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Composer | Vignon, Denys (1957 - ) | ||
Instrumentation | Organ solo | ||
Style | Contemporary | ||
Copyright | Domaine Public | ||
Added by denys-vignon, 04 Feb 2012 Donate to Vignon, Denys | |
Beautiful descent. The lines are close in a tight weave. Without leaving the classic tone, the colors are sometimes rough, disconcerting, screaming, colliding. Choral passage. Change of direction, this time backward. Funny end of the first part. Passage II drone, erratic: "The Erl King" version Denys Vignon, magical, disturbing. It is the passage that I prefer and which has meaning only through the above. A dress is not without its petticoat. life B of this movement is feeling cuddly, mischievous cry that opens up the church by 2, 3, multe times. it's Theo Angelopoulos (filmmaker) and the slow ecstasy the grand ascendancy, héchelle where Jacob crossed contrepoiunts mingle. Construction is strong. We leave the classical ages. romanticism does not exist in Denys Vignon. We asked Steve Reich. holding end the sublime. Congratulations Denys , all this is very strong and the small chapel Corsican who invites you to his two keyboards was too lucky. Good Sunday. Warmly. François. Belle descente. Les lignes se rapprochent en tissage serré. Très classique sans quitter la tonalité, les couleurs sont parfois rugueuses, déconcertantes, hurlantes, heurtantes. Passage en choral. Changement de direction, cette fois ascendante. Drôle de clôture de la première partie. Passage II en bourdon, erratique: "Le roi des aulnes? version Denys Vignon, magique, inquiétant. C'est le passage que je préfère et qui n'a de signification que grâce à ce qui précède. Une robe ne va pas sans son jupon. La vie de ce mouvement B est d'humeur caline, mutine jusqu'au cri qui ouvre l'église par 2, 3, multe fois. C'est du Theo Angelopoulos (cinéaste) par la lenteur et l'extase Le grandiose ascendant, l'héchelle de Jacob où les contrepoiunts croisés se mêlent. La construction est forte. On quitte les âges classique. Le romantisme n'existe pas chez Denys Vignon. On interroge Steve Reich. La tenue de fin touche au sublime. Bravo Denys, tout ça, c'est très fort et la petite chapelle corse qui t'invite à ses deux claviers a trop de chance. Bon dimanche. Chaleureusement. François. |