtant, ce n'est pas faute qu'il n'ait des partisans fanatiques dans la population bizarre de la ville de Perle, capitale de l'Empire. Lorsqu'un Américain tout aussi richissime viendra prendre le défi de le renverser et de s'arroger le gouvernement de l'Empire, peut-être convient-il que vous n'y voyiez pas aussitôt quelque arrangement d'événements récents, non seulement parce que ce roman fut écrit en 1908, avant même ceux de Kafka (que Kubin rencontra d'ailleurs plusieurs fois, et qui restait perplexe devant L'Autre côté), mais aussi parce que l'imaginaire fantastique et la vision poétique de l'auteur viennent hanter le récit de formes et de couleurs venues d'un autre monde : des profondeurs de l'inconscient, sûrement, à une époque où on lui en supposait encore - du fond d'une Angoisse dont on devine que l'auteur est incessamment traversé - mais surtout d'une capacité plastique de rêverie qui franchit constamment la barrière supposée étanche entre l'écriture et le dessin - et si Kubin ne manque pas d'illustrer son propre livre, lui aussi, d'inquiétants dessins étranges, on admire d'autant plus sa virtuosité que les deux techniques qu'il pratique ici de conserve se défendent très bien chacune indépendamment l'une de l'autre. Comme Holbein illustrant Erasme, comme le Goethe du Voyage d'Italie, comme Kipling s'illustrant ses Histoires comme ça, rares exemples. Le livret Je me suis vite dit que ce serait évidemment à la musique de prendre en charge l'imaginaire et le fantastique, et que les indications scéniques du livret, issues toutes du livre, ne seraient là que pour suggérer ce que le compositeur pouvait lire aussi bien que moi dans l'ouvrage. Mais je me suis dit aussi que puisqu'il y aurait des personnages - nous en avons réduit le nombre - et qu'ils parleraient, c'est-à-dire chanteraient, il fallait prendre le plus grand soin qu'avec assez peu de paroles, on puisse suivre exactement l'histoire, la psychologie des personnages principaux (et ici j'utilise à dessein le vocabulaire le plus conventionnel, non pas pour rassurer le réactionnaire et inquiéter l'avant-gardiste, mais parce que chanter des paroles est la matière même de l'opéra), le cours des événements, en même temps que les transformations, métamorphoses, catastrophes et l'apocalypse d'un Empire démoniaque, suscitées sans doute, au-delà de son tyran, par des forces innommables. Si je lui faisais parfois part des représentations musicales ou rythmiques de certaines scènes qu'il avait la gentillesse d'écouter et de transposer dans son art, Bruno Mantovani était en retour plus qu'attentif à la moindre des répliques à mettre en musique, entendant d'une oreille de théâtre ce qui peut se dire, se chanter, se mi-dire, etc. (il y a bien des façons, depuis longtemps, dans l'opéra ou dans le théâtre musical, de dialectiser en musique la différence du parler et du chanter, opposition qui reste opératoire dans son principe, mais qui s'ouvre depuis au moins Schönberg à des variations infinies). Pour la composition d'ensemble, je sais combien l'harmonie, le contrepoint éventuel (il y a un choral !), le rythme, les timbres peuvent, chez un musicien exigeant, s'engendrer, sinon se déduire, à partir de structures simples ou complexes, de sorte que l'écriture, et, donc aussi la perception, consciente ou inconsciente, d'une oeuvre ne se fassent pas au seul fil du récit, ni en fonction du seul effet, même si, au dire de plusieurs compositeurs que j'admire, l'opéra, par sa nature théâtrale, sa spatialité et sa temporalité spécifiques, demande moins de rigueur apparente que d'autres formes d'écriture. Aussi n'ai-je pu m'empêcher, même dans ce qui n'est que le livret, de suivre ou de m'imposer des structures, elles, fort simples, dans l'organisation des scènes, de leurs rapports de ressemblance ou de dissemblance, de leurs correspondances thématiques, - contrastes, répétitions, citations, allusions - d'autant que la fable principale conte la substitution symétrique, jusque dans son affrontement corporel, entre le Maître de l'Empire et l'Américain qui le renverse. L'hybride Il était aisé, en ce sens, de diviser l'oeuvre en deux actes (même si le roman a davantage de parties et de nombreux chapitres), avec un Prologue et un Epilogue : grandeur et décadence de l'Empire du Rêve, conclura-t-on, même si l'intérêt de ce conte est justement de montrer que tout est déjà pourri dans le Royaume de Perle, et que le salut venu d'ailleurs ne fait que liquider la pourriture ! Oui, l'oeuvre de Kubin, aussi bien dessinée qu'écrite (il a écrit plusieurs autres nouvelles), est foncièrement pessimiste. Lorsqu'il a constaté, moins l'horreur du monde que la capacité qu'a le sommeil de la raison d'enfanter des monstres, pour reprendre la formule de Goya, un peintre qu'il aimait, il lui reste à les lâcher en les dessinant. Si Dieu a créé le monde, Claudel pensait qu'il fallait le lui restituer en louange et en poésie, ou en drames dans lesquels le pire ne fût pas toujours sûr. Si le Diable a fait le monde, dirai-je que Kubin pense qu'il faut lui restituer l'histoire de ses calamités et lui tendre le miroir de ses immondices ' La dernière phrase de L'Autre Côté nous donne une étrange réponse : Le démiurge est un être hybride. Tout un roman de quelques centaines de pages pour parvenir à cette phrase peu claire, digne des Gnostiques des premiers siècles du Christianisme ! Mais la phrase peut aussi bien s'éclairer de ce qu'on a dit : puisque le monde semble mauvais, il faut au moins, pour que le pire n'en soit pas toujours le plus sûr, muni de son carnet de croquis, en faire le relevé régulier, en tenant par l'art le malheur à distance, et en mesurant constamment que le démiurge qui a raté le monde, ne pouvait pas faire mieux, qu'il y a en lui du meilleur et du pire, en bref qu'il est hybride ! Mais hybride après tout comme l'homme lui-même, sa victime et son destinataire - ou plutôt, son dessinateur ! Claus Patera, est en effet un personnage dont on ne sait s'il a gardé son innocence ou s'il est déjà complètement abîmé, intrinsèquement, physiquement et spirituellement hybride, à mi-chemin entre le réel et l'irrationnel, habité de forces obscures ou de pulsions obscènes et morbides, mais l'Américain Hercule Bell, un peu décrit comme un Américain digne de Jules Verne, est pris lui aussi dans une dangereuse