SKU: PR.11441214S
UPC: 680160610037. 8.5 x 11 inches.
El eanor’s Gift honors Eleanor Roosevelt’s tireless efforts in advancing recognition of individuals’rights and freedoms, commissioned for the 50th anniversary of the acceptance by the 48 nations of theUniversal Declaration of Human Rights. The composer was written: In the concerto, I express my deepsympathy for the people, especially for the women who have suffered or are suffering from violence and illtreatment, who don’t have the rights and.
SKU: PR.114412140
UPC: 680160017638. 8.5 x 11 inches.
Eleanor’s Gift honors Eleanor Roosevelt’s tireless efforts in advancing recognition of individuals’ rights and freedoms, commissioned for the 50th anniversary of the acceptance by the 48 nations of the Universal Declaration of Human Rights. The composer was written: In the concerto, I express my deep sympathy for the people, especially for the women who have suffered or are suffering from violence and ill treatment, who don’t have the rights and.
SKU: BU.EBR-A047
ISBN 9790560151205. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement.En 1836, le compositeur Félicien David édite les « Mélodies orientales ». Elles comptent au total vingt et une pièces dont dix-huit ont été rééditées en 1845 sous le titre « Brises d'Orient » et trois autres sous le titre « Les Minarets ».A leur sortie, ces mélodies n'obtiennent pas un grand succès. Deux raisons peuvent l'expliquer. D'une part, un incendie détruit une partie des stocks de partitions imprimées. D'autre part, le public, qui avait aimé les « Orientales » du poète Victor Hugo et les « Pestiférés de Jaffa » du peintre Eugène Delacroix, ne semblait pas être attiré par l'orientalisme musical.Les brises d'Orient possèdent la puissance des charmes orientaux plutôt doux. Le compositeur traduit à merveille l'atmosphère orientale en marquant les rythmes par des basses étonnantes.Plus que des formes traditionnelles, ce qu'il faut retenir de ces pièces est le fait qu'elles racontent de belles histoires avec toujours une dynamique très réussie de passages lents et de passages vifs et rapides.L'écriture de Félicien David ne manque pas de couleurs. Cependant il n'essaie pas d'appliquer l'exotisme du Moyen-Orient. Les mélodies chantent naturellement à travers ses pièces.En écoutant « à une Smyrniote » comme dans les autres pièces se révèle un orientalisme assez peu oriental pour nous aujourd'hui. A l'origine, l'orientalisme est un mouvement artistique, ce qui signifie qu'il ne peut être fidèlement lié à la reproduction de la réalité.Dans cette pièce, la mélodie est liée sans nul doute à la basse harmonique très mise en valeur par des accentuations rythmiques qui constituent une assise solide. Des reprises de passages musicaux dans l'enchaînement de l'œuvre révèlent des atmosphères complètement différentes, suggérant au pianiste un nouveau fil conducteur dans l'interprétation.
SKU: BU.EBR-A048
ISBN 9790560151212. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement.En 1836, le compositeur Félicien David édite les « Mélodies orientales ». Elles comptent au total vingt et une pièces dont dix-huit ont été rééditées en 1845 sous le titre « Brises d'Orient » et trois autres sous le titre « Les Minarets ».A leur sortie, ces mélodies n'obtiennent pas un grand succès. Deux raisons peuvent l'expliquer. D'une part, un incendie détruit une partie des stocks de partitions imprimées. D'autre part, le public, qui avait aimé les « Orientales » du poète Victor Hugo et les « Pestiférés de Jaffa » du peintre Eugène Delacroix, ne semblait pas être attiré par l'orientalisme musical.Les brises d'Orient possèdent la puissance des charmes orientaux plutôt doux. Le compositeur traduit à merveille l'atmosphère orientale en marquant les rythmes par des basses étonnantes.Plus que des formes traditionnelles, ce qu'il faut retenir de ces pièces est le fait qu'elles racontent de belles histoires avec toujours une dynamique très réussie de passages lents et de passages vifs et rapides. L'Almée (danseuse égyptienne) en est un très bon exemple avec une introduction si lyrique que l'on s'attend à l'apparition d'une diva.Mais surprise, un développement harmonieux calme les esprits. Et jusqu'à la conclusion les reprises du thème très rythmé alternent avec ceux du développement lent.Venez découvrir un compositeur digne des grands maîtres de peinture orientale. Cette pièce mérite d'être interprétée par tout pianiste amateur de la musique classique.
