Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Menuet 1 (WSW 1.8)
Menuet 2 (WSW 1.9)
Gavotte (WSW 1.10)
Gavotte et Double (WSW 2.8/WSW 2.9)
Prélude (WSW 4.1)
Ouverture (WSW 4.2)
Courante (WSW 4.3)
Bourrée (WSW 4.4)
Allegro (WSW 1*)
Courante Royale (WSW 2*)
Prélude (WSW 10.1)
[Menuet '] (WSW 4*)
Fuga (WSW 6*)
Fuga (WSW 7*)
L'Amant malheureux (WSW 8*)
Fantasie (WSW 9*)
[Menuet] (WSW 10*)
Plainte (WSW 15.1)
Tombeau du Baron d'Hartig (WSW 11*)
[Bourrée '] (WSW 12*)
Menuet (WSW 13*)
Gavotte (WSW 14*)
Menuet (WSW 15*)
Praelude [and Fugue] (WSW 17*)
[Menuet] (WSW 18*)
Trio (WSW 19*)
Bourrée (WSW 31.7*)
Tombeau de Logy (WSW 20*)
Prélude de Weiss (WSW 21*)
Fantaisie (WSW 24*)
Menuet (WSW 22*)
Gavotte (WSW 23*)
Capricio (WSW 25*)
Menuet 1 (WSW 26*)
Menuet 2 (WSW 27*)
Mademoiselle Tiroloise (WSW 28*)
Bourrée (WSW 13.4) / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Sonata 10 (WSW 15) en la M
Sonata 11 (WSW 16) en sol M
Sonata 12 (WSW 17) en do M
Sonata 13 (WSW 18) en ré M
Sonata 14 (WSW 19) en mi M
Sonata 15 (WSW 21) en mi m
Sonata 16 (WSW 22) en sol M
Sonata 17 (WSW 23) en la M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Concert d'un luth et d'une flûte traversière WSW 6
Concert d'un luth avec une flûte traversière WSW 8
Concert d'un luth avec la flûte traversière WSW 9
Duo 4 WSW 14 en sol m
Duo 5 WSW 20 en ré m / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN

Par GRAU JEAN-PIERRE. Un bon maître incite plus qu'il n'enseigne. Il offre moins un savoir que les outils permettant de les acquérir. Yi Jing, Le livre des changements Voici un formidable ouvrage préparé avec rigueur et maîtrise par l'excellent guitariste et compositeur Jean-Pierre Grau. Ces volumes pour une technique instrumentale virtuose de la guitare forment un parcours d'une précision rare et pensé avec minutie. Ils apparaissent aujourd'hui comme une référence absolue, un condensé historique et projection de l'avenir. Les exemples précis faciliteront la progression des 'apprentis', dans la plus grande clarté et la plus indispensable nécessité. Jean-Pierre Grau offre au monde des guitaristes leur fondamentale bible aux ramifications essentielles. Daniel Tosi La plupart des musiciens entretiennent une relation ambiguë à l'instrument, mêlée d'exaltation, mais aussi d'appréhension et de frustration. Ils doivent rendre la qualité, l'énergie et la justesse d'une oeuvre tout en cherchant le plaisir d'être en profonde unité avec l'instrument, le bonheur de l'ouverture à l'émotion sans barrières physiques. C'est le travail mené auprès de mes élèves qui a été le moteur constant de mes recherches vers une voie de réalisation, une démarche uniquement instinctive au départ, mais qui a évolué avec le temps vers une volonté en conscience de changement et d'amélioration : que faire pour aller plus loin, se révéler à soi-même ? Cette méthode de technique instrumentale allie les bases classiques (gammes, extensions, accords...), quelques axes de travail digital peu ou jamais traités (passage de corde, déplacements main droite, gammes à trois doigts main droite, coordination des deux mains...) à des exercices de travail corporel pour diminuer voire supprimer les tensions du musicien et aller plus loin dans l'expression instrumentale. Le corps est l'aboutissement de l'émotion. Il témoigne du bonheur et de l'exaltation du jeu. Pourquoi accepter la souffrance physique, le mal de dos ? Ces deux recueils prendront toute leur signification quand ils seront liés à une recherche constante et consciente de décontraction et d'équilibre postural. Les problèmes récurrents des instrumentistes sont la plupart du temps liés à des tensions corporelles non conscientes (voir les écrits de Wilhelm Reich et d'Alexander Lowen sur les cuirasses musculaires et émotionnelles), qui empêchent l'expression de soi libre et spontanée. Un travail de technique instrumentale de haut niveau, non lié à cette exigence de détente générale, ne peut que provoquer à la longue un surcroît de tensions musculaires pouvant amener le musicien apprenti ou professionnel à des problèmes corporels aigus (douleurs musculaires, tendinites...). La recherche de la sensation corporelle dans les exercices me semble également être une piste de travail intéressante - la question 'quelle est ta sensation ?' a pris de plus en plus de place ces dernières années dans mon enseignement. La pratique du chant intérieur est un axe majeur de travail - le chant est l'outil essentiel de la transmission, ce par quoi un travail digital passe à l'expression de l'humain. Il est aussi le véhicule privilégié par lequel l'être raconte son histoire, son vécu intérieur. A la question 'que veux-tu exprimer et de quelle manière ?', la réponse a pratiquement toujours été donnée par la pratique du chant. Le chant accorde le geste et l'intention musicale, il permet de dire également : 'voilà mon propos', et comment le matérialiser techniquement en transformant la musique en geste vocal. J'espère que le fruit de ces recherches permettra à tous ceux qui sont dans une démarche qui implique l'être dans sa globalité, d'aller jusqu'au bout de leurs possibilités, et comblera certaines attentes ou questionnements qui m'ont accompagnés tout le long de ma vie d'instrumentiste. Jean-Pierre Grau / Niveau : A Partir Du 2ème Cycle / méthode - études / Méthode / Guitare

