SKU: BT.DHP-1002341-020
There are all sorts of marches: fast and slow, solemn and energetic, military and civil, procession and funeral. Orion is a so-called ‘slow march’. However the moderate tempo does not make a passive or heavy impression. On the contrary, this march contains natural optimism and spontaneity. The persistant ‘pulse’ gives this majestic march a noble character Orion ist zwar ein langsamer Marsch, sein getragenes Tempo wirkt aber keineswegs passiv oder schwerfällig, vielmehr strahlt er natürlichen Optimismus und Spontaneität aus. Die eher einfach gehaltene Komposition ist vielseitig einsetzbar und soinstrumentiert, dass sie auch von kleineren Formationen ohne nennenswerte Veränderung im Gesamtklang gespielt werden kann. Der fast durchgehend rhythmische Puls des Schlagzeugs verleiht dem majesÂtätischen Marsch das gewisse Etwas. Orion est une marche lente qui se distingue par son caractère optimiste et sa fraîcheur. Cette marche de concert, techniquement peu exigeante, est accessible un grand nombre de formations. Le choix de l’instrumentation permet également aux petits ensembles de l’interpréter avec un rendu tout aussi homogène. La pulsation rythmique presque continue de la percussion donne cette marche majestueuse un caractère noble.
SKU: BT.DHP-1002341-120
SKU: BT.AMP-026-020
Edward MacDowell can be regarded as the first great American composer, although he disliked the idea of being classified as any sort of musical nationalist. He composed a large number of orchestral works but it is the charming and unpretentious suite of musical miniatures, Woodland Sketches, that has survived as his best-known work, with To a Wild Rose being the most popular. Philip Sparke has expertly arranged this simple work for concert band. Edward MacDowell (1860-1908) kan als de eerste grote Amerikaanse componist worden beschouwd, hoewel hij zelf een hekel had aan het idee gezien te worden als nationaal musicus. MacDowell beschouwde muziek bij uitstek als een internationaletaal. Hij componeerde een grote hoeveelheid pianomuziek, evenals vele liederen en een aantal orkeststukken. Het is echter de bekoorlijke en pretentieloze suite van muzikale miniaturen, Woodland Sketches, die zijn bekendstewerk is geworden. Hiervan is het prachtige To a Wild Rose het populairst.Philip Sparke bearbeitete dieses Stück des amerikanischen Komponisten Edward MacDowell, der weit über die Grenzen seines Heimatlandes hinaus berühmt ist. To a Wild Rose wurde seinem bekanntesten Werk, den Woodland Sketches, entnommen, einer Reihe anmutiger, unprätentiöser musikalischer Miniaturen. Hieraus ist To a Wild Rose das wohl populärste Stück, dessen Qualität Kritiker zu dem Urteil bewog, es sei so gut, wie der gesamte Rest von MacDowells Klaviermusik.Edward MacDowell (1860-1908) est considéré comme le premier grand compositeur américain de l’histoire de la musique, bien qu’il refusait avec vigueur d’être associé un quelconque courant musical nationaliste. Edward MacDowell a toujours considéré que la musique était une véritable langue internationale, et ses œuvres sont fortement influencées par le style de composition européen, et plus particulièrement par l’écriture allemande. Compositeur adulé de son vivant dans son pays natal et l’étranger, il était également un pianiste exceptionnel dont la virtuosité a impressionné l’un de ses plus brillants professeurs, Franz Liszt. Edward MacDowell a composé de nombreusesœuvres pour piano, un grand nombre de lieder ainsi que plusieurs œuvres orchestrales. Mais l’œuvre la plus connue de son répertoire est une charmante suite de miniatures musicales pour piano, Woodland Sketches, une composition modeste et stylistiquement simple dont est extraite la plus célèbre de ces miniatures To a Wild Rose (“ une rose sauvageâ€). L’étonnante sincérité de la mélodie fit dire un grand critique musical que cette mélodie valait toutes les œuvres pour piano réunies de MacDowell.