SKU: BU.EBR-A049
ISBN 9790560151229. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement.En 1836, le compositeur Félicien David édite les « Mélodies orientales ». Elles comptent au total vingt et une pièces dont dix-huit ont été rééditées en 1845 sous le titre « Brises d'Orient » et trois autres sous le titre « Les Minarets ».A leur sortie, ces mélodies n'obtiennent pas un grand succès. Deux raisons peuvent l'expliquer. D'une part, un incendie détruit une partie des stocks de partitions imprimées. D'autre part, le public, qui avait aimé les « Orientales » du poète Victor Hugo et les « Pestiférés de Jaffa » du peintre Eugène Delacroix, ne semblait pas être attiré par l'orientalisme musical.Les brises d'Orient possèdent la puissance des charmes orientaux plutôt doux. Le compositeur traduit à merveille l'atmosphère orientale en marquant les rythmes par des basses étonnantes.Plus que des formes traditionnelles, ce qu'il faut retenir de ces pièces est le fait qu'elles racontent de belles histoires avec toujours une dynamique très réussie de passages lents et de passages vifs et rapides.L'écriture de Félicien David ne manque pas de couleurs. Cependant il n'essaie pas d'appliquer l'exotisme du Moyen-Orient. Les mélodies chantent naturellement à travers ses pièces.« Rêverie » révèle beaucoup de surprises. Le compositeur nous entraîne dans un voyage agité où rêverie rime avec intrépidité. Chevauchée mélodique et rythmique interrompues de contre temps, de silences, qui nous amène à découvrir des paysages changeants et très différents dans l'instant musical.
SKU: BU.EBR-A046
ISBN 9790560151175. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement.En 1836, le compositeur Félicien David édite les « Mélodies orientales ». Elles comptent au total vingt et une pièces dont dix-huit ont été rééditées en 1845 sous le titre « Brises d'Orient » et trois autres sous le titre « Les Minarets ».Lorsqu'elles sortent, ces mélodies n'obtiennent pas un grand succès. Deux raisons peuvent l'expliquer. D'une part, un incendie détruit une partie des stocks de partitions imprimées. D'autre part, le public, qui avait aimé les « Orientales » du poète Victor Hugo et les « Pestiférés de Jaffa » du peintre Eugène Delacroix, ne semblait pas être attiré par l'orientalisme musical.Les brises d'Orient possèdent la puissance des charmes orientaux plutôt doux. Le compositeur traduit à merveille l'atmosphère orientale en marquant les rythmes par des basses étonnantes.Dans la pièce Souvenirs d'enfance, les mélodies sont pour lui plus qu'un carnet de notes ou un journal de voyage où il consigne impressions et souvenirs. C'est aussi un journal intime dans lequel des passages laissent parfaitement deviner qu'il relate son parcours initiatique. Félicien David y revoit son enfance et pense à l'Occident. Son orientalisme n'est donc pas chez lui un refuge ou le moyen d'une fuite.Venez interpréter une des pièces composées par un des maîtres de l'orientalisme du 19ème siècle !
SKU: BU.EBR-A091
ISBN 9790560151939. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement.Si Tomaso Albinoni est célèbre aujourd'hui, c'est principalement grâce à son fameux Adagio en sol mineur pour orchestre à cordes et orgue. Pourtant c'est une œuvre dont il n'est pas complètement l'auteur. Il s'agit en réalité d'un arrangement écrit par son biographe italien Remo Giazotto. Selon ce dernier, on aurait découvert en 1945, au milieu des ruines de la bibliothèque de Dresde bombardée pendant la Deuxième Guerre Mondiale, une «Sonate en trio» composée par Tomaso Albinoni. Remo Giazotto se serait basé sur le mouvement lent de cette sonate pour écrire l'Adagio, qui nous paraît si familier à présent puisqu'il est cité dans plusieurs musiques populaires, ainsi que dans des bandes originales de films.Cette œuvre au tempo lent a pour introduction une mélodie à l’orgue soutenue par les violoncelles et les contrebasses en pizzicato. Vient ensuite le thème en tutti puis une cadence effectuée par le violon soliste accompagné par l’orgue. On reprend ensuite le début de l'œuvre, puis le tutti rentre dans un élan tragique. L’œuvre se termine par un court solo de violon, toujours soutenu par le tapis sonore de l’orgue et de l’orchestre.