oscillation entre le philanthrope vantard et le tyran sanguinaire ! Si donc a lieu le Jugement dernier, car aucune apocalypse n'est à écarter, à défaut de nos fautes, nous montrerons nos pulsions, et pour défendre notre prochain ne sachant dessiner, nous arborerons les illustrations par nous de ce monde où nous avons été jetés. Et si le feu ou le déluge anéantissent toutes choses, peut-être restera-t-il au moins quelque part un trait sur le papier, carbonisé ou délavé. A l'ancien camarade de classe, au dictateur hybride, à cet Américain sauveur lui-même si douteux, et qui font couple à la fin dans une espèce de répugnant coït, s'ajoutent donc le couple principal, Kubin - nous l'avons appelé ainsi, bien que l'auteur de le nomme pas - et sa femme. Nous avons, autour d'eux, réduit à trois les personnages qui les entourent, le Coiffeur-philosophe, qui leur sous-loue un appartement, l'Editeur qui passe un contrat avec le dessinateur, et le médecin Lampenbogen, qui soignera Madame Kubin et accompagnera le mari veuf jusqu'à la fin. Les autres personnages sont des comparses, mais il y a le Choeur, qui a une grande importance, et qui compose le peuple entier de Perle, versatile, monstrueux, prêt à tout, morbide et orgiaque, auxquels s'ajoutent mammifères, serpents et insectes, qui sont peut-être des hallucinations, mais dans un monde fantastique, le cauchemar et la réalité se confondent. Le dessinateur La fin de l'aventure se solde pour Kubin par un rapatriement suivi d'un internement. Il serait alors aisé d'en conclure, comme on le fait souvent dans des cas semblables, que toute cette aventure n'aura été qu'une immense hallucination. Outre que ce n'est pas l'idée d'Alfred Kubin, l'auteur réel du livre, cela ne changerait guère la représentation qui en résulterait sur la scène d'un opéra, où ce qu'on voit, que ce soit la vision d'un Faust ou celle d'un Hoffmann, passe forcément pour réel. Le public ne croit que ce qu'il voit et ce qu'il entend, plus qu'ailleurs, il croit tout ce qu'il voit et tout ce qu'il entend, et c'est lui qui a raison. Surtout, j'aime fort que les dernières paroles de Kubin reviennent à dire que désormais, il passe ses meilleures heures avec du papier, des crayons et des bâtons d'encre de Chine... plus proche de l'artiste rêveur, du voyant... Et ce qu'il représentera désormais s'inspirera donc de cette espèce de cosmologie duelle qu'il évoque à propos de Patera : L'attraction et la répulsion... les pôles de la terre... le jours et la nuit... le blanc et le noir... Le blanc et le noir ! Voilà tout le manifeste esthétique de l'illustrateur expressionniste à qui nous devons, disséminées dans des musées et des livres, ces gravures, reconnaissables entre toutes, devant lesquelles nous nous défendons mal d'un malaise devant les souffrances aisément devinables d'un artiste plus écorché que les autres - la guérison par l'art ' Sa vie, racontée par Kubin lui-même ne nous incite pas à conclure ainsi. Là où nous sommes confrontés à la névrose étrangère et toute constituée, écrit Freud à peu près à l'époque même où Kubin écrit L'Autre côté, dans la vie nous appellerons le médecin et tiendrons la figure pour inapte à la scène. Pourtant, sans remontrer à Jérôme Bosch, à Goya, en tout cas à tous ceux que Kubin admira, jusqu'à Odilon Redon et James Ensor, une bonne partie des oeuvres offensives du XXe siècle n'ont-elles pas consisté, malgré les réticences de Freud, à tirer un peu de jouissance de beaucoup de souffrance, et sans réveiller en nous forcément sadisme et masochisme, à nous inviter, à défaut de pâmoisons devant la beauté, ou de complaisances avec la douleur, à de la compassion devant cette souffrance ' L'oeuvre de Kubin n'est pas exempte de bonté lorsqu'il prend pour finir pitié de son persécuteur moribond, et qu'il va jusqu'à trouver de la beauté à son cadavre : L'image d'un dieu antique ! Comme il est beau ! - mais il y a encore, dans cette oeuvre, une autre source de plaisir dont nous souhaitons que l'opéra la fasse aussi sourdre pour le spectateur, c'est une espèce d'humour rocambolesque et glauque qui rend souvent les pulsions des personnages burlesques, leur sexualité, franchement saugrenue, leurs extases, ridicules ! Telles sont quelques-unes des questions que le musicien et le librettiste se sont d'abord posées, avant le metteur en scène Emmanuel Demarcy-Mota, qui a si intimement adhéré au projet aussitôt qu'il l'a connu et qui y a fait entrer de plain pied ses collaborateurs - telle est cette étrange entreprise qu'il nous plaît à tous trois de regarder encore aujourd'hui comme risquée. Vérifier que le public voudra bien courir le risque avec nous est notre plus cher désir. François Regnault Presse Bruno Mantovani aborde, à bientôt trente-deux ans, son premier opéra avec l'ambition de rendre au fantastique du roman d'Alfred Kubin (1877-1959) sa force originale et son étrangeté narrative. L'Autre côté, fable sans morale, met en scène l'Empire du rêve, absurde refuge contre tout progrès, qui plonge dans le chaos après avoir été soustrait à la dictature de son chef Patéra. Récit admirable et visionnaire, accompagné par l'auteur d'effrayantes illustrations, il a marqué l'Europe centrale littéraire et artistique du début du XXe siècle. Bruno Mantovani, associé au dramaturge François Regnault et au metteur en scène Emmanuel Demarcy-Mota, cherche à rendre le mouvement perpétuel de cet effondrement. L'orchestre y est vaste et brillant, incluant six percussions dont le rôle est d'élargir l'espace sonore. Le choeur - cette masse grouillante proche des images apocalyptiques de Kubin - mobilise et anime la scène. Les rôles solistes enfin se répartissent autour du narrateur, Alfred Kubin lui-même, personnage central emporté dans ce drame sans fin. Cette création mondiale constitue l'élément fédérateur du portrait consacré au jeune compositeur français par Musica, en collaboration avec l'Opéra national du Rhin. Musica Antoine Gindt
72.40 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| Concertino da camera
(QUERLEUX ALAIN)
(QUERLEUX ALAIN) En Français Orchestre, Violon Editions Buissonnieres
Par QUERLEUX ALAIN. Ce « petit Concerto de chambre » comprend trois mouvements...(+)
Par QUERLEUX ALAIN. Ce « petit Concerto de chambre » comprend trois mouvements, pour une durée globale de 18 minutes environ.
