Ces deux compositions pour grand chœur mixte, à
vocation concertante, s’appuient sur deux textes
différents de la prière « Notre père ».
L’une, en slavon, la langue traditionnelle des
églises d’origine slave, l’autre en français,
selon la nouvelle traduction proposée par l’«
Assemblée des évêques orthodoxes de France ».
Cette publication montre combien un projet musical
unique se décline nécessairement de manière
différente dans deux langues qui se distinguen...(+)
Ces deux compositions pour grand chœur mixte, à
vocation concertante, s’appuient sur deux textes
différents de la prière « Notre père ».
L’une, en slavon, la langue traditionnelle des
églises d’origine slave, l’autre en français,
selon la nouvelle traduction proposée par l’«
Assemblée des évêques orthodoxes de France ».
Cette publication montre combien un projet musical
unique se décline nécessairement de manière
différente dans deux langues qui se distinguent par
leur prosodie, mais également par le sens que
confèrent les termes utilisés par les différentes
versions.