Devenu organiste d’une paroisse huppée, il croit utile de changer son nom de Isaac-François Lefebvre (Isaac Lefébure selon Fétis) en Antoine Lefébure-Wely (du nom de sa femme d’origine anglaise)1.
Il s’installe comme titulaire aux claviers du Clicquot de Saint-Roch, reçu le 13 septembre 1805, poste qu’il occupera jusqu’à la fin de sa vie. En 1828, victime d’un accident vasculaire cérébral, il reste partiellement paralysé jusqu’à sa mort ; il se fait souvent remplacer durant les dernières années par son jeune fils Alfred.
Il commence à publier ses Å“uvres en 1778 et est mentionné comme «maître de clavecin» dans l’Almanach musical de 1779.