L?essence de son propos est le dialogue concertant et chantant entre un violon soliste et un orchestre à cordes (pouvant se réduire à un simple quatuor à cordes ).
Le premier mouvement est sous-titré « ..Par un chemin d?échos divers.. » : il évoque une promenade et ses sons, rumeurs, chants et bruits ? naissant, s?amplifiant, s?éloignant ou renaissant en échos. Plusieurs tempi modérés s?enchaînent au gré des tonalités de ré mineur, ré majeur, sol mineur et sol majeur. Les interprètes devront varier les climats, nuances et couleurs.
Le mouvement central, très lent et expressif, est de facture plus classique : l?orchestre expose le thème principal, bientôt repris et varié par la cantilène du violon solo, dans le ton de la mineur.Le passage central module en la majeur, un grand crescendo s?en suit, jusqu?au retour du premier thème ? soliste et orchestre réunis.
Le Finale apporte joie et détente, dans un tempo vif et spirituel.C?est une forme Rondo, avec un refrain apparaissant à cinq reprises, et quatre couplets énoncés par le violon solo. Quelques traits virtuoses participent de la fête, le ton de La hésitant entre mineur et majeur.
La partie de soliste conviendra aux violonistes à partir de la fin du 2ème cycle des conservatoires.
Les parties d?orchestre sont abordables à partir du second cycle./ Répertoire / Violon Concertant et Orchestre
39.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Dancing In The Street.
Ssa Chorale 3 parties SSA Hal Leonard
Cet arrangement de la centrale de 60 Motown frappé par Martha and The Vandellas...(+)
Cet arrangement de la centrale de 60 Motown frappé par Martha and The Vandellas est génial! Disponible: SATB, SAB, SSA, Instrumental Pak, cassette ShowTrax. Temps de Performance: Env. 03:00. / Choeur (Unisson), Voix Hautes Et Voix Egales
2.80 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Dancing In The Street.
Sab Chorale 3 parties SAB Hal Leonard
Cet arrangement de la centrale de 60 Motown frappé par Martha and The Vandellas...(+)
Cet arrangement de la centrale de 60 Motown frappé par Martha and The Vandellas est génial! Disponible: SATB, SAB, SSA, Instrumental Pak, cassette ShowTrax. Temps de Performance: Env. 03:00. / Voix Mixtes
3.00 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| ...Le Ciel, Tout A
L'Heure Encore Si
Limpide, Soudain Se
Trouble Horriblement...
(JARRELL MICHAEL) En Français Orchestre [Partition] Lemoine, Henry
Par JARRELL MICHAEL. De la nature... du musical
Michael Jarrell, né en 1958, e...(+)
Par JARRELL MICHAEL. De la nature... du musical
Michael Jarrell, né en 1958, est l'un des compositeurs les plus en vue de sa génération. Dans une démarche toute personnelle, qui ne s'est inféodée à aucun mouvement, et dans une quête intérieure inlassablement poursuivie, il a opéré une synthèse de l'héritage des musiques d'après-guerre dont il a extrait certaines caractéristiques techniques pour les mettre au service d'une véritable poétique musicale. En effet, contrairement à ses aînés, il explore moins le langage pour lui-même, faisant des nouvelles techniques le lieu d'une mutation dans la pensée musicale, qu'il ne cherche à le mettre au service de l'expression. Aussi se méfie-t-il d'une conceptualisation excessive, et de l'utopie dont l'oeuvre serait porteuse, préférant mettre en valeur les vertus d'un artisanat qu'il enseigne par ailleurs à Vienne et à Genève, ainsi que lors de nombreux séminaires à travers l'Europe. Ses oeuvres, facilement identifiables dans l'abondante production contemporaine, sont toutes liées les unes aux autres, non seulement par une certaine forme de sensibilité, leur tonalité propre, mais aussi par la récurrence de certains traits que Jarrell retravaille dans des contextes différents. Il s'est ainsi très tôt constitué un univers qu'il ne cesse de remodeler, visant moins l'originalité apparente de chacune des pièces qu'un déplacement constant des perspectives dans lesquelles les mêmes idées, en elles, peuvent être appréhendées. 'Cent fois sur le métier...' voilà quelle pourrait être sa devise. On trouve ainsi dans chacune de ses oeuvres quelque chose de familier qui acquiert en même temps une certaine étrangeté, sentiment qui constitue peut-être un élément essentiel de son expressivité. La musique de Jarrell arpente les régions du rêve et de l'irréalité, à la recherche de son moment de vérité, souvent situé dans les sonorités les plus graves et tes plus lentes, là où le temps, ailleurs agité, s'immobilise. C'est peut-être ce qui confère à sa musique une forme de tendresse inséparable de la beauté sonore, allant jusqu'à un esthétisme raffiné, loin des recherches extrêmes et des formulations autoritaires. Chez lui, même les techniques instrumentales les plus inhabituelles, ou les sonorités électroniques, auxquelles il a souvent recours, sont rapatriées dans un monde sensible emprunt de pureté où ce sont les qualités expressives qui dominent. Celles-ci ne renvoient pas forcément au moi du compositeur, qui tend au contraire à s'effacer, mais davantage à l'essence même du musical, au phénomène en soi, porteur d'une présence singulière au monde.
On retrouve de telles qualités dans sa dernière oeuvre, ...Le ciel, tout à l'heure si limpide, soudain se trouble horriblement..., commandée par l'Orchestre de la Suisse Romande. Elle fait appel à un grand orchestre symphonique standard: 3 flûtes (dont alto et piccolo, 2 hautbois et cor anglais, 2 clarinettes et clarinette basse, 2 bassons et contrebasson, 4 cors, 3 trompettes, 3 trombones, tuba, harpe, timbales, 4 percussions (vibraphone, glockenspiel, cloches tubes, cymbales, bongos, tam-tam, grosse caisse, temple blocks, tom grave, spring coils, triangle, mark tree) et cordes. Malgré un titre qui pourrait sous-entendre un élément programmatique, l'oeuvre appartient à la catégorie de la musique pure. L'orchestre y est traité de façon conventionnelle, mais avec une virtuosité d'écriture, un raffinement dans la sonorité qui exige beaucoup de ses interprètes.