SKU: BU.EBR-A019
ISBN 9790560150918. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement.Cette sonate dite facile ou « sonata semplice » est la plus célèbre de Mozart. Son sous-titre est trompeur car elle n’est pas aussi facile que l’on pourrait croire. En effet, la maîtrise pianistique et la science de Mozart échouent à révéler la réelle difficulté de cette sonate. Sa création date du 26 juin 1788, peu d’années avant la disparition du compositeur. La finalité de cette création serait mi-pédagogique, mi-commerciale d’où l’objet de son surnom.Cette pièce a trois mouvements : Allegro, Andante et Rondo-allegretto. Elle débute par un allegro sur un tempo assez allant avec une basse appelée basse d’Alberti en rythme de croche, se déployant tout au long du mouvement. La structure du premier mouvement est une forme sonate. La mélodie comporte deux sujets sur la tonique et à la réexposition se présente le thème sur la sous-dominante. La basse dAlberti exposée dans ce premier mouvement est développée d’une manière assez étendue en fluidité dans le deuxième mouvement, l’andante.Seul l’allegro est représenté dans cette partition, ce premier mouvement, très connu, ensorcelle de nombreux pianistes de tous niveaux grâce à la relative aisance de son interprétation et à l’enchantement et à la frivolité qui s’en dégage.
SKU: BU.EBR-A097
ISBN 9790560150451. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement.Version Révisée en 2010 par Sarah Fahy et Patrice Bourgès.Composées entre 1890, pour les première et troisième, et 1893, pour la deuxième, les trois Gnossiennes, parues du vivant du compositeur, sont presque aussi célèbres que leurs soeurs aînées les Gymnopédies.Du mot « gnossienne » on a proposé toutes sortes d’interprétations, mais il s’identifie avant toute autre chose à sa musique, énigmatique, obsédante par ses répétitions, sa monotonie rythmique, ses mélismes orientaux, ses silences.Dans chacune de ces trois pièces le rythme joue un rôle essentiel : la musique, débarrassée de la barre de mesure, se déploie sur une basse syncopée lui assurant une grande unité.La grande nouveauté des Gnossiennes réside dans la présence, pour la première fois, d’annotations fantaisistes destinées à l’interprète. Ce ne sont pour la plupart que des directives musicales : « postulez en vous-même », « enfouissez le son », « dans une grande bonté », suggèrent un état d’âme, une sonorité ou une allure. Mais certaines ajoutent au mystère de la musique, tel le célèbre « ouvrez la tête ».
SKU: PR.110418370
ISBN 9781491135075. UPC: 680160686247.