SKU: BT.AMP-026-120
Edward MacDowell can be regarded as the first great American composer, although he disliked the idea of being classified as any sort of musical nationalist. He composed a large number of orchestral works but it is the charming and unpretentious suite of musical miniatures, Woodland Sketches, that has survived as his best-known work, with To a Wild Rose being the most popular. Philip Sparke has expertly arranged this simple work for concert band. Philip Sparke bearbeitete dieses Stück des amerikanischen Komponisten Edward MacDowell, der weit über die Grenzen seines Heimatlandes hinaus berühmt ist. To a Wild Rose wurde seinem bekanntesten Werk, den Woodland Sketches, entnommen, einer Reihe anmutiger, unprätentiöser musikalischer Miniaturen. Hieraus ist To a Wild Rose das wohl populärste Stück, dessen Qualität Kritiker zu dem Urteil bewog, es sei so gut, wie der gesamte Rest von MacDowells Klaviermusik.Edward MacDowell (1860-1908) est considéré comme le premier grand compositeur américain de l’histoire de la musique, bien qu’il refusait avec vigueur d’être associé un quelconque courant musical nationaliste. Edward MacDowell a toujours considéré que la musique était une véritable langue internationale, et ses œuvres sont fortement influencées par le style de composition européen, et plus particulièrement par l’écriture allemande. Compositeur adulé de son vivant dans son pays natal et l’étranger, il était également un pianiste exceptionnel dont la virtuosité a impressionné l’un de ses plus brillants professeurs, Franz Liszt. Edward MacDowell a composé de nombreusesœuvres pour piano, un grand nombre de lieder ainsi que plusieurs œuvres orchestrales. Mais l’œuvre la plus connue de son répertoire est une charmante suite de miniatures musicales pour piano, Woodland Sketches, une composition modeste et stylistiquement simple dont est extraite la plus célèbre de ces miniatures To a Wild Rose (“ une rose sauvageâ€). L’étonnante sincérité de la mélodie fit dire un grand critique musical que cette mélodie valait toutes les œuvres pour piano réunies de MacDowell.
SKU: BT.DHP-1074238-120
340 X 250 inches. English-German-French-Dutch.
This colourful work is based on the adventures of Christopher Columbus and his voyages to discover Africa and other new territories around the World. The theory that the earth was round urged Columbus to try and reach Asia by sailing west. A truly exotic work that grasps the drive and excitement of the world’s greatest explorer. Jan de Haan schreef Hispaniola ter gelegenheid van het vijfhonderdste sterfjaar van Christoffel Columbus (1451-1506), die in 1492 Amerika ontdekte. Een van de eerste eilanden die hij aantrof in de Caribische zee noemde hijLa Española - in het Latijn ‘Hispaniola’. Het werk bestaat uit drie aaneengesloten delen. In deel een wordt de voorbereiding van de reis weerspiegeld, steeds afgewisseld door een ontspannen Spaanse sfeer. Het snelle tweede deel beschrijftmet vele ritmische verrassingen de onvoorspelbare zeereis. Als de scheepsbel heeft geklonken, begint het derde deel. Tijdens het breed uitgesponnen thema lijkt de kust uit zee te rijzen, waarna de euforie vanwege de ontdekkingvan het nieuwe land uitmondt in een muzikale climax.La Espagnola - lateinisch Hispaniola - nannte der große Entdecker Kolumbus eine karibische Insel, die seine Flotte auf dem Weg zur neuen Welt“ nach zwei Monaten auf See erreichte. Die drei Sätze von Jan de Haans Komposition beschreiben zunächst die Reisevorbereitungen, dann - temporeich und voll rhythmischer Ãœberraschungen - die gefährliche Seereise und schließlich aufkeimende Freude und Euphorie, als es endlich Land in Sicht“ heißt. Spannung und Abenteuer bis zum letzten Ton!Jan de Haan a composé Hispaniola pour célébrer le 500e anniversaire de la mort de Christophe Colomb (1451-1506). Né en Italie, le jeune Christophe Colomb s’installa Lisbonne. De l , il entreprit ses voyages découverte vers l’Afrique et ailleurs. Adhérent la thèse que la Terre est ronde, il décida de rejoindre l’Asie (Les Indes orientales) en navigant par l’Ouest. En 1492, il embarqua avec une petite flotte battant pavillon espagnol. Après deux mois de navigation, il découvrit les premières îles dans la mer des Cara bes. Persuadé d'avoir atteint l'Asie, Colomb baptisa ces nouvelles terres « Les Indes » et les hommes qui les peuplent « les Indiens ». Étonné par laressemblance de certains paysages avec l'Espagne, il donna le nom d'Española (Petite Espagne) l’une des îles (aujourd’hui Ha ti et la République dominicaine). Ce nom fut ensuite latinisé en Hispaniola.Hispaniola est une œuvre en trois mouvements sans interruption. Le premier mouvement illustre la préparation du voyage. La précision qui caractérise la musique alterne de manière répétitive avec la décontraction d’une atmosphère typiquement espagnole. Le deuxième mouvement d’allure vive est rempli de surprises rythmiques. Nous suivons Colomb dans son long, imprévisible et dangereux périple en mer. Terre en vue !, la cloche du bateau s’ébranle. Nous entrons dans le troisième mouvement. Durant la longue exposition du thème, les côtes semblent s’élever lentement de la mer. Puis vient l’euphorie de la découverte de la nouvelle terre. Finalement, la musique rayonne dans une intensité lumineuse.