D'un seul tenant, l'oeuvre se divise en quatre parties principales d'inégale longueur, les deux premières étant plus importantes que les deux suivantes: la première est constituée d'un continuum de notes rapides réparties entre les cordes et Les bois, tandis que les trompettes, doublées par différents instruments, lancent une figure d'appel incisive qui s'allonge progressivement. L'écriture est d'une grande virtuosité, les figurations en triples croches passant d'un instrument ou d'un groupe à un autre. Les notes rapides se figent une première fois dans des oscillations jouées notamment par les cordes divisées, puis à travers des notes répétées qui traversent toute la texture orchestrale. Après un passage intermédiaire privilégiant les sons graves, l'écriture vive reprend jusqu'à un sommet dramatique marqué par des trilles, aussitôt suivi d'une désintégration qui mène à la seconde partie.
Celle-ci débute avec des quintes jouées par les cordes graves divisées et colorées par les percussions (les contrebasses, qui doivent modifier leur accord, jouent des sons harmoniques). La musique semble vouloir repartir d'un point originel, elle se réinvente à partir d'une structure élémentaire, dans une extrême douceur. L'impétuosité du début laisse place à une grande délicatesse des sonorités. C'est un trait que l'on retrouve dans de nombreuses pièces de Jarrell: après l'effervescence d'une écriture brillante, agitée, nerveuse, que l'auditeur suit dans sa course folle, vient un moment réflexif et profond, qui nécessite une réorientation de l'écoule, une plongée dans la nature même du phénomène sonore. La trame qui se déploie dans un tempo lent offre ainsi une autre image de la sonorité orchestrale, comme si une musique des origines, au caractère de litanie, était soudain dévoilée sous la couche éclatante du début. Elle donne le sentiment d'avoir commencé bien avant son moment d'apparition, comme si elle provenait des couches profondes de la conscience, d'une mémoire archaïque. D'ailleurs, Jarrell réélabore ici un passage d'une pièce antérieure, Music for a While, lui reprenant son matériau de base. Le sentiment de profondeur est dû au formidable ralentissement du temps, qui nous met soudainement en apesanteur, mais aussi à une forme en spirale, qui tranche avec la musique directionnelle qui précédait. L'effet que provoque la distance sensible entre de tels contrastes est onirique: on ne sait plus si la première partie, qui nous échappe en se projetant vers l'avant, n'était qu'une forme illusoire, ou si nous entrons, avec la partie lente, dans une sorte de rêve éveillé.
Un passage central, dans cette seconde partie, s'organise autour de guirlandes sonores à la harpe et aux cloches que tout l'orchestre remplit de sonorités suaves. Les arpèges descendants des vents doublés par des pizzicatos de cordes, que transpercent des notes répétées aux trompettes et aux cors, dans un climat encore doux, annoncent la reprise du mouvement frénétique. Mais cette fois, ce sont moins des figures virevoltantes qui passent à travers les pupitres que des blocs de notes joués par la masse des instruments: des figures qui s'élancent vers le haut aboutissent à des notes répétées, en une forme d'antiphonie, et mènent à un sommet d'intensité. Après quoi, en guise de coda, une quatrième partie nous conduit à une fin mourante: l'harmonie se fige, les polyrythmes annulent toute sensation de mesure, les longues tenues des instruments graves chutent chromatiquement, les percussions jouant des figures rituelles, en résonance, jusqu'à l'immobilité finale.
Le titre de la pièce provient de Lucrèce (De la nature). Il n'a pas de signification structurelle immédiate, comme souvent chez Jarrell, mais exprime en quelques mots l'idée qui avait présidé au morceau. Le trouble s'apparente ici à une forme d'étrangeté, à quelque chose d'inquiétant qui n'apparaît pas de façon narrative, tel un vent d'orage dans un ciel serein, mais comme l'essence même de l'articulation formelle entre deux types d'écriture, deux types d'expression qui exigent des temporalités opposées l'une à l'autre. La soudaineté, c'est le renversement entre les deux. Pourtant, on retrouve un même noyau entre les parties vives et les parties lentes, la quinte jouant dans les deux cas un rôle structurel, et le mib apparaissant comme une note polaire (toute la musique de Jarrell est aimantée par des pôles qui orientent l'écoute). Si le passage du limpide au trouble se traduit par la sonorité orchestrale, par le maniement très sensible des timbres qui provient en grande part de la tradition orchestrale française, il se manifeste aussi par des figures qui évitent tout profil thématique, toute forme mélodique au sens traditionnel du terme, et qui composent la texture. L'auditeur a directement à faire avec la matière sonore. Et celle-ci est composée de part en part.
L'adjectif poétique vient à l'esprit pour définir une invention qui s'écarte aussi bien des formes illustratives que des constructions schématiques, et qui repose essentiellement sur l'organisation des hauteurs au détriment des effets, des sonorités bruiteuses ou des gestes iconoclastes. Et malgré les passages brillants, malgré les explosions sonores toujours maîtrisées et un maniement virtuose de l'orchestre, cette poétique révèle un caractère fondamental plutôt intimiste.
Philippe Albèra / contemporain / Répertoire / Orchestre
46.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Antiphysis (DUFOURT
HUGUES) En Français Partie de Flûte
Traversière Solo [Partition] Lemoine, Henry
Par DUFOURT HUGUES. Antiphysis. Le titre ne se prévaut d'aucun chaos dionysiaqu...(+)
Par DUFOURT HUGUES. Antiphysis. Le titre ne se prévaut d'aucun chaos dionysiaque. Il s'agirait bien plutôt du contraire. Antiphysis, le rejet du naturalisme sous toutes ses formes: sens commun, déferlement des puissances aveugles, menus drames de la profondeur. Au royaume d'Antiphysis, tout est gauche, oblique, indirect, labyrinthique.
Antiphysis est écrit pour flûte soliste et orchestre de chambre. J'ai voulu une flûte privée de sa vocation pastorale, une flûte torride, âcre, emplie de la rumeur des villes. La relation de l'instrumentiste à l'orchestre est délibérément maintenue dans l'ambiguïté. La flûte procède par échappées, éclipses, interférences, développements intermittents. Jamais le soliste n'occupe une position centrale.
La partition repose sur des symétries de structures et de fonction, toutes légèrement gauchies. J'ai cherché, dans la mise en oeuvre, à multiplier les axes, inverser ou échanger les rôles, entrecroiser les techniques jusqu'à la limite de leur compatibilité mutuelle. Mon but n'était pas de contrôler la métamorphose, mais d'obtenir des 'arrangements paradoxaux'.