Composed as an organ solo by the 17-year-old Ives for his own performance purposes, the beloved Variations on America is a treat for any occasion, whether a holiday concert, a serious recital, or other special event. Danny Holt’s transcription for Piano, Four Hands adds a dazzling new option to play at home or on stage, taking best advantage of Ives’ tremendous contrasts in color, dynamics, and texture.Composed when Charles Ives was a teenager, Variations on “America†is both a convenient introduction to Ives’ body of work, and an early example of his iconoclastic musical voice and creative genius. Just a few years after composing this piece, Ives would leave home to study music at Yale. But until then he had been taught by his father, George (who had been a bandmaster in the Civil War). George subjected the young Ives to experiments such as singing a song in one key while being accompanied in another, or arranging for two marching bands to converge on a town center, with the resulting cacophony that ensued.The Variations exemplifies an early period of experimentation in Ives’ work, spurred on by the unusual pedagogy of his father. The piece is particularly notable for its use of bitonality in the two interludes, subtly foreshadowing more well-known examples by Stravinsky, Bartók, and others by approximately two decades.The bitonal interludes were so ahead of their time, in fact, they were omitted from the first copy that was submitted to a publisher in 1892. (Alas, the piece was rejected even despite these “shocking†elements having been left out, and it wasn’t published until more than five decades later.) There is some ambiguity about when exactly Ives added the interludes into his manuscript copy, though ample evidence suggests he had performed the piece with the interludes around the time he notated the piece in 1891-92. In any case, in light of this piece and his other polytonal explorations from the last decade of the 19th century, it seems fair to give Ives credit for being a pioneer in this area!This arrangement for Piano, Four Hands, closely follows Ives’ original version for organ, setting aside William Schuman’s popular adaptation for symphony orchestra and William Rhoads’ band transcription of the Schuman orchestration. Pianists will find that the piece translates well to the instrument. Ideally, the choreography and logistics of elbow-to-elbow four-hands playing approximates the wild joy one gets from watching an organist play the piece (e.g., the elaborate pedal part in the final variation).In preparing this publication, attention was paid to details in the dual Critical Editions (Presser 443-41003) of both Ives’ manuscript edition and the 1949 publication edited by organist E. Power Biggs (who is credited with discovering what had been a long-lost, forgotten work.) But as with much of Ives’ output, attempting to create a true ‘urtext’ score is a futile endeavor, and especially with a piece such as this one – in which Ives incorporated improvisation in live performance – seems unnecessary anyhow. True die-hards are of course encouraged to consult the critical editions and even find inspiration in the orchestrated version. Generally, performers are advised to be wild, have fun, and not to be too rigid in their interpretive choices.Dynamics in this arrangement mostly follow the organ score closely. Pianists will use good judgment about pedaling throughout, which should be straightforward and intuitive. Courtesy accidentals have been provided frequently – without parentheses – balancing the need for extra clarity in the context of Ives’ murky musical language, and a desire to avoid unnecessary clutter.A few notes that might inform interpretive decisions:mm. 15-16: There are inconsistencies here between Ives’ original manuscript and the 1949 Biggs edition, regarding the top voice in m. 15, beat 3 (C# vs. Cn) and m. 16 (D Major vs. D Minor).mm. 76-84 & 143-146: In both Interludes, Ives emphatically notates extreme dynamic contrast, in order to highlight the bitonality. Although it may seem counterintuitive (or even a misprint, as has apparently been misconstrued by some), performers are urged to follow the composer’s marking!m. 109: Two-note slurs have been added here for clarity and consistency with other similar passages, though they do not appear in either the original manuscript or Biggs.m. 112: The last two eighth notes of Primo appear as 16ths in the original manuscript.mm. 183-186: The original manuscript has a slightly different bass line.mm. 184 & 186: Primo gestures have been re-written to be slightly more idiomatic for Piano, Four Hands.m. 186: The breath mark at the end of this bar does not appear in either the manuscript or Biggs, but is an editorial suggestion – aside from being appropriately dramatic, it will indeed be necessary in a reverberant hall!I would like to thank Steven Vanhauwaert, the other half of my piano duo, 4handsLA, for his input on early drafts of this arrangement.— Danny Holt, April 2022.
SKU: BU.EBR-A064
ISBN 9790560151472. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement.La partition ici présentée est une transcription pianistique du deuxième mouvement de la suite n°3 de Jean-Sébastien Bach, une des pages les plus justement célèbres du compositeur allemand. Écrite à l’origine pour un effectif instrumental constitué de cordes seules et d’un continuo joué au clavecin, cet Aria doit sans doute sa popularité à son caractère grandiose, sa puissance expressive et la beauté immuable de son discours musical. La ligne mélodique, très flexible, est soutenue par le rythme régulier de la basse qui alterne les sauts d’octaves ascendants et descendants. Les enchevêtrements contrapuntiques, situés vers le milieu de la deuxième partie de l’Aria, constituent le sommet expressif de la pièce qui se termine comme elle a commencé, dans un climat d’une grande sérénité.