SKU: BT.DHP-1074175-020
9x12 inches. English-German-French-Dutch.
In the nineties, the Cuban-American singer Gloria Estefan recorded a sparkling version of Vicki Sue Robinson’s disco classic Turn the Beat Around. She gave the song a catchy Latin beat, and with this new impulse, it was a worldwide hit. With the sentence from the song text “Love to hear percussion†in mind, Peter Kleine Schaars incorporated a compelling percussion solo in his arrangement. The result is a dynamic piece of music full of pace and passion.In de jaren negentig nam de Cubaans-Amerikaanse zangeres Gloria Estefan een sprankelende versie op van Vicki Sue Robinson’s discoklassieker Turn the Beat Around. Ze gaf het nummer een aanstekelijke latin-beat en met deze nieuweimpuls bleek het opnieuw goed voor een wereldwijde hit. Met in zijn achterhoofd de zin uit de songtekst ‘Love to hear percussion’ verwerkte Peter Kleine Schaars een meeslepende slagwerksolo in zijn arrangement: het resultaatis een dynamisch stukje muziek vol vaart en passie.In den neunziger Jahren hatte die kubanisch-amerikanische Sängerin Gloria Estefan mit ihrer spritzigen Version des Disco- Klassikers Turn the Beat Around im eingängigen Latin-Beat großen Erfolg. Mit der Textzeile Love to hear percussion“ (Ich liebe Schlagzeugklänge“) im Hinterkopf baute Peter Kleine Schaars ein unwiderstehliches Schlagzeugsolo in sein Arrangement ein und schuf so ein dynamisches, temporeiches und leidenschaftliches Stück Musik, das jedes Publikum mitreißt.Dans les années 1990, la chanteuse américano-cubaine Gloria Estefan réalise un pétillant enregistrement du standard de la musique disco Turn the Beat Around de Vicki Sue Robinson. Évoluant sur un rythme typiquement latinoaméricain, la chanson « revue et corrigée » par Gloria Estefan connaît un nouveau succès planétaire. Peter Kleine Schaars a réalisé un excellent arrangement contenant un solo fascinant pour la percussion. La musique est dynamique, rythmée et passionnante.
SKU: BT.DHP-1074175-120
In the nineties, the Cuban-American singer Gloria Estefan recorded a sparkling version of Vicki Sue Robinson’s disco classic Turn the Beat Around. She gave the song a catchy Latin beat, and with this new impulse, it was a worldwide hit. With the sentence from the song text “Love to hear percussion†in mind, Peter Kleine Schaars incorporated a compelling percussion solo in his arrangement. The result is a dynamic piece of music full of pace and passion.In de jaren negentig nam de Cubaans-Amerikaanse zangeres Gloria Estefan een sprankelende versie op van Vicki Sue Robinson’s discoklassieker Turn the Beat Around. Ze gaf het nummer een aanstekelijke latin-beat en met deze nieuweimpuls bleek het opnieuw goed voor een wereldwijde hit. Met in zijn achterhoofd de zin uit de songtekst ‘Love to hear percussion’ verwerkte Peter Kleine Schaars een meeslepende slagwerksolo in zijn arrangement: het resultaatis een dynamisch stukje muziek vol vaart en passie.In den neunziger Jahren hatte die kubanisch-amerikanische Sängerin Gloria Estefan mit ihrer spritzigen Version des Disco- Klassikers Turn the Beat Around im eingängigen Latin-Beat großen Erfolg. Mit der Textzeile Love to hear percussion“ (Ich liebe Schlagzeugklänge“) im Hinterkopf baute Peter Kleine Schaars ein unwiderstehliches Schlagzeugsolo in sein Arrangement ein und schuf so ein dynamisches, temporeiches und leidenschaftliches Stück Musik, das jedes Publikum mitreißt.Dans les années 1990, la chanteuse américano-cubaine Gloria Estefan réalise un pétillant enregistrement du standard de la musique disco Turn the Beat Around de Vicki Sue Robinson. Évoluant sur un rythme typiquement latinoaméricain, la chanson « revue et corrigée » par Gloria Estefan connaît un nouveau succès planétaire. Peter Kleine Schaars a réalisé un excellent arrangement contenant un solo fascinant pour la percussion. La musique est dynamique, rythmée et passionnante.Date de publication prévue : janvier 2007Data prevista di uscita: gennaio 2007.