Hugues Dufourt, 1978 / contemporain / Répertoire / Partie de Flûte Traversière Solo
20.70 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| 2 Poems (JANSSON MARTEN) Chorale SATB - Intermédiaire Barenreiter
Par JANSSON MARTEN. “Triptyk” (“Triptych”) and “Mörkblå tillit” (...(+)
Par JANSSON MARTEN. “Triptyk” (“Triptych”) and “Mörkblå tillit” (“Dark Blue Trust”) have been written by hospital chaplain/author Kerstin Dillmar. In her work she often meets people who walk in the shadow of death and her dealings and thoughts about this are a central part of her writing. This is most clearly seen in “Mörkblå tillit” whose key message is to trust that we will be safe and secureafter passing away in sleep. Jansson’s intention with the music was to enhance this feeling of comforting trust without taking away the seriousness of the subject. “Triptyk” on the other hand describes a journey within a person in three stages which moves from despair, “God, myGod why have I forsaken myself?”, through to hope and faith that God is within. The music depicts these stages, starting with a dark-searching tonality, then describing the simple beauty of trust through to a joyful expectation of hope and ending with a strong conviction. ; Triptyk ( ; Triptych ) and ; Mörkblå tillit ( ; Dark Blue Trust ) have been written by hospital chaplain/author Kerstin Dillmar. In her work she often meets people who walk in the shadow of death and her dealings and thoughts about this are a central part of her writing. This is most clearly seen in ; Mörkblå tillit whose key message is to trust that we will be safe and secure after passing away in sleep. Jansson's intention with the music was to enhance this feeling of comforting trust without taking away the seriousness of the subject. ; Triptyk on the other handdescribes a journey within a person in three stages which moves from despair, ; God, my God why have I forsaken myself?, through to hope and faith that God is within. The music depicts these stages, starting with a dark-searching tonality, then describing the simple beauty of trust through to a joyful expectation of hope and ending with a strong conviction. / Niveau : 3 / Feuillet / SATB
8.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| King Henrys Choice (S/O) Orchestre à Cordes Alfred Publishing
In the style of medieval dance, this authentic setting transports all to the tim...(+)
In the style of medieval dance, this authentic setting transports all to the time of Henry VIII. Though his court was infamous as well as lavish, music and dance were a central part of courtly life. With many opportunities for technical development, all parts remain in 1st position. (3:20) / Orchestre A Cordes
71.40 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| O Rex Gentium (MATTHEW
MARTIN) Voix Mixtes [Partition] - Intermédiaire Faber Music Limited
Par MATTHEW MARTIN. O Rex Gentium sets the Magnificat antiphon for December 22 -...(+)
Par MATTHEW MARTIN. O Rex Gentium sets the Magnificat antiphon for December 22 - one of the great 'O' antiphons traditionally sung at Vespers in the week before Christmas. These texts are all invocations of the coming of Christ, each one offering praise to him using titles taken from the prophet Isaiah. This piece was commissioned in 2011 to form part of a complete set of the seven O Antiphons for the Merton College Choirbook. It is conceived in grand and declamatory style, owing a respectful debt to the great motets of Bruckner. Formed in A-B-A structure, it uses block harmony in the outer sections for impact, whilst the central part employssome more reflective and linear writing. A brief coda suggests an atmosphere of wonder and mystery at the prospect of Christ's birth. / Niveau : Intermédiaire / Feuillet / Voix Mixtes
4.40 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Christus, Der Ist Mein
Leben Tvwv 1:138
(TELEMANN GEORG PHILIPP) Choeur Mixte et Orchestre [Partition] Barenreiter
Chorale Setting. Par TELEMANN GEORG PHILIPP. Chorale settings form a central par...(+)
Chorale Setting. Par TELEMANN GEORG PHILIPP. Chorale settings form a central part of Telemann's oeuvre. His 1754 setting of the church hymn Christus, der ist mein Leben, based on Melchoir Vulpius' melody from the Hamburg Hymnal, is especially well-suited to display his mastery in depicting the words of the chorale. The so-called 'Ausfüllungsbass” (a vocal bass added to the principal bass in tutti passages) was probably necessitated by the acoustical properties of Hamburg's churches.
This is the first Urtext edition of this highly successful chorale setting which is based on Georg Philipp Telemann Musical Works. The score contains a realisation of the continuo part.
- First Urtext edition based on Georg Philipp Telemann Musical Works
- An attractive addition to the repertoire with a view to the Telemann Year 2017
- Bilingual Foreword (Ger/Eng)
- Uncluttered idiomatic piano reduction/ Répertoire / Choeur Mixte et Orchestre
29.00 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Christus, Der Ist Mein
Leben Tvwv 1:138 Chorale SATB satb (soli), SATB (chœur), Clavier Barenreiter
Chorale settings form a central part of Telemann's oeuvre. His 1754 setting of t...(+)
Chorale settings form a central part of Telemann's oeuvre. His 1754 setting of the church hymn Christus, der ist mein Leben, based on Melchoir Vulpius' melody from the Hamburg Hymnal, is especially well-suited to display his mastery in depicting the words of the chorale. The so-called 'Ausfüllungsbass? (a vocal bass added to the principal bass in tutti passages) was probably necessitated by the acoustical properties of Hamburg's churches. This is the first Urtext edition of this highly successful chorale setting which is based on Georg Philipp Telemann Musical Works. The score contains a realisation of the continuo part. / SATB Et Piano
19.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| In principio (PART ARVO) Chœur Mixte [SATB] et Orchestre Universal Edition
Par PART ARVO. 'In principio' takes its words from the Gospel of John 1:1-14 and...(+)
Par PART ARVO. 'In principio' takes its words from the Gospel of John 1:1-14 and puts them into a five-movement form. This work, as in all of Pärt's music, is governed by a strict formal design, with the clarity of the musical structure corresponding to that of the Latin text. The first movement (vv. 1-5) and the fifth (v. 14) are limited to two opposing formal elements: a static, syllabically articulated A-minor chord, and its timbral and tonal opposite, a fanfare-like figure that expands with each new section, growing in loudness and returning to its beginning after traversing all twelve keys.
The second movement (vv. 6-8), devoted to John the Baptist, is conceived as a powerfully moving single-voice monody. The central third movement (vv. 9-11) is not only the longest but the one whose message Pärt specially emphasised by repeating the words three times - something he had never done before in his vocal music. He evidently did so to send a signal directly to each and every one of us. The fourth movement (vv. 12-13) seems to begin ex nihilo, growing slowly but with an ineluctable pulse in a mighty procession. The fifth movement (v. 14) constitutes, in combination with the first, the formal and expressive frame of the composition, albeit in mirror reflection.