Par ARNOLD BRUCE. Chaque été à New York, répond à la New York University Summer guitare Intensive pendant 3 semaines. Avec cours de rupture au sol et des ensembles, les étudiants sont exposés à l'enseignement et de jouer de plus 45 guitaristes internationalement célèbres. Ce maître de guitare Symposium DVD tient un aperçu ces cliniques qui se produisent 3 fois par jour au cours intensif. Bruce Arnold directeur de la New York University Summer guitare Intensive accueille ces interactions éducatifs. Vous y trouverez des conseils, idées comme ainsi que jouant incroyable de ces maîtres de la guitare jazz sur ce DVD. C'est l'éducation jazz d'avant-garde et est un must propre pour n'importe quel étudiant sérieusement la guitare jazz. Conseils, idées et jouant incroyable de ces maîtres de la guitare jazz en fait un must propre pour n'importe quel étudiant de guitare jazz. Brad Shepik, Ben Monder et Steve Cadenas parlent de comment ils pratiquent avec aperçu comment ils ont atteint leur niveau élevé de musicalité. / Niveau : Avancé / Jazz - Concert/Documentary / Accessoire / Guitare

Par VIGNOLA FRANK. Ce volume de la guitare moderne méthode suppléments (anciennement Frank Vignola Play-le long séries) contient des solos de dix qui ont été écrits et enregistrés blues et le rythme des changements dans plusieurs clés différentes. Les enregistrements de performance-tempo des solos comprennent de nombreux choeurs de section rythmique seulement, permettant la pratique individuelle des solos écrites ou pratique des idées originales avec une section rythmique ' live '. À l'occasion, au cours de ces sections ' rythmique seulement ', Frank Vignola jouera un solo improvisé pour quatre, 12 ou 24 mesures. Cela permet à l'étudiant d'interagir avec l'enregistrement en copiant les idées, s'appuyant sur ce qui a juste été joué ou pratiquer les accords de la pièce. La série de Blues de supplément de méthode de guitare moderne et des changements de rythme donne tout élève de grandes idées de guitare jazz pour jouer les solos sur deux des formes musicales plus populaires dans le jazz. / Niveau : Débutant à Intermédiaire / Jazz - Improvisation / Méthode / Guitare

Par BAY WILLIAM. Cette approche fonctionne vraiment. Elle détient des intérêts de mes étudiants. Il s'agit de commentaires sur l'efficacité de la méthode de classe de guitare de William Bay. Comme aucun autre instrument prête à tant d'humeurs et de styles de musique (blues, folk, rock, country, musique classique, flamenco, jazz, etc.), jouant de la guitare comme un mode d'expression et l'instrument lui-même de populaire sont devenus partie intégrante de la vie américaine. La méthode de classe de guitare a été écrite avec l'espoir qu'il serait élargir l'éventail des personnes de tous âges qui seraient exposés à la guitare à travers une méthode valable, faisant autoritaire qui est facile à suivre. Volume 1 de cette méthode pour l'individu ou le groupe d'étude offre un aperçu des divers styles de guitares et de jouer les techniques avec des conseils sur l'achat et prendre soin de l'instrument, sélection de cordes de guitare et jouer des postes. Comprend des sections spéciales spécifiquement consacrées à la corde pianoter, structure de blues et style, fingerstyle technique, note de lecture et théorie de la musique. L'indiv... / Niveau : Débutant / All Styles - Methods / Méthode / Guitare

