« Il a été dit que mon Requiem n'exprime pas la peur
de la mort et quelqu'un l'a appelé « Berceuse de la
mort », mais c'est ainsi que je vois la mort : comme
une heureuse délivrance, une aspiration vers le
bonheur suprême, plutôt que comme une épreuve
douloureuse ». (G. Fauré, à propos de son Requiem) |