If the chorus in the first movement statically pulsates while the orchestra proceeds dynamically through the circle of keys, these roles are reversed in the fifth movement. Thus, the expanding thrust given to the orchestra in the opening movement is now focused entirely on the text of the chorus. (Wolfgang Sander, translation by J. Bradford Robinson)/ Répertoire / Chœur Mixte [SATB] et Orchestre
23.40 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Pianolude Volume 1 En Français Piano seul [Partition + CD] - Débutant Van de Velde
Apprendre à jouer du piano c'est apprendre à jouer avec le piano.
Piano...(+)
Apprendre à jouer du piano c'est apprendre à jouer avec le piano.
Pianolude aborde des aspects de l'enseignement du piano rarement évoqués côte à côte dans un même recueil: intégrer la musique de notre temps à l'enseignement traditionnel. Parallèlement à l'apprentissage traditionnel et progressif du jeu pianistique, Pianolude convie les enfants à jouer avec l'ensemble des ressources sonores de l'instrument. Le CD inclus dans l'ouvrage propose l'interprétation de l'ensemble du répertoire et fournit des exemples de réalisation des activités de création.
Presse : Apprendre à jouer du piano c'est apprendre à jouer avec le piano.
A lui seul, le titre de ce recueil est tout un programme. Pianolude associe l'instrument et le jeu, mêlant les aspects les plus traditionnels de l'apprentissage pianistique à une exploration ludique de l'instrument.
Comme un livre d'images. Sa présentation, très esthétique, regorge d'illustrations poétiques et humoristiques dignes des plus jolis albums pour enfants. Le graphisme clair, les caractères en lettres attachées, le papier légèrement glacé et la reliure à spirales en font un album agréable à feuilleter sur lequel on s'attarde volontiers. Les premières pages se parcourent comme un livre d'images. On y découvre quelques suggestions de jeu autour du piano. L'élève peut ainsi s'en inspirer pour explorer et découvrir de lui-même tout un monde sonore: timbres, intensités, durées, tessitures, modes de jeu... et s'approprier ainsi ce monstre sonore qu'est le piano.
L'enfant prenant graduellement possession de l'instrument, l'approche de la lecture se fait graduellement à partir du do central, mains alternées. On s'échappe assez vite de l'incontournable do majeur pour explorer des échelles plus colorées. Les notions musicales et solfégiques sont abordées de manière très progressive, associant chaque nouvel élément théorique à l'étude d'une pièce musicale. L'introduction des altérations se fait assez tôt et les mains se déplacent plutôt rapidement sur l'ensemble du clavier par le biais des 8va.
Jouer tout seul ou avec les autres. La plupart des pièces sont présentées avec un accompagnement du professeur - ou d'un élève plus avancé - dont les harmonies, enrichissant les mélodies jouées par l'élève, viennent parfois chatouiller l'oreille de légères dissonances et taquiner l'imaginaire de sonorités nouvelles. De nombreuses pièces sont écrites pour quatre, six ou huit mains. Conçues comme des pièces à géométrie variable, on peut n'en jouer que la partie principale - écrite en grosses notes - ou bien y associer les autres parties en les distribuant à d'autres élèves pour une version plus collective. Ces pièces, plus abordables que les pièces en solo, véritable intermède récréatif dans la progression de l'élève, constituent ainsi un bon outil pour la lecture à vue et la pratique collective.
Tout un monde sonore. Le répertoire très éclectique des pièces de Pianolude est constitué en grande majorité de compositions originales. On y trouve quelques arrangements de chansons du répertoire populaire traditionnel: Au clair de la lune, j'ai perdu mon âne, Ah vous dirai-je maman... quelques petites pièces un peu jazzy: New Orleans Parade, Comme un blues, Oh When the saints... D'autres, plus exotiques, comme La petite maison russe ou La poupée chinoise, invitent doucement au voyage musical.
Mais la plus grande originalité de cette méthode réside dans l'introduction d'un langage plus contemporain, incluant les codages non traditionnels et des modes de jeux spécifiques (clusters, glissandi, notes muettes, séquences aléatoires, écriture graphique. jeu dans les cordes...), mettant la musique contemporaine à la portée des plus réfractaires. La première pièce, intitulée En colère, écrite dans une alternance de notes traditionnelles (deux notes autour du do central), de clusters et de petites séquences d'improvisation guidées, regorge d'indications expressives: en colère, en se calmant, grosse colère, ...énorme colère, ...très calme. Sans efforts considérables et par le biais des humeurs et de leurs contrastes, l'élève aborde les rudiments du codage musical: aigu/grave, bas/haut, droite/gauche, fort/doux, long/court... Parmi les autres pièces utilisant un langage contemporain, on trouve l'irrésistible Chant des étoiles, qui recueille un succès certain auprès des élèves - et de leurs parents - mêlant clusters, notes aléatoires, glissando dans une ambiance délicieusement céleste, scintillante, toute faite de résonances entremêlées. Les ambiances proposées à travers ces courtes pièces rejoignent l'imaginaire de l'élève et permettent par ce biais de développer son sens de l'écoute et d'accroître sensiblement sa palette sonore.
Un CD, inclus dans l'ouvrage, présente l'enregistrement de la plupart des pièces de la méthode, interprétées sur un vrai piano avec beaucoup de finesse et de musicalité, ainsi que des exemples de réalisation de petites créations effectuées par des enfants. Celles-ci constituent des pistes pour l'improvisation et, pourquoi pas, pour l'élaboration d'un langage plus personnel.
Pédagogie du piano contemporain ou pédagogie contemporaine du piano? Cette méthode est le résultat d'une réflexion collective des auteurs, inspirée par l'expérience sur le terrain d'une pédagogie de la musique contemporaine. Sans que celle-ci soit assénée manière obsessive, Pianolude s'en inspire pour éveiller la curiosité de l'élève pour des sonorités moins conventionnelles que la plupart de celles des méthodes plus traditionnelles. Si cet ouvrage peut paraître au premier abord un peu dispendieux, la qualité de sa présentation et la richesse de son contenu dépassent de loin le prix qu'il en coûte.