For Fingerstyle Guitar. Par GROSSMAN STEFAN. As aspiring fingerpicking guitarists started expanding their horizons from folk, blues, and ragtime in the 1970s, it was only logical to look towards early jazz tunes as a vast source for new possibilities. For one thing, they could follow the same evolutionary path from ragtime to jazz that had been taken by pianists such as Jelly Roll Morton and Harlem stride players like James P. Johnson and Fats Waller. These musicians all composed in a variety of styles, but their most ambitious piano solos expanded on the classic ragtime format developed by the likes of Scott Joplin, James Scott, and Joseph Lamb, using several strains that usually changed keys at least once. Morton, the self-proclaimed inventor of jazz, would record versions of tunes like King Porter Stomp and The Original Jelly Roll Blues that are similar to straight ragtime performances, and others where there is lots of room left for embellishment and jazz improvisation. The present collection is a bonanza for guitarists who want to tackle advanced arrangements along the lines of ragtime but featuring jazz age harmonies from the playing of Jelly Roll Morton, Louis Armstrong, Bix Beiderbecke, WC Handy, the Original Dixieland Jazz Band and other early jazz legends. The 32 arrangements included are by a wide assortment of guitarists including Ernie Hawkins, Pat Donohue, Lasse Johansson, Duck Baker, Ton Van Bergeyk, Sandy Shalk, Steve McWilliam, and Dorian Henry. / Date parution : 2022-01-14/ Recueil / Guitare

Par RASELY TOM. Le capo est un outil du commerce. Cela vous guidera au travers de comprendre comment il fonctionne et comment choisir celui qui convient le mieux pour vous et votre guitare. C'est une méthode théoriquement correcte qui s'appuie principalement sur la compréhension de la touche de la guitare - et qui peuvent être utilisés avec n'importe quel système de notation. Beaucoup de photos, des exemples, des graphiques et des exercices est inclus. L'auteur a créé une méthode systématique qui facilite votre compréhension des relations de la note, offre une application pratique du cercle des quintes et il travaille tous de l'orientation de la guitare elle-même, donc vous aussi acquérir des connaissances précieuses sur les relations de note et de formes de corde partout l'idéogramme. Etant donné que pas toutes les capodastres sont créés égaux, une galerie complète de capodastres est présentée à faire le processus que votre sélection beaucoup plus facile. -Vous guide à travers une compréhension du fonctionne de la capo. -Enseigne comment choisir celui qui convient le mieux pour vous et votre guitare. -Beaucoup de photos, des exemples, des graphiques et des ex... / Niveau : Débutant / All Styles - Reference / Recueil / Guitare

Par SCHMID WILL / KOCH GREG. La METHODE DE GUITARE HAL LEONARD s'adresse à quiconque désire apprendre à jouer de la guitare électrique ou acoustique. Elle repose sur l'expérience acquise durant de nombreuses années d'enseignement de la guitare à des élèves de tous âges, et constitue aussi l'une des meilleures méthodes de guitare dans le monde. Le volume 3 aborde : Les gammes majeures, mineures, pentatoniques et chromatiques - Les doubles-croches - Les accords barrés - Le Travis picking - L'accordage Drop D - Les positions de gammes transposables - Le jeu en cinquième position - Les slides, hammer-ons, pull-offs et bends - La construction des accords - Le matériel - La notation pour guitare - 89 riffs, exemples et chansons célèbres. Inclus 61 pistes pour démonstration ou playback./ Méthode / Guitare

Par BAY MEL. Complète en trois volumes, cette série de méthode largement utilisée présente instruction de guitare classique d'une manière claire et logique. L'étudiant est fondée sur fond à gauche et à droite des études techniques et connaît les oeuvres des maîtres. Dans ce volume, l'étudiant sera présenté à la troisième, quatrième, cinquième, septième et neuvième Positions. Il y a un traitement complet pour le développement de ces postes, y compris des etudes, de solos, de duos et d'études de la corde. Cet ouvrage donne une grande attention aux touches rarement présentées en détail dans les autres méthodes, à savoir les clefs de mi bémol, do mineur, un plat, Minor F, D plat, B plat mineur, G plat, E D dièse mineur, F sharp et plat mineur. Ce volume sera un atout précieux pour l'étudiant désireux de maîtriser ces postes et les touches plus difficile. Notation. Le CD compagnon montre la plupart des exercices et des solos dans le livre au tempo de la performance. / Niveau : Intermédiaire à Avancé / Classic - Methods / Méthode / Guitare Classique