SKU: BT.DHP-1115084-020
It may be surprising to see a fanfare piece commissioned by a Japanese ensemble, since fanfare orchestras are typically found in Belgium, Holland and Luxembourg, and also France and Switzerland. Senzoku Gakuen is one of the largest and mostprestigious music universities in Japan, and home to a wide variety of ensembles and orchestras. Since 2006 they have had a fanfare orchestra, which was started by Sotaru Fukaishi, a euphonium teacher who felt further performance opportunity wasneeded for saxhorn instruments. Fukaishi had loved the sound of fanfare orchestras ever since visiting the World Music Contest in Kerkrade (Holland) several years earlier. Jan Van der Roost was involved with this new initiative from the beginning,and they were also joined by Manu Mellaerts for certain projects. The Dean of the music department, Professor Kazuo Tomioka, fully supports the ensemble and commissioned Ostinati. The première took place on June 11th at Maeda Hall inMizonokuchi (Kawasaki) where Senzoku Gakuen is based. The piece opens with an impressive timpani solo, followed by brass and saxophone. The rhythmical pulse remains constant and the music is fiery and assertive in character. A pentatonic melodygradually emerges and the music loses its vehemency and softens. The initial percussion ostinati subsequently recurs and the first section of the piece concludes in a similar mood to the opening. The second movement is sweet and melodic, opening witha long passage for the saxophone family in a minor key. The same theme then appears in the major and is developed upon; the music builds to a majestic orchestral forte, reminiscent of a pipe organ in its sonority. The theme returns in the originalminor key with a change in instrumentation leading the movement to a quiet and peaceful end on a soft E minor chord. The finale starts with percussion: a four-bar pattern is repeated several times over which the movement’s melodic themes areintroduced. These melodic elements are varied and used in different versions and the ostinato idea, which characterizes the entire piece, is highlighted. The theme travels through the orchestra, appearing on various instruments and in variousregisters. It captures the listener’s attention and displays the full range of sound and colour within the fanfare orchestra.Het is misschien verrassend dat dit fanfarewerk is geschreven in opdracht van een Japans ensemble, aangezien fanfareorkesten vooral te vinden zijn in België, Nederland en Luxemburg, en ook wel in Frankrijk en Zwitserland. SenzokuGakuen is een van de grootste en meest prestigieuze muziekopleidingen van Japan, en de thuisbasis van een grote verscheidenheid van ensembles en orkesten. In 2006 is er een fanfareorkest opgericht, en wel door Sotaru Fukaishi, eeneuphoniumdocent die vond dat er meer mogelijkheden moesten komen voor optredens met saxhoorninstrumenten. Fukaishi had enkele jaren daarvoor genoten van de fanfareklank toen hij het Wereld Muziek Concours in Kerkrade bezocht. DeBelgische componist Jan Van der Roost was van het begin af aan betrokken bij dit nieuwe initiatief, en ook Manu Mellaerts werd voor een aantal projecten aangetrokken. Het hoofd van de muziekfaculteit, professor Kazuo Tomioka, staatgeheel achter het ensemble en gaf de opdracht tot het schrijven van Ostinati. De première vond plaats op 11 juni in de Maeda Hall in Mizonokuchi (Kawasaki), waar Senzoku Gakuen is gevestigd. Het werk begint met een indrukwekkendepaukensolo, gevolgd door koper en saxofoon. De ritmische puls blijft constant, en de aard van de muziek is vurig en krachtig. Geleidelijk komt er een pentatonische melodie naar voren en wordt de muziek minder heftig, ze wordtzachter van karakter. De aanvankelijke ostinati in het slagwerk verschijnen dan opnieuw, waarna het eerste deel van het werk eindigt in dezelfde sfeer als waarmee het begon. Het tweede deel is lieflijk en melodisch. Het opentmet een lange passage voor de saxofoons in een mineurtoonsoort. Dan klinkt hetzelfde thema in majeur en daar wordt op voortgeborduurd: de muziek ontwikkelt zich tot een majestueus