Le choix d'une méthode est souvent difficile, très personnel et toujours subjectif. On choisit une méthode parce qu'elle adhère aux principes de notre enseignement, qu'elle répond aux besoins du moment et traduit un certain état d'esprit. À moins qu'il ne s'agisse d'un état d'âme. On s'y essaye comme on essaye un nouveau vêtement. Avec le temps, on s'y sent parfois un peu à l'étroit, un peu mal à l'aise. Alors on en change. Pour avoir essayé Pianolude, l'avoir testé, expérimenté, pratiqué depuis sa parution en 2002 avec la plupart de mes élèves débutants, je peux dire que j'ai trouvé là vêtement à ma taille.
En résumé, c'est un support riche et éclectique pour la première année d étude du piano. À l'aide de son vaste choix de pièces, le professeur peut établir son propre parcours, en fonction de ses propres goûts et de ceux de ses élèves. Son approche ludique favorise la recherche et la créativité tout en intégrant une certaine exigence musicale et en incitant à une écoute active et à un jeu expressif.
Un petit avertissement cependant: certains jeux ou pièces musicales requièrent nécessairement l'utilisation d'un vrai piano (qui vibre et résonne de toutes ses cordes). / Méthodes and Etudes Instrumentales / Partition / Barkeshli, Pari / Chartreux, Annick / Guérin-Descouturelle, Valérie / Joste, Martine
35.00 EUR - vendu par Note4Piano Délais: En Stock Plus que 1 ex. en stock, commandez vite ! | |
| Nougaro, Claude : Music
en poche Claude Nougaro En Français Piano, Voix et Guitare [Conducteur d'étude / Miniature] - Facile Hit Diffusion
Ce recueil format poche vous propose 20 chansons de Claude Nougaro, avec accords...(+)
Ce recueil format poche vous propose 20 chansons de Claude Nougaro, avec accords, paroles et lignes mélodiques. A emmener partout, pour chanter seul ou entre amis et s'accompagner au clavier ou à la guitare.
12.90 EUR - vendu par Note4Piano Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Shade and Darkness
(CASABLANCAS BENET) Orchestre [Conducteur] Unión Musical Ediciones
Par CASABLANCAS BENET. Shade and Darkness, lasting some 12:30 minutes, was co-co...(+)
Par CASABLANCAS BENET. Shade and Darkness, lasting some 12:30 minutes, was co-commissioned by the Centro Nacional de Difusión Musical and the Festival Internacional de Música y Danza de Granada. The work is inspired by Turner's famous painting of the same name, subtitled 'The Night Before the Flood', although this does not imply any programmatic or even less descriptive intention, beyond the composer's admiration for the painter, and for the richness of tones and chiaroscuro, subtlety in the treatment of pictorial matter, and the dynamism and emotional force present in his work, to whose depth John Ruskin alludes: 'Nuance is in Turner, first of all, a beautiful aid to the great impression to be conveyed, but it is neither the source nor the essence of that impression; it is little more than a visible melody... preparing the feelings for the reading of the mysteries of God.' The score, generous in expressive contrasts, explores the ductility and richness of possibilities of the strings, with a very diversified use of textures, densities and colours. The formal arrangement describes a wide ternary arc, consisting of two slow and often static sections - not without ominous foreboding - and a more lively central part, punctuated by occasional turbulence and dazzling flashes of timbre, culminating in a powerful climactic process. In the final bars the four voices of the classical quartet fleetingly emerge, as a tribute to Günter Pichler, founder and member of the Alban Berg Quartet, to whom the score is dedicated, and who conducted the premiere of the work in front of the Joven Orquesta Nacional de España on 24 and 25 June 2014 at the Auditorio Nacional de Música in Madrid and in the Patio de los Mármoles del Hospital Real in Granada. / Date parution : 2022-03-15/ Répertoire / Petit Orchestre
28.20 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Dos Páginas para
Granados (CASABLANCAS
BENET) Piano seul [Partition] Unión Musical Ediciones
I. Rêverie / II. Capriccio. Par CASABLANCAS BENET. Work commissioned by the pia...(+)
I. Rêverie / II. Capriccio. Par CASABLANCAS BENET. Work commissioned by the pianists Iván Martín and Alba Ventura, on the occasion of the commemoration of the Centenary of Enric Granados (2016), and lasts approximately 10 minutes. It comprises two pieces of very contrasting character. The first, Rêverie, is a nocturne with broad resonances that unfolds in a recollected and expectant atmosphere, presided over by a lyrical expression and contemplative sign, scarcely disturbed by more passionate outbursts. Its cantabile course and precious writing conceal veiled references to the poetic and pianistic universe of Granados, including a hidden allusion to the musical acrostic of his name (made up of the notes Do-Mi [EnriC] and Sol-La-Re-Mib [GrAnaDoS]), which confers a special luminosity to its harmonic material. The Capriccio that follows lives up to its name with a more virtuosic and vigorous writing, with playful and colourful rhythmic accents, which drifts in its central part towards the dreamlike and ecstatic register that presided over some sections of the Rêverie, to conclude with a brilliant stretta. The premieres of the two pieces that make up the present work took place on 20 January 2016 at the Palau de la Música Catalana in Barcelona (Capriccio) and on 14 April 2016 at the Auditori de Barcelona (Rêverie), starring Iván Martín and Alba Ventura, respectively. Both pieces are contemporaries of the 'Romanza sin palabras', for chamber ensemble, commissioned by The City University of New York on the occasion of the celebration of the Granados Year in New York, and premiered on 10 March 2016 at the Elebash Recital Hall of the CUNY by the Perspectives Ensemble (art. dir. Sato Moughalian), conducted by Ángel Gil-Ordóñez. The work is dedicated to Maneleta Domingo, María Lourdes Antràs and Virginia Casablancas. / Date parution : 2022-04-01/ Répertoire / Piano
20.90 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Romberg A. - Flute
Quintet In E Min. Op.41/1
- Conducteur Et Parties Hh Edition
Flute Quintet in E minor, op. 41/1 E minor - Partitur und Stimmen - P/ST - flute...(+)
Flute Quintet in E minor, op. 41/1 E minor - Partitur und Stimmen - P/ST - flute, violin, 2 violas and cello editor: Caesar, Jennifer These delightful, elegant quintets by a contemporary and acquaintance of Haydn and Beethoven are central to the Classical flute repertoire. The music is skilfully constructed, the flute and violin sharing the melodic interest while the other parts provide the harmonic background. By no means lightweight in character, these works are fine examples of serious, Classical chamber music expressly written for the technically competent amateur.