Par POSTLEWATE CHARLES. Le produit d'un projet de recherche de 14 ans, ce livre contient plus de 350 études pour former minutieusement la main droite de guitaristes classiques dans l'utilisation de tous les cinq doigts - ajout du petit doigt à la technique actuelle de quatre doigts. Ces études construisent une technique de five-finger en la jouant des accords, des arpèges, des tremolos et des harmoniques, commençant avec le pouce et les combinaisons d'un doigt et en augmentant la complexité du pouce et quatre doigts. Les études sont joués plus facile, et pourtant intéressant, des progressions de main gauche le long de la touche. Postlewate montre comment développer vos propres études de la main droite en incluant des exemples de pièces de répertoire de guitare classique standard par Fernando Sor, Federico Moreno Torroba et Heitor Villa-Lobos à la fin du livre. Ce livre est un compagnon Mo 98711 - hommage À Villa-Lobos et autres compositions (musique composée, transcrit, arrangé et édité par Charles Postlewate pour la guitare, en utilisant les cinq doigts de la main droite) et son... / Niveau : Intermédiaire / Classic - Technic / Etude / Guitare Classique

Par BAY MEL. Le premier ministre méthode du monde pour guitare d'apprentissage de style moderne plectre, éprouvée et plication réussi à jeter les bases théoriques et techniques nécessaires pour jouer dans n'importe quel style. Toutes les sept classes de cette méthode sont écrites en notation standard uniquement afin d'encourager la meilleure vue de lecture. En première année, le guitariste d'étudiants apprendront à jouer les solos, duos, échelles, et accords dans les clés de C, un mineur, G et mi mineur. Même en première année, l'étudiant est déjà exposé au concept de corde/mélodie de performance de la guitare. Un livre de l'étude complémentaire intitulé Grade 1 études, deux play sur différents enregistrements de CD (version pop et traditionnels), et un DVD sont disponibles. Les enregistrements de compagnon en vedette Tommy Flint et William Bay jouant au format split-track, avec les parties solos effectuées sur le canal de droite et les parties de duo accompagnement ou seconde a joué sur la gauche. L'étudiant peut jouer avec l'enregistrement complet, ou branchez-vous sur chaque canal et jouer la partie manquante. / Niveau : Débutant / All Styles - Methods / Méthode / Guitare

Voici votre chance d'apprendre un guitariste primé et développer les capacités isolation de bluegrass, que vous avez toujours rêvé d'avoir. David Grier décrit une gamme encyclopédique de techniques dans le style flatpicking qui fixera vraiment votre solos en feu. Il prend dans tous les éléments d'une chaude bluegrass solo, y compris : diapositives Hammer-ons/Pull-offs rosspicking Pick-et-doigts Bends Double-stops ratissant avant longtemps vous allez être creuser dans les arrangements de normes de bluegrass bien connus tels que la liberté et Bill Cheatham, mais aussi une version spectaculaire de neuf livres Hammer. Grier fournit des indications supplémentaires, conçues pour vous aider à réalisent vos propres capacités et à atteindre vos objectifs en jouant de la guitare. Devenir le meilleur soliste de bluegrass que vous pouvez être avec ce didacticiel de DVD passionnant. / Guitare

Short Term Course. Par BAY WILLIAM. Le Mastering la guitare classe méthode Short Course a été écrit pour utilisation en guitare classes qui dernière pendant neuf semaines ou moins. Etudiants recevront, sous une forme condensée, la même qualité, séquentiel documents contenus dans le Mastering la méthode de classe de guitare. Bien que conçu pour un cours plus court, grand soin a été apporté à fournir aux étudiants une base solide dans la technique et les principes fondamentaux de jouer de la guitare. Contenu include : tenir position, cordes, strum patrons, tuning, lecture seule note solos en tablature et notation standard et des ensembles de tous dans une variété de styles de musique. Le livre contient également un article sur jouer du blues et de l\'écriture des paroles originales de blues. Cinquante cinq plans de leçon sont disponibles en ligne à melbay.com et jeux-questionnaires seront également disponibles. Ce texte est idéal pour le cours exploratoire et fournira le tremplin idéal pour une étude plus poussée. Plans de Checkout la courte leçon de cours sur le Site d\'enseignants GuitarPeople. > afficher les enseignants... / Niveau : Débutant / All Styles - Methods / Méthode / Guitare