orkestraal forte, dat qua sonoriteit doet denkenEs mag überraschen, dass dieses Fanfareorchesterwerk ausgerechnet von einem japanischen Ensemble in Auftrag gegeben wurde, da Fanfareorchester doch eher in Belgien, den Niederlanden oder Luxemburg oder auch in Frankreich oder Schweiz zu finden sind. Senzoku Gakuen ist eine der größten und renommiertesten Musikschulen Japans und Heimstätte einer Vielfalt an Ensembles und Orchestern. Im Jahr 2006 wurde ein Fanfareorchester gegründet. Den Anstoß gab Sotaru Fukaishi, ein Euphoniumlehrer, der den Instrumenten der Saxhorn-Familie mehr Spielmöglichkeiten bieten wollte. Fukaishi hatte sich einige Jahre zuvor bei der Weltmeisterschaft in Kerkrade (Holland) in den Klang vonFanfareorchestern verliebt. Jan Van der Roost war von Beginn an in die Entwicklung dieser Idee involviert und, einige Projekte betreffend, ebenso Manu Mellaerts. Der Dekan des Musik-Colleges, Professor Kazuo Tomioka, steht voll und ganz hinter dem Ensemble und gab Ostinati in Auftrag. Die Premiere fand am 11. Juni 2011 in der Maeda Hall in Mizonokuchi statt, dem Heimatort der Schule Senzoku Gakuen. Das Stück beginnt mit einem eindrucksvollen Paukensolo, bevor Blechbläser und Saxophon einsetzen. Der rhythmische Puls bleibt konstant unter einer feurigen, nachdrücklichen Musik. Eine pentatonische Melodie bildet sich nach und nach heraus, während die Musik an Heftigkeit verliert und sanfter wird. Die anfänglichen Ostinati im Schlagwerk kehren zurück und so endet der erste Satz des Werkes in einer der Eröffnung ähnlichen Stimmung. Der zweite Satz ist lieblich und melodiös. Er beginnt mit einem langen Abschnitt für die Saxophone in Moll. Dann erscheint das gleiche Thema in Dur und durchläuft eine Entwicklung; die Musik baut sich zu einem majestätischen orchestralen Forte auf, das in seiner Klangfülle an eine Orgel erinnert. Dann kehrt das Thema in seiner ursprünglichen Moll-Tonart und in veränderter Instrumentierung zurück, um den Satz ruhig und friedvoll in einem e-Moll-Akkord enden zu lassen. Il pourrait paraître surprenant qu’un ensemble japonais puisse commander une pièce pour orchestre de fanfare, puisque l’on rencontre surtout ce type de formation en Belgique, aux Pays-Bas et au Luxembourg, ainsi qu’en France et en Suisse. Senzoku Gakuen, l’une des plus grandes et plus prestigieuses académies de musique du Japon, compte une grande variété d’ensembles et d’orchestres. En 2006 s’y est ajouté un orchestre de fanfare fondé par Sotaru Fukaishi, un professeur d’euphonium qui pensait qu’il était nécessaire d’offrir de plus larges possibilités aux cuivres de la région. Depuis qu’il avait assisté au World Music Contest de Kerkrade (Pays-Bas), plusieurs années auparavant,Fukaishi se prit de passion pour le son chaud et généreux de l’orchestre de fanfare, une formation atypique au Japon. Jan Van der Roost a favorablement adhéré cette nouvelle initiative, tandis que Manu Mellaerts collabora avec les deux hommes afin de concrétiser certains projets. Le professeur Kazuo Tomioka, doyen du collège de musique, soutint vigoureusement l’orchestre et commanda Ostinati. La création de l’oeuvre fut donnée le 11 juin 2011 au Maeda Hall de Mizonokuchi (Kawasaki), où se trouve Senzoku Gakuen. La pièce débute avec un impressionnant solo de timbales précédant l’entrée des cuivres et des saxophones. La pulsion rythmique est constante, la musique est énergique et de caractère affirmé. Une mélodie pentatonique émerge graduellement, alors que la trame musicale diminue d’intensité et s’adoucit. L’ostinato la percussion revient fréquemment et la première partie de l’oeuvre se termine dans un climat semblable celui du début. Le deuxième mouvement, doux et romancé, débute avec un long passage en mode mineur joué par les saxophones. Le même thème apparaît alors en mode majeur et se développe peu peu ; la musique s’intensifie pour arriver un majestueux et orchestral forte dont les sonorités rappellent celles d’un orgue d’église. Puis le thème revient sa tonalité mineure d’origine avec un changement d’instrumentation qui mène.
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