28.10 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| Arpád (Part 2 From
'sinfonia
Hungarica') (VAN DER
ROOST JAN) Orchestre d'harmonie [Conducteur et Parties séparées] - Intermédiaire/avancé De Haske Publications
Par VAN DER ROOST JAN. Sinfonia Hungarica est une oeuvre de commande pour l’Or...(+)
Par VAN DER ROOST JAN. Sinfonia Hungarica est une oeuvre de commande pour l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze en Hongrie. Elle est dédiée à Ferenc Jankovski (Directeur de l’Orchestre d’Harmonie), Jozsef Ficsor (Maire de la ville de Kiskunfelegyhaze) et Gabriella Kiss. Cette symphonie en trois mouvements retrace l’histoire de la Hongrie. L’ensemble des trois mouvements s’inspire de la vie de personnages historiques clés, de guerres et d’autres événements de grande importance qui ont marqué l’histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de l’État hongrois (1001-2001). L’oeuvre a été donnée en création mondiale, le 31 mars 2001 à Budapest, par l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze placé sous la direction du compositeur. ATTILA, roi des Huns, surnommé “le Fléau de Dieu”, est le personnage central du premier mouvement où règne une atmosphère de peur, de menace, d’agression et de cruauté. Bléda, le frère d’Attila, est associé à un thème aux accents plus héroïques, tandis que Kerka, l’épouse bien-aimée du roi des Huns, est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidante de ce mouvement d’ouverture illustre l’effroyable rapidité avec laquelle les troupes d’Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes. Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD, le fondateur de l’État hongrois. Un passage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Émèse, la grand-mère d’Arpad, qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre l’un de ses opposants, le prince bulgare Zalan, et l’avoir chassé des terres magyares, Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag. Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit le pays au christianisme : Étienne Ier ( ISTVAN ), sacré roi de Hongrie le 1er janvier 1001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures d’ouverture, solennelles et majestueuses, mènent à un passage dont l’atmosphère belliqueuse s’intensifie pour s’achever en de violents fracas symbolisant la mort / Niveau : 6 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie
339.40 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| István (Part 3
From 'sinfonia
Hungarica') (VAN DER
ROOST JAN) Orchestre d'harmonie [Conducteur] - Intermédiaire/avancé De Haske Publications
Par VAN DER ROOST JAN. Sinfonia Hungarica est une oeuvre de commande pour l’Or...(+)
Par VAN DER ROOST JAN. Sinfonia Hungarica est une oeuvre de commande pour l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze en Hongrie. Elle est dédiée à Ferenc Jankovski (Directeur de l’Orchestre d’Harmonie), Jozsef Ficsor (Maire de la ville de Kiskunfelegyhaze) et Gabriella Kiss. Cette symphonie en trois mouvements retrace l’histoire de la Hongrie. L’ensemble des trois mouvements s’inspire de la vie de personnages historiques clés, de guerres et d’autres événements de grande importance qui ont marqué l’histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de l’État hongrois (1001-2001). L’oeuvre a été donnée en création mondiale, le 31 mars 2001 à Budapest, par l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze placé sous la direction du compositeur. ATTILA, roi des Huns, surnommé “le Fléau de Dieu”, est le personnage central du premier mouvement où règne une atmosphère de peur, de menace, d’agression et de cruauté. Bléda, le frère d’Attila, est associé à un thème aux accents plus héroïques, tandis que Kerka, l’épouse bien-aimée du roi des Huns, est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidante de ce mouvement d’ouverture illustre l’effroyable rapidité avec laquelle les troupes d’Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes. Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD, le fondateur de l’État hongrois. Un passage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Émèse, la grand-mère d’Arpad, qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre l’un de ses opposants, le prince bulgare Zalan, et l’avoir chassé des terres magyares, Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag. Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit le pays au christianisme : Étienne Ier ( ISTVAN ), sacré roi de Hongrie le 1er janvier 1001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures d’ouverture, solennelles et majestueuses, mènent à un passage dont l’atmosphère belliqueuse s’intensifie pour s’achever en de violents fracas symbolisant la mort / Niveau : 6 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie
67.20 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| István (Part 3
From 'sinfonia
Hungarica') (VAN DER
ROOST JAN) Orchestre d'harmonie [Conducteur et Parties séparées] - Intermédiaire/avancé De Haske Publications
Par VAN DER ROOST JAN. Sinfonia Hungarica est une oeuvre de commande pour l’Or...(+)
Par VAN DER ROOST JAN. Sinfonia Hungarica est une oeuvre de commande pour l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze en Hongrie. Elle est dédiée à Ferenc Jankovski (Directeur de l’Orchestre d’Harmonie), Jozsef Ficsor (Maire de la ville de Kiskunfelegyhaze) et Gabriella Kiss. Cette symphonie en trois mouvements retrace l’histoire de la Hongrie. L’ensemble des trois mouvements s’inspire de la vie de personnages historiques clés, de guerres et d’autres événements de grande importance qui ont marqué l’histoire de ce pays. Sinfonia Hungarica célèbre le millénaire de la fondation de l’État hongrois (1001-2001). L’oeuvre a été donnée en création mondiale, le 31 mars 2001 à Budapest, par l’Orchestre d’Harmonie de Kiskunfelegyhaze placé sous la direction du compositeur. ATTILA, roi des Huns, surnommé “le Fléau de Dieu”, est le personnage central du premier mouvement où règne une atmosphère de peur, de menace, d’agression et de cruauté. Bléda, le frère d’Attila, est associé à un thème aux accents plus héroïques, tandis que Kerka, l’épouse bien-aimée du roi des Huns, est représentée par une mélodie lyrique. La fin trépidante de ce mouvement d’ouverture illustre l’effroyable rapidité avec laquelle les troupes d’Attila poursuivaient et tuaient toutes leurs victimes. Le deuxième mouvement est centré sur ARPAD, le fondateur de l’État hongrois. Un passage limpide et aérien ouvre ce mouvement évoquant Émèse, la grand-mère d’Arpad, qui vit en rêve sa destinée future. Après avoir livré bataille contre l’un de ses opposants, le prince bulgare Zalan, et l’avoir chassé des terres magyares, Arpad donne officiellement au territoire le nom de Magyarorszag. Le troisième et dernier mouvement de la symphonie porte le nom de celui qui convertit le pays au christianisme : Étienne Ier ( ISTVAN ), sacré roi de Hongrie le 1er janvier 1001 par le Pape Sylvestre II. Les mesures d’ouverture, solennelles et majestueuses, mènent à un passage dont l’atmosphère belliqueuse s’intensifie pour s’achever en de violents fracas symbolisant la mort / Niveau : 6 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie
339.40 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
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