SKU: BU.EBR-A071
ISBN 9790560151434. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement.Seule exception dans les 40 années où César Franck tient le piano à l’écart, cette séduisante pièce date de 1865. Écrite dans le ton de sol majeur, elle se divise en 3 parties bien distinctes. L’écriture est sobre, presque grave, malgré son apparente ingénuité. La mélodie, très expressive, est jouée par la main droite alors que la main gauche se contente de l’accompagnement selon le principe de la « basse d’Alberti ». La partie centrale, en sol mineur, déroge cependant à cette règle avec son motif chromatique de caractère plus tourmenté. Morceau fétiche des musiciens amateurs, « Les plaintes d’une poupée » a l’immense mérite d’allier qualité d’écriture et simplicité d’exécution. Pour le bonheur de tous….
SKU: BU.EBR-A096
ISBN 9790560150444. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement.Version Révisée en 2010 par Sarah Fahy et Patrice Bourgès.Ce sont les oeuvres probablement les plus célèbres d’Erik Satie, composées en février et avril 1888.Leur titre évoque la Grèce antique : les Gymnopédies, « fêtes des enfants nus », étaient célébrées à Sparte, tous les ans, en l’honneur de soldats morts au combat. Fait-il référence au style volontairement dépouillé, à la nudité, de ces pièces ? A leur allure processionnelle ? A leur simplicité enfantine?Quoiqu’il en soit, ce sont trois valses lentes, de même facture, dans lesquelles un thème, à la main droite, se déploie sur un accompagnement obstiné, basse sur le premier temps, accord sur le deuxième.Les nuances, allant de pp à p (hormis quelques passages f ), les indications de tempo (lent et douloureux, lent et triste, lent et grave), les septièmes non résolues de l’harmonie, tout contribue au caractère mélancolique qui se dégage de ces trois pièces.
SKU: BU.EBR-A039
ISBN 9790560151106. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement.La publication par l'éditeur John Stark de sa pièce mémorable Maple Leaf Rag en 1899 marque le début de son succès et codife la structure formelle du Ragtime classique. Considérée comme l'oeuvre majeure de Scott Joplin, elle s'avère de nos jours concurrencée par The Entertainer écrit par le même compositeur en 1902 et rendu célèbre en 1974 par le film « L'Arnaque ». Dans The Entertainer, Scott Joplin essaye d'enrichir le ragtime classique par une structure rythmico-harmonique de la basse et établit des liens motiviques entre les différents airs, ce qui parfois, dans l'organisation de l'écriture semble extrêmement complexe.Même si le ragtime obéit à des règles strictes dans le tempo et le rythme, The Entertainer par son air dynamiquement enthousiasmant exalte une flamme incandescente dans l'âme de l'interprête.
SKU: BU.EBR-A058
ISBN 9790560151366. 8.58 x 12.48 inches.
La collection ANACROUSE offre aux pianistes novices et confirmés un large choix d’œuvres classiques, allant de la Renaissance à l’époque moderne.Proposer tout à la fois des « incontournables » du répertoire classique et des pièces de compositeurs parfois oubliés, toutes d’une valeur pédagogique indéniable, tels sont les objectifs que nous nous sommes fixés. Chaque pièce, vendue à l’unité, a fait l’objet d’un travail éditorial attentif, tant sur le plan de l’établissement du texte musical que de sa gravure, afin de garantir aux musiciens les conditions indispensables aux plaisirs tirés du commerce fréquent de ces œuvres.Les partitions sont proposées sous la forme d’ouvrages traditionnels (feuillets papier), et disponibles également par téléchargement.Oeuvre incontournable des pianistes débutants, la valse favorite est sans doute composée dans un but pédagogique. Simple et élégant, le thème subit peu de transformations. La basse harmonique et rythmique faite à la main gauche révèle la valeur première de la valse, une danse à trois temps. Son style pianistique dans cette oeuvre ne cherche pas la virtuosité même si dans l'ensemble le caractère musical semble clair et brillant.Cette valse est un parcours initiatique vers une technique d'interprétation appropriée qu’exigent les pièces pianistiques de Mozart.
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